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Critiques de Jean des Cars (192)
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François-Joseph et Sissi : Le Devoir et la Rébe..

Une biographie croisée très intéressante des (presque) derniers empereur et impératrice d'Autriche Hongrie. Un duo d'opposés qui a malgré tout réussi la plupart du temps à conserver une certaine forme d'équilibre, quitte à défrayer la chronique. Beaucoup d'élégance de la part de ces 2 personnages, d'amour mais aussi de souffrance et de colère.

On apprend beaucoup, non seulement sur eux mais sur la géo politique européenne de la deuxième moitié du XIXième siècle. Qui plus est, la plume de Jean des Cars se lit facilement et avec plaisir.

Je n'ai juste pas aimé certaines notes de l'auteur du style "j'ai pu voir ça..." ou lisez mon autre livre pour en savoir plus sur la mort de Rodolphe l'archiduc héritier - même s'il faut avouer que j'ai bien envie de le lire ;)

Dernier aspect très appréciable : beaucoup de reproductions de photos et gravures dans ce livre, qui en font un beau livre que je garderai précieusement
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La véritable histoire des châteaux de la Loire

L’auteur a sélectionné dix châteaux qu’on dit être ceux les plus visités. Personnellement j’en ai sélectionné six.





Angers :

La forteresse est tombée aux mains des huguenots en 1562. Les guerres de religion n’épargnent pas Angers où réside une importante communauté calviniste. Louis XI fait élever des fortifications. Cela n’empêche la vieille citadelle d’être à nouveau prise, sans violence en 1585 par quinze protestants.



Henri IV met fin aux troubles fomentés par la ligue. Il promet l’un de ses fils illégitimes à Françoise de Lorraine, fille du duc de Mercœur, ultime espoir des catholiques. Le 5 avril 1598, le contrat de mariage est signé entre les époux, âgés de trois et six ans ! Huit jours plus tard, l’édit de Nantes entre en vigueur, la liberté de culte est accordée aux protestants.





Chinon :

Au début du XV e siècle le roi de France et celui d’Angleterre se disputaient le château. Charles VI de la dynastie des Valois subit l’humiliation de ne pas être souverain à Paris. Charles VII s’est proclamé roi de France, Il n’a pas été sacré car l’ennemi bloquait les routes conduisant à Reims. Sa position est fragile car il n’est reconnu monarque qu’au sud de la Loire. En 1428, les anglais assiègent Orléans. Charles VII s’est replié à Chinon. Le 9 mars 1429, à Chinon, six hommes d’armes et une jeune fille de 18 ans se présentent à l’entrée de la salle des gardes et demande à être reçu par le roi. La jeune fille déterminée exige d’être reçue par le roi. Le roi s’était dissimulé parmi les gens espérant resté incognito vis-à-vis de la jeune fille, mais Jeanne le reconnu. Elle s’adresse au dauphin puisque le roi n’a pas été sacré : « Gentil Dauphin, J’ai nom Jeanne la Pucelle, le roi des cieux vous mande par moi que vous serez sacré et couronné en la ville de Reims er vous serez lieutenant du Roi des Cieux qui est Roi de France. A cette suite Jeanne est envoyée à Poitiers où elle doit subir trois semaines d’interrogatoire. Au final, elle est reconnue comme fiable. Lavée de tout soupçon, Jeanne est choisie par le Ciel pour bouter les anglais hors de France Armée, suivit de sa troupe, elle conquiert Orléans, Troyes, Chalons.



Le 12 juillet 1429, un mois après avoir défait une armée anglaise,Jeanne conduit le dauphin à Reims où il est enfin sacré.





Amboise :

François Ier se trouve à Amboise lorsque dans le nuit du 17 au 18 octobre 1534, survient l’affaire dites « des Placards ». Sur la porte de la chambre royale on découvre un violent pamphlet contre « les horribles grands et insupportables abus de la messe papale ». Indigné François Ier prend des mesures de répression. La querelle religieuse va s’envenimer à partir d’Amboise.





Blois :

Le duc de Guise veut obtenir la déchéance du roi Henri III ou du moins sa totale soumission. Le roi considère qu’il s’agit là d’un insupportable affront à son autorité, une atteinte à la structure politique du pays. Le roi ne voit plus que l’assassinat pour se débarrasser de son rival et cousin. Le duc de guise se trouve dans la salle du conseil. Le secrétaire d’Henri III le prévient que le roi l’attend dans le cabinet vieux. Guise doit passer dans la chambre du roi pour s’y rendre. Il ouvre la porte et aperçoit des hommes qui l’attendent épée à la main. Il veut reculer pour battre retraite. Ceux de la chambre se jette sur lui et le tue.



Catherine de Médicis, malade, ne survit pas longtemps à la tragédie et meurt douze jours plus tard à Blois.

Entre janvier et février 1589, la violence physique du crime, religieux, politique et familial, déchaîne la colère des catholiques En représailles, « le roi sacrilège » est assassiné le 1 août. Blois devient le symbole d’un affront impardonnable à Dieu, à l’Etat et à la justice. Un voile de deuil couvre son ancien prestige.





Chambord :

Le 15 décembre 1539, Chambord est en émoi ; François I er y reçoit son éternel adversaire, l’empereur Charles Quint, qui traverse la France avec la permission, toute chevaleresque, de son rival. Veuf de la reine Claude, le roi de France a épousé, neuf ans plus tôt, la sœur de son hôte ; Eléonore de Habsbourg. D’ennemis, les deux hommes sont devenus beaux-frères, ce qui ne les empêche pas de continuer à mesurer leurs puissances.





Chenonceau :

Henri II succède à François I er. Henri II, âgé de vingt-huit ans est fort, robuste, beau cavalier, aimant la chasse et les tournois, trouvant, sans doute, plus de plaisir dans les exercices physiques que dans la politique.



Diane de Poitiers est la maitresse d’Henri II. Elle a 20 ans de plus que lui. Elle est d’une beauté glacée et d’une rare élégance, de longues jambes, incarne la perfection racée d’une Diane de la renaissance.

Diane la maitresse du roi, est en charge du destin de Chenonceau. Humilié par la liaison, partout affichée, du roi, Catherine attend son heure, souvent silencieuse et contrainte.

C’est diane de Poitiers qui insuffle au château son aspect extérieur définitif, tel que nous le connaissons, tout en gérant son domaine en habile femme d’affaires. Elle y séjourne souvent. En 1551, elle crée, sur la rive droite du Cher et en amont, un jardin et un verger, entourés de profonds fossés. Ils sont les plus innovants et spectaculaires de l’époque : plantés d’une multitude d’espèces, ils mettent en valeur le dessein géométrique des parterres et allées où sont disposées des fontaines. Cent cinquante mûriers blancs sont plantés pour l’élevage du vers à soie.



Il y a une vingtaine d’années, j’ai eu beaucoup de plaisir à visiter Villandry et Chenonceau. Tous ce qui avait été dit au sujet de Diane de Poitiers m’est resté en mémoire. Cette bâtisse avec deux longues galeries qui reposent sur des arches implantée dans le cours d’eau « Cher » est d’une fulgurante beauté. Villandry pour ses jardins m’a également laissé bon souvenir.



J’espère susciter des envies de tourisme lorsque cela sera possible !

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Le sceptre et le sang

Passionnant, bien raconté et surtout un autre point de vue sur l histoire de l Europe. J ai adoré et recommande l ouvrage à tout passionné d histoire.
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Dictionnaire amoureux des monarchies

On connaît ces ouvrages des « dictionnaires amoureux ». Le format est intéressant puisqu’il permet de parcourir un thème, ici la monarchie, au gré du guide qui a rédigé l’ouvrage et nous promène d’une lettre à l’autre, d’un lieu à l’autre, d’un personnage à l’autre.

La subjectivité est évidente mais assumée : « La vie politique est plus simple que dans une république, puisque si le gouvernement et le Parlement changent de composition et d’orientation selon l’humeur de l’électorat »

On a de plus une évidente tentative d’ancrer cette vision dans une modernité revendiquée par la société sur des thèmes porteurs : « Ces nouvelles générations seront également accompagnées d’une importante féminisation ».

Sur le fond, c’est très documenté, d’une belle richesse historiographique.

En plus, c’est bien écrit, ce qui ne gâche rien. Cela m’a donné l’envie de proposer un petit quizz sans prétentions...

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Petit dictionnaire amoureux des trains

Pour certains ça commence dans l’enfance , avec les trains jouets (le mien fut confisqué par mon père à son usage personnel) , d’autres y logent leurs fantasmes érotiques et d’autres dont je suis apprécient le train parce qu’on peut y lire et que l’insomniaque que je suis y dormait merveilleusement ! Les ferrovipathes trouveront sûrement dans ce livre un substitut à leur passion .
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Sissi, impératrice d'Autriche

Jean des Cars est un maître dans le récit de la vie des grands personnages historiques.

Elisabeth d'Autriche est fascinante, complexe et beaucoup moins lisse que les films d'Ernst Marischka le laissaient paraître.

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Sissi, impératrice d'Autriche

Une fois n'est pas coutume, une petite incursion dans la non-fiction à l'occasion d'un voyage en Autriche. Ce livre raconte en détails l'histoire d'Elisabeth en Bavière, immortalisée par le cinéma sous son surnom de Sissi, mariée jeune à l'empereur d'Autriche François-Joseph et qui dut lutter toute sa vie contre le protocole rigide de la cour autrichienne, mais aussi contre ses propres démons, aux premiers rangs desquels l'anorexie et la dépression. La vie de Sissi est aussi mise en regard de celle de son cousin favori Louis II de Bavière, le "roi fou" qui s'enfermait dans ses châteaux de contes de fées, et dont Sissi craignait d'avoir la même maladie. Les nombreux drames de sa vie nous replongent dans une époque très romantisée où l'Autriche était encore un empire ; la dernière impératrice Zita de Bourbon-Parme y fait même des révélations.
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Elizabeth II : La Reine

Ce n'est pas vraiment une biographie historique de la reine Elisabeth II car, même si les événements nationaux du Royaume Uni et du monde sont énumérés, c'est plutôt une narration très people de style Paris-Match ou pire, surtout à partir des années 80.



Le texte est aéré, rendant la lecture très aisée bien sûr, agrémenté de très nombreuses photographies légendées assez intéressantes, mais les chapitres et leurs sous-chapitres, ne vont pas au fond de l'exploration historique.



A mesure que j'avançais dans la lecture, l'impression de lire vraiment les tabloïds britanniques a très vite pris la place du livre d'histoire attendu. L'auteur s'en tient à énumérer toutes les relations de la reine au fil de son règne, politiques, nationales et internationales, sportives, religieuses et surtout familiales avec force détails sur toutes ses tenues vestimentaires et celles de la famille royale ou de ses invités.



Les rares analyses des faits et des actes d'Elisabeth ne sont jamais approfondies et l'auteur n'apporte aucune patte personnelle dans sa narration.



Il commet même quelques erreurs, par exemple en mentionnant la présence de Pierre Mauroy, Premier Ministre, lors de l'inauguration du tunnel sous la Manche, alors que cette époque était celle de la cohabitation avec Balladur.



L'auteur n'hésite pas à se répéter, notamment sur le fait que la reine n'exprime pas ses émotions, sur les règles protocolaires des réceptions, voyages, discours, relations avec les différents locataires du 10 Downing Street, le lecteur n'oubliera pas les détails mais pour l'essence du règne d'Elisabeth, je crois qu'il restera sur sa faim...
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Louis II de Bavière ou le roi foudroyé

L'ouvrage historique permet de bien cerner la personnalité du roi de Bavière. Le style un peu grandiloquent et les envolées associées à des pages plutôt longues sur Sissi et surtout Wagner alourdissent un peu le récit. (simple opinion)
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Louis II de Bavière ou le roi foudroyé

Un roi de légende, un destin singulier. Ma réserve sur cette biographie historique : l’amitié avec Richard Wagner occupe trop d’espace. Une multitude d’extraits de leur correspondance, des extraits ô combien indigestes, fourmillant de superlatifs et de déclarations dithyrambiques. Est-ce que la traduction de cette correspondance est en cause (je veux dire les sources) ? Commentaire de l’auteur : l’esprit de l’époque privilégiait ce ton lyrique.



Saisissant, le parallèle entre le grand père, le roi Louis I et son petit enfant Louis II : l’ainé a succombé aux charmes de la danseuse Lola Montez - cela lui a valu les foudres des ministres et du peuple, il a dû abdiquer. Quarante ans plus tard, Louis II s’est vu écarté du pouvoir et emprisonné en raison de sa folie de bâtisseur (il dilapidait le trésor de l’Etat). Sur Wikipedia une hypothèse : cette posture de maître d’ouvrage était une sorte d’addiction.



Parmi les illustrations on découvre une succession de portraits du roi au fil des ans - l’évolution est … dramatique.

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La saga des Reines

Fantastique
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La saga des Habsbourg

Les Habsbourg forment une dynastie méconnue, dont côté français on n'a tendance à ne retenir que les oppositions avec les rois de France. Charles Quint, à la tête d'un Empire où le soleil ne se couchait jamais, personnifie plus que tous les autres cette grande famille.



Cette biographie de Jean des Cars retrace méthodiquement l'histoire

des différents membres de cette dynastie depuis son origine en Suisse (en Argovie) jusqu'à la chute de Charles Ier, dernier empereur d'Autriche-Hongrie.

Les chapitres consacrés à l'ascension au moyen-âge des Habsbourg ne sont pas les plus réussis du livre. Les sources sont sans doute limitées, et les explications restent complexes. Difficile en effet de suivre une généalogie, qui fait de simples seigneurs en Suisse Alémanique, en Alsace et dans le Bade au onzième siècle, des ducs d'Autriche suite à succession âprement disputée, puis en 1273 pour la première fois des Empereurs du Saint-Empire. L'Empire était alors électif. Les Habsbourg ont pourtant constamment été Empereurs du Saint-Empire de 1452 à 1740 (avec l'arrivée au pouvoir de Marie-Thérèse d'Autriche, c'est son mari François de Lorraine qui devint Empereur). L'élection la plus disputée – et celle qui a donné lieu aux versements financiers aux électeurs les plus considérables – reste celle qui opposa Charles Quint à son concurrent malheureux François Ier.



Une suite de mariages et de successions récupérées a conduit à faire des Habsbourg des princes « bourguignons », ayant développé leur domaine du Benelux actuel à l'Autriche en passant par de multiples possessions éparses. Charles Quint est le bénéficiaire de cette politique matrimoniale, portée à son maximum avec l'héritage du royaume d'Espagne. Voilà un prince de culture franco-bourguignonne, élevé dans les Pays-Bas de l'époque, détenteurs de couronnes, de principautés et de duchés en Europe Centrale, qui se retrouve à gouverner la grande puissance de l'époque, l'Espagne, dont les navires ramènent des richesses d'Amérique. Un Charles Quint qui finira espagnol et catholique intransigeant, à une époque qui a vu se développer la Réforme dans le Saint-Empire.



La très longue partie du livre consacrée à Charles Quint constitue à elle seule une biographie de premier plan.



Jean des Cars est un peu plus difficile à suivre avec ses successeurs. A chaque chapitre, il doit alterner entre d'un côté les héritiers espagnols, lignée de plus en plus dégénérée suite à des mariages consanguins, et de l'autre la branche autrichienne issue de Ferdinand Ier.



La branche espagnole disparaît sans héritier, l'héritage étant confié aux Bourbons. En acceptant la couronne d'Espagne pour son petit-fils Philippe, Louis XIV déclenche une guerre inévitable avec les Habsbourg d'Autriche, soutenus par toute l'Europe. A la relecture des faits et des alliances, il est étonnant que les Bourbons aient fini par s'imposer (durablement !) en Espagne. Les développements de l'auteur sur cette période sont limpides et montrent à quel point Louis XIV a été placé devant une alternative bien plus difficile qu'il n'y paraît.



La branche autrichienne, un tant menacée par l'avancée ottomane jusqu'aux portes de Vienne, a elle prospéré, cumulant les couronnes : Bohème, Hongrie, …. et contrôlant fort longtemps le nord de l'Italie.

La transmission de cet ensemble disparate aurait pu s'interrompre avec Charles VI, faute d'héritier mâle, mais celui-ci avait pris la précaution d'autoriser une succession féminine, en édictant dés le début de son règne, et alors qu'il n'avait alors pas encore d'enfants, la Pragmatique Sanction.

Marie-Thérèse en bénéficia, continua une politique de mariages princiers, dont celui de sa fille Marie-Antoinette avec Louis XVI. De manière générale, à la lecture de Jean des Cars, il faut relativiser le bilan de Marie-Thérèse, fort contestée au début de son règne par Frédéric II de Prusse, qui l'a dépouillée d'une partie de son héritage.



Les chapitres sur la politique des Habsbourg face à la Révolution française, et à cet usurpateur que fut pour eux Napoléon Ier, sont passionnants. Des souverains établis de longue date se retrouvent à lutter contre des idées nouvelles, dont ils perçoivent alors le danger, et contre un stratège brillant qui les a laminé, jusqu'au revirement final, dû en grande partie à la politique de Metternich. Le sort du duc de Reichstadt, fils de Napoléon et de Marie-Louise, fille de l'empereur d'Autriche, était scellé.



La partie sur l'accession au pouvoir de François-Joseph en 1848, dans une tourmente nationaliste émanant des diverses possessions Habsbourg qui veulent toutes leur indépendance, est longuement exposée. Avec lui, même si il fut un bourreau de travail, les possessions Habsbourg vont se réduire au noyau central austro-hongrois. Curieux comment cet empereur au long règne, et son épouse Elisabeth (« Sissi »), ont connu une telle notoriété, alors que sur le plan politique et des idées cette période fut un déclin progressif. Sans doute que le dix-neuvième siècle romantique ne pouvait que se complaire des malheurs de la maison d'Autriche.



Ce livre, parce qu'il est on ne peut plus complet, s'avère inégal dans l'intérêt qu'il suscite. Les points forts sont incontestablement la partie sur Charles Quint, celles sur les guerres napoléoniennes et le rôle de Metternich, et les décennies de règne de François-Joseph. L'écriture est dense et sans temps mort, ce qui nécessite une lecture attentive. Difficile de faire plus exhaustif.

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François-Joseph et Sissi : Le Devoir et la Rébe..

Un livre remarquable qui se lit très facilement. Il est précis et les portraits de ces deux époux quasi mythiques, très bien servi par le cinéma nous montrent une face plus sombre. Il y a l'idylle, bien sûr car ces deux-là s'aimaient, mais aussi et surtout l'étiquette tellement rigide de la cour d'Autriche et puis la fameuse tante Sophie qui alourdissent le quotidien.

Tout est très bien décrit: les caprices de Sissi, les manquements de François-Joseph, la dure réalité politique ainsi que les difficultés familiales.

C'est un livre qui nous plonge au coeur de cette Europe du 19e siècle. Nous assistons à la fin d'un monde alors qu'un nouveau se dessine.
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La saga des Habsbourg

Génial ! A dévorer !
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Elizabeth II : La Reine

Lire une biographie comme livre de vacances peut paraître un peu étrange mais je vous assure un peu de culture, ça fait du bien. "Le savoir, c'est le pouvoir", non ?

Après la première guerre mondiale, voici venu un temps plus contemporain, la vie d'Elizabeth II. Je suis la série The Crown et l'actualité anglaise depuis quelques temps déjà et j'adore ! J'ai d'ailleurs eu l'occasion d'aller à Londres en février et de passer devant Buckingham Palace.

Je connaissais les grandes lignes de sa vie avant de lire sa biographie donc ce ne fut pas une révélation mais cette biographie permet de remettre dans l'ordre l'ensemble et de placer les choses de manière assez précise. J'aurais aimé en savoir davantage mais je pense que je vais continuer grâce à la bibliographie fournie avec le livre.

Le style de Jean Des Cars est vraiment plaisant à suivre, j'ai dévoré les presque 500 pages de l'ouvrage en moins d'un week-end. De plus, chaque chapitre est illustré d'une ou deux photographies parfaitement bien choisies.

J'ai trouvé que Jean Des Cars avait réussi à trouver le bon ton pour concilier à la fois une histoire brute et de petites piques par-ci par-là.

Les dernières pages sont assez récentes et permettent à ce livre de donner une vision claire de la monarchie anglaise à un moment T.

Le livre-objet en lui-même est, de plus, de très bonne qualité et a un super design !



Résumé : Je recommande à tous ceux qui veulent apprendre à mieux connaître la monarchie britannique et Elizabeth II surtout. Un livre complet et concis sur chaque événement.
Lien : http://les-livres-de-zelie.b..
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La saga des Windsor

Très bon livre historique. Retrace bien la dynastie d'Angleterre. La période concernant l'abdication d'Édouard VIII est très enrichissante et nous apprend comment il a été influencé par Wallis Simpson et comment il a été accusé d'espionnage pendant la seconde guerre mondiale pour le compte des allemands.
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La saga des Reines

Livre historique qui nous replonge dans nos souvenirs de cours d'histoire. Certaines reines étaient pour ma part inconnues comme la reine Zita, qui a succédé à Sissi. Certaines ont contribué à l'histoire de l'Europe. Très beau livre et très enrichissant.
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Sissi, impératrice d'Autriche

La vie de l'impératrice d'Autriche, merveilleuse et tragique à la fois, parfaitement racontée par l'auteur qui réussit à nous faire aimer l'Histoire.
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La saga des Favorites

Un livre passionnant, très bien écrit et qui permet d'en apprendre plus sur l'Histoire et ceux qui l'on fait. J'ai ainsi peu découvrir avec beaucoup de plaisir des favorites que je ne connaissais pas du tout.
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Le Hameau de la Reine : Le monde rêvé de Mari..

Ce beau livre au grammage luxueux et agrémenté de nombreuses illustrations relate l'histoire du Hameau de la Reine à Versailles. D'une lecture intéressante et agréable, il permet de découvrir les dessous de ce lieu, de façon très complémentaire à une visite sur place, ainsi que les personnages qui ont contribué à son édification ou qui y ont séjourné. La sortie de ce livre en 2018 coïncidait avec la réouverture au public du Hameau après restauration. Il m'a donné envie d'y retourner.


Lien : https://leslecturesdecanneti..
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