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Critiques de Mabrouck Rachedi (58)
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Krimo, mon frère

Lila part en cachette au Japon. Elle veut respecter la dernière volonté de son frère tué par la police et disperser ses cendres sur un immeuble à Tokyo. Ce voyage solitaire va lui dévoiler la vérité sur ce frère et ses efforts secrets pour aider leur frère ainé, en prison. Elle rencontrera sur sa route Adel, spécialiste du Japon, qui va la prendre sous son aile.



Un voyage initiatique, une vision de la banlieue à travers la vie de cette famille. Une lecture douce et exotique.


Lien : http://lespapotisdesophie.ha..
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Tous les hommes sont des causes perdues

Merci aux Editions "L'âge d'Hommes" de m'avoir permis de lire ce livre et de découvrir pour la première fois la plume de Mabrouk Rachédi.



Ce livre nous narre l'histoire d'un couple plutôt jeune et moderne. Sophia et Adam sont un couple et partage donc tout les attraits de la vie de couple les bons moments, les moins bons, les envies communes..



Sophia est une fleuriste épanouie, et aime les hommes dont les causes sont "perdues". Lui c'est Adam il est plutôt maladroit, pas sûr de lui, enquiquiner par une mère trop présente. Ils vont se rencontrer lors d'un concert.



Le mariage est prévu, mais Adam peut sûr de lui va se poser beaucoup de question à quelques jours du mariage. Dont une particulièrement .. La réponse apportée par sa future épouse n'est pas celle qui va le rassurer.. il se met alors en tête que son histoire avec Sophia n'aurait jamais du commencer.



Ce livre est le premier que je lis de Mabouk et je dois dire que j'ai plutôt bien aimé. Des passages humoristiques, d'autres poétiques, d'autres qui poussent a la réflexion sur la vie de couple, sur les raisons réelles d'un attachement à l'autre. On peut y lire aussi la différence évidente entre la façon de pensée féminine et celle masculine, la façon dont chaque famille vit la chose ..



Un livre complet, très agréable à lire. Je le conseil vivement vous ne serez pas déçu.

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14 lignes

Avant tout, dès que j’ai reçu 14 lignes, j’ai trouvé que c’était un objet très mignon, très atypique. Une couverture souple, et un contenu soigné avec l’illustration répétitive du métro parisien… J’ai vraiment bien aimé. En plus, le format n’est pas commun ! C’est suffisamment rare pour être souligné.



Vous le savez, j’aime beaucoup les nouvelles. C’est rapide et très facile à lire, et même si c’est court, je trouve que c’est un genre très efficace, qui va droit à l’essentiel. C’est vrai qu’on peut avoir peur de ne pas suffisamment creuser les personnages, mais c’est le jeu. Parfois, des esquisses suffisent.



Dans ce recueil, les styles sont variés, mais un point commun se dessine : celui du métro parisien, un domaine que je maîtrise plutôt bien pour le pratiquer tous les jours. Chacune des nouvelles m’aura fait beaucoup rire, tant elle explorait un aspect du métro que je connais, des réflexions que je me fais, ou des gens que je croise. Plutôt marrant :)



J’ai quelques favorites, vous vous en doutez. Pour ne parler que d’elles, je mentionnerai d’abord La Fin de l’été (ligne 1) avec un chassé-croisé de personnages tels que je les aime. Une vraie scène de vie. La plus mignonne ! Vient ensuite Oui j’ai la plus petite. Et alors ? (ligne 3 bis) qui m’a bien fait rire, j’ai beaucoup aimé cette personnification ! La plus drôle. Grand frère vous regarde (ligne 13) m’a prise au piège, même si j’ai deviné son « twist » avant qu’il ne soit dévoilé. La plus étonnante ! Et enfin, La Couleur de l’espoir (ligne 12) m’aura serré le coeur en quelques pages seulement. La plus triste sans doute !



Mon seul regret, c’est que les nouvelles n’aient pas été abordées dans l’ordre. Et j’aimerais bien avoir une explication sur ce classement aléatoire. Deuxième petit bémol : ma ligne 3 ne figurait pas dans le recueil :(



En conclusion



Chacune des lignes de métro que nous empruntons a son histoire, a ses histoires. Nous avons tendance à l’oublier, et 14 lignes est là pour nous le rappeler. De jolies tranches de vie que j’ai pris plaisir à découvrir :) So Parisian !
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14 lignes

Chronique sur le blog Carnet Parisien
Lien : http://carnetparisien.wordpr..
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La petite Malika

La petite Malika, enfant surdoué, grandit dans un milieu qui ne semble pas propice à son "développement" intellectuel.

Pourtant la jeune fille s'épanouit en franchissant une à une les barrières sociales et en découvrant la vie à la manière d'une étrangère qui peu à peu s'intégrerait dans son nouveau pays.

Certains agencements chronologiques m'ont quelque peu gêné (descriptions assez étrange d'une classe de CP où les enfants semblent plutôt du CM1, passage du bac à 17 ans alors que la fillette a sauté plusieurs classes) et j'ai surtout apprécié la première partie de l'ouvrage (les premières années de son enfance et de son adolescence). J'ai moins accroché sur les aventures de la jeune femme (18-26 ans).

La première partie (scolarité de l'enfant) est fraiche, souvent drôle, parfois décourageante... mais les auteurs y décrivent surtout une banlieue riche d'humanité, de vie, bien loin des clichés habituels.
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La petite Malika

Chaque chapitre nous offre une ou plusieurs scènes correspondant à un âge précis de la jeune Malika. Ainsi, chapitres après chapitres, années après années, c’est un portrait frais et vivant de la petite Malika qui se dessine sous nos yeux.



- Le ton est résolument drôle et léger, le style très facile épousant parfaitement cette truculente évocation d’une vie dans une cité. De la mère redoutant plus que tout une grossesse précoce pour sa fille (qui n’a alors que 5 ans), des amies apprenant le langage SMS à Malika en passant par le trajet éreintant et surréaliste de sa mère pour aller travailler, les années d’enfance sont alertes et vivantes :



« j’imaginais le mot qu’elles laisseraient dans leurs journaux intimes : je me sui faché av Malika ké pa genti vu kel é pa com nou tro c pa drol lé coincos com el((((((. J’ai dit que dalle du fight à la daronne qui zarma m’a demandé de parler correct, stp. Lol. » (p. 72)



Le ton s’alourdit quelque peu avec l’âge, on a tendance à moins sourire au fur et à mesure, la fraîcheur du début s’effaçant devant la gravité de la maturité.



Ce que j’ai moins aimé :



- Je n’ai pas tellement apprécié les passages au style très travaillé, comme pour rompre avec le style parlé qui court en ces pages. J’ai eu l’impression que les auteurs voulaient nous prouver qu’ils pouvaient écrire autrement. Soit. Mais cela alourdit un récit que je préfère dans la spontanéité de la chronique vécue.




Lien : http://lecturissime.over-blo..
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La petite Malika

Pour en revenir au roman proprement dit... c'est un nouveau coup de coeur pour moi.. L'écriture en binôme est vraiment très agréable, comme pour le petit Malik, on trouve de l'humour ( j'ai éclaté de rire bien souvent), de la tendresse, des situations cocasses ( les réflexions de la maman de Malika par exemple) ou dramatiques (la maladie de Malika)..une réflexion intense sur la perception de la banlieue dans les esprits..
Lien : http://delcyfaro.blogspot.co..
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Le petit Malik

Le petit Malik se veut être un nouveau petit Nicolas. On va donc suivre les aventures de ce petit garçon d'aujourd'hui et bien de chez nous, au fil des ans. A raison d'un chapitre par an.



Les chapitres sont vites lus et font référence à un épisode plus ou moins important de la vie du petit Malik.



J'ai été au départ, assez sceptique sur ce livre, trouvant la lecture trop superficielle, les épisodes évoqués succeints et anecdotiques. Et puis au fil des chapitres tout ça a pris une contenance et une cohérence.



Ce livre m'a aussi parlé en écho, non pas trop à ma vie, ayant grandit loin de la cité, et l'ayant fréquentée que plus tard, mais à la vie de nombreux amis et de gamins avec lesquels j'ai travaillé. Le ton et la vie de la cité sont bien là, sans misérabilisme, avec sa formidable mixité culturelle, avec ses excès et ses retenues, ses douleurs et ses bonheurs.



ALors le petit Malik est peut être effectivement le nouveau petit Nicolas, celui des banlieux. Son parcours est décrit sur un ton divertissant mais dépeint une réalité que ne l'est pas toujours.
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Le petit Malik

J’ai apprécié ce roman assez court sur l’itinéraire de Malik et sa bande de gais lurons dans une cité française, entendez par là quartier chaud possédant une forte densité de population venant principalement des anciennes colonies françaises. Malik est musulman, ses deux fidèles potes Abdou et Salomon sont respectivement chrétien et juif. Dans cette configuration, il y a comme une référence au trio Vincent Cassel, Hubert Koundé, Saïd Taghmaoui du film culte de Mathieu Kassovitz, la Haine. Sauf que dans l’œuvre cinématographique, ce sont 24 heures de 3 jeunes banlieusards qui sont mis en scène.







Mabrouck Rachedi brosse un portrait plus étendu dans la durée de Malik et ses comparses sur 21 ans. De la fin de l’école maternelle au premier RMI… Pour cela, il résume chaque année de notre héros par une anecdote qui donne suffisamment d’éléments sur Malik et l'évolution de son environnement : on passe ainsi de l’enfance dans un foyer monoparental, avec des territoires à marquer à l’école, les bagarres, les moqueries de mômes à l’adolescence avec l’influence de la culture urbaine américaine sur les ghettos français, la découverte de la littérature à l’école républicaine, les vacances à l’arrache, la prise de conscience de la condition de sa mère, le rapport complexe aux forces de l’ordre, les filles, la cave, la drogue et les premières démarcations des uns et des autres.







Le propos de Mabrouck Rachedi est léger. Il ne rentre pas en profondeur dans sa thématique. Le roman dresse une évolution plus ou moins attendu des personnages principaux. Par contre, il dresse quelques portraits singuliers de ces banlieues comme celui de Bruno le vendeur débonnaire de glaces qui se transforme en braqueur ou encore de Boualem, l’icône du quartier jusqu’à ce qu’on découvre qu’il est policier.

Rachedi dénonce une certaine forme de mentalité de ghettos qui paralyse ses personnages et Il souligne également les difficultés de dialogue entre certains jeunes de banlieue avec le reste de la société.







C’est donc un texte qui se lit bien, qui me rappelle personnellement Kiffe Kiffe Demain de Faïza Guène et qui ne fait pas dans le misérabilisme. Juste l’histoire d’un gamin qui veut s’en sortir et qui ne sait pas trop comment s’y prendre. Les illustrations d’Eldiablo apporte un plus à cet ouvrage.







Bonne lecture


Lien : http://gangoueus.blogspot.co..
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Banale flambée dans ma cité

Un récit sur la cité, le trafic de drogue, les affrontements entre jeunes et policiers. Plutôt par mal puisque l'on suit Mabataï, un enfant sans histoire qui finit par mettre, malgré lui, un pied dans la bande du caïd, trafiquant de drogue. On comprend qu'il est difficile, voire quasi impossible d'y échapper une fois qu'on a accepté même une toute petite mission.

J'ai moins aimé la fin, trop "prévisible" ; j'ai également trouvé le dénouement rapide et un peu trop facile.
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Tous les mots qu'on ne s'est pas dits

Conteur hors pair, Rachedi livre avec Tous les mots qu’on ne s’est pas dits un récit poétique, souvent nostalgique, raconté dans un désordre narratif savamment organisé.
Lien : https://www.rfi.fr/fr/podcas..
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14 lignes

Un beau recueil de nouvelles autour d'un même sujet: le métro parisien. Il est représenté avec poésie et douceur. C'est le moment d'une réflexion intérieure ou d'une invitation au voyage. Mais surtout, comme le montre très bien 14 lignes, c'est un objet du quotidien qui aiguillonne nos histoires. Chaque auteur a son style et sa façon de voir le métro, cela crée des nouvelles perspectives. L'imagination et l'originalité sont au rendez-vous.



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Eloge du miséreux : De l'art de bien vivre av..

J’ai particulièrement aimé cet essai qui se cache derrière un récit. Ou le contraire. Mabrouck Rachedi ne se content pas de nous faire la liste à la Prévert des échecs et faille du système de (re)classement de la France, de la déchéance d’un homme, sa chute dans les méandres du monde du chômage ; non, l’auteur nous fait intelligemment vivre dans les pas d’un de ceux que les médias appellent, à longueur d’édito ; les profiteurs du système. L’as des as du système D qui vous montre comment passer à travers les mailles du filet et vivre en sangsue de la société.
Lien : http://loumeto.com/mes-lectu..
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14 lignes

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Le petit Malik

Un roman sympathique qui m'a évoqué "La vie devant soi" de Romain Gary. Agréable à lire.
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La petite Malika

Belle histoire d'intégration. Ca réconcilie aussi avec l'éducation nationale qui a su voir les dons de Malika.
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Le petit Malik

A 5 ans, Malik et ses petits camarades arnaquent le vendeur de glaces du quartier. Un an plus tard, notre jeune banlieusard découvre l’école et les horribles vêtements que lui a choisis sa maman attentionnée : « Ma mère avait jugé bon de m’attifer d’un total look ringard pull marin, pantalon à pinces, chaussures Eram en daim pour marquer l’événement. J’avais l’air d’un clown avec mes vêtements neufs et mon cartable qui sentait le cuir à dix kilomètres à la ronde. » A 9 ans, grande déception, Malik trouve un papa de remplacement parfait ! Il fait tout pour le « marier » avec sa maman, jusqu’à ce qu’il découvre que c’est un … policier. A 17 ans, les filles font leur apparition dans la vie de nos trois compères. Mais, pas les vraies, celles de la télévision, des clips et des films X. Après tout, comme le dit Malik « Nous qui nous rêvions beaux gosses, on était que des branleurs. » Puis la vie suit son cours. Première relation longue avec une petite amie, petits délits, premiers boulots, avec la découverte de la « vraie « vie : « Un jour on m’a expliqué qu’il valait mieux que je m’appelle Marc. Marc. Malik, c’était le même prénom à une syllabe près, non ? J’étais téléopérateur chez Creditis, un établissement de crédit à la consommation. Le principe était simple, on prêtait une somme à un pauvre type et on le plumait en intérêts. Sur les gros coups, on récupérait deux fois plus qu’on avançait. Du racket ? Non, le fonctionnement normal de la société capitaliste. Et le capitalisme, ça passe mieux quand on s’appelle Marc plutôt que Malik, c.q.f.d. »

Cette amertume s’accompagne de nostalgie quand Malik voit les chemins divergents empruntés par ses amis : Salomon, qui a réussi, revisite son ancienne cité en costard-cravate, tandis que son deuxième meilleur ami Abdou restera enfermé dans sa cave.

Mais comme dans chaque existence, il y a des moments où on ne peut s’empêcher de rire. Comme Halim, qui ponctue ses fins de phrases de « Nique ta mère » de façon automatique, et qui se retrouve au tribunal, parce qu’un policier n’a pas apprécié ce « signe de ponctuation ». Les visites des évangélisateurs dans la cité provoquent des dialogues absurdes et hilarants :

« - Rejoignez l’Eglise évangélique du Renouveau Christique pour la Pureté de l’âme humaine et le retour de la Foi en Jésus sur terre !

- Hein ?

- Vous connaissez Jésus ?

- Le concierge de l’immeuble C ? Ouais, bien sûr !

- Jésus était le père, le fils et le Saint-Esprit ?

- Il souffrait de troubles de la personnalité ?

- Non, je vous parle de la transsubstantiation.

- C’est dégueulasse, ces histoires de changement de sexe !

Transsubstantiation, cinq syllabes, faut être branque pour sortir ce mot ici ! Déjà que la Trinité est un concept difficilement concevable pour un musulman qui y voit des relents polythéistes, là, la barbarie du mot renvoie à l’idée d’une pratique vaguement sataniste. »

Et toujours cette mélancolie de la cité, qui s’intensifie à mesure que Malik grandit, et qui pourtant, « [exhale] l’effluve des caniveaux. »



Ainsi, chaque chapitre est consacré à une année de vie de Malik, jusqu'à ses 26 ans. On découvre parfois des caricatures qui représentent les protagonistes, selon leur âge.



Vers la fin du roman, tandis que le narrateur, âgé de 25 ans, se demande où est passée sa jeunesse, le lecteur se sent ému par ce morceau de vie sincère, plein de fraîcheur, qui émeut autant qu’il fait sourire. Un roman sur la vie, que l’on dévore, et dont on ressort changé. On en est même frustré. Malik, Abdou et Salomon, on aurait bien aimé faire les 400 coups avec eux.
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La petite Malika

C'est en surfant sur les différents blogs de lecteurs que j'ai découvert ce livre. Et puis l'autre jour je l'ai trouvé d'occasion. Heureusement. J'ai été déçue par un livre assez plein de clichés. Je l'ai lu vite sans réussir à rentrer vraiment dans l'histoire.



C'est l'histoire d'une jeune fille surdouée dans une cité. On la suit de 5 à 26 ans, avec chapitre par année. Cette structure n'aide pas à rentrer dans la vie. Les évènements se suivent parfois sans rapport, comme si on lisait un bloc note.

Il y a certes de bons mots, mais j'ai trouvé les évènements décrits un peu caricaturaux ( l'homophobe qui devient homosexuel, le cancre qui triche, les altercations dans la cours.... )

Les personnages ne sont pas très fouillés je trouve.



Je suis déçue....



Je mets quand même une citation qui devrait parler aux usagers des transports en commun:

"une loi de la physique moderne énonce que tout corps plongé dans un train de banlieue est soumis à la loi de la relativité des horaires"
Lien : http://lireetrelire.blogspot..
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