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Critiques de Jeanne Bourin (290)
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Les Pérégrines

Avril 1097 - la première croisade vers Jérusalem est lancée. C'est du point de vue des simples croyants et non des soldats que Jeanne Bourin nous la fait découvrir.

Garin était parcheminier et c'est avec sa mère et ses trois filles qu'il est parti de Chartres pour reprendre l'accès aux lieux saints occupés par les musulmans.

Ils sont au début du roman à Brindisi en Italie, attendant que la mer soit favorable à leur traversée. On n'en sait pas plus sur leurs motivations premières ou comment se forme cette idée folle de traverser le monde à cette époque où le village distant de 10 km semblait déjà étranger.

C'est une aventure résolument féminine que l'on suit à travers la mère Berthe la Hardie, vaillante aïeule de la famille (en gros elle devait avoir une cinquante d'années!), et les trois filles aux tempéraments très différents : Brunissen, Flaminia et Alaïs.

Ce fut une lecture assez agréable en fait, assez réaliste avec de grands emportements (ou aveuglements) religieux, un mouvement ininterrompu vers l'avant en dépit de l'adversité.
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Les Pérégrines

Au 11ème siècle, une pieuse famille comptant trois filles part pour la Croisade à l'appel du pape Urbain II.

Partie 1 : traversée de l'Adriatique en bateau.

Partie 2 : arrêt à Constantinople.

Partie 3 : la Palestine.

J'ai failli abandonner dès la page 3 : "Elle était casquée d'un blond ardent où l'or s'ensoleillait."

J'ai tenu bon. Même après "Un instinct viscéral, sans merci, lui laissa deviner que, de l'adolescente qui venait de s'abîmer dans les eaux violentes de l'amour, une femme était née."

J'ai détesté l'écriture ampoulée de Jeanne Bourin. Bon : la dame est historienne, elle sait de quoi elle parle quand elle parle d'Histoire - encore que certains détails semblent trop beaux pour être vrais.

Mais elle écrit avec les pieds. J'ai sauté des passages entiers, ce que je ne fais vraiment jamais d'habitude, tant ses personnages sont peu crédibles, ses descriptions interminables et son parti pris (Oh, comme les Sarrasins sont cruels) affligeant.

Challenge solidaire
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Le grand feu

Un bon pavé qui se lit facilement

Beaucoup de rebondissements ponctuent ce récit

J avais lu ce livre disons il y a fort fort longtemps ce fût un plaisir et je ne suis pas déçue

Si j ai l occasion je vais continuer à relire cet auteur

J ai voyage dans le temps le Moyen Age j ai découvert le monde des maîtres verriers des constructions des cathédrales des courtisanes des vassaux des familles nombreuses et du peu de considération des hommes pour les femmes et des jalousies

On se battait pour sauver son honneur et il y avait une grande foi en Dieu.

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Le grand feu

J'ai adoré il y a très longtemps et je le relis avec plaisir de temps en temps. Isambour et son normand de mari. C'est du Jeanne Bourrin en grande forme ! Le moyen-âge en toile de fond (toujours extrêmement fondé et intéressant) pour l'histoire d'une passion dévorante comme le grand feu depuis leur première rencontre jusqu'à la fin de leur vie avec des envolées et des déchirements.
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Les Pérégrines

Les femmes et la première croisade

Très riche en descriptions, nous vivons la première croisade avec 3 dames en provenance de Chartres et parties comme tant d'autres personnes "délivrer" Jérusalem des Musulmans. Leur voyage passe par Byzance qui est brillamment dépeinte. La mort, la joie, l'amour, l'horreur croisent leur chemin, mais elles arrivent à leur but.
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La chambre des dames

Cela faisait longtemps que ce roman trainait dans ma biblio, sans jamais l'avoir lu, je me suis enfin décidé et c'est sans regret, j'ai beaucoup aimé cette lecture.

La famille Brunel est très attachante, les amours compliqués de chacun et surtout de Florie sont agréable à lire, c'est une belle romance historique.
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Les Pérégrines

« Les Pérégrines » nous fait partager l'épopée de la Première Croisade à travers la destinée de trois soeurs, venues de Chartres et filles de parcheminier : Brunissen la douce, Flaminia la belle et Alaïs la fougueuse. C'est en effet sous un regard féminin que l'aventure chrétienne des pèlerins en Terre Sainte nous est contée. de 1097, date de leur embarcation en Italie, jusqu'au début de l'année 1101, un peu plus d'un an après la prise de Jérusalem, nous suivons les aventures épiques, historiques et sentimentales des trois jeunes femmes, guidées par leur foi et leur volonté. Découverte des splendeurs orientales à Constantinople, dangers de contrées inconnues et inhospitalières, endurance de la faim, de la violence et de la maladie, confrontation avec la mort, l'histoire des chartraines s'inscrit dans celle des croisés d'Orient.



Personnages attachants, aventure et romance, Jeanne Bourin sait toujours mêler Histoire et fiction de façon à nous rendre le récit passionnant et instructif. Une bonne façon de nous faire découvrir l'histoire de la Première Croisade de manière attractive, en nous faisant partager la vie quotidienne des pèlerins, des hommes et des femmes venus de tous les horizons.

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Le grand feu

Je ne suis pas friande des histoires d'amour, mais j'adore les romans qui ont pour théâtre le Moyen Âge.



Alors pour le défi solidaire j'ai choisi cette histoire de Jeanne Bourin, et j'ai aimé.



Le récit sur la vie quotidienne de nos ancêtres est magnifiquement relaté, tant pour les décors, les métiers, comment étaient organisées les maisons, ce qu'ils mangeaient, les relations sociales, le tout imprégné de religion. De ce point de vue là, ce livre est vraiment réussit.



C'est aussi un florilège de prénoms anciens ! Mais pour ce qui est de la cause des femmes, elles avaient les mêmes emmerdes que nous, avec tellement moins de possibilités...



J'ai passé un agréable moment de lecture aux côtés d'Isambour et de Bernold.
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La chambre des dames

De la culture avant toute chose...

Bien que d'autres écrivent, ils n'ont pas ce niveau. Ah ! L'histoire : une discipline si riche et si tortueuse. Il faut s'accrocher pr tenter d'en percer les secrets.



Autrement, le choix de l'auteure nous transpose au XIII siècle c'est-à-dire une période très méconnue de nos contemporains (pas comme le XVI, le XIX par ex). Même en tant qu'historienne, ce n'est donc pas la facilité qu'elle a choisie tout comme le fit Victor Hugo avec Notre dame de Paris au XIXè. Ceci dit, là, on est loin de l'atmosphère gothique de ce chef d'oeuvre romantique. Au contraire, on plonge dans une ambiance sobre, dans un cadre que l'on pourrait qualifier de classique. Exit, les grandes tragédies, les rues enfiévrées sous la houlette du pape des fous, la plongée dans les égouts auprès des gueux et des va-nu-pieds dont le sort est la damnation. Même la fête n'a pas une teinte aussi grotesque et glauque que celle de Hugo : plus fleurie, empreinte de gaieté et de charme. Non, là, on entre de plein-pied dans l'univers d'une famille bourgeoise dont le père est artisan-commerçant, l'épouse, dévouée, quand les enfants sont nombreux. C'est si crédible comme tableau de famille que ça paraît être réaliste même si l'auteure a composé sans nommer ses sources. On connaissait les sagas familiales de Maurice-Druon ou Max-Gallo mais là, on découvre un auteur féminin.



Autrement pour ce qui est des personnages principaux : qd les hommes écrivent, ce sont des héros et là, comme c'est une femme, ce sont des héroïnes. 2 qui dominent tout le récit dont l'une est mère, Mathilde, et l'autre, une des filles, Florie. La 1ère représente presque la mère chrétienne idéale pour se dévouer à ses proches, son époux lorsqu'il est malade, ses filles, Florie et Clarence pour qui elle porte plainte auprès du roi mais la famille est si grande qu'en dépit de sa bonne volonté, elle ne parvient pas à tous les intégrer dans sa sphère de considération morale. On voit aussi que la piété tient une grande place dans sa vie. Il en est de même pour sa fille qui partage cette dernière passion à la différence près que Florie n'est pas du tout l'image de la mère chrétienne idéale en devenant une femme plus sulfureuse et indépendante. Pourtant, elle a paradoxalement un côté martyre pour être harcelée par des hommes : Artus le noir l'agresse dans sa jeunesse, son époux la quitte et le chanoine la sermonne, lui fait faire pénitence sans qu'aucun ne remarque son dévouement à la cause des orphelins. Or, malheureusement, au vu des critiques des babelionautes, je crois qu'ils n'ont pas vu comme moi ces portraits de femme : bien plus dépréciatifs.



Enfin, je terminerai en disant que ce sujet est vraiment féminin tout comme son traitement. Pas de récit de bataille, de guerre à l'horizon alors qu'on est en pleine époque des croisades et de la guerre anglo-normande. Or, il est à noter que l'auteure laisse entendre que les hommes partaient plus à la guerre pour fuir leur vie conjugale plutôt que de chercher à servir Dieu ou le roi. Sous la plume de Jeanne, il y a vraiment peu d'action et quand elle a lieu, la scène est bâclée comme si l'auteure peinait réellement à la décrire. A l'inverse, elle se penche davantage sur l'introspection au point même d'évoquer les prières, un sujet que les auteurs n'évoquent jamais quand les dialogues, eux sont nombreux et soutenus avec un style trop châtié : j'ai du mal à croire qu'ils s'exprimaient comme cela même s'il s'agit de la bourgeoisie, la classe la plus élevée du peuple. Qui plus est, on découvre d'autres us et coutumes du Moyen-âge en rapport avec la femme : le rite de mai, les noces, la toilette qui, eux, sont assez bien décrits ou encore les processions de saint. Un bémol toutefois pr le rite de mai : elle n'explique pas le message des branches d'arbre qui st donnés des hommes aux femmes. C'est pourquoi, la mystique est traitée de façon superficielle ou conventionnelle mais c'est fidèle, selon moi, aux pratiques du Moyen-âge.



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La Dame de Beauté

Jeanne Bourin, l'auteur de La Chambre des dames, sait raconter comme personne ces amours qui sont aussi de l'Histoire.

1443 Agnès a vingt et un ans lorsqu'elle rencontre à Toulouse Charles VII de 20 ans son ainé. Elle devient la favorite du roi de France, à qui elle donne trois filles qui seront légitimées comme princesses de France et mariées à des grands seigneurs de la cour. Elle meurt avant l'âge de vingt-huit ans. Un destin hors du commun magnifiquement bien raconté.

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La Dame de Beauté

le Moyen âge nous parait soudain dans toute sa modernité sous la plume alerte et élégante de Jeanne Bourin.

Agnès Sorel est un personnage de notre histoire française, qui n'a finalement pas eu le loisir de vivre bien longtemps. le peu de son existence flamboyante nous est ici livré.

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La chambre des dames

Je me souviens que ce roman avait déclenché l'enthousiasme lors de sa parution en 1979, notamment celui de Bernard Pivot, tant il rompait avec l'image convenue d'un moyen-âge obscurantiste et misogyne. Une relecture faite il y a quelques mois m'a prouvé qu'il avait fort bien vieilli.

Jeanne Bourin nous y narre l'histoire de la famille Brunel, en particulier de Mathilde, âgée d'une trentaine d'années, à la tête avec son époux d'un atelier d'orfèvrerie et de sa fille Florie, quinze ans, qui devient la femme d'un délicat et sensible jeune homme, troubadour comme elle. L'irruption dans cette famille d'un fougueux et sensuel pelletier y sème le trouble. D'autre part, des événements dramatiques auront lieu. L'auteur nous fait pénétrer ces âmes d'un autre temps qui ont parfois du mal à concilier leur foi religieuse, ardente et sincère, avec des appels charnels qui peuvent se révéler exigeants. Leur manière d'envisager la vie, la mort, l'amour, le devoir sont, à mon sens, susceptibles d'apporter à notre société si empreinte de laïcité un éclairage qui donne à réfléchir.La romancière nous restitue aussi la vie quotidienne de la cité parisienne et de la Touraine au temps de Saint-Louis avec ses métiers, son ambiance, ses charmes et ses dangers. Un ouvrage à l'évidence bien documenté, mais sans érudition pesante. L'intrigue est adroitement menée et la langue très agréable.
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La chambre des dames

Une famille d'orfèvres à Paris en plein moyen-âge, leurs vies et surtout leurs amours souvent mouvementées, leurs passions parfois dévastatrices, un peu de leur quotidien



Je me réjouissais de cette autre vision proposée du Moyen Age, moins sombre qu’à l'habitude et vue du côté de la bourgeoisie parisienne. Les excellentes critiques étaient également encourageantes. Malheureusement, je ne suis pas rentré dans cet ouvrage, du tout. Des longueurs, cette façon de se parler qu'ont les personnages, même pour l'époque, non je n'y crois pas vraiment.

Je me suis en revanche très attaché à Florie et son époux !

Surtout, je m'attendais peut être à en apprendre plus sur cette époque qui m'intéresse particulièrement, à m'y retrouver .. Je loue quand même le travail de l'auteur, on apprend quand même des choses, particulièrement du côté de la medecine et des traditions, des rapports hommes/femmes de cette categorie de la population. Les rebondissements arrivent en 2ème partie de livre

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La Dame de Beauté

J'adore !

L'histoire d'Agnès Sorel, l'amour pour Charles VII et le style de Jeanne Bourin.

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La chambre des dames

Agréable lecture, il est vrai, la plume est légère, sans que je parvienne à en faire une lecture qui restera inoubliable. Et une fois n'est pas coutume, cela dépend tellement de ma lecture précédente....

J'ai eu du mal à rentrer dans ce Paris du Moyen âge (j'arrivais des States au 20ème siècle) et c'est une époque sur laquelle je lis peu, mais l'intrigue m'a vite emportée.

Les romances, autres histoires de cœur et rapports complexes avec la religion ne sont pas mes sujets favoris mais contre toute attente j'ai aimé suivre Florie et Mathilde, principalement, sur leurs chemins passionnés, entre convenances, devoirs et libertés.

Une belle leçon, également, sur le pardon.



Je m'attendais à lire un roman mièvre, j'ai été largement détrompée !
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La chambre des dames

Une saga que j'ai lu il y a bien longtemps ! Ma première rencontre avec le moyen-âge .L'auteur vous embarque dans l'histoire de plusieurs familles ; Passions, morts, maladies coup du destin tout y est jusqu'au pardon.

J'ai adoré ! D'ailleurs il va falloir que je le relise.

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La Dame de Beauté

Un roman intéressant, captivant, qui nous enseigne beaucoup. Une oeuvre à lire pour remonter le temps.
Lien : http://araucaria.20six.fr/
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La Dame de Beauté

J'ai eu bien du mal à entrer dans ce roman.

Agnès Sorel est l'héroïne parfaite, à la destinée romanesque, et pourtant cela n'a pas suffit à attiser ma curiosité.

J'ai trouvé que ce roman était trop superficiel, les personnages ne sont pas explorés en profondeur, on ne frôle que leur surface.

On passe d'une scène à une autre sans vraiment s'y intéresser, sans la détailler, juste l'énoncer, il est même parfois difficile de comprendre qui sont les protagonistes et leur rôle au sein de la cour.

Je suis donc déçue car j'espérais être conduite jusqu'à l'intimité de la favorite et mieux comprendre ce pan de l'histoire.
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La chambre des dames

Ce livre, hérité de ma grand-mère, traînait dans ma bibliothèque depuis des années. Sa couverture manquante ne l'aidait probablement pas à le rendre attractif. Je m'y suis finalement mise, dans le cadre du challenge plumes féminines 2022, et grand bien m'en a pris !



J'aime les romans historiques de manière générale, mais je crois que c'est la première fois que je lis l'histoire d'une famille bourgeoise, et non pas d'une princesse, d'un membre de la noblesse ou à l'inverse des paysans sans le sou. Il est intéressant aussi de suivre, non pas les hommes et leur vie tumultueuse, les croisades, les vengeances, mais plutôt la vie des femmes de la famille. Et même si 8 siècles nous séparent, les préoccupations quotidiennes sont les mêmes que les nôtres, avec probablement une importance beaucoup plus grande donnée à la religion.



La plume de Jeanne Bourin est précise et nous donne des descriptions tellement vivantes que l'on s'y croirait. Après quelques romans feel-good et thrillers, c'est un vrai bonheur de retrouver une vraie écriture, avec de la profondeur. La psychologie des personnages, leurs tergiversations, leurs doutes, leurs espérances sont magnifiquement dépeints dans cet ouvrage.



Ce n'est certes pas un page-turner ni un grand suspense, mais un roman captivant que l'on prend plaisir à savourer au fond de son canapé.
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Le grand feu

L'histoire se déroule entre 1088 et 1103 dans les environs de Blois, vallée du Loir.



Bref résumé des 597 pages de l'ouvrage : Deux jeunes normands, Bernold, le verrier et Mayeul, le tailleur d'images en pierre, venus à la suite d'Adèle de Normandie, fille de Guillaume le conquérant, dans le comté de Blois, tombent amoureux de deux jeunes filles qu'ils ont sauvées d'un incendie. Bernold enlève Isambour et l'épouse, Mayeul et Aveline devront attendre plusieurs années avant de convoler.

Pendant dix huit ans, Bernold et Isambour vivront au Grand Feu une vie heureuse d'artisans. Ils auront plusieurs enfants, cinq survivront. Après dix huit ans de mariage Bernold s’éprendra et épousera la fiancée de son fils aîné. Il reviendra au foyer handicapé et en pénitent.



L'intérêt de ce roman n'est pas tant dans l'histoire elle-même mais surtout dans les nombreuses descriptions sur l'époque dont l'autrice enrichit son récit : la nature, les saisons, les cultures, la nourriture,le travail particulièrement celui des artisans et des brodeuses, l'habillement, la famine, les maladies, les croisades, le début des constructions en pierre, le rôle omniprésent de la religion, le rôle des femmes et aussi, grâce à la personnalité d'Adèle de Normandie, le développement de la culture et d'un nouvel art de vivre.



Je n'oublie pas mon premier contact avec l’œuvre de Jeanne Bourin, c'était en 1979 (comme le temps passe !) lors de la parution de son livre "la chambre des Dames" ,un grand succès de librairie.

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