Jean-Philippe Arrou-Vignod

Le genre de ce livre est 'mystère; et 'comédie'. C'est l'histoire de trois collégiens de 4ième qui font un voyage de classe en Angleterre. Les trois sont séparés. Deux jeunes garçons découvrent plusieurs vols de bijoux. Ils doivent découvrir qui est le voleur(ou voleuse) de bijoux.

J'ai aimé ce livre par ce qu'il est plein de suspense.Il y a de l'humour. L'histoire est facile à comprendre mais il y a aussi des mots que je ne comprenais pas. Je n'ai pas de personnages préférés car ils ne sont pas vraiment intéressants par ce que ils sont un peu simples. Je recommande ce livre aux personnes qui aiment les livres de mystère.

Au collège Château-Briand, les élèves de 4ème2 vont avoir un contrôle de sciences-naturelles, dans la salle 20. le professeur, en entrant dans la salle, voit M. Cornue (le préparateur), inanimé, baignant dans une flaque de sang. le principal convoque tous les élèves internes pour que le coupable de ce crime se dénonce. Qui est le coupable ? Va-t-il se dénoncer ? Un élève va être désigné par un autre. Est-ce vraiment le coupable ? A vous de le découvrir.



L'histoire m'a paru intéressante et originale car j'adore les enquêtes. Il y a du suspens, beaucoup de rebondissements. On a toujours envie de savoir la suite de l'histoire. J'ai adoré le personnage, Mathilde Blondin, car elle rate son gala de danse pour soutenir, dans l'enquête, son ami Rémi. C'est une très bonne amie sur qui on peut compter. le personnage que j'ai le moins aimé est P.P. Cul-Vert car je trouve que ce n'est vraiment pas sympathique de dénoncer quelqu'un et encore plus son meilleur ami. Il aurait pu faire l'enquête sans le dénoncer. Je trouve que ce n'est pas un ami fidèle, un vrai ami. J'ai appris qu'il y avait peut-être des souterrains et des chemins sous certains collèges. J'ai beaucoup apprécié ce livre car l'histoire est passionnante, originale et intéressante. Il y a de l'aventure et beaucoup de rebondissements. L'écriture est grosse, on voit bien, les chapitres sont courts. Ce livre m'a fait réfléchir pour savoir qui est le coupable. Il m'a aussi fait rêver car je pensais être au coeur de l'action. J'ai aussi stressé pour Rémi.



Mes moments préférés sont quand Rémi et P.P. Cul-Vert sont dans la grotte et que P.P. Cul-Vert percute Mathilde en croyant que c'est le rodeur. Mais aussi quand Rémi devient le héros du collège. Je vous conseille de lire ce livre ! Agathe





C'est l'histoire d'élèves qui sont en classe et qui vont avoir une interrogation le lendemain. La nuit, un élève se réveille, il prend une lampe torche dans sa main, et va dans une salle de classe pour trouver le sujet de l'interrogation. Il va laisser la lampe dans la salle et il va peut-être être démasqué...



Jean-Philipe Arro-Vignod est né le 18 septembre 1958 à Bordeaux. Il est aujourd'hui professeur de français dans un collège. Il publie son premier roman en 1984 aux Editions Gallimard.



J'aime bien ce livre mais il y a des chapitres un peu étranges, curieux, comme quand il parle de cercueils de pierre, situées dans le passage secret du collège. Ce livre est triste, mouvementé car il y a souvent des suspects d'enquête et ils vivent beaucoup d'aventures, car ils essayent de trouver le suspect de l'enquête...

Estelle



-C'est l'histoire d'un garçon prénommé Rémi Pharamon. Il est au collège. Un beau jour, un crime se produit donc lui et ses amis décident de mener leur enquête. Le crime s'est passé en salle de sciences naturelles. Ils sont trois à mener l’enquête. C'est une petite histoire qui fait réfléchir. Il faut être attentif ça sera plus facile…



Ce livre est écrit par Jean-Philipe et Arrou-Vignaud qui sont : l’auteur et l'illustrateur de cette enquête. A l’intérieur de ce livre fabuleux se trouve une enquête policière qui nous entraîne au fil des pages.



Personnellement j'apprécie ce livre, et pourtant je n'aime pas trop les enquêtes policières. Ce livre nous entraîne car il éveille notre curiosité. Mais le début n'est pas très intéressant à mon goût car cela parle de la routine... Mais cela devient plus intéressant assez vite. Et il devrait y avoir plus d'images à mon sens. Je conseille aux grands lecteurs d'histoires policières de le découvrir.



Laure

J’ai beaucoup aimé ce livre qui est émouvant. Il est simple à lire et très prenant, j’ai bien aimé le style d’écriture qui est assez commun. J’ai beaucoup apprécié la grand-mère de Léo car elle se montre très gentille et compréhensive envers lui. J’ai aussi beaucoup aimé le collège Blériot, que Léo nomme “blaireau”, mais aussi les deux garçons qu’il rencontre lors de sa chute en vélo. J’ai également apprécié M. Litvak car il valorise le seul talent qu’a Léo. Ce livre a été, pour moi, prenant et agréable à lire.



L.C.L. 5C

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Les illustrations en couleurs réalisées par Dominique Corbasson viennent prolonger la lecture de ce sixième tome, soulignant, si besoin en était, l’humour virtuose et l’éloquence joyeuse de son auteur.
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Ce livre est àmourir de rire , facile à lire et montre d'un côté sympathique et amusant les moments difficiles de la vie de famille !

Je le relierais volontiers s'il le faut , bien qu'il faut quand même avouer que les dialogues sont très directs et que le vocabulaire employé n'est guère riche ...

Mais bon , j'en garde quand même un bon (voir très bon )souvenir de lecture!

L'histoire se passe chez la mamie de Léo. Je n'ai pas aimé certains moments, par exemple quand les cousins de Léo font des bêtises, c'est Léo qui se fait gronder. J'ai bien aimé le personnage de Léo car il est courageux, même s'il a des difficultés.

Mathéo

Lors d'un hiver glacial en Sillyrie, des enfants des rues disparaissent sans laisser de traces. Les amis de Mimsy Pocket - une jeune voleuse incroyablement douée - font partie du lot, ce qui pousse la jeune fille à mener l'enquête.. et à se faire kidnapper à son tour.



Magnus Million - un autre ami de Mimsy - se voit confier une mission spéciale par son oncle Sven: accompagner le grand-duc de Sillyrie signer un traité de paix dans un monastère perdu au milieu de nulle part..





Ce roman est en fait la suite de Magnus Million et le dortoir des cauchemars même si ce deuxième opus est totalement lisible sans avoir pris connaissance du premier, comme c'est le cas pour moi. On entend très souvent parler des événements qui se sont déjà passés mais tout est toujours bien expliqué et je ne me suis jamais sentie perdue, pas un seul instant.



Le nom de Jean-Philippe Arrou-Vignod (même après trois fois c'est toujours aussi dur à écrire) vous dira peut-être quelque chose si vous me lisez régulièrement car j'en parlais il y a quelques jours dans mon article sur les livres audios et du coup de cœur de mon nain pour son roman Le camembert volant. Je suis ravie d'avoir pu découvrir par moi-même l'écriture de ce cher monsieur (je ne réécrirai plus son nom, non non non.) qui est fluide et légère, très agréable à lire.. Je dois malgré tout avouer que j'ai été peu convaincue par la première partie que j'ai trouvée longue et beaucoup trop calme même si ça semble nécessaire pour poser les bases de l'intrigue plus tardive et bien plus mouvementée. Avec du recul, je comprends cette lenteur mais sur le coup, j'ai un peu été ennuyée du manque d'action et ce même si nos deux héros vivent de bonnes grosses mésaventures. Le destin s'acharne sur eux et il n'y a qu'un seul petit point qui m'ait dérangée dans tout ce livre: certains dénouements et certaines révélations sont trop grosses, beaucoup trop faciles et beaucoup trop flagrantes! J'ai pu deviner ce qui allait arriver à Mimsy dès le tout début et j'ai réussi à prédire pas mal de scènes bien à l'avance, ce qui est un poil dommage, même si c'est pardonnable vu l'âge moyen des lecteurs de cette catégorie de romans. (Même s'il y a une tonne de grands comme moi qui en lisent aussi.)



Heureusement, il y a un gros point fort dans ce roman et c'est sans conteste les personnages. Je me suis énormément attachée à Mimsy et à Magnus qui sont tellement différents! Ils sont le jour et la nuit, le chaud et le froid.. Il est grand, maladroit, froussard et empoté tandis qu'elle est petite, indépendante, débrouillarde et incroyablement courageuse. Ces différences sont leurs forces je crois, ils se complètement et j'ai été très touchée par le lien qui les attache tous les deux même si Mimsy fait tout pour ne pas le voir. Elle n'imagine pas un seul instant qu'on puisse l'aimer et a du mal à ne fut-ce qu'imaginer avoir une vie normale, ce qu'on lui propose pourtant souvent à de nombreuses reprises. Magnus est plus courageux qu'il ne le pense je crois, sa plus grande qualité restant tout de même sa gentillesse même si c'est sa maladresse qui m'a fait rire plus d'une fois pendant ma lecture.



Comme je le disais, la première partie est plutôt calme car nos deux héros doivent passer par de grosses épreuves avant de pouvoir résoudre leurs problèmes. Si j'ai un peu traîné les pieds au début, j'ai adoré le moment où les choses bougent enfin, j'avais vraiment très envie de voir comment tout ça allait se finir.. et je n'ai pas été déçue.



Ou plutôt si: je veux une suite! S'il vous plaît monsieur l'auteur, encore une aventure de Magnus et de Mimsy!
Lien : http://mamantitou.blogspot.b..

Mimsy et Magnus s'étaient perdus de vue, depuis l'affrontement avec l'infâme Harald Cragganmore.

Les projets de domination de la Sillyrie par l'ancien chancelier avaient volé en fumée, proprement et littéralement, grâce aux efforts conjugués des deux adolescents, le fils du milliardaire et la petite voleuse.

Fort de sa récente réputation de justicier, Magnus fut sollicité pour représenter son oncle Sven auprès du jeune grand-duc Nikklas de Sillyrie lui-même et veiller sur sa sécurité lors d'un voyage d'une grande importance pour le pays de Frieke. La ville haute et la ville basse étaient sur le point de signer un traité de paix. Le monastère de Smoldno en lieu neutre fut choisi.

Les chambres de la maison Million se retrouvèrent vides. Magnus avait offert à la jeune et farouche Mimsy un toit et un lit, mais aucune cage ne saurait retenir Mimsy Pocket, aussi dorée soit-elle.

Aussi depuis, Mimsy continuaient de vivre selon ses propres règles, veillant sur sa petite bande des rues, Bratsch le borgne, Cal et les deux petites, Loupiote et Bestiole.



Mais comme là où ils se trouvent l'aventure n'est jamais loin,

des ravisseurs surnommés « les redoutables hommes loups » par les gamins se saisirent des enfants des rues les uns après les autres, nettoyant la ville de cette jeune graine de misère. Une dame en noir semblerait attachée à récupérer tous ces enfants suivant un dessein qui lui est propre. Mimsy fut la seule à lui échapper.

Magnus, de son côté, sera projeté du haut d'un train en marche et y survivra grâce à une troupe de nomades, les Tirghiz. L'affaire du traité s'était compliquée et les services de Magnus n'étaient plus requis, c'était le moins que l'on puisse dire.

Après la signature, le grand-duc Nikklas fut victime drôle d'agression et des preuves douteuses viennent incriminer l'oncle de Magnus, Sven. Pour avoir découvert les intentions du coupable, Magnus finira éjecté de la suite des événements.

Mais le danger n'aura pas leur peau et contre toute attente, leurs efforts placeront Mimsy et Magnus sur les mêmes chemins .



« Mimsy Pocket et les enfants sans nom » est bel et bien la suite des aventures de Max Million. Du temps aura passé depuis l'épisode du dortoir des cauchemars, chacun vaquant à ses occupations, suivant son mode de vie aux antipodes l'une de l'autre. Et pourtant, à la lecture de ce tome, on constate avec évidence que les deux étaient faits pour se rencontrer.

Ce deuxième volume imaginé par Jean-Philippe Arrou-Vignaud se partage équitablement entre les péripéties des deux jeunes héros, tout en se concentrant sur les origines de la jeune...enfin, non, on ne va pas divulguer le véritable prénom de Mimsy sinon il vous en cuira. Mimsy se montre plus sauvage, plus dure que jamais, mordant presque la main qui lui est tendue. Ne faire confiance à personne et ne compter que sur soi-même sont ses repères pour retomber toujours sur ses pattes. Ses relation avec Sven, Magnus et les autres enfants, ceux et celles à qui elle aura décidé de s'ouvrir, ressemblent à de bonnes tartines de miel servies sur du pain sec, une part de douceur qu'elle tient volontairement à cacher. Fidèle, le petit brin de femme va se lancer seule aux trousses des « hommes loups » et faire face à la mystérieuse dame en noir.

Révélations et rebondissements à la clé. Sur ce tome, Magnus survivra cette fois à sa narcolepsie, tentant de sortir son oncle d'un terrible guêpier et aussi de lui éviter l'échafaud. L'introduction du peuple des Tirghiz, donnera la petite note d'exotisme et de voyage, l'élixir du monastère, celui du fantastique déjà présent dans le tome 1.

Quelques passerelles se feront entre les deux intrigues, indirectement liées, mais n'en révélons pas d'avantage pour en conserver la primeur et la saveur. Les retrouvailles des deux héros « solitaires » apporteront sans en donner l'air une petite dose de romance.

Après cela, comment ne pas les imaginer encore plus proches sur un troisième tome ?

Jamais deux sans trois, dit-on ?

Le mal peut-il d'ailleurs faire son retour pour un dernier round.

Celui-ci est très tenace, vous en conviendrez à l'issue de l'aventure. Ce tome à l'apparence volumineuse se parcourt très facilement et sans déplaisir. Si les lecteurs ont accroché sur ces personnages dès le premier tome, celui-ci est d'emblée pour eux.

On ne peut que se délecter de ces récits même s'ils semblent bien éloignés de notre quotidien ou peut-être justement à cause de ça.
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Ils sont cinq garçons dans cette famille ainsi qu’un bébé à venir. Comme le papa a une très mauvaise mémoire, il les a tous appelés Jean. L’ainé de dix ans, Jean-A, le second et narrateur, Jean-B, 8 ans, le troisième, Jean-C, six ans, le quatrième, Jean-D, quatre ans et le dernier Jean-E, deux ans. L’omelette au sucre c’est les moments de l’enfance de l’auteur qui a un peu enjolivé l'ensemble. Par exemple, le détail amusant de la mémoire défaillante du père pour se repérer plus facilement dans les enfants.

J’ai écouté ce livre et j’ai adoré visualiser ces tendres souvenirs qui m’ont rendu un peu nostalgique. L’auteur a su trouver le bon ton pour raconter ses mémoires et le lecteur, Laurent Stocker, les bonnes intonations. J’ai souri, ri, chaque nouveau chapitre m’a transporté dans mon enfance et rappelé mes souvenirs. J’ai hâte de suivre la suite des aventures de cette famille avec les deux volets suivants : Le camembert volant et La soupe de poissons rouges.

Pour ceux qui sont fans du petit Nicolas, ce livre est à dévorer sans attendre.

Original, découpé en anecdotes, c'est facile à lire et on s'amuse drôlement!

Une histoire passionnante sur 3 amis (Rémi, P.P. Cul-Vert et Mathilde) qui vont s’entraider pour trouver le coupable d’une histoire louche. Qui se passe dans les souterrains de l’école (et en plus) en pleine nuit

Ce tout petit livre me faisait envie, parce que le bonheur n'est pas chose si simple...

Nous le croisons parfois, mais il s'échappe vite ;

Certains le fuient, d'autres le cherchent désespérément...

Mais comment en parler alors qu'il semble avoir disparu dès qu'on a conscience de l'atteindre ?

Jean-Philippe Arrou-Vignod s'est attelé à l'ouvrage, et il a su donner forme à sa réflexion sur le sujet avec brio, intelligence, sensibilité et simplicité.

De tout petits textes rassemblés dans un livre de 83 pages nous présentent les contours intimes de l'idée que l'auteur se fait du bonheur.

Nous sommes bien forcés d'acquiescer quand l'auteur nous dit que le bonheur de s'impose pas, pas plus qu'il ne se décrète.("intimer")

Nous faisons de même quand il écrit qu'il est difficile d'être heureux et moral, qu'il n'est pas facile d'accepter le désir et sa satisfaction quand on a eu une éducation judéo-chrétienne. ("désirer")

Le texte "profiter" est une petite leçon de clairvoyance sur notre société de consommation ou chaque individu revendique le bonheur pour lui même quitte à ce que ce soi au détriment des autres.

De belles pages se succèdent pour tenter d'égrainer les tout et les riens qui nous font exister de bonheurs en bonheurs : s'oublier, jouir, être là, faire l'amour, s'aimer, reconnaitre, peindre, se perdre, partager...

Jean-Philippe Arrou-Vignod nous offre trois textes savoureux sur le bonheur d'écrire avec trois titres évocateurs : "s'imaginer", "finir", "écrire".

Enfin, le dernier texte: "Vivre", nous rappelle que "vivre n'est rien sans le sentiment de vivre."

Il décline ce sentiment en deux états, l'un, contemplatif, quand nous savons être disponibles à la beauté des choses, des êtres et du monde,

l'autre, euphorique, qu'il qualifie de griserie :

"griserie d'aimer. De faire. De construire. De se découvrir compétent..."

"Être heureux : un verbe d'état tout autant qu'un verbe d'action. Un concentré d'enthousiasme, d'élan, d'énergie pure..."

Vous ne trouverez pas de recettes dans ce petit traité qui n'en est pas un, mais une réflexion douce et tranquille sur le bonheur et le sentiment d'être heureux.

Il est bon de s'attarder un peu sur les contours que prennent nos émotions dans nos vies, de prendre la peine d'en prendre le temps...

C'est un livre qui fait du bien...

des liens sur le blog
Lien : http://sylvie-lectures.blogs..

Une B.D. sympathique et amusante dans les couloirs du collège, sans oublier l'internat, l'infirmerie et les souterrains.

Notre trio de choc se lance dans une enquête trépidante, et urgente, car il s'agit d'innocenter Rémi.



Alors, je dois dire que la série de romans "Enquête au collège", de Jean-Philippe Arrou-Vignod, est une de mes favorites.

Si vous ne connaissez pas, il s'agit de huit courts romans mettant en scène trois collégiens : Rémi Pharamon, le cancre qui se retrouve toujours où il ne faudrait pas ; Mathilde Blondin, la bonne élève, jamais à court d'idées (de bonnes idées) et le loufoque Pierre-Paul de Culbert, surnommé P. P. Cul-Vert. Celui qui apporte les sourires nécessaires à ces romans.



Ce n'est qu'ensuite qu'il a fait partie d'une série de huit titres, appelée aussi Enquête au Collège. Comme le tome 2.

Quand j'ai vu que ce volume paraissait en BD, j'ai eu tout de suite envie de le lire, et je ne le regrette pas. Je remercie Babelio pour cette Masse Critique :-)



Quand l'agent d'entretien du collège est agressé au petit matin, les internes sont naturellement soupçonnés. Jusqu'à ce que P.P., à la surprise de tous, dénonce son copain Rémi. Mais pourquoi ?

Ce qui ne va pas l'empêcher de se joindre à ses deux amis pour mener l'enquête.

D'idées surprenantes (on peut faire confiance à Pierre-Paul pour ça), en découvertes inattendues, arriveront-ils à sauver Rémi du renvoi ? (Pour une fois que le danger ne vient pas de son niveau scolaire !!)



Beaucoup d'humour, de l'action, du suspense. Un vrai roman policier avec une vraie bonne enquête, des fausses pistes, des surprises et un peu de peur.

Une bonne lecture, aussi bien pour ceux qui connaissent les romans, que pour ceux qui découvriront ici la série.



Mon seul regret : j'ai eu un peu de mal avec les dessins. À la fois parce que je ne les ai pas trop aimés (mais c'est très personnel, et ceux qui me suivent savent que je suis assez difficile sur le sujet, avec des idées sans doute un peu "anciennes") et aussi probablement parce que j'avais depuis longtemps en tête les visages créées par Serge Bloch.

Mais les nouveaux lecteurs vont certainement bien apprécier le sieur de Culbert et ses grandes lunettes !



L'album se termine par "À suivre". Nous aurons donc certainement la chance de lire de nouveaux tomes. Mais je suis surprise car il me semble que c'est le premier paru en BD, alors que ce n'est pas le premier tome de la série. Un autre mystère !!
Lien : https://livresjeunessejangel..

J'adore les histoires des Jean-Quelque-Chose, de Jean-Philippe Arrou-Vignod. Je sais, ce sont des livres jeunesse, et alors ??

Ce sixième tome ne suit pas chronologiquement les autres, mais continue de nous faire rire en nous racontant le quotidien de cette super famille de six garçons : un papa médecin un peu à la rue, une maman super organisée (tu m'étonnes !), et tous nos Jean-X s'étalant entre 2 et 15 ans, avec leurs oreilles décollées, leurs fringues du catalogue de "la famille moderne", et bien sûr leurs gentilles bêtises des années 60. Ça se tape dessus, ça se bagarre, mais au final ça s'aime très fort ! Bref j'adore, et je trouve ce sixième livre particulièrement réussi. Ne boudez pas votre plaisir !

Une collection toujours très intéressante à feuilleter car elle est parfaite pour découvrir un sujet de façon originale et très claire.

Dans ce nouveau tome de « BAM! » , le livre nous propose une sélection de 40 personnages de romans très connus : Harry Potter, Croc Blanc, Cosette, Ivanhoé, Arsène Lupin, Pinocchio, Peter Pan, Alice, Sherlock Holmes, Dracula, Renard, Bilbo le Hobbit, Sophie, Oliver Twist, Frankenstein, les filles du docteur Match, Hercule Poirot, Tom Sawyer… bon je ne vais pas énumérer les 40 « héros » qui sont disséqués dans cet album. Une description très bien organisée, présentant le personnage et ses caractéristiques particulières.

Une double page présente de nombreux encadrés : inspiration du personnage, anecdote, oeuvres où il est présent, auteur, première publication, genre de l'ouvrage…

Bref, des petits livres certes, mais toujours riches en informations essentielles et un véritable condensé de culture générale.

Bravo à cette collection jeunesse intelligemment réalisée pour petits et grands.

Livre certainement plaisant pour les 7-11 ans, disons.

Pour apprendre un peu de vocabulaire tout en restant dans un langage très clair et compréhensible.

L'histoire n'est pas la plus inventive qui soit, mais pour des jeunes lecteurs, ça le fera.

Sauf s'il faut nécessairement des elfes, des zombies, ou des animaux irréels totoroesques. Là, ça n'ira pas.

Ce roman jeunesse entre lice pour le concours des Incorruptibles 2022-2023 auquel je participe avec une classe de quatrième.

Une jeune héroïne de seize ans, marquise de son état et orpheline, est libérée de son couvent pour être conduite, contre son gré, à l’autel d’un mariage arrangé par son tuteur cupide. Mais l’attaque de son carrosse lui permettra de s’échapper. Un peu comme dans Jacques le fataliste et son maître de Diderot, la fuite de l’héroïne permet à deux hommes de se rencontrer, de se lier d’amitié et de se narrer leurs aventures. En effet, il y a dans ce récit plusieurs histoires enchâssées qui tiennent en haleine les lecteurs puisque le récit emprunte plusieurs chemins, faisant écho à la difficulté de retrouver la jeune femme et marquant ainsi les jours qui passent. Dans cet univers hostile où vivre est une épreuve quotidienne, une grande place est faite à la superstition et l’obscurantisme qui légitimisent des actes abominables par des foules en délire qui se repaissent de la mise à mort d’autrui, surtout quand il s’agit de brûler une sorcière trop jolie au goût de certains.

La poétique de ce roman est au service du rythme et de la sonorité des événements : les mots claquent comme les sabots des chevaux sur les pierres, ils tranchent comme les épées ou glacent le lecteur comme la pluie nocturne ou le brouillard matinal. Rien n’est de trop dans ce récit jeunesse qui ne cherche pas la séduction par des temps ou du vocabulaire simplistes ou un lexique trop moderne pour relater une histoire du temps passé. J’espère que ce très bon roman retiendra l’attention de mes élèves.

Olympe est une jeune fille fort plaisante, courageuse, et qui ne s'en laisse pas compter du haut ses 16ans. On a dès le départ beaucoup de compassion pour elle, et on la soutient dans ses aventures, on la plaint quand il lui arrive malheur. Elle nous emmène vraiment avec elle dans tous ses détours.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Décembre qui est plein d'humour et qui dédramatise et détend un peu les situations compliquées. Entre lui qui est drôle, Oost qui est un peu benêt, et Olympe qui est flamboyante et courageuse, on suit un trio vraiment complémentaire et qui fonctionne à merveille.

Si on tient compte des nombreux rebondissements, et des personnages qui évoluent au fil de l'histoire, on a tout les ingrédients pour passer un bon moment.

5ème tome des aventures de nos Jean-Quelque-Chose, « La cerise sur le gâteau » est tout aussi délectable que ses prédécesseurs. On y retrouve cette grande famille attachante des années 60, avec ses 6 garçons dont les plus grands rentrent maintenant dans l’adolescence. Musique, télé, et surtout les filles, plein de choses viennent interpeller nos oreilles décollées !

Cette lecture est toujours aussi tendre et amusante, c’est un pur bonheur de s’y plonger dans ses temps un peu sombres. Vite, la suite !