Kelley York

Hunter et Ashlin, demi-frère et demi-soeur, passent tous les ans un peu de temps chez leur père. Petits, ils y ont rencontré Chance qui est rapidement devenu leur meilleur ami. Après deux ans d'absence suite à l'accident de leur père, Hunt et Ash retrouvent celui qu'ils aiment tant. Mais ils ont tous les trois grandi.



Attention, mesdames, mesdemoiselles et messieurs, avec Sous la même étoile, je pourrais vous en faire un livre, de ma critique ! Ce roman est une pépite, un trésor, un chef d'oeuvre, parfait, sublime, merveilleux, et j'en passe. Les mots me manquent véritablement pour qualifier ce roman presque inqualifiable qui a produit en moi des émotions inqualifiables avec un plaisir tellement grand qu'il est inqualifiable. Je me répète ? Oui. Mais même si je vous avais promis un roman quelques mots plus haut, en fait, je ne sais pas par où commencer, quels mots utiliser, quoi dire, quoi garder secret ; bref, comment vais-je donc bien pouvoir décrire ce qui est sans aucun doute l'une des meilleures lectures de cette année ou de toute ma vie entière (rien que ça) ? Bon, commençons pas le début : la couverture. "Mouais." Elle ne m'avait pas transcendé en rayon. Deux garçons, une fille, plus âgés que des humains prépubères, allongés dans l'herbe, sans doute un soir. Une romance pour ado avec des ados et des coups de coeur banals dignes des ados ? Non, ça ne présageait rien de bon du tout. Au dos du livre, car je lui ai quand même donné une seconde chance en lisant la quatrième de couverture, quelques mots rapides, un peu flous, pas trop explicites mais déjà très intrigants ; ça donnait quelque chose comme : Ashlin et Hunter doivent protéger celui qu'ils aiment tous les deux. Tous les deux ?! Ni une ni deux et tout compte fait, j'ai pris Sous la même étoile avec moi. Il ne m'en fallait pas plus. Celui qu'ils aiment tous les deux ? Alors Hunter, le demi-frère, serait amoureux de Chance, un garçon ? Bon, je dois avouer que mon petit faible pour les histoires homosexuelles et de découverte de l'amour et de la vie a agi bien malgré moi. Dit comme ça, ce n'est pas très vendeur, je ne vous le fais pas dire, mais si vous avez parcouru mon blog, vous avez sans aucun doute lu ma critique de Aristote et Dante découvrent les secrets de l'univers qui raconte... une certaine histoire (certains considèrent cette phrase comme un spoil, d'autres non, ne m'en voulez pas). J'avais adoré ce sublime roman pour ados. Se pouvait-il alors que Sous la même étoile me réserve bien des surprises à son tour ?



Le triangle amoureux que laisse présager la couverture de Sous la même étoile s'efface rapidement pour laisser place à deux personnages de façon plutôt inattendue et donc, passionnante. Rien de tel en effet que l'effet de surprise. Mais Chance est un personnage mystérieux, voire parfois carrément mytho et nous, lecteurs, sommes alors en droit de reconsidérer ses déclarations et le moindre de ses faits et gestes. Plane alors tout au long du roman quelques secrets qui nous tiennent en haleine. Même si un ou deux d'entre eux sont totalement prévisibles, nous pouvons nous demander si l'auteur n'a pas volontairement brouillé les pistes entre les personnages mêmes afin que, de notre point de vue omniscient, nous puissions comprendre quelques éléments qui viennent se révéler à Ashlin et Hunter quelques chapitres plus tard. D'ailleurs, chacun des chapitres laissent un personnage s'exprimer, parler de la situation, de son point de vue, de ses sentiments. Ces chapitres qui s'enchainent de façon captivante ne sont pas redondants pour autant, les personnages ne revenant pas sur la situation dont parlait son ami dans le chapitre précédent pour en faire un remix de son propre point de vue, comme certains tomes de sagas épuisées et épuisantes. Non, l'originalité réside justement dans le fait que les chapitres se complètent habilement. Il en est de même des personnages qui représentent alors chacun la pièce d'un puzzle très très malin, intelligent voire complètement jouissif.



Les apparences laissent croire que tout va bien dans le meilleur des mondes entre ces trois potes, malgré Rachel, malgré les mères absentes sauf lorsqu'on dit du mal d'elles, malgré le froid dehors... Mais cette hiver-là, Ashlin, Hunter et Chance ont grandi et la frontière entre amour et amitié devient indéfinissable. le genre de Sous la même étoile est lui-même indéfinissable. Romance pour ados ? Roman d'aventures pour ado ? Tranche de vie ? Ou encore, un thriller ? Car OUI, Sous la même étoile cache un énième mystère sans pour autant faire du roman quelque chose de lourd et de compliqué, les secrets se dévoilant les uns après les autres tout en douceur. Ce mystère, c'est un meurtre. Mais je n'en dirai pas plus. Car c'est à ce moment-là que l'histoire atteint son paroxysme, que notre esprit entre en ébullition, notre coeur aussi, déjà tellement bousculé et attaché aux personnages, ce moment-là où on lit encore plus vite qu'avant, qu'on pousse encore plus de ho et de ha durant notre lecture, qu'on nous surprend encore plus qu'avant et qu'on trépigne encore plus brusquement. Jusqu'à la fin. Jusqu'au tout dernier chapitre durant lequel l'auteur laisse la parole à Chance pour la toute première fois. Chance qui va alors apporter les réponses que l'on attendait. Chance qui va nous surprendre bien plus qu'on ne se l'était imaginé. Chance qui va pousser le roman encore plus loin dans sa force, dans sa sensibilité, pour nous retrancher, lecteurs, au plus profond des émotions qui nous submergent bien malgré nous. Et nous refermons le livre, pas du tout indemnes dans notre tête et dans notre coeur.



J'accorde ★ ★ ★ ★ ★ à Sous la même étoile, bien qu'il n'existe pas assez d'étoiles au monde pour noter ce roman époustouflant. Je l'ai terminé il y a une semaine et toutes mes lectures sont désormais un peu fades ; il leur manque clairement quelque chose. Chance ? Car comme le dit Hunter dans les pages du livre, Chance "obsède les autres", les autres personnages et les lecteurs. Il m'est même arrivée, j'avoue, de rêver de Sous la même étoile après avoir lu un soir un bon paquet de pages du roman avant de m'endormir. Chance fait partie de ces rares personnages tellement forts et touchants que l'on souhaiterait qu'ils soient faits de chair et d'os et non d'encre et de papier pour croiser leur chemin dans le monde réel. Sous la plume de l'auteur, les personnages de Sous la même étoile ne ressemblent à aucun autre personnage de roman pour ados, les situations sont touchantes et remplies de sensibilité et le livre contient bien des surprises qu'on n'a jamais lues jusque là. Sous la même étoile est aussi rare dans le paysage littéraire que puissant. Un pur bonheur de lecture, beau et déchirant à la fois.
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Après avoir terminé le lycée, Hunter et sa demi-soeur Ashlin prennent une année sabbatique et retourne habiter chez leur père. Là bas, ils retrouvent Chance, un garçon fantasque avec qui ils passaient tous leurs été enfants. Mais derrière l'extravagance du jeune garçon, ce cache une partie noir, une sombre vérité que Ashlin et Hunter vont découvrir.



Je suis un peu déçu de ce livre. J'ai trouvé que l'intrigue à mis énormément de temps à se dévoiler. Certains éléments étaient certe important pour la suite mais je me suis vite lassé de la lenteurs du début. Dès que il y a eu de l'intrigue j'ai dévorer les pages. C'était très intense en émotions. J'aurais aimé une fin un peu plus joyeuse mais pour ceux qui aiment les sad end vous allez adorer.



J'espère que je relirais ce livre et que je l'apprécierais à ma deuxième lecture.

Le roman est très court (288 pages) et se lit très vite ! D’ailleurs, je l’ai commencé vers 11H du matin pour le finir dans l’après-midi ! C’est le genre de roman qui à mon sens, si on ne le lit pas d’une traite, il est difficile de le continuer parce que psychologiquement très dur mais il vaut le détour !



Notre narrateur Vincent est malheureux. Il n’a pas de parents puisqu’abandonné à la naissance et fut trimbalé de famille d’accueil en famille d’accueil. Finalement, c’est auprès de Maggie qu’il trouve une « famille » ou tout du moins une raison de rester en vie. Mais lorsque cette dernière décède d’une crise cardiaque, il se dit que finalement, il n’est plus personne, que plus personne ne tiens à lui … Il s’inscrit donc sur un forum particulier : Suicide Watch. Forum qui réuni celles et ceux qui ont décidé d’en finir avec la vie, mais aussi des photos de ceux qui sont passés à l’acte …



C’est sur ce forum qu’il va y rencontrer nos deux autres protagonistes : Casper atteinte d’un cancer et Adam qui croit sa vie insignifiante ! Va naître une puissante et incroyable histoire d’amitié … mais pas que ! Mais est-ce pas délicat de s’attacher à ceux qui veulent en finir ?



Je conclurais en parlant du dénouement. Ne vous attendez pas à un happy end ! Ce n’est pas le genre de Kelley York ! Par contre une nouvelle fois, elle conclu son roman de façon propre et intéressante !



En bref, La rencontre du dernier espoir est un roman aussi puissant qu’intéressant !

J’aimais déjà les sujets que Kelley York traité dans son précédent roman, à savoir l’homosexualité, la maltraitance, la mort … Dans celui-ci, il s’agit du viol, de la présomption d’innoncence (et d’un autre sujet que je ne vous dévoilerais pas car S P O I LE R) !



Le roman commence par l’invitation à la soirée : Vic est un ados « transparent ». Il n’est visible que parce qu’il est l’ami -le meilleur ami- du beau, grand et merveilleux Brett, star du lycée. Le livre commence ainsi, lorsque qu’Aaron se penche sur Vic pour lui donner l’invitation à une fameuse soirée. Bien sûr, Vic sait que cette invitation n’est pas pour lui mais pour son ami. Brett quant à lui, ne veut pas aller à cette fête sans Vic. Après quelques tentatives de soudoiement, Vic finit par dire oui.



A cette fameuse soirée, tandis que Brett boit de l’alcool et s’enjaille avec des gens qu’il vient seulement de rencontrer (w a r n i n g : L’alcool nuit gravement à la santé!), notre cher Vic s’ennui. Il aperçoit alors une jeune fille -Callie- entrain de déglutir, seule, sans personne pour l’aider à rester debout, tenir ses cheveux… Comme notre petit Vic a bon cœur, il n’hésite pas et va l’aider. Il décide ensuite de la porter jusqu’à la chambre, afin qu’elle puisse se reposer et décuver.



C’est là que tout bascule.



Le lendemain, Vic est accusé de viol par notre chère Callie. Il se retrouve seul. Personne ne le croit non coupable, pas même sa mère qui contre toute attente, l’enfonce plus que tout. Elle n’apporte aucuns soutiens à son fils, aucuns. Je dois admettre que ça m’a donné envie de la secouer pendant -presque- tous le roman. J’avais envie de lui dire « MAIS REGARDE TON FILS BORDEL IL FAIT TOUT INNOCENT TOUT CHOUPI »



Vic est un personnage adorable ! Il n’a pas une once de méchanceté en lui. Il n’en veut à personnes de ce qui lui arrive, il essaye de comprendre, trouver le coupable et aider ! Je suis (une nouvelle fois) tombé amoureuse d’un personnage de Kelley York !



Les personnages « secondaires » sont tout autant bien construits; on les aime, on les déteste.



Ce qu’il y a de fort intéressant dans ce roman, c’est qu’on cherche aussi à savoir QUI a commis ce viol, mais que ça ne prends pas tous le romans ! Il y a aussi de nombreux rebondissements !



Je vais vous avouer que j’ai pleuré -encore- comme une marmite ! J’ai tellement aimé ce livre, TELLEMENT !



Kelley York, une nouvelle fois m’a livré un coup de coeur ! Le Piège de l’Innocence est absolument super.

J’étais partagé à la réception de ce roman, je trouvais la couverture magnifique et le synopsis très alléchant, mais j’avais peur de découvrir un énième triangle amoureux … QUE NENI.



D’un point de vue global, j’ai été très touché par ce roman, par la tournure qu’il a pris. Car nous commençons ce livre avec un style « classique » de Y.A mais nous le terminons dans un style beaucoup plus thriller.



Ash et Hunter sont frère et sœur. A vrai dire, ils sont demi-frère/demi-sœur ! Ils ont tout deux le même père auquel ils rendent visites chaque été. Un beau jour, ils font la découverte d’un jeune garçon entrain de … repêcher des barbies dans un lac. Ils vont se lier d’amitié avec ce jeune homme, un brin loufoque et extravertie. Ash, Hunter et Chance vont se retrouver chaque été. Juste l’été. Première chose d’incroyable dans ce roman, c’est l’amour que ce porte ce frère et cette sœur qui ne ce voit que très rarement mais qui partage un lien infaillible. Ensuite, c’est l’amitié, profonde et sincère qu’ils portent à Chance. Chance qui reste injoignable le reste de l’année…



Ash et Hunter décident alors de prendre tout deux une année sabbatique, pour vivre chez leur père et se rapprocher de Chance. Mais il déchante *notez le jeu de mots* bientôt. Car rien de ce que Chance leurs avaient racontés au sujet de sa maison, de sa famille n’est vrai.



Les personnages sont incroyablement bien construits ! Tous ! Nous avons un trio avec des protagonistes très différents les uns des autres, des personnages secondaires (comme le père d’Ash et Hunter) qui s’avèrent tout aussi touchant.



Il va mettre très difficile de vous raconter la suite, je ne voudrais absolument pas vous spoiler, mais croyez-moi, ce livre est un véritable page-turner ! Impossible de s’arrêter ! J’ai du le finir en deux/trois heures ! Il traite de sujets classiques, mais d’autres plus tabous pour certains … l’homosexualité, la maltraitance, la mort.



Sous la même étoile est en ce qui me concerne un coup de coeur !

C'est pas le meilleur livre que j'ai lu, j'ai eu du mal a rentrer dans l'histoire et aussi avec les personnages. L'histoire était un peu lente et surtout il se passe pas grand chose a par vers la fin. Mais les points positifs c'est que j'ai bien aimé la façon dont c'est raconté, les changements de point de vue !

Avant même d'ouvrir le livre, le titre nous annonce la couleur du récit, et pourtant, cela n'enlève rien à son effet, percutant.



À travers Les derniers battements du cœur, Kelley York nous procure mille et unes émotions.

Ce roman jeunesse nous immerge dans une ambiance où chaque seconde compte, où tout peut s'arrêter à chaque instant. La tension est omniprésente. Notre cœur se serre, notre gorge se noue, sous la menace constante de la faucheuse. Infatigable. L'appréhension s'empare de nous autant qu'elle s'immisce dans le cœur des personnages, tout au long de ce voyage.

Le voyage d'une vie pour échapper - ou finalement rencontrer - à la mort.



Cette histoire met ainsi sur la table des sujets sensibles et profonds : la mort et le recours à l'euthanasie. Bien qu'il soit adapté à un public jeune, ce livre pose des questions sur des thèmes tabous.



De la même manière que Mille Baisers pour un garçon (de Tillie Cole), Les derniers battements du cœur, laissera son empreinte dans votre cœur.

J'ai un avis assez mitigé sur ce roman. A vrai dire, il était dans ma pal depuis bientôt 3 ans et je n'avais jamais pris le temps de le lire jusqu'à maintenant.



Tout d'abord, j'ai trouvé le rythme très lent. Que ça soit au niveau de l'évolution du récit et des personnages, mais aussi au niveau des formulations de phrases. On tourne en boucle sur les mêmes pensées tout au long du livre, si bien que je sautais des paragraphes car je pouvais déjà prédire ce que les personnages se disaient.



Pour ce qui est des protagonistes, j'ai mis beaucoup de temps à ressentir des émotions envers eux. Je me suis très longtemps sentie extérieure à l'histoire, et même si cette dernière est triste et touchante, je n'ai pas vraiment ressenti grand chose. Je ne saurais pas comment expliquer, mais j'ai trouvé que parfois, tout n'aboutissait pas, ça n'était pas assez exploité.



Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, il s'agit d'un young adult sympa mais il n'a rien d'exceptionnel. Presque tout ce qu'il se passe est prévisible, surtout vers la fin du roman. Même si je ne me suis pas trop attachée aux personnages, je les ai trouvé plutôt cool et assez bien construits.



Pour conclure, selon moi l'idée était bonne, mais il aurait fallu apporter plus. Un approfondissement, notamment par rapport au passé d'Evelyn et ses répercussions sur son présent, m'aurait également plu.
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J’ai déjà lu ce roman il y a de ça plusieurs années, mais j’avais tellement envie de le relire! Etrangement, comparé à d’habitude où j’oublie littéralement tout puisque je n’ai clairement aucune mémoire, ici je me souvenais de comment ce roman se terminait. Je savais le dénouement et ça a rendu la lecture encore plus intéressante au final! J’avais adoré ce roman la première fois que je l’ai lu et j’ai tout autant adoré cette relecture. Un young adult vraiment touchant qui aborde le thème difficile du viol. Une histoire touchante qui ne nous laisse pas indifférent, qui se lit très vite et qui sait nous surprendre.



La plume de l’auteure est géniale à lire. C’est très fluide mais surtout très addictif. Les chapitres défilent tellement vite. Plus on avance dans l’histoire et plus on veut en savoir plus. Je n’ai vu les pages passer, j’étais tellement à fond dans l’histoire. J’avais beau l’avoir déjà lu, de savoir comment ce roman se terminait, ça ne m’a clairement pas empêché de le dévorer avec avidité comme si je ne l’avais jamais lu pour le coup. Kelley York vous tient en haleine jusqu’à la dernière page avec ce roman. On n’a clairement pas envie de le lâcher avant de découvrir le dénouement de toute cette histoire.



Dans ce roman, on va suivre le personnage de Vic. C’est un jeune homme qui a toujours été transparent, ignoré de tous, même de sa propre mère. Un soir, alors qu’il s’ennuie à mourir à une fête, il remarque que Callie, une fille de son lycée, a beaucoup trop bu. Il décide alors de lui venir en aide. Au matin, la police sonne chez lui: Callie a été violée et il est le principal suspect. Du jour au lendemain, Vic est le centre de l’attention, tous le considèrent coupable. Sauf Autumn, la meilleure amie de Callie, qui compte bien s’allier à lui pour découvrir une vérité que toute le monde préfère taire.



Concernant l’intrigue, on est tout de suite plongé dans le coeur de l’histoire. On ne traîne pas et la soirée arrive dès les premières pages. La première fois que j’ai lu ce roman, je n’ai pas vu le dénouement venir. De base, je suis vraiment très nul pour découvrir les véritables coupables et j’en passe. Alors peut être qu’ici c’est évident pour certaines personnes mais en tout cas moi je n’ai vraiment rien vu venir. Maintenant que je savais qui s’était, tout le long de ma lecture j’ai essayé de dégoter des indices voir si ça nous mettait sur la piste. Alors en effet, il y en a mais en même temps je me dis que je le savais donc c’est peut être ça qui me semblait évident. Mais en tout cas, le dénouement arrive vraiment à la fin du roman et il est tout de même surprenant. Le genre de plot twist qui vous laisse littéralement sur le cul tellement c’est incroyable. Plus on avance dans la lecture, plus on se pose de questions, l’étau se resserre de plus en plus autour du coupable. Dans cette intrigue, on parle de viol mais on se met du côté de l’accusé et j’ai trouvé ce parti pris vraiment intéressant de justement se mettre du côté de l’accusé.



Au niveau des personnages, j’ai vraiment adoré Vic. C’est un personnage profondément gentil et surtout très touchant. Il est ignoré de tous, même de sa mère. au final c’est quelqu’un de très solitaire mais il peut toujours compté sur son meilleur ami, Brett, quoi qu’il arrive. Vic m’a vraiment fait beaucoup de peine à certains moments, surtout avec sa mère en vérité. Ces moments là m’ont vraiment fait beaucoup beaucoup de peine. Mais lorsque l’on découvre pourquoi sa mère agit comme ça, on peut un peu mieux la comprendre tout de même. Brett, est toujours là pour aider Vic. Il a toujours pris sa défense et l’a toujours aidé. J’ai beaucoup aimé son personnage. Autumn est un personnage vraiment plaisant. J’aime beaucoup sa personnalité. Elle ne se laisse pas faire et a un sacré caractère. Elle se rapproche beaucoup de Vic, ces deux là vont s’entraider pour essayer de trouver le véritable coupable. Leur relation est tout de même un peu étrange au début. Je me souviens que j’avais été un brin décontenancé lors de ma première lecture. Rien de dingue non plus mais il est vrai que c’est tout de même un peu étrange au premier abord!



Ce roman est vraiment un très bon roman. J’avais adoré la première fois que je l’ai lu et j’ai tout autant aimé cette seconde lecture. L’intrigue nous tient en haleine jusqu’à la dernière page, elle sait nous surprendre par son plot twist remarquable. Les personnages sont intéressants, surtout Vic, le personnage principal, il est très touchant et j’ai adoré le découvrir. Il m’a vraiment beaucoup ému. C’est un roman pas forcément facile à lire pour certaines personne, le thème abordé est un thème difficile. Ici on n’a rien de choquant dans le sens où on ne voit pas la scène décrite en détails etc. Mais ça reste tout de même difficile puisqu’on parle quand même d’une jeune fille qui se fait violer. Le point de vue de l’accusé est intéressant à vivre, j’ai beaucoup aimé. En tout cas c’est un roman très prenant qui est agréable à lire.
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Vic est un ado solitaire, il ne vit en fait que dans l’ombre de son meilleur ami Brett. Alors qu’il vient en aide à une jeune fille ivre lors d’une soirée, Callie, Vic se retrouve accusé de l’avoir violée. C’est le choc ! D’autant que sa mère, pour une raison que l’on ignore, ne soutient pas son fils et à l’instar de l’opinion publique, pense qu’il est coupable. Vic est interrogé par la police, soumis à des examens mais reste libre. Comment vit-on cela au lycée ou dans la rue, dans une petite ville où les gens se connaissent, où vous êtes déjà condamné alors que la présomption d’innocence court toujours ? D’autant que l’ADN prélevé sur Callie ne correspond pas à celui de Vic…

Aaron, Patrick et leur bande s’en prendront physiquement à Vic. Il n’y aura plus que Brett qui le soutiendra.



D’autre part, Vic tanne sa mère pour qu’elle lui en dise plus sur son père qu’il n’a jamais connu. Elle élude à chaque fois, ce qui rajoute à la détresse de Vic. L’intrigue évoluera lorsqu’il s’alliera avec Automn, la meilleure amie de Callie, pour essayer de démasquer le coupable mais aussi de retrouver son père.



Le Piège de l’innocence est un roman ado sans prétention, équilibré au niveau des chapitres avec juste ce qu’il faut comme personnages. J’avais déjà deviné en partie la fin. Le sujet du viol est souvent abordé mais plus rarement en plaçant l’accusé comme personnage central ; cela découlait d’ailleurs de la volonté de l’auteure qui l’évoque dans ses remerciements.

En quelques mots :

Un roman a recommandé pour les lycéens pour qu'ils prennent conscience qu'un rien peut tout faire basculer. Mais ça s'arrête là pour moi, car j'ai trouvé que l'autrice n'a montré que le bon côté de l'histoire et a fui les moments sombres que l'on aurait pu attendre sur le thème abordé du viol.



En beaucoup plus de mots :

Voilà un bon bout de temps que je n'avais lu du Young Adult, et j'ai retrouvé ici une écriture fluide, rapide, sans temps mort, mais au final vraiment très jeune pour moi, même si les thèmes abordés restent forts. Je suis persuadée que ce roman est fait pour les lycéens et montre les risques de la naïveté.



Car oui, Vic, le jeune protagoniste de ce roman n'est pas seulement jeune et innocent, il est un temps soit peu naïf, presque candide, mais c'est ce qui peut le rendre attachant pour le lecteur, ce qui n'a pas été le cas pour moi, je dois être trop vieille maintenant !!! Pourtant, j'avais presque eu envie de le protéger, de le conseiller, de l'encourager, car Vic est tout simplement un adolescent qui se sent mal, en rupture avec la sphère familiale qui se cherche et qui cherche à s'intégrer.



Mais avant d'aller plus loin, parlons des thèmes forts abordés dans ce roman qui sont, je trouve, très peu abordés en littérature Young Adult, c'est la présomption d'innocence face à la cruelle réalité qui ici est le viol d'une jeune adolescente qui a sombrée dans l'alcool et qui n'a presque plus de souvenirs. Vic était là, quelques instants avant le drame, il a voulu l'aider, il va en payer le prix. Accusé à tord, il va devoir faire face aux regards des autres et subir moultes tourments.



Maintenant que j'écris cet article, je me rends compte que ce que je reproche à ce roman c'est son manque de noirceur, tout est trop édulcoré comme certaines séries américaines qui ne montrent que le bon côté de la vie. Malgré les sombres secrets que chaque personnage essaye d'enfouir, tout va finalement très vite, et on trouve rapidement qui est le véritable responsable. J'aurais sans doute préféré un peu plus de mélodramatique dans ce roman.



C'est un peu, un "tout va bien qui finit bien", qui ne colle pas exactement avec le thème principal. Même si Kelley York a voulu abordé des sujets durs suite au viol, ça reste bien trop mielleux pour moi. Mais ce roman a le mérite de parler de sujets forts pour des adolescents en quête d'identité.
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(d'autres chroniques sur mon blogspot Emelivres + des photos sur mon instagram Emelivres)



Bon, bon, bon… Je ne m’attendais à rien pour ce roman et j’ai quand même été déçue…



Cette histoire parle de Victor, adolescent timide qui se fait entraîner par son seul et meilleur ami Brett à une soirée. Là bas, il trouve une fille en train de vomir, alors il va l’aider, la ramène dans une chambre où il la laisse avant de quitter la soirée avec Brett.

Sauf que le lendemain la police vient le trouver. Callie, la fille de la soirée, a été violée et il est le principal suspect puisque pleins de gens l’ont vu monter avec elle et que c’est la dernière personne dont elle se souvient.

Vic se retrouve alors dans une situation horrible, accusé d’un crime dont il n’est pas coupable alors qu’il voulait simplement aider au départ. Il vit aussi avec la culpabilité de ce qui est arrivé à Callie, se disant qu’il aurait dû rester avec elle. Puis, il doit aussi supporter que sa mère le croit coupable sans avoir écouté sa version des faits.

Mais, voulant se rattraper auprès Callie, en plus d’essayer de prouver son innocence, il va aider la meilleure amie de Callie, Autumn, a retrouver le réel coupable…



Je me suis dis en commençant, “oh une histoire qui traite du viol, c’est un sujet dur mais qui peut être très intéressant à lire”. Et bien, je n’ai rien ressenti. C’est à peine si j’ai pu avoir de la peine pour Callie, parce qu’en fait on la connaît peu dans le livre. A part quelques apparitions à droite à gauche, on a pas le temps d’avoir son ressenti sur ce qu’elle a vécu, comment elle s’en remet, ses cauchemars… Rien de rien.



Alors j’imagine que c’est une volonté de se placer que du point de vue de l’accusé, mais j’aurais aimé en savoir plus sur la victime. Donc du coup, tout au long du roman, on ne s’attarde que sur le fait que Vic, ce pauvre garçon est accusé à tort. Et ça tourne un peu en rond je trouve. D’autant plus que dès le début on sait à 100% qu’il est innocent, il n’y a aucun doute. C’est genre le garçon tout timide, que personne ne remarque et qui par malheur se retrouve mis en en avant de la pire des manières.



Bon au niveau des personnages, c’est le néant. Je n’en ai trouvé aucun attachant. Déjà le personnage principal m’a fait plus lever les yeux au ciel qu’autre chose. Il est tellement naïf avec ses discours du style “oh mon dieu la méchanceté ça existe je n’arrive pas à y croire”. Je sais pas, ça n’a pas collé, je n’ai absolument pas ressenti d’empathie pour sa situation qui est pourtant terrible. Puis même au niveau de tout ce qui touche à l’amour, il est là en mode “oh elle me voit en caleçon, passe son temps à me prendre la main, dort collée contre moi, mais ça ne veut rien dire on n’est que ami”, ce genre de réaction est invraisemblable.



Pareil pour les deux autres personnages principaux de l’histoire, Brett -le meilleur ami de Vic, et Autumn -la meilleure amie de Callie. Déjà Brett est présent sans trop l’être, on le voit souvent et pourtant je n’ai pas ressenti une grande amitié entre Vic et lui. Et puis Autumn arrive sans trop prévenir dans l’histoire, passant en très très peu de temps de la fille qui accuse Vic à la personne la plus proche de lui.



En fait, le plus gros problème que j’ai eu avec ce roman, c’est que je n’ai pas trouvé cela crédible. A aucun moment je n’ai eu l’impression d’être dans une vraie affaire de viol. Toute l’enquête est mené par des adolescents, avec des techniques assez peu crédibles (en mode, ils prennent le portable sous les yeux de la personne qu’ils pensent coupable pour voir s’il des preuves dessus, sans que la personne concernée ne les en empêche, enfin je sais pas mais dans la vraie vie rares sont les gens qui acceptent qu’on fouille dans leur portable sans rien dire).



Toute l’histoire ‘d’amour’ entre Vic et Autumn aussi est tout sauf vraisemblable. J’ai rien ressenti en lisant ce qu’il se passait entre eux. Leur histoire ne fait pas vraie, elle est superficielle, arrive de nulle part.



Aussi, Vic passe quasiment tout le livre à vivre chez Brett puisque sa mère ne veut plus de lui chez elle, et apparemment ça ne pose pas de problème aux parents de Brett d’accueillir quelqu’un pendant des semaines sans essayer d’en discuter avec lui ou avec sa mère pour arranger les choses… Non parce que bon, je veux bien que les gens puissent être généreux, mais de là à servir d’hôtel…



Et puis comme l’histoire aurait fait moins de 200 pages si ça tournait qu’autour du viol puisque en réalité il ne passe pas grand chose dans cette affaire, l’autrice a créé du “mystère” autour de père et de la mère de Victor. En effet, Vic ne connaît pas son père, et il ne sait pas pourquoi mais sa mère ne semble plus l’aimer depuis qu’il a 10 ans (la manière dont il en parle on a l’impression que c’est une information banale donnée pour se présenter). Et alors, hop là au milieu de toute cette histoire qui chamboule sa vie, il découvre par un de ses camarades qu’en fait son père n’est pas mort. Bon, autant vous dire que tout ce passé ne m’a pas attendri non plus.



Et puis, je m’attendais à cette fin depuis les premiers chapitres. J’ai trouvé cela tellement prévisible.



En conclusion, pour moi c’est un flop total. Je n’ai pas trouvé cette histoire crédible, je ne me suis pas attachée aux personnages et j’ai trouvé la plume trop simple, trop enfantine.
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Je suis resté sans voix à la fin ! Je ne m'attendais pas à un tel coup ! L'auteur nous laisse ainsi alors qu'on attend la suite. Là, j'ai été subjugué. En plus, y'a plein de question qui restent en suspens.



À certains moments, j'ai trouvé l'histoire assez lourde alors, c'est peut-être le genre d'histoire, je ne sais pas mais je n'avais pas l'impression d'avancer. J'avais plutôt l'impression de me retrouver dans du " Je t'aime, moi non plus " de Serge Gainsbourg.



En tout cas, le personnage que j'ai le plus apprécié est Ashlin. Je dirai que c'est l'intrus dans l'histoire car les autres sont assez autoritaire et égoïste à mon regard hors le papa de Ashlin et de Hunter, quoique... à certains moments, son intention me déroute vis à vis de Chance qui n'est pas son garçon.



En tout cas, j'ai connu mieux comme lecture et franchement, là, je reste sur ma faim. J'ai vraiment l'impression que celle-ci a été bâclée à mon sens. Dans l'édition PKJ, j'ai vu des livres bien mieux à découvrir. J'en suis un peu étonné du résultat de celui-ci.
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[Lu en 2017]

J'ai été très agréablement surprise par ce livre qui arrive à traiter de sujets difficiles avec une habilité assez rare.

Ashlin et Hunter, même s'ils sont de la même famille ont tous les deux une vie bien différente. L'un a eu plus de facilité que l'autre et cela se ressent notamment au niveau des caractères.

J'ai apprécié le fait que les deux enfants fassent complètement abstraction des "agissements" de leur père envers leur mère respective tout simplement parce que pour moi, leur réaction et celle du père est la bonne. La famille a un rôle très important dans ce livre et on le ressent dans toutes les relations que ce soit du père aux enfants ou des enfants entre eux.

Les sujets traités sont compliqués. L'homosexualité tout d'abord parce qu'il est traité lors de sa naissance à l'adolescence. Cette difficulté à se l'avouer, à en faire part aux autres, à comprendre et à surtout accepter qu'il n'y a pas de honte à avoir... Face à ça la difficulté du rejet de l'être aimé... Le triangle Hunter, Ashlin et Chance est particulièrement intéressant parce qu'ils se connaissent depuis des années et parce qu'ils sont chacun dans l'acceptation et ne veulent faire souffrir personne. Même si certains moments sont particulièrement difficiles, l'évolution des personnages et des relations est absolument incroyable sous la plume de Kelley York.

Quant au sujet de la maltraitance... Il est particulièrement bien traité aussi parce que le personnage est "obligé" d'en arriver à des situations extrêmes afin de "prouver" ce dont il est victime. Les situations sont terribles et j'ai apprécié que tout ne soit pas "simple" parce que dans la réalité, ça ne l'est pas non plus.

En définitive je recommanderais 1000 fois ce livre que je trouve incroyable même si à la fin j'ai eu un réel pincement au cœur, sachant que celle-ci est logique. J'aurais aimé en avoir plus mais je sais aussi que plus aurait pu gâcher ce livre. Kelley York a une plume très intéressante et j'espère lire très bientôt d'autres de ses ouvrages.

« Sous la même étoile. Trois coeurs à l’unisson » de Kelley York est un roman de littérature de jeunesse, et peut-être est-ce là le problème pour moi qui ai dépassé largement cet âge. J’ai lu sans peine ce roman, qui contient un suspens certain, mais je trouve les thématiques vues et revues ; amour/amitié - homosexualité - secret - famille, et le tout dans un style très américain. La construction a plusieurs voix est déjà vue aussi. Les personnages sont attachants, certes, mais le propos n’est pas assez nourrissant selon moi.

Bien que au premier abord la couverture ne m'ai pas donné envie, le résumé lui m'a interpellé, je me suis alors lancé.

L'histoire s'enchaine bien, j'ai tout de suite accroché avec les personnes, j'ai bien aimé le rythme.

Une romance vient se mêler à l'histoire, et pour être honnête ça m'a fait plaisir, elle est légère, se fait finalement assez en douceur, et permet à notre personnage principales de s'épanouie un peu, d'avoir une épaule qui l'aide durant cette période assez complexe.

Finalement je n'en ai fais qu'une bouchée, pour ce qui est de la fin, personnellement je ne m'y attentais pas et je suis resté un peu sur le fesse, j'adore quand l'auteur parvient à nous prendre de court !

Pour ma part, je vous le recommande sans soucis.

Alors cette histoire est assez romantique que tragique à la fois. Nous avons trois personnages qui font aimer faire un triangle amoureux pour ma part. nous avons de le début qui s'aime réellement. On découvre histoire tous les personne au fil que histoire avance. Je trouve que ça va un peut vite sur aspect de histoire. Et c'est bien avoir leur point de vue à tous les deux. Mais des choses vont se passé qui sont pas prévus que nous attenons pas une fin comme ça. nous avons malheureusement pas le point de vus de chance

Le thème abordé dans ce livre ne correspond pas du tout au titre et à la couverture au début du livre je m'attendais vraiment une lecture fluide mais plus on s'enfonce dans l'histoire plus on va vers la vérité et on prend plus confiance que l'auteur a un message fort à nous faire passer.

Sous la même étoile quand même pour moi un superbe roman malgré le sujet abordé dedans et franchement je ne m'attendais pas du tout à cette fin là je suis à la fois surprise et déçue je m'attendais à plein de sentiments d'émotion mais bon en tout cas c'est un super livre et je le conseille !!

« Ses lèvres me font penser à Paris, à l’Australie, au Pérou, au Brésil. Et soudain, l’embrasser est la plus belle et la plus douloureuse chose au monde, et la dernière chose que je veuille, c’est arrêter. »

À 16 ans, Luc a subit une transplantation du coeur. Trois ans après, son corps rejette la greffe. Épuisé, las des traitements et des hôpitaux, il décide de partir loin de chez lui et d’organiser un road-trip pour profiter du peu de temps qu’il lui reste à vivre. Au bout du chemin ? L’Oregon, où l’euthanasie y est légale.

Sauf qu’au même moment Evelyne, sa meilleure amie qui avait déménagé dans un autre état, et dont il a toujours été amoureux, revient dans sa vie. Et la jeune fille entend bien lui montrer que la vie vaut la peine d’être vécue. Et le jeune couple de partir en périple, pour se découvrir, pour s’aimer. Pour profiter de l’un de l’autre avant l’inévitable.

Voilà un bien joli young adult sur le thème difficile de la maladie et de la fin de vie. Il me laisse sur un gros pincement au coeur, tant son sujet est délicat. Car il est aussi difficile de se mettre dans la peau d’un malade épuisé par les traitements que par une amoureuse qui souhaite à tout prix garder celui qu’elle aime.

Malgré la douleur qui les frappe, c’est un beau couple que nous avons là, leur jeune âge ne change rien, quand on s’aime on s’aime. Pour un mois, pour une vie, peu importe, l’autre restera à jamais en nous, quelle que soit l’issue.

Que ferions-nous si nous savions notre temps compter ? Faut-il accepter, se battre, renoncer ? Ou ne faut-il pas mieux juste profiter des êtres lovés dans notre coeur ?

Je regrette juste une fin un peu rapide, pour moi, il manque un chapitre ou deux avant l’épilogue, mais cela reste une bien belle lecture à découvrir.

J'avais vu ce roman en librairie et même s'il m'avait tenté, je l'ai reposé. J'ai fini par le trouver sur Vinted donc, pourquoi pas ??



Pourtant, j'en suis un peu déçue. Les personnages sont bien développés pourtant il manquait cette petite étincelle. Je trouvais qu'il y avait un gros manque de profondeur quant aux sentiments des personnages.



J'ai aussi trouver que les personnages ne se développaient pas. Par exemple, Luc pensait toujours la même chose. À chaque fois c'était le même cheminement de pensée. Evelyn subissait sa relation avec sa mère sans y faire quelque chose non plus.

Pareil au niveau de la relation entre les protagonistes et leurs parents respectifs..



Autrement, l'histoire d'amour est belle et m'a fait sourire plusieurs fois. C'est vraiment très mignon mais il manquait vraiment de profondeur pour moi...