John Grisham

Cette fois encore, dans Les Partenaires, ­Grisham nous captive grâce à une intrigue simple et efficace, relevée d'un humour volontiers ravageur.
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Après avoir été exclu des compétitions de football américain aux états unis, le héros fini par accepter un engagement en Italie, bref c'est comme si vous acceptiez un poste dans le tiers-monde. Mais il arrive, à travers les victoires de cette équipe d'amateur à reconstruire sa vie.

On n'est pas du tout dans la même thématique procéduriale et policière des romans qui ont fait la célébrité de l'auteur.

Mais ça se laisse lire sans ennui.

Par contre, révisez votre football américain avant si vous voulez vibrer au plus fort de l'action.

Alors qu’il purgeait une peine de 20 ans de prison pour avoir tenté de vendre à une puissance étrangère un logiciel capable de neutraliser des satellites espions inconnus, Joël Backman, ancien avocat d’affaire et lobbyiste riche et redouté, est libéré de façon très anticipée (14 ans avant terme) suite à une grâce extorquée par la CIA au Président des Etats-Unis et aussitôt exfiltré vers Trévise, jolie ville italienne. En fait, la CIA veut se servir de lui comme d’appât pour savoir qui des Israéliens, des Russes, des Saoudiens ou des Chinois va le tuer…

Sur un canevas de départ plutôt alléchant, on s’attend aux péripéties habituelles propres au thriller et… on reste sur sa faim. Il ne se passe rien dans ce livre, pas d’action, pas de rebondissements, quelques révélations assez invraisemblables et une fin plus que convenue. Il faut attendre les trois quart du livre pour entr’apercevoir un petit peu les « méchants » tueurs à gage, lesquels ne tentent pas grand-chose et n’arrivent à rien face au génial héros. Le lecteur en est réduit à un ennui total au fil de descriptions sans intérêt : Backman apprend l’italien, Backman visite Trévise, Backman déguste des tortellis, Backman va à Bologne, Backman va à Modène, à Milan, s’entiche de sa prof d’italien, se grime un peu et finalement tire sa révérence. Pas de nerf, pas d’action, pas de suspens, rien.

On peut faire un détour… Je ne comprends décidément pas le succès de cet auteur de soi-disant best-sellers vendus à des millions d’exemplaires. Son premier opus « La Firme » m’avait semblé tout juste moyen, « L’affaire Pélican » était embrouillée et assez médiocre, celui-ci est encore pire…
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J'aime beaucoup ce qu'écrit John Grisham. Ici, le livre est destiné à un public jeune. Et c'est une belle réussite. Pas de violence, une approche du monde de la justice, des tribunaux, des procès.

Pas mal du tout.

Un arnaqueur se prétend en partie amérindien pour ouvrir un casino ; la famille d'un homosexuel blanc atteint du sida demande à une vieille femme noire de le soigner jusqu'à sa mort... Ces sept nouvelles se déroulent dans l’Etat du Mississipi ce qui confère un climat particulier à ces chroniques. Nous y retrouvons tous les travers de l'être humain : violence,...

Beau combat contre les dérives du système américain mais il manque un peu de peps.

[..] l'auteur, l'ancien avocat, membre de l'organisation Innocence Project qui se bat contre la peine de mort et la réhabilitation des innocents condamnés, connaît son sujet. La façon dont il conduit son récit rendrait abolitionniste le plus sanguinaire des républicains.
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Grisham, as du thriller juridique, qui livre ici sa 24e production, ne s'est jamais révélé aussi maître de son art. Il conte avec verve l'iniquité d'un système, dénonce comme en haussant les épaules, marie l'épique, le tragique et l'ordinaire avec son bel art de la narration coutumier
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j'ais vu le film et je veux absolument lir le livre

Pas terrible ce livre, sur la fin on dirait que l'auteur ne sait plus quoi raconter et bâcle. l'idée de départ était intéressante pourtant. A été lu en une journée. Déçue...

John Grisham rompt vraiment avec ses historiques juridiques en s'offrant cette pose d'humour. L'histoire est bien menée, amusante. Ceux qui, comme moi, ne supportent plus l'aspect commercial de Noël, y trouveront sans doute leur plaisir.

La fin, ma foi tout à fait surprenante, m'a bien plu.

Grisham nous livre ici comme à son habitude un livre efficace, dès la première page nous sommes happés par l’histoire. Le jeune diplômé de Yale dont le passé est synonyme de sexes, alcools, drogues, est contraint de céder à un chantage, il va très vite endosser le costume sombre du collaborateur dans un grand cabinet d’avocats. Sur-facturation et manque de moralité vont devenir son quotidien, sous la pression il va devoir divulguer des informations confidentielles. Mais Kyle ne peut pas trahir ses employeurs, avec l'aide du FBI il tentera de mettre fin à cette situation . On se laisse très vite prendre au jeu, jusqu'au bout on suit ce jeune avocat en échafaudant toutes les hypothèses possibles et imaginables en attendant le dénouement. Très vite il devient impossible de refermer ce livre.



Une affaire passionnante d’espionnage industriel, malheureusement la fin de l'histoire est bien moins travaillée, voir bâclée , beaucoup de questions restent en suspend , toutes les hypothèses qui ont été échafaudées tombent à l'eau . L'auteur avait-il déjà en tête le scenario d'un second opus.


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