Citations de Kaoru Mori (326)
La spécialité de Pariya c'est le pain...
- Si seulement tu pouvais mettre un peu ce don à profit...
- Et si j'ouvrais une boulangerie ?
- Non. Pour trouver un mari, je veux dire !
- A ton tour... Parles-moi un peu de toi ! J'ai envie de mieux te connaître !
- Tu sais... Je n'ai pas grand chose d'intéressant à raconter...
- Mais si ! Tiens... dis-moi ce que tu aimes !
- Voyons...
(Shirin réfléchit...)
- ... La pastèque !
- La pastèque ?
- Généralement, je dois partager avec toute la famille et il ne m'en reste pas beaucoup... Mais, de temps en temps... Quand il n'y a personne, j'en mange une à moi toute seule !
- Une entière... Tu veux dire ?! Impressionnant !
- ... J'en choisis une grosse que je coupe en deux... Puis en quatre... J'en prends une part à deux mains... Et je croque dedans à pleines dents !
- Comme ça directement ?
- Ben... Vu qu'il n'y a personne. J'aime la texture un peu craquante de la chair... Et aussi le jus rouge et sucré... Qui jaillit à chaque bouchée... J'ai beau en avoir plein le menton et les mains... Je n'y prête pas attention... Quand j'ai mangé plus de la moitié du fruit... J'ai l'impression que le sang dans mes veines s'est changé en jus de pastèque ! Mais je continue quand même... Jusqu'à boire les dernières gouttes qui reste sur la peau !
J'aime beaucoup ça... Faire ce genre de petite folie... Pour moi, c'est un vrai bonheur !
- Tu as mauvais caractère ?
- Quoi ?! Non ! [...] Ça, c'est ce que les gens disent !! Mais bon, ils n'ont pas tout à fait tort ! Je sais bien que mon comportement... laisse un peu à désirer !
Talas : Au fait, pourquoi est-ce que ces villageois vous appelaient "docteur" ?
Smith : Ah ça ! Eh bien… Comment dire… Ils n’ont pas l’habitude des visages comme le mien. Alors que pour ne pas leur inspirer de la méfiance, on a décidé de me faire passer pour un médecin ! Pas vrai Ali ?
Ali : Mais vous en êtes un ! Vous n’avez jamais tué de patient, après tout…
« Coudre en discutant ou filer la laine entre deux tâches, cela s’inscrit dans le quotidien, comme une évidence. C’est, en d’autres termes, un mode de vie. » (p. 167)
Que t'accompagnent bonheur et fortune....
Que sur toi veillent de jour, les astres, de nuit, la lune !
Tu me plais de plus en plus. A bien y regarder, même tes cheveux en bataille et ton regard terne ont un certain charme !
Je ne suis jamais tombé malade...et même si ma famille n'est pas très riche, j'ai bien l'intention de travailler dur pour gagner beaucoup d'argent!
Je ne peux rien changer à mon visage...mais si c'est des moutons que tu souhaites, je t'en achèterai...et je veux bien faire ce que tu me demanderas, dans la mesure du possible!
- Vraiment?
-Oui! Alors ne dis pas que ça revient au même! Et moi aussi, je tâcherai de te considérer comme quelqu'un de différent de ta soeur!
Karluk : Est-ce que tu veux le garder ?
Amir : Non... Impossible ! C'est un oiseau, il est fait pour voler dans le ciel... Rester cloué au sol, incapable de se nourrir lui-même ce ne serait pas une vie pour lui ! Hors de question...
– Excusez-moi... Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
– Il voudrait que je lui donne Talas pour le second mariage de son fils... Mais il cherche seulement à économiser une dot... Pour lui, c'est juste l'occasion d'obtenir une bru gratuitement ! Ca n'aura de mariage que le nom ! Ils la traiteront comme une servante !
- Les dames sont plus difficiles à comprendre que le latin.
La première moitié du XIX° siècle a vu l'introduction de nouvelles techniques par le biais de l'industrie.
Montée en puissance des commerçants, élévation du niveau de vie, société, économie, mentalité, mœurs, une évolution sur tous les plans.
Les aristocrates, dans une position jusque-là sans conteste, subissent également cette évolution. Submergés par la vague du changement, ruinés, certains se voient contraints de se séparer de leurs belles demeures.
Et ce sont des familles nouvellement riches qui leur succèdent et reprennent ces bâtisses.
Mr Smith _ Pour ces peuples... qui autrefois vivaient en nomades...les séparations sont quelque chose d'inévitable...
Ils ne rejettent aucun visiteur... et ils disent adieu avec la même facilité.
_ La situation... s'est vraiment envenimée avec ceux du nord!
Ils arrivent après nous, et ils voudraient... qu'on abandonne nos moutons pour cultiver des champs ?
_ Et puis quoi encore ?!
Je ne vais pas t'aimer d'avantage si tu es fort, ni cesser de t'aimer si tu es faible ! Ça ne marche pas comme ça ! Même les loups ont besoin d'être nourris par leurs parents quand ils sont petits et perdent leurs forces avec l'âge... mais ils n'en restent pas moins des loups beaux et fiers !
William: Allez, j'emprunte ces livres et on rentre! Tu viens?
Hakim: Tu ne prends pas celui-là? (revue un peu... coquine)
William: Bien sûr que non, gros nigaud!!
Hakim: Nigaud?
_ Est-ce qu'il est arrivé quelque chose? Ces derniers temps, on dirait qu'Amir cherche à éviter Karluk! Elle est peut-être mal à l'aise avec lui, même si au fond, elle ne le déteste pas...
_ C'est vraiment sa femme, à présent!
_ Je vois...
Il me resterait encore tellement de choses à dire, mais je n'ai plus le temps... Mon rôle s'arrête ici ! Même si vous n'êtes pas parfaites... Vous êtes mes filles chéries, et j'ai investi en vous tout ce que j'avais en moi !
Si nous avons la chance de nous revoir,
d’ami en ami, chantons et discutons jusqu’au soir,
pour que toutes les bonnes choses te rendent visite bientôt,
et que toutes les fortunes viennent embellir ta traversée comme les étoiles protègent la journée,
et la lune chasse la nuit de tout danger.
Le cheval a beau être du bétail, il est aussi plus que ça car si notre fortune à nous autres nomades se mesure au nombre de moutons qu'on possède c'est du nombre de chevaux qu'on tire notre fierté.