Lois Lowry

Ce livre est à la fois une dystopie et utopie qui nous fait plonger à travers les yeux de jonas dans un monde ou nous n'aimerions pas vivre

Ce premier volet de la tétralogie écrite par Lois Lowry est absolument magnifique. Nous sommes transporté dans un monde sans tristesse ni souffrance dans lequel les gens partagent entre eux leurs rêves et leurs émotions. A premier vue, ceci est monde idéal sauf que leur vie est dévouée d'amour et de mémoire et régie par des règles bien définies et d'une extrême précision. Jonas, le héro de cette superbe histoire se voit confier le rôle de Dépositaire de la mémoire et devra supporter de grandes souffrances.

Un roman SF absolument génial et j'ai vraiment hâte de découvrir la suite de la saga.

Bon roman sur une société dystopique, et comme bon roman dystopique, ça m'angoisse toujours autant. Au programme : réduction du langage, formatage de ma société dès la plus jeune enfance. Nous suivons Jonas, un jeune garçon qui est destiné à un avenir bien particulier.

Le début du roman est vraiment bon, dynamique et angoissant ! Par contre plus j'avançais dans la lecture plus je ne savais pas où le roman me menait. Et lors de la fin ( que je ne divulgâcherai pas), je me suis senti vraiment embarrassé. Vraiment, ce livre selon moi mérite une meilleure fin et surtout une suite. Dommage.

Une jolie histoire, accessible à tous : jeunesse, young adult et adultes. L'écriture est fluide, légère, l'histoire facile à comprendre et bien décrite. Le message est philosophique et m'a plu : un monde sans sentiments forts, sans couleurs, sans musique, sans aventures mais sans risques, sans danger où tout est ordonné et conforme dans une société. Jonas apprend la triste et terrible réalité, celle que tous les autres de sa communauté ignorent en vivant sagement leur petite vie toute dictée. Il va alors partir à l'aventure.



J'ai lu ce livre en version originale, en anglais, et ce fut accessible et facilement compréhensible, je ne regrette pas. J'ignorais que ce roman avait plusieurs suites ! Il s'agit en réalité d'une tétralogie ! A lire donc...

L’histoire débute en 1943, alors qu’Annemarie à seulement 10 ans. On suit à travers elle les rafles et les persécutions des nazis, les horreurs de la guerre et la peur durant l’occupation allemande.



Ce roman est une magnifique leçon de vie, de bravoure et d’amitié. Lois Lowry nous conte une histoire dans l’histoire, entre faits historiques et fiction, elle a, en effet, placé son intrigue dans un contexte assez sensible, la Seconde Guerre mondiale.



Le style de Lois Lowry est doux, elle est parvenue à me faire ressentir chaque émotion, l’angoisse, la peur, la joie, au travers de personnages bien intégrés dans l’histoire. De plus, elle parle de la guerre avec soin et a su trouver les bons mots pour expliquer les faits tels qu’ils doivent l’être devant un jeune public.



Compte les étoiles, est un roman que je recommande chaudement aux adolescents et à un public plus âgé.
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Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre avec cette lecture et quelle surprise ! C'est un véritable coup de cœur !

Dans une communauté si parfaite, si bien réglée se cachent pourtant de bien sombres secrets ! Ce livre m'a fait vivre une multitude d'émotions.

Le passeur est assez bien écrit et c'est un bon sujet. L'histoire remue les tripes par moment, à condition que ce soit le premier livre qu'on lise d'elle.

Car le problème de Lois Lowry est d'avoir toujours la même trame (c'est le cas pour beaucoup d'auteurs/rices, mais ici j'ai vraiment eu le sentiment d'un copié-collé). De cette autrice j'avais commencé par L'Elue, et j'avais apprécié son "originellité". Si j'avais commencé par celui-ci, j'aurais probablement inversé mes notes.

Les histoires de Lois Lowry sont trop souvent tirées en longueur. Mais à part ça, celle-ci est sympa, malgré que je n'y ai pas vraiment cru.

⁣De ce roman qui a mon âge, je gardais un excellent souvenir. Un brin de science fiction, une réflexion sur la société, les émotions, la souffrance... Ce ressenti se confirme après ma relecture. J'ai beaucoup aimé le Passeur. La société imaginée par Lois Lowry fait froid dans le dos, globalement dominée par l'uniformité. L'élimination d'un citoyen semble être devenu une chose commune et acceptable, en témoigne d'ailleurs le mot utilisé, très peu explicite : « l'élargissement ». L'intelligence et la vivacité de Jonas apportent de l'humanité et une touche de rébellion dans ce système établi.⁣

J'ai entendu parler de ce livre il y a maintenant un certain temps et c'est sa superbe couverture qui a attiré par hasard mon attention lors d'un Salon. J'ai vraiment aimé cette lecture. La plume de l'auteure est agréable et l'univers décrit est très intéressant. Je me suis laissée happer dans l'aventure. Cependant, la fin, très ouverte, est assez intrigante mais je lirai volontiers les autres tomes pour avoir les réponses !

Les Willoughby est un roman à destination des 9/ 2 ans que j’ai trouvé absolument charmant et dont je n’ai fait qu’une bouchée le temps d’une soirée. Si vous ne l’avez jamais lu, un bon conseil : foncez !



Voilà un roman qui réunit tous les ingrédients des grands romans d’orphelins des 19ème et 20ème siècles, en les pastichant de façon remarquable : tous les codes de ce genre particulier sont respectés mais avec une mise en perspective, un sens de l’absurde et un humour décalé et grinçant qui en font une lecture franchement réjouissante.



Ce qui donne un roman moderne, décalé, très drôle mais avec une bonne dose de suspense même si il y a des éléments que l’on voit venir en tant qu’adulte, je n’ai pas boudé mon plaisir jusqu’au point final.



Les péripéties qui arrivent à ces presque orphelins se révèlent passionnantes, les chapitres sont courts et il y a toujours un événement pour relancer sans cesse notre intérêt.



Les personnages sont extras avec une mention spéciale à la nounou qui est formidable, je l’ai trouvé géniale. Même Tim qui est si horripilant au début parvient à être sympathique au bout du compte. Et of course, on déteste les parents indignes, qui n’ont qu’une envie : se débarrasser de leurs enfants.



Le travail éditorial est très soigné : des dessins en entête de chapitre, une couverture brillante à rabat, un papier épais, une typographie bien lisible. Le format permet une bonne prise en main, le tout pour moins de 10 euros, bravo !



Cerise sur le gâteau : l’auteur détaille à la fin de l’ouvrage les mots difficiles, donne une bibliographie de tous les romans d’orphelins cités dans l’ouvrage, il y en a une dizaine et je n’en ai lu que très peu, honte à moi.



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Un roman de SF ucrhronique court mais dense. Une réflexion profonde sur la société moderne et sur l'avenir de l'humanité. Vaut il mieux être identique et ne pas souffrir ou différents avec des nuances et sentiments subtils? Faut il privilégier la survie ou vivre tout simplement ? J'ai adoré

Dans le Passeur, Lois Lowry exprime sa vision d’un avenir prochain, dans une société où la notion d’individu n’existe pas.
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Quand j'ai lu ce livre, je devais avoir plus ou moins 12 ans et il m'avait marqué sans que je ne me rappelle vraiment pourquoi...Je l'ai donc relu, et même s'il se lit très vite, c'est encore une fois une vraie révélation...Cette histoire très simple finalement fait réfléchir sur l'importance des différences entre individus, des sentiments, et d'avoir la liberté de faire des choix entre autres! A lire enfant, mais aussi et surtout à l'âge adulte!

C’est avec un petit thé et une lumière tamisée que je me suis lancée dans le dernier tome de la saga du Passeur, de Lois Lowry, intitulé « Le fils ».



Je ne vais pas spoiler, mais je confirme que, si L’élue et Messager s’étaient éloignés du Passeur, Le fils est bel et bien lié car on retrouve des lieux et des personnages connus. J’ai vraiment été ravie de ce retour aux sources, moi qui avais beaucoup aimé Le Passeur, et j’ai aussi aimé suivre l’héroïne de ce tome, Claire, ainsi que le but qu’elle s’est fixé.



Je ne saurais dire s’il est avisé de lire ce tome et négliger les deux précédents un peu à part mais, personnellement, je ne regrette pas d’avoir lu la saga et fait un petit détour avec Kira et Matty avant de retrouver la communauté où j’ai fait la rencontre de Jonas et de l’univers mis en place par Lois Lowry. 🙂

L'avis d'Ophélie:

J'ai beaucoup aimé ce livre car on est dans un monde opposé au notre mais où il y a quand même des ressemblances



Dans ce livre, on va suivre Jonas dans le monde où il vit. Ce monde est "parfait". Personne n'a de différence, il n'y a pas de couleur et tout le monde a les même règles à respecter. Jonas qui pensait que ce monde est parfait va comprendre qu'il a énormément de secrets et de défauts. J'ai adoré ce livre car il m'a fait beaucoup réfléchir sur les choix que l'on a et j'ai trouvé qu'on était "chanceux" d'avoir énormément de choix comparé à cet univers. J'ai beaucoup aimé "le pouvoir " de Jonas il peut transmettre et on peut lui donner des souvenirs.



Les personnages sont intéressants et complexes. Mon personnage préféré est Jonas car il est courageux malgré son jeune âge ( il a douze ans) et il essaye de faire changer les choses.



La couverture est magnifique. L'image du dessus ne la représente pas très bien. Elle est bleue avec des reflets. J'ai beaucoup aimé la chaîne humaine au milieu.



Un livre que je vous conseille car il fait réfléchir et nous montre qu'on a beaucoup de choix.
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Je me souviens avoir regardé le film il y a quelques années, mais sans vraiment me concentrer, je ne l'avais pas trouvé dingue, j'en ai, honnêtement, peu de souvenirs. Je me souviens des acteurs, je me souviens rapidement de l'ambiance, mais c'est tout. Il y a presque deux ans, je l'ai repéré à Gibert Joseph lors de mon passage à Paris, et vu la modique somme pour laquelle il était vendu, je me suis dit, et pourquoi pas ? Surtout vu le peu de pages qu'il contient. Et bien, deux ans plus tard, je ne regrette tellement pas de m'être enfin lancée dedans !



En effet, pour cet automne, j'ai décidé de le sortir de ma PAL, il me faisait de l’œil depuis un moment, et j'ai trouvé que c'était la bonne période pour le lire. Et bien j'ai juste adoré ! Je ne sais pas vraiment si je peux le considérer comme un coup de cœur mais waouh !



J'ai adoré le monde dans lequel il se déroule, ou plutôt j'ai aimé l'ambiance. On est là dans un tout nouveau monde, une nouvelle société totalement utopique, où tout le monde est parfait, mais tout n'est finalement qu'apparence. En effet, lorsque Jonas atteint ses 12 ans, il se voit attitré, comme chaque 12 ans, un métier, une formation. Sauf que celui-ci a obtenu celle de passeur. Personne ne sait vraiment en quoi cela consiste puisqu’il n'y a qu'une personne au courant. Le Passeur lui-même. Il va donc être formé par ce dernier qui va lui donner tous les souvenirs de l'ancien monde. Le nôtre. Et la vie de Jonas va changer pour toujours. Il va découvrir la vie, la vraie. Les couleurs, la musique, la neige, la pluie, le soleil, l'amour, mais aussi les blessures, les guerres, la douleur. Et il va découvrir à quel point son monde si beau, si parfait, n'est en fait peut-être qu'illusion et que tout n'est pas si blanc.



Qu'est-ce que j'ai adoré ! En seulement 200 petites pages, on entre dans un tout nouveau monde ! Bien qu'il ait était écrit largement avant, j'ai beaucoup pensé à Divergente durant ma lecture. Pas mal de points m'y ont fait penser. J'étais vraiment plongée dedans, à tel point que je ne voulais pas qu'il s'arrête, chose qui ne m'est pas arrivé depuis longtemps. Maintenant lorsque je lis, quand un livre se termine, il se termine, et je passe au suivant même si j'ai adoré, je suis toujours contente d'enlever un livre de ma PAL. Mais avec celui-ci, ça a été différent. Celui-ci, je voulais encore rester dedans, je voulais savoir ce qui allait arriver ensuite, je voulais suivre le chemin de Jonas et savoir ce qu'il allait se passer ensuite et encore.



L'écriture est apaisante, j'ai eu cette sensation de sagesse, je ne sais même pas comment décrire ce sentiment. Et ce livre, même si jeunesse, est réellement accessible à tout le monde. Ce n'est pas parce que vous avez atteint un certain âge qu'il est trop tard, oh non ! Au contraire, je trouve qu'il nous fait réfléchir sur notre monde actuel, et sur comment ça se passerait si tout ce que nous détestons au quotidien, était enlevé. Serait-ce vraiment mieux, ou est-ce que finalement, toutes nos douleurs ne feraient pas le charme de la vie ?



Le seul bémol que je pourrais lui trouver est cette fin. Je ne sais pas vraiment quoi en penser, mais je ne sais même pas si je l'aime ou pas. Je n'en attendais ni plus, ni moins à vrai dire, je pense que je m'en contente, même si une suite aurait été la bienvenue.



Et si vous n'avez jamais lu ce petit bijou, lancez-vous !!
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Les Willoughby! En voilà une famille peu conventionnelle. Les parents ne supportent pas leurs enfants, ne se sont pas fatigués à leur trouvé un prénom et oublie même combien ils en ont et leur prénom. S'ils pouvaient s'en débarrasser ils ne seraient pas contre, la vie serait tellement plus belle sans contrainte. Mais les enfants Willoughby leurs rendent bien puisque eux aussi pensent à se débarrasser de leurs parents en leurs soumettant en douce l'idée d'un voyage à hauts risques, espérant ainsi devenir orphelins.

Décider à profiter de la vie, les parents partent en voyage laissant leur progéniture aux mains d'une nounou, ainsi Tim l'aîné qui décide absolument de tout en donnant et retirant des points à chacun selon son envie, les jumeaux Barnaby A et Barnaby B et Jane la petite dernière.

Rien qu'avec cette famille le roman promet un récit loufoque, sauf qu'il faut y ajouter un bébé abandonné, un vieux riche solitaire et une femme et un fils que l'on pensait disparus.



Le titre, la couverture, tout porte à penser qu'il s'agit d'un roman "vieux jeu" mais loin de là, j'ai été très agréablement surprise par cette histoire complètement déjantée et ses personnages tout aussi zinzin. Cette fois pas de pauvre orphelin tentant désespérément de survivre et qui croise la route d'un milliardaire prêt à lui sauver la mise, c'est tout le contraire: des enfants rêvant de devenir orphelins et qui finiront par le plus grand des hasard chez le milliardaire, un homme triste d'avoir perdu sa femme non pas parce qu'il l'aimait mais parce qu'elle lui était bien utile. Ce roman va à contre courant des contes habituels et c'est un régal, en tant qu'adulte je m'attends plus ou moins au dénouement et l'attrait ne réside pas en une intrigue palpitante mais en un récit barré et invraisemblable qui fait "rêver" et "rigoler". 
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Ressortir Le Passeur et L’Élue de ma bibliothèque m’a donné envie de me lancer dans la lecture du troisième tome de Lois Lowry, qui se déroule dans cet univers : Messager, qui est cette fois clairement une suite de L’Élue en plus de faire resurgir des références du Passeur que j’ai été ravie de retrouver ici.



Plusieurs années après les événements du second tome, nous suivons Matt, rebaptisé Matty, qui vit à Village, une communauté agréable et solidaire, sous la tutelle de Visionnaire, un homme aveugle pourvu d’une grande bonté à son égard.



Assagi, Matty s’occupe de transmettre les messages entre les différentes communautés de ce monde et est le seul à traverser Forêt qui serait pourvue d’une certaine volonté et l’autorise à passer sans lui faire de mal, ce qui n’a pas toujours été le cas : on apprend qu’un des membres de Village y aurait connu une fin atroce, tué par la nature.



Bien vite, Matty constate que la bonne ambiance de Village s’étiole et que les habitants parlent de bâtir un mur pour que les émigrés n’entrent plus, ce qui les oblige à retourner dans la contrée qu’ils ont dû quitter pour connaître la sécurité et risquer de s’attirer la cruauté de Forêt.



Je ne vais pas aller plus loin sinon ça spoilerait toute l’histoire, le roman étant court.



J’ai vu que ce roman avait eu des avis mitigés, beaucoup de lecteurs ont été déçus. Personnellement, j’ai vraiment aimé ma lecture, elle ne vaut certes pas Le Passeur, mais elle a surpassé L’Élue à mes yeux : bien que Kira soit une héroïne attachante dans une communauté impitoyable, j’ai préféré suivre Matty dans son milieu plus idyllique que l’on voit dégénérer, peut-être parce que cela m’a rappelé Jonas qui était dans un contexte assez proche.



De plus, même si Le Passeur s’était montré plus subtil dans les travers de la société en apparence utopique, le thème du Messager est plus frappant mais très actuel.



Quant à la fin, je dois dire que je ne m’y attendais pas, elle est peut-être la plus marquante de l’univers.



Il ne me reste plus que le dernier tome à lire, Le Fils, et j’espère y retrouver un personnage du Passeur qui a complètement disparu depuis la fin de ce premier tome, et aussi mieux comprendre certaines choses, comme cette sorte de maléfice qui a changé les gens de Village très vite et qui m’a rappelé Bazaar de Stephen King par ce système de troc qui fait ressortir le mal chez des gens charmants au premier abord.

L’Élue, publié ici chez Folio Junior, n’est pas tant une suite directe du Passeur, l’histoire se passe plutôt dans le même univers et peut se lire de manière indépendante. Aux côtés d’une autre enfant, Kira, nous découvrons une autre société, plus primitive et particulièrement dure avec les personnes handicapées : dotée d’un problème à la jambe, Kira aurait été condamnée à mort si elle n’avait pas eu un talent exceptionnel pour la broderie. Comme Jonas, on va lui donner des responsabilités qui vont lui ouvrir les yeux sur la façon dont tourne son monde. Le roman est court et plaisant, mais il ne m’a pas autant plu que Le Passeur.



Il faudrait que je lise la suite, Le Messager, dont le lien avec les précédents tomes serait plus évident, de ce que j’ai compris. Par contre, l’adaptation cinématographique du Passeur ne me tente pas du tout. ^^’