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Critiques de Jeanne Malysa (90)
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La Parisienne et le Highlander, tome 1 : La..

Comment dire!!!

Du mystère, des légendes, de l'érotisme, avec quelques scènes hard qui casse un peu l'histoire. Du dark romance ok ! Perso, j'adore ! Mais là, c'est un peu trop et pas vraiment utile dans cette version. Néanmoins, j'ai aimé me laisser emporter dans l'univers de l'auteur. Beaucoup ont critiqué les fautes et les lourdeurs. Ok, pour certaines longueurs. Quant aux fautes, en tant qu'auteur ne bénéficiant pas de correcteur ou correctrice professionnelle pour mes écrits, je m'abstiendrai de tout commentaire ! lol (voilà où l'intelligence artificielle pourrait venir à notre secours)

Anaïs de Malincourt et ses amis a su, malgré tout, m'entrainer dans son aventure.
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Alice & Fillian, tome 2 : Le stagirite

Après un premier volet palpitant et une fin surprenante, nous découvrons enfin qui se cache derrière ce sombre complot.

Il s'agit du Stagirite, un hacker puissant et dangereux, dont l'unique but est de semer le chaos dans le monde entier en utilisant la manipulation et la propagande.

Seul le réseau MaccOdy dirigé et créé par le brillant Fillian Mac Kelloch pourra déjouer ce plan machiavélique.

Ce pirate informatique est un cruel psychopathe et ne sera pas facile à abattre. Fillian et Alice traverseront malheureusement de nombreuses épreuves, toutefois grâce au soutien de leur famille et amis, mais aussi d'êtres surnaturels, ils feront tout pour anéantir cet ennemi qui n'est pas si inconnu que ça.

L'auteure Jeanne Malysa est une talentueuse conteuse, elle signe un ultime volume passionnant.

C'est mon tome préfèré de la saga et c'est un coup de cœur ❤
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Alice & Fillian, tome 1 : Le hacker & mon l..

Après une première saison passionnante, je suis heureuse de retrouver l'un de mes personnages préférés de la série Thuata : le charmant geek Fillian.

Dernier de la fratrie Mac Kelloch', Fillian est drôle, séduisant et brillant dans son domaine.

Très proche de sa collaboratrice, la talentueuse Alice, il ressent des sentiments forts pour elle, mais un soir il commet une énorme erreur et il perd la femme qu'il aime. Elle disparaît brusquement et ne laisse qu'une lettre à son ancien patron.

Quatre ans plus tard, il n'arrive toujours pas à l'oublier et culpabilise pour ce qu'il lui a fait.

Mais un jour celle-ci refait surface et le contacte afin qu'il l'aide à résoudre une affaire très grave.

L'auteure nous plonge à nouveau dans une intrigue captivante, mêlant mystère, danger et fantastique.

Elle nous tient en haleine jusqu'au tout dernier chapitre, nous offrant un début de saison 2 palpitant 😍😍
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La Parisienne et le Highlander, tome 2 : Le..

Depuis sa rupture avec Anaîs, Iain va très mal. Dévasté, la culpabilité le dévore et il s'en veut de l'avoir rejeté, alors qu'elle était innocente.

Il est prêt à tout pour reconquérir sa belle, mais la tâche ne sera pas facile. Car la menace plane encore et le virus qui est toujours là, risque de détruire le monde si la pierre Stur Rionnag n'est pas retrouvée.

Anais et Iain sont en danger tous les deux, puisqu'ils sont les seuls à pouvoir accomplir cette mission confiée par leurs grands parents.

Entre complots,mystères et amour, le couple plus uni que jamais, fera tout pour y arriver et ainsi sauver l'humanité.

L'auteure Jeanne Malysa signe un second volet passionnant, et nous offre un final magique 😍
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La Parisienne et le Highlander, tome 1 : La..

Anais de Malincourt, une jeune libraire parisienne, vient de perdre son grand père. Seul proche qui lui restait, elle surmonte difficilement cette dure épreuve.

Elle reçoit peu de temps après sa mort, un appel du notaire qui lui révèle que son grand père lui a laissé des dernières consignes. Des lettres et des secrets inavoués depuis des années, un mystère qui la lie à une grande dynastie écossaise.

Au même moment, à Edimbourg, Iain le fils aîné du clan Mac Kelloch retrouve les mêmes consignes que la jeune femme, une mission dont le charge son grand père décédé également.

Les deux jeunes gens devront obéir à leurs aïeuls et se lanceront ensemble dans cette étrange quête, qui est celle de retrouver une pierre d'étoile, appelée Le Stur Rionnag.

Mais le danger les guette car une société secrète recherche elle aussi cette pierre et elle est prête à tout pour y parvenir.

L'auteure Jeanne Malysa nous fait voyager au fil des pages, elle nous transporte dans une merveilleuse histoire, mêlant légende, aventure et romance.

Nous offrant un final surprenant et inattendu...
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Allez, faites vos bagages, je vous embarque en Écosse (mais pas que). Ou plutôt, Jeanne Malysa vous (nous) y embarque, pour trois nouveaux tomes d’une saga de famille calédonienne – celle des McKelloch’ –, saga qui en compte désormais neuf en tout. Pour vous repérer, pas d’inquiétude, vous n’êtes pas obligé.e d’avoir lu les épisodes précédents (bien que rien ne vous empêche de le faire tout de même) – non seulement, dans ce livre, l’on trouve au tout début un récapitulatif des dramatis personae (et il y en a !), mais vous saurez davantage sur tous les personnages, leur passé et les aventures qu’ils ont vécues, au fil de la lecture.



Cette nouvelle trilogie au titre qui évoque une vieille légende germanique (celle des Nibelungen ; pour celles et ceux qui regardent ce nom avec incompréhension, il y a toujours Wikipedia pour les éclaircir – je vous en prie, il n’y a pas de quoi) tourne autour du couple formé par Clyde et Karola. Cette dernière, épouse de Clyde donc, est née et a vécu en Allemagne avant de convoler avec son chéri pianiste. Apparemment, elle n’a parlé que peu de sa famille, et ce pour cause. Et d’un, elle était un accident de parcours très tardif de ses géniteurs, donc mise de côté pendant toute son enfance et adolescence. Et de deux, lesdits géniteurs avaient plus qu’un léger penchant pour le IIIe Reich, faisant partie d’une mouvance nazi-nostalgique, voire plus, et menant en secret des recherches pour retrouver un mythique artéfact germanique. Mais chut !



Bon. Ces « charmantes » personnes se meurent (eh oui, la Faucheuse est impartiale comme ça, elle finit par emporter les meilleurs comme les plus puants), et Karola, leur fille unique, se voit contrainte, bien malgré elle, de se rendre à Berlin pour régler la succession. Et c’est là que tout s’emballe, que l’aventure se met en branle, que la quiétude du début du livre se termine, et on est emballé dans une quête tout juste amorcée dans ce tome, mais que je devine presqu’Indiana-Jonesesque par la suite.



Je préviens tout de suite, si vous êtes cartésien à 200%, que le moindre soupçon de choses inexplicables car surnaturelles vous donne de l’urticaire, que tout doit être sciences exactes, physique, chimie, biologie, faites l’impasse sur cette saga. Si, au contraire, vous êtes comme moi et aimez le genre Fantasy (ou, dans la même veine extra-naturelle, la science-fiction, les histoires de magiciens, etc.), vous pouvez y aller. Car forcément, qui dit artéfact légendaire, dans une intrigue romanesque, dit mystique, fantômes, bibliothèques qui mènent leur propre « vie », chats sauvages étranges, enfants qui causent aux animaux, pianos quasi magiques, j’en passe et des meilleurs. J’ai trouvé ces petits détails avec bonheur (je suis friand de ça) dans ce livre, d’autant plus qu’ils sont utilisés avec parcimonie et intelligence, à doses homéopathiques ; ils ne jouent pas forcément le rôle du deux ex machina(vous savez, ce truc – et ça peut être un objet, un personnage, peu importe – qui apparaît littéralement de nulle part pour sortir l’écrivain.e du pétrin et amène une solution qui eût été autrement plus difficile à trouver sans lui), mais est juste là en strate discrète. On sait que tout n’est pas « normal », dans l’univers de Thuata, mais on s’y habitue sans problème, on se surprend même à se dire que ce serait chouette d’avoir ça dans sa vie aussi.



En voyant ma note de 3,5 étoiles, vous vous doutez peut-être que tout n’a pas été à mon goût. Je vais vous dire ce qu’il en est. Passons sur les virgules manquantes (notamment dans les subordonnées relatives explicatives, qui en exigent une) ; je sais que je fais quelque peu une fixette sur elles (si, si, et j’assume). Tout d’abord, j’ai trouvé le démarrage très (trop ?) poussif. La première rentrée de classe de la petite Aislinn, la fille de Clyde et Karola, est une scène mignonne, mais elle occupe au bas mot 15% du livre. Bien sûr, ces 15% ne sont pas uniquement employés à conter cet épisode, mais aussi à donner des clés pour comprendre l’endroit (Thuata) et les personnages. Mais pour moi, il y avait trop d’explications dans le mode raconté, et pas assez de choses montrées. Vous qui me connaissez savez que j’aime faire ce distinguo pour les œuvres de fiction. Exemple : quand on raconte, on annonce qu’il fait chaud et qu’on est lundi matin. Quand on montre, on décrit les perles de sueur sur le corps du personnage au réveil, le reflet des premiers rayons de soleil sur sa peau nue et le chant des oiseaux entrant par la fenêtre ouverte. Puis, pendant que le personnage s’étire, il a une pensée amusée pour un truc que quelqu’un a dit la veille lors du pique-nique dominical en famille. Vous voyez – on a les mêmes infos dans les deux cas de figure (il fait chaud, on est lundi matin), sauf que dans le deuxième, non seulement on le sait, mais on le voit, on le vit, on y est.



Hélas, ce trait continue tout au long de ce livre. Beaucoup, beaucoup d’explications, et beaucoup, beaucoup de détails. Trop, à mon goût. Parfois, moins égale plus. Je sais, il y a vraiment beaucoup de personnages; c’est donc sympa, voire indispensable, de savoir qui est qui. Il y a cependant manière et manière de tisser cette toile de fond, de fournir ces bouts d’antécédents, de planter le décor. Des flashbacks, par exemple, sur des scènes qui englobent ce que l’on veut véhiculer comme info. Puis, quand A sourit en entendant une phrase de B, je n’ai pas forcément besoin de savoir quelle pensée a déclenché cette réaction d’A. À trop expliquer, on enlève la part de mystère que peuvent avoir les personnages, on clarifie trop certaines situations, et parfois, la tension et le suspense se perdent en cours de route. Surtout quand le mode narratif choisi est ce que l’on appelle la narration omnisciente, où le lecteur fait l’expérience d’une scène en passant d’un personnage à un autre. Ça donne à l’arrivée beaucoup de passages qui font plus remplissage qu’avancement de l’intrigue ou évolution d’un personnage.



Parlons des personnages, ensuite. Je les ai bien aimés, mais ils viennent tous avec leur paquet d’explications sur leur passé, leur place dans le clan et dans l’intrigue, leurs traits de caractère juste racontés, rarement montrés. En plus, ils sont tous intrinsèquement gentils, aimants, soudés, et du coup, ils ont fini par se ressembler quelque peu (pas les méchants, hein, parce qu’eux, ils ne sont que méchants). Personne n’avait un truc particulier à lui ou elle, je ne sais pas, une lubie, un tic de langage, un trait de caractère distinctif, un défaut, une faiblesse. Seule Aislinn, étant une petite fille, avait droit à un traitement un peu plus poussé (de mignonettes fautes de grammaire). Les autres, j’ai bien peur, restaient trop lisses pour être vrais, presque en deux dimensions.



Ceci étant dit, il y a l’intrigue. Une fois qu’elle démarre pour de vrai, elle démarre. Je ne peux donc pas dire que je me suis ennuyé, malgré certaines longueurs (parfois juste une petite demi-phrase superflue), bien au contraire. Dans l’ensemble, j’ai bien aimé le livre, et j’ai hâte de voir où Jeanne va me mener. Deux autres tomes pour le découvrir. Je vous en parlerai prochainement sur ce site.
Lien : http://livresgay.fr/thuata-l..
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Entrez dans le monde magique de Thuata. Je suis sûr que vous y serez les bienvenus.

Si vous n’êtes pas un dangereux lecteur — auquel cas, vous ne passeriez pas entre les mailles du filet tendu par James, le chef de sécurité —, vous serez reçu dans le corps du château par Lukas, le plus classe des majordomes.

Si Karola a laissé la fenêtre du studio ouverte, peut-être aurez-vous la chance d’entendre, venant de la Tour Lachlain, le dernier concerto sublime écrit et interprété par Clyde Mc Kelloch, le plus grand pianiste du monde.

Une fois admis dans la communauté, vous allez vivre des aventures surprenantes, au fil de chaque page. Et si le livre de Jeanne Malisa ne vous suffit pas, vous pourrez toujours vous rendre dans la bibliothèque la plus étrange que l’on n’ait jamais vue. Surtout ne craignez rien si vous rencontrez des chats-tigres et des aigles blancs. Ce sont des amis de Aislinn, la fille de Clyde et Karola.

Cependant, je me dois de vous prévenir. Si vous mettez les pieds à Thuata, comme tous ceux qui y sont entrés, vous serez tellement subjugués par la vie qui s’y déroule, que vous ne pourrez plus en repartir. J’ai bien peur que vous soyez obligé de lire les tomes 2 et 3 de cette étonnante histoire. C’est d’ailleurs ce que je vais faire.

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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

😊 A la découverte de 😊

Thuata La Valkyrie et le Pianiste Épisode 1 de Jeanne Malysa

Éditions Ex Æquo



Clyde McKelloch’ est le benjamin de la fratrie écossaise, et coule des jours heureux avec sa femme Karola qui gère d’une main de maître sa carrière de pianiste, et leur petite fille.

Karola va retourner dans son pays d’origine, l’Allemagne, suite au décès de ses parents. Elle n’a plus de lien depuis longtemps avec ses géniteurs qui ont toujours fait passer leurs recherches avant leur fille. Mais c’est justement les recherches de ses parents sur une mythique épée qui la met en danger, ainsi que sa famille.



Nous attaquons ce livre qui est une nouvelle série de la saga des McKelloch’. Une famille un peu à part, à qui il arrive des aventures peu ordinaires.

Du coup il faut un peu de temps pour s’acclimater dans cet environnement qui parle d’événements et de personnages fantastiques apparus dans les précédents livres.

Heureusement l’auteure prend le temps de nous présenter son univers et ses personnages pour que l’on comprenne un peu mieux tout ce petit monde.



Ce livre est le premier d’une trilogie. Il met donc en place les personnages et les événements, mais bien évidemment on va rester sur notre faim à la dernière page!

On s’attache à ces personnages et à leurs aventures, même si je pense qu’il me reste encore beaucoup de choses à apprendre sur cette famille, sur Thuata, sur les Aspardiens et encore tous les autres mystères qui constituent cette histoire.



L’intrigue en elle même mêle la culture écossaise, les mythes et les légendes, le passé, les groupes tels que les francs-maçons… Bref de quoi nourrir cette histoire avec un environnement riche et passionnant.



Un premier livre qui fait office de teasing pour cette trilogie. On y découvre les débuts de cette histoire, et on a envie d’en connaître la suite.



📖 Retrouvez le livre par ici https://editions-exaequo.fr/La-Valkyrie-et-le-pianiste-episode-1

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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Voilà une suite de saga qui ne manque pas d’intérêt, surtout si l’on a lu la série précédente (Thuata) qui introduit l’univers, ce qui n’est malheureusement pas mon cas.



Cependant, l’autrice prend le temps de résumer les éléments importants pour que les nouveaux lecteurs ne soient pas trop perdus. J’avoue que l’univers lié aux légendes écossaises est fort intéressant et que l’intrigue a des airs d’Indiana Jones. Ce fut une lecture agréable, mais je pense sincèrement que d’avoir lu la saga princeps apporte un petit plus.



Toutefois, si vous aimez les légendes celtiques et les histoires pleines d’aventures, n’hésitez pas et, surtout, ne vous fiez pas au visuel de couverture qui ne rend pas justice au roman.
Lien : https://www.bit-lit-leblog.c..
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Dans ce livre, nous allons voyager! Entre l'Ecosse, Paris, l'Allemagne j'ai voyagé par procuration et j'ai adoré ça.



On va suivre une famille ecossaise, les McKelloch'. Karola et Clyde, mariés depuis 7 ans et toujours aussi fusionnels, ont une petite fille, Aislinn, qui effectue sa première rentrée à l'école. Tout est parfait jusqu'à ce que Karola reçoive une lettre lui annonçant la mort de ses parents...



J'ai énormément aimé l'amour qui règne tout au long de ce livre entre les personnages. L'amour fraternel, l'Amour avec un grand A, l'amour amical.



L'auteure a su allier dans son livre passion et retournements de situation avec élégance et facilité. L'écriture est prenante et donne envie de se plonger dans le livre pour n'en ressortir qu'une fois terminé.



Mais arrivée à la fin du livre, j'ai été déçue (non, non, pas du livre) de ne pas avoir les deux tomes suivants pour pouvoir connaître le fin mot de l'histoire.

L'auteure nous laisse sur une fin pleine de suspense.



Soyez sûrs que les autres tomes vont venir agrandir ma pile à lire déjà gigantesque dans peu de temps. Je ne peux pas laisser cette famille comme ça, vous comprenez bien ...
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Petit aparté sur la couverture qui ne rend pas du tout justice au roman. Je pense malheureusement beaucoup vont zapper car elle n’attire pas et en la voyant, on ne comprend honnêtement pas de quel genre il s’agit.



De ce que j’ai compris, c’est une saga et du coup je ne connaissais pas tous les personnages. D’un côté, ce n’est pas très important car on a un rappel des faits mais d’un autre côté, en toute honnêteté je n’aime pas prendre en cours. Je pense que je suis passée à côté de l’engouement que j’aurai pu avoir à en découvrir plus sur toute l’histoire. Mais ça, c’est un peu ma faute ^^



On fait donc connaissance d’Aislinn, la fille de Clyde et Karola. Les fils du clan ont tous un don, ce qui a son importance bien entendu. Et dans ce tome, Karola doit s’éloigner de son mari et de sa fille suit à une missive où l’on réclame son aide. Il y a un côté Indiana Jones qui m’avait beaucoup attirée en lisant le résumé, je dois bien l’avouer 🙂



Il y a pas mal d’annotations en bas de page, ce qui nous en apprend beaucoup pour bien comprendre l’intrigue et ses énigmes, sur la musique aussi. L’autrice nous fait voyager en Allemagne, pays de Karola qui doit trouver une fameuse épée. Mais aussi sur les terres du clan et à Paris. J’ai d’ailleurs été un peu perdue par moments avec tous les personnages qu’on croise ci et là.



Même si c’est bien écrit, je n’ai pas eu de coup de coeur pour cette lecture. Mais pour celles.ceux qui sont férus d’histoires de clans dans une ambiance non médiévale, cette saga sera du pur bonheur !!!
Lien : https://lireoudormir.wordpre..
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

J’ai eu l’occasion de découvrir la plume de l’auteure par les micros nouvelles qu’elle nous offre sur les réseaux sociaux.

J’avais très envie de la lire sur des textes plus longs.



J’ai trouvé la couverture très originale, elle correspond parfaitement au récit.



Clyde et Karola McKelloch’ vivent tranquillement avec leur fille à Thuata, entourés par leur famille mais la réception d’une ettre va tout changer…



La puissance de la relation au sein du couple est très forte et m’a touchée.

Ils sont à l’écoute l’un de l’autre. Chacune rêve d’une telle fusion.



La petite Aislinn est une enfant attachante, intrigante et surtout un esprit totalement ouvert. J’ai apprécié sa répartie et sa candeur.

La famille au sens large a une place très importante. Ils sont très unis, se soutiennent quand les difficultés arrivent.



J’ai aimé que la ville de Thuata soit quasiment un personnage en soi.



Si j’ai trouvé les parents de Karola plus que limite ce n’est rien par rapport à l’antagoniste qui est exécrable. Un méchant odieux comme on les aime.



Quand l’histoire bascule, tout se bouscule et à partir de cet instant plus un moment de répit.

Je suis allée de mystères en surprises.

J’ai adoré le virage dans la mythologie et j’ai découvert de nouveaux mythes.

J’ai ressenti un gros travail de recherche au vu de tous les sujets abordés.



L’histoire commence tout en douceur mais une fois l’action enclenchée plus un moment de répit, à en oublier de respirer jusqu’au au juron final car je ne voulais pas que ça s’arrête.



La plume est fluide, l’intrigue est bien ficelée pour une histoire originale et addictive.

J’attends la suite avec impatience.

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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Ce roman fait suite à une autre saga de l'autrice, mais pas de panique, on peut très bien suivre cette nouvelle intrigue sans avoir lu la saga précédente. Je suis dans ce cas et je n'ai absolument pas été perdu.

L'intrigue est assez introductive donc je me suis un peu ennuyé au début du roman. Mais l'autrice nous introduit parfaitement les personnages, le folklore allemand, le domaine de la famille de Mac Kelloch' et qu'est-ce que cette famille est intrigante. Au fil du roman, on en découvre plus sur les personnages principaux : le couple que forme Clyde et Karola et leur fille, Aislynn. Ils sont très attachants. La famille Mac Kelloch' en général déborde d'amour, de générosité, de talents, d'art et de bienveillance. Leur entourage également et certains membres de leur entourage sont aussi intéressant qu'eux. La plume est fluide et agréable. Elle met bien en valeur les personnages, la demeure de la famille et les multiples lieux visité dans la seconde partie du roman.

L'intrigue est certes introductive au début, mais on se lance dans la seconde partie dans une vraie course contre la montre, une course au trésor qui annonce une intrigue plus que passionnante pour la site de cette saga. Une saga à suivre.
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Bonjour,

J'ai fini le tome 1 de la série Thuata "La Valkyrie et le Pianiste" de Jeanne Malysa aux Editions Ex Aequo.



Je me suis laissée embarquer en Ecosse, mon pays préféré au monde, où, si je n'avais pas rencontré l'amour, j'y vivrais 😍😍; j'ai fait la connaissance de la famille McKelloch', tous plus surprenants les uns que les autres (petits et grands et même les animaux sont enchanteurs).



Ma lecture a baigné dans la magie, l'Histoire, la musique, servie par une plume majestueuse. Je salue le travail de titan qui a été fait sur les recherches, Franc-maçonnerie, Mozart et Epée légendaire et bien d’autres, car cela rend le tout très cohérent.



Je ne vais pas trop en dire, le lecteur découvre le couple que forment Clyde, pianiste de renom et Karola son épouse et manager. Le décor est planté, on voyage de Thuata à Berlin en passant par Zurich et Leipzig sans oublier Paris où se déroulent d’autres péripéties.



J’ai plongé avec ravissement dans les légendes, les mystères, les dons surnaturels et les rencontres de l’au-delà, je ne voudrais pas offenser mais ça m’a fait penser au Da Vinci Code, surtout le côté quête où se mélangent réalité, vraisemblance et pure invention.



Le style de Jeanne Malysa est bien là : de l’aventure, de l’humour, de l’espièglerie et une pointe d’érotisme, une excellente recette pour passer un très bon moment de lecture. J’ai déjà les deux autres tomes sous le coude et ce premier volume a aiguisé ma curiosité que je m’en vais de ce pas satisfaire.



Foncez vers les Highlands, contrée sauvage et majestueuse du nord de l'Ecosse 💚💚💚💚
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Nous faisons la connaissance d’Aislinn déjà, elle rentre à l’école autant lui faire honneur en la plaçant au début de cette chronique ! Surtout que je sens son importance... Bien sûr ses parents sont de la partie, Clyde pianiste hors-pair et Karola, allemande (oui ça a son importance) qui va recevoir une lettre décisive. Je dirai juste affaire familiale.



Pas d’inquiétude si vous ne connaissez pas la saga Thuata de l’autrice, au début un rappel est fait avec des explications. Sans oublier les petites références ou phrases pour évoquer le caractère de chaque fils Mac Kelloch’. Clyde qui contrebalance Iain et Fillian, sauf pour le côté protecteur. J’approuve. Rappelez-vous aussi, chacun possède une sorte de don particulier.

Le résumé en dévoile assez sur l’intrigue, même s’il ne révèle pas tous les « pans » de l’histoire. Karola s’éloignera, à contrecœur de Clyde, qui s’occupera d’Aislinn…à moins que quelqu’un ne les observe déjà. « Ils » ont besoin de Karola, elle devra se débrouiller seule. Et comme toujours, on voyage avec Thuata. Je sens le petit tour des pays autour de l’Allemagne là… Des énigmes, des manuscrits, c'est tout bien ficelé avec l'autrice !



Niveau personnage, je prends plaisir à retrouver la tribu, je me passionne pour certains jumeaux, et j’adore toujours les rebondissements Malysiens. Comprendra qui lira. Suivez bien Marcel. John, Valerian c’est la touche de mystère, le côté franc-maçonnerie, et indispensable puisqu’il détient des « précieux » et Maltrius ? Ah je ne dirai rien. Rien non plus sur l’aigle et le drone. Chut. Dans l’ensemble, les personnages fonctionnent, déjà côté famille MK, tout roule, j’aimerais presque qu’ils se détendent un peu… Pour les nouveaux, j’ai surtout hâte de voir leurs évolutions.



J’ai aimé, la culture, les notes de bas de page, j’ai lu avec attention, j’ai appris. C’est ce que j’aime avec Thuata, on en apprend ! Et pas que sur la musique, oh non ! Ensuite, retrouver la famille MK, on a vu Alice, ça me va. On voit les relations de chacun, rien n’est oublié, c’est un plaisir ! J’ai apprécié la construction de l’ouvrage, même si, je sais, il y a 3 épisodes donc je pense que j’aurai encore plus de recul après mes deux autres lectures. J’ai aimé les petites références, l’humour, et y a des scènes biiiiien. Trèèèèès biiiien. Vous voyez ce que je veux dire ! Et puis on se prend au jeu de savoir « si elle trouve l’épée », si elle réussira…



J’ai moins aimé, les mots coupés déjà. J’ai énormément de mal à lire ceux-ci, m’arrêtant pour vérifier que c’est le bon mot. Ensuite, c’est court. Dans le sens où le temps que l’ambiance se pose, on est dans Thuata pas un TGV je sais, j’avais envie de pousser un peu l’allemand làààà. Helmut ? Allez Helmut...

Enfin, tout ce qui tourne autour des mariages, des déclarations, pour le moment mon cœur de pierre ne vibre pas. À moins que j’en attende beaucoup !



La suite sur ma page Facebook, Maritza.
Lien : https://www.facebook.com/mar..
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Thuata - La valkyrie et le pianiste, tome 1

Je tiens à remercier les éditions Ex aequo et Jeanne Malysa pour l'envoi de ce service presse. Une première pour moi en ce qui concerne chroniquer l'oeuvre de cette autrice, puisque jusque-là je n'ai produit que des retours concernant les romans d'auteurs dont elle est directrice éditoriale. Et que de romans de qualités littéraires sans conteste. C'est pourquoi, je n'avais aucun doute sur ce que Jeanne Malysa allait nous proposer.

Au préalable, je souhaitais juste rassurer celles et ceux qui s'interrogeraient sur la nécessité de lire les deux cycles précédents avant d'aborder ce troisième, nul besoin, dans son avant-propos l'autrice nous évoque rapidement l'antériorité de cette histoire et nous brosse les principaux traits des différents personnages qui constituent la famille McKelloch' et tous ceux qui gravitent autour. Étant novice, pour n'avoir pas lu les autres romans, je n'ai pour autant pas été perdue.

Pour entrer dans le vif du sujet, cet épisode 1 pose les bases de l'histoire du couple Clyde McKelloch' et Karola son épouse. Lui, musicien de renom, artiste, auteur et compositeur et elle, allemande de naissance et manager de son mari, vivant sur le domaine familial ancestral de Thuata avec leur fille Aislinn qui fait sa première rentrée à l'école. Chaque membre de la famille est doté d'un don, qui apporte le côté magique de ce roman, une touche de fantasy, qui vient compléter le principal thème de ce livre, la quête de Karola à découvrir l'épée de Siegfried. Tel Indiana Jones (mea culpa pour la référence), elle va partir à la recherche de ce Graal pour sauver sa famille d'un méchant partisan nazi. Elle voyagera de Thuata à Berlin, Zurich et Leipzig à la poursuite d'énigmes. Pendant ce temps, à Paris, d'autres membres de la famille McKelloch' vivent eux aussi des péripéties, notamment se révèle la présence dans leur cercle d'un frère de la franc-maçonnerie américaine, Valerian alias john expatrié en France pour oublier le double malheur qui l'a atteint. Lui aussi de son côté se retrouve dépositaire de manuscrits signés Wolfgang Amadeus Mozart, il entraînera à sa suite Marcel, Benjamin, Anaïs, Iain McKelloch' and co dans cette autre aventure.

Jeanne Malysa a véritablement l'art de nous captiver par le suspense haletant de son roman, nous retenons notre souffle et vivons intensément chaque moment passé avec ses personnages, nous tremblons avec Karola, nous nous émouvons avec Aislinn et Clyde, nous participons avec Valerian à décrypter les messages que Mozart a laissé derrière lui, et ressentons bien d'autres émotions durant tout le roman.

De mon côté, je suis admirative de l'imagination débordante de l'autrice jusqu'à la rédaction de courriers, de parchemins, d'énigmes, qui personnellement m'a impressionnée. Chapeau bas, Madame!

Pour terminer mon interminable laïus, désolée, je suis dithyrambique lorsque un sujet me passionne et ce roman m'a assurément transportée, je ne pouvais pas ne pas évoquer la plume de Jeanne Malysa, une finesse, une délicatesse, travaillée précisément jusqu'à paraître simple et naturelle, un réel plaisir livresque.

Bien sûr cet épisode nous laisse sur notre faim, quoi de plus normal, mais l'autrice nous a ménagé en nous offrant les trois épisodes en même temps, et nous pouvons continuer l'aventure sans devoir attendre...

Je vous invite à parcourir les Highlands et l'Europe avec la famille McKelloch', plonger dans le mystère, suivre une quête, comme j'ai pu le faire intensément et le message de la belle couverture réalisée par Marie-Noëlle dit nano vous sera révélé.
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Paris-Londres

C’est une romance ! Avec les qualités et les défauts que cela comporte. Sa principale qualité est qu’il se lit parfaitement bien, ne demande pas beaucoup de réflexion – quoique j’ai eu beaucoup de mal à distinguer Arthur et Charles ; j’ai donc dû trouver un moyen mnémotechnique pour me rappeler qui est l’Anglais et qui est le Français. Son défaut est son manque de crédibilité : on parle d’un génial inventeur (ça existe encore ?), avec un publiciste à succès. On imagine le premier millionnaire et le deuxième se déplace avec trois valises de vêtements (de luxe) et porte un parfum à quatre cents dollars. Je sais que c’est la version moderne du conte de fée, qu’il faut accepter cette réalité comme on accepte que des tasses dansent avec des candélabres dans La Belle et la Bête.



Autre détail très étonnant est que tout le monde est gay ! L’oncle de Charles, son frère… Déjà, dans ma famille, j’ai l’impression d’être de trop, alors la sienne… Combien de fois s’est-elle pris la foudre ?



Accepté ces détails, j’ai passé un agréable moment. Les personnages sont attachants, même si la personnalité adolescente de Charles le rend un peu tête à claques. Pour le coup, c’est crédible – qui n’a pas rencontré des divas ? Et si vous n’en avez jamais rencontré, posez-vous la bonne question. 😄 Point notable à souligner, cette romance se tient jusqu’au bout, même après la découverte du désir, le début de la relation, etc.



Comme l’histoire, le style est sans prise de tête. Mais, il y a du style ! Idem, c’est notable dans le genre. J’ai noté notamment la manière de retranscrire les discussions de Charles, correspondant tout à fait à la mentalité du personnage, mais surtout les titres de chapitre. Étant personnellement adepte du contournement des méta-éléments des romans, j’ai été 1. étonné 2. subjugué.



Enfin, j’avoue, j’ai eu peur. Cette romance gay est écrite… par une femme. Je lui ai tout de même donné sa chance (même si pour cette raison il est resté quelques mois dans ma liseuse). Et je trouve que Jeanne Malysa ne tombe pas dans les travers des romances M/M pour femmes. Certes on baise avec capote, mais sans gel ; certes les gens sucent et avalent avec délice, alors même qu’ils viennent de jouir ; mais pour une fois, les deux héros sont versa, comme si l’autrice savait que tout le monde pouvait faire la femme et l’homme !




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Dans tous les sens

Je viens de terminer ce recueil de nouvelles érotiques.

Des univers différents, on passe facilement d'une nouvelle à l'autre grâce au fil rouge de l'auteur et de sa muse. L'écriture est fluide et soignée. Jeanne Malysa fait preuve d'imagination avec de belles scènes de sexe jamais vulgaires mais qui enflamment l'esprit et plus si affinité...
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Dans tous les sens

Avis : INSPIRé

Commencer cette chronique sans demander à Jeanne Malysa de m’excuser pour le retard mis à lire ce recueil de nouvelles érotiques serait impoli ! Je n’ai pas d’explications ; je prenais, laissais, comme si j’aimais avoir cette lecture entre deux romans plus graves.

Je dois bien avouer que les romans érotiques ne sont pas très nombreux dans ma bibliothèque, peut-être devrais-je en mettre davantage à condition que l’imagination soit au rendez-vous comme dans celui de Jeanne qui ne fait pas dans la xyloglossie (nouvelle 24).

Gaspard Sybar, auteur de littérature de charme, en panne d’inspiration, est mis au défi, durant tout un mois, d’écrire une nouvelle par jour sur la base d’un mot fourni et d’y insérer une scène sensuelle ou sexuelle. Cet auteur étant accompagné de Marianne, muse partageant ses goûts et ses plaisirs, les soirées sont souvent très animées aussi, et les apartés de fin de chapitre plaisants.

J’ai apprécié la diversité des histoires et surtout comme dans toute bonne nouvelle qui se respecte, la chute. Certaines comme dans la 8 sont de jolis clins d’œil. Je n’ai pas noté de vulgarité et j’ai donc pu me laisser entraîner dans ce langage des corps que l’auteure manie en harmonie avec les états d’âme.

Il y a derrière certains récits un vrai savoir donnant un environnement sérieux, quelquefois des quiproquos originaux déclenchant un sourire, une culture des lieux et des choses savamment distillée. Et un humour détaché parfaitement exploité dans la nouvelle n° 19, traitant d’un savon et d’une Sophie.

Si vous n’êtes pas un lecteur régulier de cette littérature boudoir, vous pouvez néanmoins vous laisser tenter sans avoir peur de vous faire du mal.

Je remercie Jeanne Malysa et les Editions Ex-Aequo pour ce très agréable Service Presse ; je reste à votre service pour recommencer.


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Paris-Londres

Charles Gray est comblé dans sa vie londonienne : jeune trentenaire à l’allure stylée, mince, musclé sec, beau physique, élégant, il est en outre un des hommes de pub les plus en vue et en vogue, en ce moment. Mais une mauvaise nouvelle l’attend. En effet, une société de jouets française dont le siège se trouve à Paris a demandé qu’il dirige personnellement la campagne de leur tout nouveau produit, et son patron insiste à ce qu’il se rende sur place pour être briefé. Or, si Charles a toujours adoré Paris et parle, en outre, parfaitement bien la langue de Molière, ça fait maintenant plusieurs années que son amour a viré en détestation ; en fait, pour vous expliquer le comment du pourquoi, il ne peut plus la voir en peinture depuis qu’il s’est fait plaquer par Benjamin, son ex, du jour au lendemain. Avouez que ça peut créer des ressentiments qui, pour être probablement injustes, sont néanmoins compréhensibles.



Mais cette mauvaise nouvelle est suivie par une qui s’avère bonne : le créateur de ce nouveau jouet est un certain Arthur Parvis. Grand, baraqué, impressionnant et charismatique Arthur, dont le regard, lors de leur première rencontre, s’attarde en plus juste ce qu’il faut de trop sur l’entrejambe de Charles. De quoi titiller imagination et libido… Mais un Frenchie, encore ? Please ! Et qu’est-ce que Charles doit penser de l’idée saugrenue de Gaëlle, la patronne de la boîte de jouets, qui consiste à ce qu’il passe du temps – beaucoup de temps – chez ce bel inventeur, Arthur, pour trouver l’inspiration pour sa campagne ? C’est-à-dire, dans la maison d’Arthur, ici, à Paris, dans cette ville qu’il ne supporte plus ? Peu importe que ladite maison se trouve à Montmartre. Peu importe, aussi, qu’Arthur non seulement ait tout ce qu’il faut pour séduire, mais ne semble pas insensible, lui non plus, aux charmes et à la fraîcheur de Charles. Les prochaines semaines promettent à être dures… sans jeu de mot salace (ou peut-être, justement, avec ?)…



Ah, c’était frais, c’était mignon, ça se lisait d’une seule traite. Le roman est bien construit et bien écrit, avec quelques coquilles, mais bon, comme dirait certainement Charles : « Shit happens » – ça ne m’a pas détourné du plaisir de découvrir les aléas de cette histoire attendrissante. Charles et Arthur rentrent dans le schéma classique du « les contraires s’attirent », l’un exubérant, pétillant, extroverti, sûr de lui-même, l’autre plus réfléchi, plus posé, plus casernier. Mais le courant passe dès le premier regard, et la tension presque palpable aboutit, je peux le révéler sans que ce soit ni un scoop ni un spoiler, à une approche physique et amoureuse au bout de bien des péripéties. Jeanne Malysa ne mériterait pas le titre d’écrivaine, bien sûr, si elle ne mettait pas des bâtons dans les roues de nos deux tourtereaux présumés, donc de mini-drame en réconciliation en prochain bouleversement, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Bien au contraire, même si je subodorais la fin (après tout, elle est tout à fait dans l’ADN du genre – imaginez une romance qui se termine en eau de boudin… on n’en voudrait pas, n’est-ce pas ?), elle n’était ni convenue ni téléphonée, mais plutôt bien amenée.



En plus, Jeanne m’a fait voyager, un détail que j’apprécie particulièrement en ces temps de « disette du déplacement de loisir » pour un voyageur invétéré comme moi. L’intrigue se déroule d’abord à Paris, bien sûr, une ville pour laquelle l’auteure a su marier et montrer habilement cette espèce d’amour-haine que nous, les habitants, ressentons pour elle : on l’adore, on en est fier, on la fait visiter avec beaucoup de plaisir à nos amis venus d’ailleurs, mais on n’arrête pas de s’en plaindre (bon, surtout des Parisiens, je dirais). Ensuite, j’ai passé de bons moments à Londres (case cochée dans mon carnet de voyages) et Brighton (qui mériterait peut-être un séjour), puis dans le Jura (que je ne connais pas encore, non plus) et surtout en Islande, qui – fun fact qui n’a aucune importance mais que je vous livre quand même – était tout en haut de la liste des endroits pressentis pour mes vacances de septembre, cette année… Donc, j’ai été gagnant sur toutes les lignes en termes de découverte et en termes de lecture comblée.



Tiens, il pleut dehors, pour changer… Alors, si vous déprimez gentiment, un petit coup de Jeanne Malysa, une petite virée du côté de Charles et Arthur vous ferait le plus grand bien. Ça réchauffe, ça divertit, ça dessine un Big Smile sur le visage… Je dis ça, je dis rien, hein ?
Lien : http://livresgay.fr/paris-lo..
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