Jo Nesbø

Sous prétexte de l’élucidation du meurtre de l’ambassadeur de Norvège en Thaïlande, Jo Nesbo nous fait découvrir Bangkok et les relations entre la vielle Europe et l'Asie ancestrale.

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Première aventure de Harry Hole. Sympathique et entrainant.

Un policier dans la plus pure tradition. Un nouvel auteur pour moi. Une découverte intéressante. Il me reste une sensation de froid quand j'y repense, comme quoi l'atmosphère est très bien rendu.

L'intrigue ne commence que vers le milieu du livre. Je n'ai pas apprécier ce premier livre lu de Jo Nesbo.

La Thaïlande, paradis du tourisme sexuel ? Pas seulement... et tous les meurtres ne sont pas nécessairement liés à cette délinquance répugnante. Après tout, tous les meurtre s de Naples ne sont pas obligatoirement liés à la Mafia. Nesbo joue avec les clichés pour tisser une trame particulièrement bien ficelée... et nous mener par le bout du nez. Evidemment, Harry Hole, son héros récurrent; est toujours aussi imprévisible même s'il ne boit plus (!) et ne fume (presque) plus. Les flics de polar ne sont plus ce qu'ils étaient... et c'est tant mieux !

Jo Nesbo a fait preuve ici d’un grand sens de l’intrigue, avec plein de détails technologiques...
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Dans l'art de la tromperie et des fausses pistes, des coups de théâtre retentissants, Jo Nesbo est Roi. Et le lecteur, dupé une fois de plus, sans même ressentir une pointe de frustration, apprécie au final.
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Harry Hole est une loque vivante au début du roman. Il revient de son succès d'Australie et semble bien en mal. Il connaît des problèmes familiaux qui ne l'aident pas à se reprendre.



Il est assez surpris d'être choisi pour représenter la fine fleur de la police norvégienne, et le lecteur aussi. Mais, Harry va se reprendre au contact de cette ville étrange et du petit monde des expatriés scandinaves.


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Hary Hole a toujours des problèmes avec ses démons intérieurs : l'alcool, les femmes, les relations avec sa hiérarchie... Mais il est toujours aussi doué et se lance dans cette nouvelle enquête avec son flair en alerte.



Les pistes se multiplient, les fausses pistes étaient toutes plausibles et il faudra du temps pour réaliser toute la folie de ces meutres et leur effroyable logique...


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L'enquête commence comme un rendez-vous diplomatique routinier puis elle va prendre un tournant particulier. Elle nous entraîne dans la très cosmopolite Australie et le monde de la nuit.



Parmi les personnages, nous croisons des flics, des boxeurs, des aborigènes, un cirque et des filles perdues au milieu de proxénètes et de dealers.



Les dernières pages accélèrent le rythme en lien avec l'évolution des différents personnages.



Un très bon roman policier qui me donne bien envie de découvrir davantage l'inspecteur Hary Hole.


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L’hyperviolence de ce thriller écrase un arrière-plan quasi inexistant. Peu de lieux, de décors, d’ambiances… Oslo pour le coup reste fantomatique : hormis les zones de deal et les dealers, la ville, et ses habitants, s’efface, ne reste que les bruits de fond.
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Je me suis trouvée face à un thriller très classique. Connaissant certains mécanismes, j'ai démasqué le coupable et ai deviné son mobile dès que le premier faux coupable a été pointé du doigt. (C'est assez tôt...) En effet, trop d'indices l'accusaient. Bien sûr, l'auteur les glisse subtilement, subtilité qui ne fonctionne pas si le genre n'est pas renouvelé, si le schéma est trop précis, trop balisé. En outre, sa culpabilité relançait une intrigue secondaire... Il faisait un «méchant» idéal. À partir de là, je me suis un peu ennuyée, même si je suivais certaines choses avec intérêt.



Au moment où l'un des personnages semble perdre la tête, j'ai pensé que le livre devenait n'importe quoi. Cependant, l'auteur a redressé la barre, et l'attitude du personnage est apparue très crédible.

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deux femmes sont retrouvées baignant dans leur sang. On appelle pour enquêter un spécialiste des tueurs en série. souci : le spécialiste en question est tombé dans la drogue, l'alcool, et vit actuellement à Hong Kong, où il doit une somme pharaonique à la mafia. Une fois l'enquêteur rapatrié en Norvège, le roman peut commencer : l'enquêteur a tout d'une épave, et il a du mal avec l'autorité, mais c'est aussi un génie. il devra lutter dans la guerre des services dans la police, prendre des risques et se rendre aux quatre coins du monde pour résoudre cette enquête, secondé par une charmante collègue. ce polar est très captivant et se lit très bien, malgré les 700 pages.

Roger Brown est un excellent professionnel et pratique l’honorable métier de chasseur de têtes. C’est à dire qu’il cherche pour ses clients la bonne personne, pas celle qu’il leur faut, mais celle dont ils croient avoir besoin. Mais pour maintenir à flot la galerie d’art de sa femme, Roger Brown est obligé de faire des heures sups, durant lesquelles il cambriole le domicile de ses clients. Jusqu’au jour où un de ses clients se révèle lui aussi, un excellent chasseur. Commence une traque dont l’enjeu n’est finalement pas celui qu’on croit.



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Ce policier a été salué par la critique lors de sa parution. Un flic célèbre pour avoir arrêté un redoutable tueur en série, n’a rien trouvé de mieux à faire que de se réfugier à Hong Kong pour épanouir tranquillement ses penchants largement affirmés d’alcoolisme et de toxicomanie. Manque de chance, après quelques [...]
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Redoutable auteur de polar décidément ce Jo Nesbø. Difficile de lâcher l’affaire avant la fin, et ce malgré une traduction parfois bien bancale qui rend certaines scènes d’actions particulièrement cafouilleuses et qui comprend des coquilles orthographiques grosses comme le bras (oui, la différence entre le “a” et le “à” est parfois délicate, mais tout de même…).



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Lorsqu'on finit par supporter l'alcoolisme du personnage principal, on découvre un scénario bien ficelé et très prenant

Beaucoup de longueurs dans cette enquête ... une déception, c'est clair.
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Enfin une pépite ! Merci à Béné de m'avoir fait découvrir cet auteur.

J'ai dévoré le Léopard avant le Bonhomme de neige, en restant plutôt heureuse d'avoir découvert un nouvel auteur sans que cela soit la révélation.

Le Léopard est moins excellent et plus calme que le Bonhomme de Neige.



Le croquemitaine blanc s'avale tout seul car très fluide, très bonne description, bon décor qui plante bien l'ambiance ! Froid, noir, glaciale et abrupte ! bref que du bon sans être trop glauque.

Un inspecteur un peu comme tous les autres : solitaire, alcoolique, séparé de sa femme ... dans un appart quasi miteux ... mais plus touchant car plus aimant ? fait de plus de sentiments, de compensation, d'envie d'avancer, de s'en sortir ...

le Harry Hole va t'il supplanter le Harry Boch de mon fervent M. Connelly ?? Dilemme ...


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