Jo Watson

Alors que, malgré le divorce de ses parents et le traumatisme laissé par des années de harcèlement scolaire, elle avait enfin trouvé sa place à Johannesburg, se réalisant dans ses études d’Arts, entourée de ses deux meilleurs amis, Lori va devoir tout quitter pour suivre sa mère au Cap, la capitale d’Afrique du Sud, où se trouve une école spécialisée pour Zac, son petit frère, atteint de troubles autistiques.

La jeune fille, très complexée par son physique tout en formes et en rondeurs, découvre alors un monde où règne le culte du corps et de la taille XS, du sport et du smoothie! Bref, un monde complètement à l’opposé du sien et dans lequel elle se sent gauche et inadaptée. Pire, dès son premier jour au lycée de Bay Water High, elle parvient à se mettre à dos Ambre, la peste huppée de la cour de récré! Heureusement, Jake, le beau gosse de l’école et véritable star du water-polo, semble poser un regard bienveillant sur cette nouvelle venue… Mais que cela cache-t-il?



“La plus forte” joue, sans trop de subtilité, sur les deux sens du terme avec son héroïne toute en rondeurs, qui gère son stress par des crises compulsives de boulimie et fait exploser son IMC, mais qui s’avère posséder aussi une grande force de caractère, beaucoup de courage et un immense talent artistique. Tout le roman va s’attacher à révéler ces deux caractéristiques et à les faire cohabiter de manière harmonieuse et assumée. Le message, qui s’adresse principalement aux adolescents, est donc important, voire essentiel et véhicule des valeurs de tolérance et d’acceptation de soi primordiales pour se construire à une époque de sa vie où l’on est, bien souvent, vulnérable.



Loin de se contenter de ce seul message, Jo Watson, aborde également d’autres thèmes, tout aussi sensibles et importants tels que le harcèlement scolaire et les dégâts qu’il peut causer, le handicap à travers l’autisme et le TDAH, les relations familiales parfois compliquées à un âge où l’on peut avoir du mal à communiquer avec ses parents ou encore la puissance de l’art comme moyen d’expression, voire de revendication. Des thèmes sérieux donc, mais qui passent crème grâce à une histoire d’amour complètement idyllique et digne d’un conte de fées.



Alors voilà, malgré toutes ces bonnes idées et toutes ces belles valeurs défendues et en dépit d’une héroïne très attachante, je dois dire que j’ai trouvé cela terriblement cliché et déjà vu… J’ai eu l’impression de voir se dérouler un film américain pour teenager, sauf que ça se passe en Afrique du Sud, mais avec principalement des personnages blancs (et très friqués!) histoire qu’on puisse quand même s’identifier (mais pourquoi donc ce choix dans un pays où la population blanche représente moins de 9%???)... L’histoire d’amour aurait pu également se passer de choisir le mec le plus beau et le plus populaire du lycée pour s’énamourer de celle qui se considère comme le vilain petit canard de la bande! C’est certes un joli message plein de promesses et d’espoirs, qui montre que le beau gosse est capable de voir au-delà des apparences et, mieux encore, qui aime l’apparence qu’il a sous les yeux, mais c’est un poil “too much” quand même…



Malgré cette critique peut-être un peu dure, je dois dire qu’il y a tout de même beaucoup de jolis moments dans cette lecture avec des temps forts, notamment liés à la relation de Lori avec sa psy, avec son frère ou lors des phases de créations (que ce soit avec la peinture ou la mode). Bref, malgré son côté déjà vu, un roman qui se lit bien, avec des personnages attachants et qui véhicule de nombreux messages essentiels!

Il m'est toujours délicat de parler d'un livre que j'ai adoré, tout simplement car j'ai peur de ne pas lui rendre justice.

C'est le cas avec ''La plus forte'' de Jo Watson.



Encore une fois - et comme je le fais régulièrement ces derniers temps - j'ai foncé tête baissée dans cette histoire sans même lire le résumé, ni les avis, étant suffisamment charmée par la couverture et intriguée par le titre. Et quelle bonne surprise cette fois-ci ! J'ai trouvé Lori, notre narratrice, notre personnage principale, « la plus forte », absolument attachante du début à la fin. En si peu de pages - moins de 400 - je me suis attachée à elle et j'ai compatis, j'ai été touchée, souvent impactée. Son harcèlement, ses angoisses, son anxiété, son mal-être, ses responsabilités... Tout était selon moi très bien décrit. J'ai d'ailleurs, particulièrement apprécié ici le fait qu'il y ait des enfants atypiques, le petit frère de Lori étant autiste, et une autre enfant étant TDAH. C'est d'ailleurs la première fois que je lis un bouquin contemporain feel-good parlant de ce sujet (le trouble de l'attention avec ou sans hyperactivité).



Ce roman est un appel à s'aimer soi-même mais pas que, une reconstruction, une histoire d'amitié, avec pour fond de l'amour mais aussi de l'art. J'ai aimé les métaphores de la vie lié à certaines plantes, j'ai aimé que plusieurs sujets soient traités dont le fait d'être soeur/frère d'un enfant différent aux besoins spécifiques, j'ai adoré que ce soit écrit à la première personne du singulier et qu'on soit totalement dans la tête de Lori. Pourtant, au tout début j'avais peur, peur de tout ces ''clichés'', ces stéréotypes, ces préjugés. Mais finalement le récit avance et je n'ai pas été gênée. Mon seul petit hic est peut-être le manque de compassion -selon ce que j'ai ressenti - envers la maman de Lori après ce que celle-ci a vécu et semble vivre, peut-être une dépression ? Étant moi-même maman j'ai eue du mal avec cette vision de la mère qui semblait ne tenir ''que'' le mauvais rôle, sans tenir compte de tout ce qu'elle avait fait pour ses enfants jusqu'à ce fameux jour... Enfin, passons. Cela ne m'a pas empêché non plus d'avoir un jolie petit coup de coeur pour ce roman tranche de vie, tolérant, bienveillant, optimiste, avec des thèmes traités où beaucoup peuvent être concernés (le poids, l'anxiété, le divorce des parents...).



Cet avis est sûrement l'un des plus confus qu'il m'est arrivé d'écrire, je viens à peine de terminer ce livre (lu en 24h!) et je suis sûrement encore sous le coup de l'émotion. Ce fût une très très belle découverte.

Un roman jeune adulte qui, malgré une histoire simple, ne bascule pas dans la mièvrerie et fait passer un beau message de tolérance. Lori, obligée de quitter Johannesburg où elle suivait des études d'art, débarque dans une petite ville pour son année de terminale. Elle a dû suivre sa mère qui a inscrit son petit frère, Zac dans un établissement adapté à ses besoins. Lori qui avait enfin réussi à s'accepter, débarque dans cette ville côtière où le culte du corps semble être une priorité. Et ce n'est pas sa mère, accroc à la chirurgie esthétique depuis le départ de son père pour une femme plus jeune, qui va l'aider à s'accepter. Mais rien ne va se passer comme prévu notamment grâce à Jake, bénévole dans l'école de Zac. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde lors de ma lecture. Loin des clichés, j'ai aimé les différents personnages et leur profondeur psychologique. Lori est entourée, accompagnée et est une fille au caractère fort, malgré ses difficultés. En traitant du handicap, de l'acceptation de soi, d'un suivi thérapeutique adapté mais aussi de l'art comme d'une manière de s'émanciper, ce roman est original et a un message fort. A découvrir ! #Laplusforte #NetGalleyFrance

Je suis de loin le courant body positive, pas parce que que je me sens pas concernée, mais parce que ce n’est pas une des batailles que je veux mener en premier. Mais de temps en temps j’aime lire ce style de roman qui réchauffe un peu le cœur.



Lori a du changer d’école car sa famille a déménager. Ce n’est facile pour personne de réussir à se faire une place dans une nouvelle école, mais ça l’est encore plus pour Lori qui est ronde et n’a pas une très bonne estime d’elle-même. Mais elle n’a pas d’autres choix que de faire front.



Je savais que ce livre allait me plaire et c’est le cas. C’est un livre qui se lit très vite, sans prise de tête même s’il traite de sujets qui sont toujours d’actualités (malheureusement) la grossophobie et le harcèlement. Le sujets sont abordés de manière un peu simpliste, mais je n’en demandé pas plus. Je voulais me divertir avec une histoire qui me touche.

Les personnages sont complexes, il est difficile de définir qui est réellement méchant ou réellement gentil. D’ailleurs je ne pense pas qu’il y ait de méchant. A trop vouloir être positif, ce livre va parfois dans le trop facile ou tout s’arrange trop vite et trop bien.

Mais c’est aussi un des point fort de cette histoire. Ce livre redonne le sourire. Il montre qu’il ne faut pas juger les gens trop vite dans un sens ou dans l’autre. Que les apparences sont parfois trompeuses et qu’il faut donner sa chance à tout le monde. Et surtout, le message qu’il veut faire passer c’est que bien souvent les gens ne nous voient pas de la même façon que nous, et qu’on devrait aussi leur faire confiance pour nous revaloriser.
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Une lecture plutôt sympa !





On retrouve Lori, jeune ado mal dans sa peau qui se retrouve obligée de changer de lycée suite à la séparation de ses parents. On va la suivre durant sa rentrée en terminale. Elle qui voulait passer inaperçue elle va se retrouver à se lier d'amitié avec Jake, le sportif populaire du lycée qui se trouve être aussi bénévole à l'école de Zac son petit frère atteint d'autisme...





Une histoire assez classique mais bien faite.

Un des thèmes principaux porte sur l'acceptation de soi. Sur l'acceptation de son corps, sur les liens familiaux, la différence. Mais aussi la santé mentale et l'harcèlement scolaire. On aborde tout ces thèmes à travers le prisme de l'art et ça changeait vraiment de la manière dont c'est abordé d'ordinaire.





Sa relation avec Jake est toute douce. Ce sont deux personnages très touchants et très mignons. J'ai aussi adoré ce lien si pur qu'elle entretient avec Zac son petit frère. Lori a une jolie évolution, elle apprends à défendre ses idées, à se voir aussi telle que ses proches la voient : une jeune femme belle et talentueuse.





En bref, c'est un roman qui est réussi (avec quand même quelques clichés) mais qui m'a fait passer un bon moment !


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Je vais avoir du mal à retranscrire toute la beauté de ce livre. Je me doutais que j’aurais aimé cette lecture, mais j’ai quand même été surprise par la plume et les messages que transmette ce livre.



Bien sûr, ici, il est question de poids, c’est le principal souci de Lori. D’ailleurs, je me suis beaucoup attachée à cette héroïne, elle a un cœur en or, c’est une sœur dévouée, une amie fidèle et surtout une grande artiste, elle avait clairement tout pour me plaire.



On ressent très bien sa souffrance, toutes ces années de harcèlement qu’elle a vécu on laisser des plaies qu’elle n’arrive pas à refermer. Lori n’arrive vraiment pas à accepter son corps. Elle se sent coincée entre les gens qui se moquent d’elle et le mouvement body positive dans lequel elle ne se reconnaît absolument pas. Elle se dénigre en permanence et ne se trouve aucune valeur.



Mais grâce à sa nouvelle psy (que j’ai adoré) un peu loufoque et exubérante, elle va enfin réussir à entreprendre un travail sur elle. Les mots de sa psy vont résonner en elle, son message est beau : le harcèlement n’a jamais cessé, puisque maintenant, c’est elle-même qui s’inflige ce harcèlement avec les petites voix dans sa tête qui la critique. D’ailleurs, j’ai trouvé ces passages très intéressants, la psy explique la vie, le renouveau, la beauté à travers le jardinage et les fleurs (plus particulièrement les succulentes, j’ai appris beaucoup de choses ailleurs). L’évolution de l’héroïne à travers le livre est très belle, elle prend son temps étape par étape, mais elle y arrive.



Cette histoire évoque également les enfants neuroatypiques à travers Zac et Lisa, ces deux enfants très attendrissants qui ne rentrent pas dans les normes. Mais l’auteure parle surtout des frères et sœurs, les enfants neuroatypiques sont suivis, leurs parents aussi, mais qu’en est-il de leurs frères et sœurs ? Eux, ils doivent faire avec, tout simplement. Alors qu’à l’image de Lori, toute leur vie peut tourner autour de leur frère ou de leur sœur. J’ai trouvé très intéressant ce point de vue, d’ailleurs Lori est une sœur exemplaire pour son petit frère, elle sait parfaitement comment se conduire avec lui.



Et puis dans ce livre, il y a l’art. L’art qui a toujours sauvé Lori de ses angoisses et de ses idées noires. La seule chose qu’elle aime chez elle. Elle s’exprime beaucoup à travers ses peintures. Elle qui n’arrive pas à s’exprimer, qui n’a pas de voix, elle va réussir à s’exprimer à travers l’art. Ce sont ses peintures qui vont lui donner une voix et lui changer sa vie. J’ai vraiment adoré, je crois vraiment que l’art, quel qu’il soit, peut permettre beaucoup de choses.



C’est un livre qui parle d’amour, d’amour de soi, d’amour familial, de premier amour, mais aussi l’amitié.



L’auteure à une très belle plume, poétique, avec de nombreux messages qui nous font réfléchir durant la lecture.



C’est pour moi un sans-faute, j’ai été complètement conquise, que ce soit par l’héroïne, par les nombreux thèmes abordés, par les beaux messages et par l’espoir et la beauté qui ressortent de cette lecture. Je ne peux que vous la conseillez.
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Lori a dû déménager avec sa mère et son petit frère autiste pour que celui-ci intègre une école spécialisée. Pour ça elle a dû quitter ses amis et son école d’art, dans laquelle elle se sentait enfin bien après des années de harcèlement scolaire. Tout ça pour atterrir dans une ville proprette et « m’as-tu-vu » de la côte dans laquelle tous les habitants ont l’air parfaits mais se ressemblent tous. Elle ne s’y sent pas du tout à son aise et encore une fois c’est par l’art qu’elle va transcender la situation. Surtout qu’elle doit cohabiter avec son frère qu’elle adore mais qui est très prenant et une mère qui se comporte davantage qu’elle comme une ado. Elle ne peut pas compter sur elle, d’ailleurs elle a du mal à la reconnaître depuis que son père a divorcé pour se mettre en couple avec une jeunette. Depuis elle se noie dans son travail, les livres de développement personnel et les théories les plus folles sur internet.

Mais dans cette nouvelle ville où elle ne se sent pas à sa place Lori va aussi faire la rencontre avec le capitaine de l’équipe de water polo, qui est un peu le cliché du beau gosse, sauf que lui aussi a une petite sœur avec des troubles et que cela va les rapprocher.

Rien de bien nouveau mais un roman agréable à lire malgré tout, qui aborde les thèmes de la grossophobie, du harcèlement, de la confiance en soi, des enfants neuroatypiques et qui parle aussi beaucoup de la famille, mais aussi de l’amour. Il y a des passages parfois un peu clichés mais c’est quand même un livre rafraîchissant. C’est un bon feel good.

La plus forte... Le titre m'a beaucoup attiré étant un jeune femme complexé par mon corps, je voulais absolument lire cet écrit qui traite de ce sujet.



J'ai beaucoup aimé cette lecture car l'histoire est bien construite et je ne me suis pas ennuyé . Pas as un seul moment.

Il traite sur la relation que le personnage principal as avec son corps. Et c'est un sujet très intéressant et souvent pas assez mis en avant.



Les conversations entre les personnages sont simples à comprendre et j'ai beaucoup aimé le format de celle-ci.



La couverture correspond complètement à l'univers du livre.



Je pense d'ailleurs que le livre peut aider certaines personnes à s'accepter :)

Il nous aide à nous donner un peu d'amour à nous-mêmes.



Si ma note est de 3/5 étoiles c'est simplement car ce n'est pas un coup de cœur. J'ai apprécié ce livre mais je ne pense pas le relire.

Il est intéressant.

Un roman un peu trop bourré de clichés et de bons sentiments, tout est un peu TROP et on parle d'un peu trop de thèmes à la fois, mais le fond est bon, Lori est attachante et forte, avec une vraie voix ! (et en effet Lori, je suis d'accord, on ne parle pas assez des frères et soeurs d'enfants particuliers)

Lori a été profondément affectée par le divorce de ses parents. Alors, lorsque sa mère déménage afin de permettre à son jeune frère, Zac, autiste, d’être scolarisé dans un établissement adapté, Lori est également obligée de changer de lycée. Sauf que Lori doit maintenant trouver sa place dans ce nouveau lycée, où elle dénote complètement au milieu de tous ces élèves passionnés de sport, qui paraissent directement sortis tout droit d’un magazine. Sans oublier Jake, l’archétype du beau gosse du lycée, au physique plus que parfait, qui semble voir en Lori bien plus que ce que la jeune fille voit en elle-même…



Le personnage de Lori est juste magnifique. C’est une personne à la fois pure et puissante, qui s’exprime souvent bien mieux à travers l’art, et qui a un cœur immense. Elle assume de nombreuses responsabilités, et s’occupe également de son frère ainsi que des taches ménagères, tout en essayant de rentrer dans une école d’art. Et, au milieu de tout cela, il y a le poids de Lori. Un poids qui apparait comme une présence écrasante dans la vie de Lori, une présence dont elle n’arrive pas, le plus souvent, à s’affranchir.



Et ce sujet est très bien traité par l’autrice. Il n’y a que très (trop ?) peu de livres mettant à l’honneur des femmes plus size, et Jo Watson m’a régalée avec son style plein d’esprit, de réflexions appropriées, et sa vision réaliste du sujet, sans chercher à enjoliver les choses ou à tomber dans le trop merveilleux où tout est beau, tout est rose malgré tout. Et c’était une véritable bouffée d’air frais.



Plus qu’un simple roman sur un personnage principal plus size, Jo Watson normalise surtout, dans ce livre, les différentes sexualités et difficultés d’apprentissage. Mais aussi l’importance de prendre soin de sa santé mentale. L’autrice explore également de façon magnifique la relation entre Lori et son frère, autiste, et j’ai été très touchée de voir comment s’exprimait leur amour, à la fois si doux et réel.



En définitive, si on a là une romance somme tout assez classique, celle de la personne ronde qui tombe amoureuse du mec le plus adulée du lycée, j’ai beaucoup aimé comment tout cela est abordé par l’autrice. Car, au-delà de la mise en avant d’une héroïne forte, ce que j’ai le plus aimé dans cette histoire, c’est la place prépondérante qu’y tient la santé mentale. Jo Watson aborde sans détour le besoin de s’occuper de soi, de prendre soin de soi mentalement, et j’ai trouvé ça exceptionnel. Un livre que je recommande fortement !
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j’ai vraiment pris plaisir à lire ce titre. Je me suis facilement attachée à Lori, dans laquelle je me suis retrouvée sans être passée par ses épreuves. L’écriture est tellement fluide et immersive qu’on se met aisément à sa place. J’ai apprécié son évolution. Les autres personnages sont également intéressants. J’ai adoré le personnage de son frère, celui de Jake également, et celui de Vicki. Il y a de l’humour dans ce roman, malgré les thèmes évoqués qui peuvent parfois être durs. C’est un roman sur l’acceptation de soi et sur la reconstruction, il ne sera donc pas lu à certains moments de la vie, même si l’écriture rend ces thèmes plus légers. C’est une très belle découverte, où les personnages me manquent déjà. Je vous en conseille vivement sa lecture.
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Lori Palmer est grosse et se sent mal dans sa peau, notamment à cause du regard des autres. En plus, elle vient de déménager suite au divorce de ses parents et atterri au Cap, au bord de l’océan, dans un lycée rempli de canons aux yeux bleus et cheveux blonds.

Au cours du roman on suit son chemin vers l’acceptation de son corps et l’amour de qui elle est, ainsi que son histoire d’amour. On peut aussi suivre son chemin en tant qu’artiste engagée. Histoires d’amitié très belles.

Malheureusement, j’ai eu du mal à m’accrocher au livre, l’intrigue et les idées de développement de l’histoire sont biens sur le papier mais il manquait ce petit quelque chose et surtout, ce qui m’a le plus dérangé, sont les façons de parler du petit frère autiste de Lori.

"La plus forte" est un roman qui m'a transporté, je l'ai dévoré.



C'est une lecture poignante sur l'acceptation de soi, l'art et la rébellion. Il pousse à la créativité, à se chercher, à devenir soi. Il pointe les différences, montre à quel point elles ne sont pas un frein, et nous montre la beauté du monde

Un feelgood qui traite de la grossophobie mais surtout du regard de soi sur son propre corps.

Des méfaits de la société sur la construction des ados dans un corps différents de la dite normalité.

On suit Lori dans une année charnière pour elle au contact d'un nouveau lycée, de son petit frère autiste, de la relation qu'elle a avec lui. Et puis surtout du regard de Jake qu'elle a du mal à a accepter. Avec tout cela elle doit s'affirmer dans son art et se construire.

J'ai passé un vraiment bon moment de lecture entre émotion et sensibilité.

Nous suivons à travers cette histoire le parcours de Lori dans sa quête de l’acceptation de soi. Mais pour y arriver, elle devra vaincre ses démons ainsi que tout ce qu’elle intériorise depuis quelque temps.



J’ai trouvé ce livre extrêmement touchant car on ressent au fil des pages la souffrance de Lori à la suite de son harcèlement scolaire et des conséquences liées au divorce de ses parents. Lori s’occupe constamment de son frère Zac, atteint de trouble neuro atypique sans l’aide ou même le soutien de ses parents.



J’ai beaucoup apprécié sa relation avec Jake qui va l’aider dans sa quête du bonheur et de l’amour de soi. Son amitié avec Thembi est très jolie.

Mon coup de cœur est pour la nouvelle psy de Lori qui est incroyable dans sa façon d’amener Lori à affronter son passé et ses cauchemars.



La plume de l’auteure est très jolie et j’espère avoir l’occasion de lire d’autres de ses œuvres. J’ai adoré les nombreux messages que l’on pouvait retrouver tout au long du livre.
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Un superbe roman young adult comme il m’avait manqué d’en lire.



J’ai tout aimé de ce roman : le personnage principal, une héroïne forte, artiste, sensible, avec du caractère ; une histoire d’amour naissante, entre deux adolescents qui ont bien plus en commun qu’ils ne pourraient le croire ; la présence du handicap, réaliste, juste, essentielle à rappeler, à montrer.



J’ai été touchée, par les personnages, par les complexes de l’héroïne, le harcèlement, la douleur, son besoin de hurler par l’art les mots qu’elles ne peut pas prononcer. Et la façon qu’elle a eu de trouver sa voie, et sa voix dans l’art, m’a beaucoup émue aussi.



J’ai aimé aussi qu’une aide psychologique soit présentée par ce roman, parce que parler de santé mentale dans un livre pour adolescents, et parler de la façon dont on peut commencer à guérir et s’en sortir, c’est lever tant de tabous, et montrer aux jeunes et aux moins jeunes qu’on peut s’en sortir. Qu’on a le droit de demander de l’aide, qu’on est légitimes, et qu’on le mérite. Et j’ai profondément aimé cet aspect.

Ce livre est génial. J'ai adoré le lire. J'ai adoré l'histoire avec les deux personnages principaux. Il y a une pointe d'humour, beaucoup d'amour ... Je recommande vraiment ce livre.

Tout d’abord je tiens à remercier Maryline et City Editions pour m’avoir offert l’opportunité de lire ce livre en m’accordant leur confiance.



J’ai terminé ma lecture il y a quelques déjà quelques jours, mais j’avais besoin d’un peu de temps pour me remettre de ma lecture. Non pas, que je n’ai pas aimé au contraire, j’ai passé un bon moment de lecture (après je ne suis pas difficile quand il s’agit de romance vous savez que j’en suis friande). Je ne sais pas trop par quoi commencer pour vous raconter mon ressenti, une chose est sûre, j’ai beaucoup ri pendant ma lecture le personnage de Lilly est juste énorme.



Lilly Swanson est une jeune femme de vingt-deux ans qui imaginait vivre une vie parfaite avec son beau fiancé Michael, blond et parfait, il ne lui manquait que la maison avec les barrières blanches et les 3 enfants 1/2. Mais elle vient de se faire abandonner devant l’autel le jour de son mariage devant plus de 500 invités. Elle pète les plombs et entre hystérie et crises de larmes, elle décide tout de même de s’envoler en lune de miel, puisque tout à été réglé pour l’occasion. Seulement elle partira seule, elle se rend à l’aéroport pour la Thaïlande afin de s’octroyer un nouveau départ dans la vie. Lilly est une sorte de catastrophe ambulante, après l’incident du mariage, elle accumule les accidents de parcours pour notre plus grand plaisir.



Sa première rencontre avec Damien Bishop, un magnifique baroudeur tatoué restera longtemps dans ma mémoire. Damien n’est pas vraiment un bad boy traditionnel, à part quelques tatouages il n’y a rien d’autres qui le rendent “bad” à mes yeux, je l’ai trouvé très gentil, respectueux et surtout très énigmatique, n’empêche que ça ne le rend pas plus foncièrement mauvais. Ce n’est pas comme s’il avait volé des choses ou profité de la situation. Oh non, bien au contraire !



J’ai énormément apprécié le voyage en Thaïlande, j’avais l’impression de m’y trouver. L’auteur a réussit à me donner envie de faire mes bagages et de me rendre à ce fameux festival “Burning Moon” alors que ce n’est plus vraiment de mon âge lol (je me vois mal crapahuter dans la jungle ou plonger d’une falaise).



Jo Watson est une auteur que je découvre, c’est en rédigeant ma chronique que j’ai découvert qu’elle avait gagné un award sur wattpad pour ce roman. Elle a une jolie plume fluide, c’est drôle, rafraîchissant, plaisant mais surtout totalement dépaysant ! J’ai passé un très bon moment et je ne regrette absolument pas d’avoir découvert ce roman.
Lien : http://thereadinglistofninie..

Une petite comédie à la fois délirante et touchante qui a remporté le Wattpad Award. Une auteur que je découvre pour la première fois. Et je dois dire que « Burning Moon » de Jo Watson fut une agréable surprise.



Lily Swanson a toujours pensé avoir une vision parfaite de la vie avec son parfait fiancé. Mais lorsque tous ses rêves se brisent en mille morceaux le jour le plus important de sa vie, elle réagit comme n’importe quelle femme qui est au bord de la dépression : faire ses valises, prendre un avion et profiter de sa lune de miel seule en Thaïlande. Et c’est là que la nouvelle vie de Lily commence avec cette rencontre chaotique….



Avec une plume fluide, nette et captivante, l’auteur nous offre une petite romance pétillante et rafraîchissante. Une intrigue menée avec finesse, intense en émotions et riche en situations cocasses. Une narration du point de vue unique de notre héroïne. Crise de fou rire garantie. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas autant ri. J’ai adoré être dans sa tête. Des sentiments qui sont parfaitement retranscrits. Un ton léger. Un très bon rythme où les pages se tournent d’elles sans que l’on s’en rende compte. Un magnifique décor entre la Thaïlande et l’Afrique du Sud qui vous fera rêver. On se laisse embarquer par ce passionnant voyage où Lily va prendre conscience que sa vie n’est pas finie mais qu’elle ne fait que commencer surtout grâce à sa rencontre avec l’énigmatique Damien Bishop.



Lily est une jeune femme épatante. On ne peut que s’attacher à elle. Pendant son voyage elle va vivre des situations des plus hallucinantes. Mais le fait marquant, c’est qu’elle va tout faire pour surmonter ce désastre et également faire le point sur elle-même et sur ce qu’elle veut réellement dans la vie. L’arrivée de Damien dans sa vie va éveiller en elle des sensations qu’elle n’aurait jamais pensé avoir. Mesdames ce spécimen va vous surprendre par bien des manières. Il est l’exact opposé de son genre d’homme. Et pourtant, elle va apprendre à ses dépends qu’il ne faut pas juger les gens sur les apparences.



En bref, « Burning Moon » est une charmante et délicieuse comédie qui fait un bien fou au moral. Jo Waston a réunis tous les ingrédients nécessaires : Humour, Romantisme et Passion pour que l’on passe un très bon moment de détente et que l’on retrouve le sourire.
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J’ai tout simplement adoré ! Je suis passée par pleins d’émotions différentes. Je me suis retrouvée plusieurs fois dans les propos de l’héroïne et ça m’a permis d’avoir un autre point de vue sur la situation et sur la vie en général. Un livre rempli de bienveillance et de positivité, ça fait du bien !



Les séances avec la psy de Lori sont vraiment top. Des métaphores sur les plantes qui sont remplies de sens… et également le fait que l’état de son mal-être (le déménagement) devient, au fil de la lecture, la meilleure chose qui lui soit arrivée…