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Critiques de John Grisham (1552)
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Le Cas Nelson Kerr

Super intrigue tout le long (80% du livre) mais déçu du dénouement de la fin qui s'est fait très rapidement et les derniers chapitres étaient ultra prévisibles. Mais pour tout le reste, il mérite d'être lu ! C'est sympa également de découvrir une athmosphère et des personnages différents des romans habituels de John Grisham.
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Le Réseau

Un Grisham déçoit rarement.

"Le réseau" n'échappe pas à la règle.

Cette suite de "La firme" se révèle bien construite. On retrouve la famille McDeere avec grand plaisir. Un peu comme si l'on revenait pour une semaine de vacances, dans une maison de famille où l'on a que de bons souvenirs. Rien à dire. L'émotion est là. Cette avocate retenue en otage par des terroristes en Libye vous tient en haleine. Mission accomplie.

Un bémol tout de même. Un seul. La fin aurait pu être un peu plus travaillée. Moins téléphonée. Je ne peux en dire plus au risque de dévoiler la fin du scénario.

3,5 étoiles sur 5.

N'hésitez pas à commenter cette critique.

Take care and keep reading !
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Le Droit au pardon

Est-ce que le meurtre peut être justifié dans certains cas ? On aurait tendance à dire que non, mais quand c’est un adolescent de 16 ans qui abat un homme violent et complètement ivre on pourrait être enclin à comprendre son geste.



Malheureusement pour le jeune homme l’homme qu’il a tué est un policier émérite, bien du cru et apprécié de toute la communauté locale. Personne ne lui fera de cadeau, surtout que la période des élections approche et que tous craignent que cette affaire joue en leur défaveur.



Dans Le droit au Pardon, Grisham nous propose une virée dans la rust belt Américaine ou les habitants se revendique aussi pieux qu’ils sont prompts a envoyé n’importe qui dans le couloir de la mort.



Misère, laissés pour compte, racisme, viol et violence en tout genre se découvriront devant nous à chaque page.



Plusieurs autres histoires secondaires vont venir enrichir cette trame narrative et on va se demander jusqu’au bout s’il va être possible d’obtenir un châtiment qui soit juste pour tous ou si les magouilles et divers jeux de pouvoir ne prendront pas le dessus.



Pour terminer je dois reconnaitre que j’ai fini par trouver le temps un peu long, car toutes les cartes sont en jeu assez vite et il y a peu de rebondissements. Je pense qu’un peu de concision aurait été envisageable. Mais cette abondance de détail permet d’ajouter au côté « réaliste » de cette histoire inventée.



J’ai particulièrement aimé les personnages qui, à mon sens, reflètent bien le genre humain dans tout ce qu’il a de plus détestable.
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Le Réseau

Je dois vieillir.

Sans être assurée d’avoir lu tous les livres de john Grisham, je ne peux qu’être déçue par ce dernier.

Comme d’autres, j’ai été attirée par l’appel de « la firme » qui m’avait laissé, en lecture comme en visionnage, de bons souvenirs.

Ici, le texte est plat, les dialogues ampoulés et l’absence d’intrigue criante. Je m’attendais à un revirement de situation en fin de livre: mais oui bien sûr, les terroristes n’en étaient pas - malgré les horreurs des meurtres- mais tout était lié à l’affaire bendini. D’ailleurs, mitch n’avait-il pas retrouvé lamar quin en début d’intrigue? Et ce rappel de M. Mansour, à la fin, concernant la connaissance qu’a le héros de grand caïman ?? Et bien non: les terroristes sont des terroristes, ils repartent avec un lot de cadavres et 85 millions de dollars. Quant au héros, il est « lavé » de l’argent sale piqué il y a 15 ans a des mafieux mais termine l’histoire en détournant de la clientèle…

Bref, je n’ai pas aimé !

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Pas de Noël cette année

Ce livre est tout simplement un téléfilm de Noël à lire. J'aime beaucoup le concept. Point de jeune femme déçue par Noël qu'un charmant jeune homme va draguer à coup de chocolats chauds. Mais un couple dont la fille unique est partie en mission humanitaire. Si le cynisme de monsieur est particulièrement déroutant, l'histoire n'en demeure pas moins drôle et addictive. Un ouvrage sans prétention.
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L'insoumis

Loin d'être un manifeste politique français, cet ouvrage de John Grisham, nous entraîne dans les méandres de la justice américaine.

En effet, Sebastian RUDD est un avocat des plus borderline, n'ayant pas de bureau fixe, un chauffeur-garde du corps-confident-adjoint et une addiction au whisky et au billard.

Ne traitant que des affaires potentiellement foireuses, il est le défenseur des causes perdues et des cas les plus improbables, mais il est loin d'être un Robin des Bois, tous ses services doivent être grassement rétribués, sauf s'il en décide autrement.

Ce qui est vraiment intéressant dans ce bouquin, comme toujours chez Grisham, c'est sa connaissance du milieu judiciaire et carcéral américain. Il nous permet de comprendre, dans ce livre, comment, en présence d'un jury, il est "aisément" facile de faire pencher la balance de la justice, d'un côté ou de l'autre. Comment un procureur, ayant mené son enquête de son côté et un avocat, ayant mené la sienne aussi, peuvent, dans le secret du bureau du Juge, arriver à un accord en catimini afin que justice soit rendue, enfin qu'elle soit rendue en droit américain, ce qui doit faire bondir bon nombre de nos robes noires.

Un très bon moment de lecture gratifié d'un préquel sur sa rencontre avec son partenaire.

A retrouver chez Le Livre de Poche
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L'Engrenage

Mais où est donc passé Grisham ?? Celui qui a écrit tant d'autres romans de qualité !!!

Dans cet ouvrage c'est des longueurs, des lourdeurs, des invraisemblances, des situations cousues de fil blanc, et ne parlons pas de la trame.

Très déçu, car quand on voit le niveau de certains livres, tels la firme, ou l'affaire pélican, par exemple, j'ai été très déçu.

À oublier, surtout si c'est votre premier roman de cet auteur
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Pas de Noël cette année

Ce livre découvert dans ma médiathèque m'a particulièrement surprise car je ne connaissais de John Grisham que le côté "romans noirs". Mais j'ai beaucoup aimé ce court roman évoquant la folie qui prend les américains au moment de préparer les fêtes de Noël… et j'ai été surprise par les sommes dépensées pour décorer les maisons et réaliser les réveillons les plus grandioses possibles (si les valeurs données sont réalistes).



Cela raconte l'histoire d'un comptable et de sa femme dont la fille unique vient de partir en mission humanitaire au Pérou. N'ayant pas envie de vivre un Noël sans elle, ils se mettent en pause de fêtes : pas de bonhommes de neige sur le toit, pas de sapin, pas de cartes de vœux, pas de sapin… A la place, ils décident, enfin surtout lui, de partir en croisière dans les Caraïbes avec un départ le 25 décembre. Jusqu'au retournement final dont je laisserai la découverte aux futurs lecteurs.



Ce qui est étonnant pour nous européen, mais qui me semble réaliste au vu de visionnages de documentaires ou de lectures, est cette frénésie pour avoir le titre du quartier le mieux décoré avec des traditions immuables dans chaque rue. Frénésie qui va mettre Luther et Nora Krank au ban de la société avec cartes de vœux anonymes, articles de journaux les qualifiant de traîtres… Comme si c'était un crime de ne pas vouloir fêter Noël (surtout sous cette forme)!



Vu l'auteur, c'est remarquablement bien écrit avec une gradation des transgressions du couple Krank qui nous fait entrer petit à petit dans cette aventure folle et très drôle.



Une lecture que je recommande même hors de la période des fêtes et plus particulièrement à celles et ceux qui détestent le côté commercial de cette période.

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Theodore Boone, tome 1 : Enfant et justicier

C'est le premier roman de Grisham que je lis. Comme il est destiné aux adolescents, il n'est peut-être pas caractéristique de l'œuvre de cet auteur.



L'idée de départ m'a paru intéressante : le jeune Theodore Boone, fils unique d'avocats, est passionné par le droit. Il donne des conseils à ses amis et va se trouver mêlé à un procès pour meurtre.



Mais j'ai été très vite déçue. Il n'y a aucun suspense, il n'y a pas d'enquête, la mise en place est très longue et il n'y a pas de fin. J'ai même regardé si les dernières pages n'avaient pas été arrachées !



Le personnage principal est un gamin parfait, lisse, propre sur lui. D'ailleurs, tout est lisse dans ce roman. Sont-ce les méfaits du politiquement correct américain ?

Tous les personnages sont plats, même le chien, qui aurait pu être un personnage sympa dans un roman pour ados. Il n'apparaît ponctuellement que pour manger des pâtes et du porridge.



Le seul intérêt de ce bouquin est son côté pédagogique pour qui est curieux du système judiciaire américain. On apprend même qu'il y a un tribunal pour animaux, chiens non tenus en laisse ou serpents s'échappant par les canalisations.



Est-ce suffisant pour retenir l'attention ?
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Le Réseau

Bon c'est la claque !

Ne vous fiez pas à l'astuce marketing (bandeau jaune) très trompeuse, c'est bien 'La Firme' le plus grand succès de John Grisham ; pas ce roman ci.



Je suis un grand fan de John Grisham et en particulier de la 'Fiction procédurale', j'ai lu presque tous ces livres

(et j'en garde même certains non lus juste pour le plaisir de les découvrir) mais je ne m'attendais pas à un tel vide scénaristique pour cette suite.

Il n'y a peu d'intrigue et ce roman laisse penser que Mitch et Aby ont réellement existé et que l'on fait un article dans un magazine people pour donner de leurs nouvelles.

Quelle déception !



J'ai même entendu récemment des interviews de John Grisham où les journalistes lui demandaient si Tom Cruise avait été contacté pour jouer à nouveau son rôle dans une suite au cinéma.

Ils n'avaient -bien sûr- pas lu le livre. Quel producteur pourrait parier un dollar sur ce scénario.

On se demande même comment son éditeur a pu lui laisser sortir ce manuscrit.

Et dire qu'il a fait relire 'La Firme' par un stagiaire pour vérifier qu'il n'y avait pas d'incohérence ou de doublon ; Bref à oublier très vite.



Je ne voulais pas critiquer cet auteur que je vénère mais eu égard aux nouveaux lecteurs qui commenceraient par ce livre, il faut éviter.

Lisez n'importe quel autre de lui mais pas celui-là. ("L'affaire Pélican", "Non coupable", "Le client", ""Le dernier juré" etc...)



Comme je n'avais pas envie de terminer sur cette note négative, je conseillerais de lire "L'Accusé", le seul roman de John Grisham qui n'est pas un roman

(dont Netflix a fait une série remarquable [l'accusé : Meurtre Et Injustice Dans Une Petite Ville (The Innocent Man )])

qui caractérise ce qu'est ce Grand Monsieur qui est très investi dans les causes perdues et les grandes injustices aux USA (et dans le monde) via "Innocence Project".
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Les Imposteurs

John Grisham dénonce les prêts étudiants mis en place aux Etats-Unis, il démonte le système, ses dérives et ses arnaques. De ce point de vue le sujet est intéressant.

Pour cela il développe l’histoire de 3 étudiants ayant contracté ce type de prêt pour une école de droit mal cotée qui ne permet pas d’accéder à un emploi suffisamment rémunéré pour rembourser le prêt dans de bonnes conditions. Affectés par le suicide d’un de leur copain, ils décident d’interrompre leurs études et proposent leurs services comme avocats (sans diplôme) pour des infractions mineures.

L’idée est séduisante mais j’ai trouvé la 1ère partie trop longue, sans relief et parfois laborieuse, il faut attendre les 2/3 du récit pour entrer pleinement dans l’histoire.

Ceci étant cela se lit bien mais on en attend plus de la part de John Grisham.

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Le Réseau

J'ai vraiment des doutes quant à l'auteur réel de ce roman. John Grisham m'avait habitué à beaucoup mieux. Dans LE RESEAU, jusqu'à la dernière page, on se demande à quel moment l'intrique va enfin se révéler; en vain ! Insipide, sans aucune morale, sans aucun lien avec la Firme. Vraiment déçu
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Le Réseau

Le réseau zéro.



Je n’ai jamais voulu lire John Grisham, n’étant pas un grand fan de thrillers et me méfiant de cet auteur mainstream pourtant si adulé. Bref, pas envie. Et puis Lyon, Quai du polar, une rencontre, la suite de La Firme, toussa, toussa : j’ai craqué. J’aurais pas dû !



Alors on me dira que son p’tit dernier, Le Réseau (traduit par Dominique Defert) est loin d’être son meilleur – ça, j’avais vite compris – et qu’il faut absolument réessayer avec tel ou tel autre best-seller du maître. Mais non.



Parce qu’à ce niveau de vide d’intrigue et de pauvreté de style (je m’en tiens là sinon je vais m’emballer), Grisham est manifestement devenu une marque qui se suffit à elle-même, une licence éditoriale comme nos amis américains savent si bien les exploiter, une machine à cash dans laquelle je ne remettrai pas un euro.



Et si bercé par le souvenir de Mitch et Abby dans La Firme, l’aventure vous tente de savoir ce qu’ils sont devenus, attendez la sortie poche. La déception aura un prix moins amer…

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Le Réseau

John Grisham est connu pour être un des maîtres du thriller judiciaire et il ne faillit pas à sa renommée avec Le réseau. Le héros de La firme, Mitch Mcdeere, réapparaît en 2005, soit 15 ans après les faits immortalisés par Tom Cruise dans le film éponyme. Cet avocat, désormais quarantenaire, est devenu associé dans un très grand cabinet new-yorkais. Il est chargé de représenter une société turque dans un litige qui l'oppose à la Libye dirigée par Kadhafi. Alors qu'il se rend sur place, sa collaboratrice est enlevée. John Grisham nous entraîne dans une haletante course contre la montre pour réunir les fonds nécessaires à la rançon. Le cabinet d'avocats comme les différents états concernés par cet enlèvement ne sont pas prêts à desserrer les cordons de leur bourse, d'autant qu'on ne sait pas qui sont les ravisseurs.

Avec John Grisham la partie juridique est, comme toujours, très détaillée. Sans doute un peu trop pour moi, mais ça n'a pas nui au plaisir de ma lecture. Les personnages sont parfois stéréotypés et je dirais très américains. Les nombreux associés d'un gros cabinet, toujours à la recherche du profit maximum, sont décrits avec mordant. Les politiques ne sont pas épargnés et l'auteur n'est particulièrement pas tendre avec certains diplomates britanniques. Avec Le réseau John Grisham dresse, une fois encore, un constat à charge de notre société.

Malgré des invraisemblances, comme dans tous les thrillers, j'ai dévoré avec beaucoup de plaisir celui-ci. Je pense que Le réseau, suite si l'on veut de La firme puisque le personnage principal est le même, mérite, lui aussi, une suite. Je l'attends avec impatience car, John Grisham comme moi, nous ne pouvons pas attendre 30 ans pour élucider les points restés dans le flou.

#Leréseau #NetGalleyFrance
Lien : https://ffloladilettante.wor..
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Le Testament

Je viens de m'apercevoir récemment que plusieurs romans de John Grisham trainaient dans ma PAL alors que globalement j'aime bien cet auteur. J'ai aussitôt remédié à cette bévue en dépoussiérant "Le testament". Quel plaisir de retrouver la plume de ce roi du thriller juridique, ancien avocat oblige... Tout son art s'exerce pleinement dans cet opus où un très, très gros héritage sème la discorde. Un mort richissime a décidé de léguer sa fortune à sa fille naturelle aux dépens de ses ex-femmes et de sa nombreuse descendance légitime qui a déjà bien assez profité de ses richesses de son vivant.



John Grisham sait mettre à portée de n'importe quel quidam tous les méandres du système judiciaire américain et les procédures (parfois vicieuses) utilisées par les avocats pour faire gagner leur clients et remporter aussi une part du pactole. Pour éviter la lassitude que cela pourrait engendrer, il n'hésite pas à utiliser quelques touches d'humour. Mais "Le Testament" ne se résume pas qu'à cela, c'est aussi un roman d'aventures très convaincant qui nous entraîne à la recherche d'une tribu amazonienne où exerce en tant que missionnaire, l'héritière désignée de la fortune colossale. C'est parti pour un voyage haletant et plein d'embûches entre Bolivie et Brésil sur une pirogue de fortune et dans une jungle peu accueillante. John Grisham met en balance deux mondes opposés : celui où l'argent règne en maître en avilissant l'être humain qui en veut toujours plus et celui de cette tribu où l'on vit avec rien loin de toute idée de richesse.



Mais ce que je retiendrai avant tout de ce roman, auquel j'accorde un 18/20, c'est surtout, avec le personnage de Nate O'Reilly, cet avocat alcoolique mis sur la touche et chargé de retrouver l'héritière, la formidable aventure humaine qui y est proposée.
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Le Réseau

Ayant lu La firme, j’ai voulu lire la suite des aventures de Mtichell McDeere. J’avais bien aimé le premier roman, je l’ai trouvé intéressant, et j’avais hâte de voir ce que nous avait concocté John Grisham comme suite. Je m’attendais un peu à une histoire de revanche, retrouver des anciens personnages comme l’agent du FBI, je m’attendais à un énorme retournement de situation.

Dans ce roman, nous retrouvons Mitch, quinze ans plus tard, qui vit avec sa femme Abby à Manhattan, où il travaille dans le plus grand cabinet international d’avocats. A la demande d’un associé, Mitch accepte de partir en Libye et se retrouve au centre d’un sinistre complot aux implications mondiales qui met en danger ses collègues, ses amis et sa famille. Va-t-il réussir à contrer de nouveau ses adversaires ?

Finalement, c’est une toute autre histoire que nous avons là, rien à voir avec le premier roman. Ca se lit plutôt bien, mais il ne faut pas s’attendre à quelque chose de grandiose non plus. Des fois même, j’ai trouvé que c’était un peu tiré par les cheveux, certaines scènes sont un peu trop évidente. Je n’ai pas ressenti de grandes émotions en lisant ce livre, moi qui m’attendais à un énormément rebondissement, finalement, rien de tout cela. Après, je me suis plus attachée à Abby, sa femme, à son manière de penser, de voir les choses, sa manière d’être. C’est vrai, qu’en réfléchissant, je me suis plus intéressée par les protagonistes féminines. Comme l’otage en question, une belle italienne aux atouts charmeurs. On a un petit chapitre où elle prend la parole, où elle exprime ce qu’elle ressent pendant sa prise d’otage, et je pense que j’aurais aimé en savoir un peu plus sur elle. En fait, je trouve qu’il manquait plusieurs éléments accrocheurs pour que l’on soit réellement dedans. Mais dans tous les cas, ce n’est que mon avis, et si l’envie vous dit de le lire, je vous laisse donc le bénéfice du doute. Mais je vous conseille de lire la Firme en premier si vous ne l’aviez pas lu, pour tout bien comprendre et ne pas être déçu en premier lieu.
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Son nom sur la liste

Lecture fluide avec toujours une belle plume, mais ne vous attendez pas à de gros rebondissements. Dans cette histoire, c'est surtout le côté judiciaire qui est intéressant. Après, connaître dès le départ le meurtrier pourrait faire perdre l’enthousiasme du lecteur, mais il y a quand même un suspense et une course contre-la-montre, car on veut savoir comment tout cela va se terminer.
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Le Droit au pardon

Bonjour les petits bouquineurs,



C’est avec énormément de plaisir que j’ai reçu dans le cadre de la masse critique mars 2024 « le droit au pardon » de john Grisham aux éditions audiolib.



Une première fois pour moi , cette découverte de lecture qui m’est faite par un talentueux comédien et doubleur Stéphane ronchewski, dont la voix m’a portée tout au long du récit. Quel travail et quelle prestation pour accompagner cette histoire et ces personnages.



Me voici dans le Mississippi, les années 90… je rencontre dans une contrée lointaine dans l’espace et le temps, l’avocat Jake brigance et tous les protagonistes de l’affaire, confrontés à l’assassinat d’un policier exemplaire en service et maltraitant dans sa famille. Un soir, une scène de violence supplémentaire terrasse Josie, sa conjointe, qui reste à terre et pour morte. Son fils, par crainte de nouvelles violences, réagit et passe à l’acte, il n’a pas 18 ans.

Démarre alors la grande machine de guerre judiciaire, pour punir ce garçon comme il le mérite et le condamner à la peine de mort. John Grisham, ancien avocat, tisse alors subtilement le récit de ce qui se passe jusqu’au verdict.

Précis et humain, il met en lumière les émotions, les questions, les ressentis, les vécus, au sein de toute cette histoire judiciaire. Loin d’un écrit moral ou défendeur d’une idée, l’auteur propose au lecteur de s’interroger, se questionner face à ce drame.

Le texte lu et raconté, propose un autre chemin de lecture, et m’a interpellée moi lectrice, d’une autre façon que si je l’avais lu par écrit. La voix qui raconte apporte des sensations différentes alors que l’histoire est la même. Les ressentis proposent une autre façon de recevoir les mots et l’écriture je pense mais C’est une très belle expérience.



Un grand écrivain que John Grisham, mais qu’il est toujours formidable de lire à nouveau. Je n’ai pas lu les autres récits qui mettent en scène l’avocat Jake brigance, mais cela me donne l’envie de découvrir les autres tomes.

Bien plus qu’une plaidoirie, ce livre là est une pépite d’écriture sur une aventure humaine dramatique, les vécus de la violence intra familiale, les préjugés, l’humain.

Un petit regret que le récit, parfois un peu long, soit assez factuel, ou simplement présenté de la vision du personnage central. À aucun moment on n’approche une vision de l’accusé ou de sa famille. Ceci m’a d’autant manqué que les victimes, car elles sont plusieurs, sont présentées soumises, juste victimes face à l’injustice et la violence.

Une histoire humaine qui nous tient en haleine jusqu’au bout, une réflexion qui bouscule le lecteur et une écriture fine, humaine, qui transporte le lecteur littéralement. Un grand récit, à ne pas manquer , tout en nuances et qui marque.



Résumé : « Clanton, Mississippi, 1990. Jake Brigance est impliqué dans une affaire qui soulève la controverse lorsque le juge lui demande de défendre Drew Gamble, un garçon timide de seize ans, accusé d’avoir tué un policier local. La majeure partie des habitants réclament un procès rapide et la peine de mort, mais Jake creuse et découvre que l’histoire est plus complexe qu’elle n’y paraît. Son combat pour que Drew échappe à la chambre à gaz met en grand péril sa carrière, ses finances, et la sécurité de sa famille.



Un thriller mené tambour battant, aussi haletant que poignant, empli d’intelligence et – surtout – d’humanité »
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Le Réseau

Décevant du début à la fin! j ai dû vérifier le nom de l’auteur maintes fois pour m’assurer que je lis bien un J. Grisham!! Totalement ridicule de le comparer à la Firme, insensé de comparer l’incomparable! Je vous le dis comme je le pense ! C'est d'une nullité absolue! il n’y a pas de littéraire là-dedans mais l’esprit mercantile est bien là !! Je me demande ce qui est arrivé au mental de notre juriste romancier pour pondre un truc aussi rabaissant! il aurait été mieux pour lui de savoir s'arrêter et tirer sa révérence en beauté avec Son nom sur la liste et Le droit au pardon ! Pourtant il semble bien décidé à ``écrire chaque jours``, comme il dit ! .. Je veux bien et nous aimerons bien ...Mais si c’est pour accoucher d’ un truc aussi vide que The exchange (Le Réseau), Please STOP ! Toutes mes pensées vont finalement aux pauvres lecteurs qu’ils apercevront, hélas !, trop tard que leur argent a été jeté par la fenêtre ..pour finalement atterrir dans les poches de l’éditeur grand (et seul !)gagnant dans l’affaire !
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Le Droit au pardon

Ce qui étonnant avec Grisham, c'est cette faculté qu'il a de vous faire lire 700 pages de démêlés juridiques et policiers sans jamais susciter l'ennui. En tout cas, ça marche avec moi. Pas de suspense dans ce livre, le coupable et la victime sont déjà connus et bien cernés dès les premières pages. Mais la description des manœuvres de l'avocat pour sauver son client sont plutôt intéressantes : le choix des jurés, la dissimulation de la grossesse de Kiera, la préparation des témoignages...Tout cela se déroule dans une Amérique rurale et conservatrice très bien décrite par l'auteur ce qui constitue un autre aspect extrêmement intéressant de ce livre. Grisham reste pour moi une valeur très sûre.
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