Kaoru Mori

Tant que je me marie je suis contente, mais si c'est avec lui c'est encore mieux.

Une dame a besoin d’un adorateur, d’un chevalier servant prêt à se jeter dans les flammes pour sa dulcinée…
J’ai épousé celui de mes soupirants qui s’en rapprochait le plus !

On ne prend presque pas de gibier en hiver
Mais je sors quand même chasser
pour ne pas perdre la main
pour promener Sulkik
pour voir le monde fondu en une immense mer blanche.

Emma _ J'aimerais bien avoir un mouchoir en dentelle
William _ Un mouchoir? c'est bien ça ? aucun problème ! 100 ou 200 mouchoirs, si vous voulez !
Emma_ Euh, non un seul suffira amplement...

Les choses vont rarement comme on le souhaite, dans la vie... mais ça n'empêche pas qu'une femme devrait avoir le droit au bonheur !

"Voler en cas de besoin , ça ne me dérange pas... c'est comme ça qu'on a toujours vécu! Si on gagne, on remporte gros... si on perd, on se fait dépouiller, voilà tout. Mais on devrait lancer l'attaque par nos propres moyens! Si les Berdan sont assez riches pour acheter ces armes, pourquoi est-ce qu'ils perdent des bêtes en hiver? Les Russes les leur ont données pour qu'on s'entretue, c'est évident! Aussi vrai que le cheval parcourt la steppe et l'oiseau le ciel... nous ne sommes à la botte de personne et nous n'allons certainement pas mourir pour servir les Russes!" # Azher

- A vrai dire... je ne me rappelle pas très bien... Mais je crois que quelque chose m'est rentré dedans !
- Il s'est pris un poisson dans la figure !
- Heureusement qu'on passait dans le coin par hasard...
- Un poisson ? A deux mètres du sol ?
- Les poissons volants, ça existe ! Celui-ci devait avoir envie de se dégourdir les nageoires !

Il paraît qu’un nouveau bonheur se trouve dans un nouvel endroit.

N’allez pas croire que je cherche à vous encourager dans cette voie envers et contre tout.
J’ai par ailleurs le plus grand respect pour les maisons telles que la vôtre et je pourrais aisément vous conseiller de "cesser ces inepties"…
Sauf que je suis moi-même quelque peu agacé par l’importance qu’accorde de pays au statut social…

"Moi aussi, je veux vous voir. Vous me manquez terriblement. J'aimerais vous retrouver tout de suite, à Haworth, à Londres, ou n'importe où ailleurs. A chaque fois que je pense à vous, je sens ma gorge se nouer, sans savoir si c'est de joie ou de chagrin... Je vous aime du fond du cœur. C'est la vérité." # Emma

XIXe siècle... Asie Centrale... Un vaste désert de steppes et de montagnes constellé d'agglomérations autour desquelles les voyageurs établissaient des campements. Vendeurs de denrées recherchées par les sédentaires... Les nomades étaient à leur tour attirés par les produits de la ville. Partout, l'information circulait autant que les marchandises. De même que les rumeurs plus ou moins lointaines d'une invasion russe.

L'Angleterre est unie, mais il y a en son sein deux pays... La bourgeoisie et ceux qui n'en sont pas. La langue est peut-être la même, mais ce sont deux pays différents.

Quand les jeunes mariées partent dans leur nouvelle famille elles emportent avec elles tout leur linge de maison, qu'elles ont passé des années à orner de broderies... Ce travail de couture commence bien en amont du mariage et elles ne peuvent pas prendre d'époux avant qu'il soit terminé. Naturellement Pariya aussi avait entamé ses préparatifs mais comme son travail est parti en fumée lors de l'attaque des nomades, la voilà obligée de tout recommencer.

la mère des jumelles : Alors la discussion avance ?
le père des garçons : Eh bien pour être franc...
le père des jumelles : Je comprends votre position, mais...
le père des garçons : Si seulement vous pouviez nous faire quelques concessions...
le père des jumelles : He ho !
le père des garçons : On a déjà cédé sur beaucoup de choses... C'est vous qui vous obstinez !
la mère des jumelles : D'accord, j'ai compris... Vous poursuivrez plus tard ! Mais passons au principal... Qui va épouser qui ?
le père des jumelles : Euh...
la mère des jumelles : Ne me dites pas que ce n'est pas encore décidé ? !

La spécialité de Pariya, c'est le pain...

- Si seulement tu pouvais mettre un peu ce don à profit...
- Et si j'ouvrais une boulangerie ??
- Non, pour trouver un mari, je veux dire !

A la mort de quelqu’un on se demande si sa vie a été heureuse, si elle valait la peine d’être vécue… Je veux mener une vie qui en vaille la peine, alors je ne ferai que des choses qui auront de la valeur à mes yeux !

– Tu es un homme étrange… Pourquoi te soucier d’une vulgaire courtisane ?
– Et toi, alors ? Pourquoi tu restes avec un vieillard ?
– Parce que j’aime les hommes à barbe !

Mr Jones _ Nous avons nos entrées au sein de l'aristocratie alors que nous n'avons aucun titre de noblesse
Sais-tu pourquoi ?
William _Grâce à notre fortune ? C'est l'une des raisons
Mr Jones _ Mais il y en a d'autres plus importantes
Notre dignité, notre sagesse et notre courtoisie et l'endroit où celles-ci sont mises en valeur... C'est dans la haute société.
Nous les classes supérieure, nous sommes hissées vers celle-ci. Tu le sais, n'est-ce pas ?
Nous devrions normalement accepter toutes les invitations que nous recevons ceci fait aussi partie de notre travail.

- Pas la peine d'insister ! Je ne me marierai jamais ! Je parie que même si on parvenait jusqu'à la cérémonie, mon fiancé changerait d'avis à la dernière minute, les musiciens se perdraient en route, le banquet serait brûlé et l'âne aurait mal au ventre !

On te demande ce dont tu as besoin, pas ce dont tu as envie.