Maïa Brami

« De toute manière, je serai l’avocate contre l'injustice. Avocate avec un “e”. » L’essence du combat de Gisèle Halimi tient dans cette phrase tirée de son journal intime qu’elle débute à l'âge de 11 ans. Née dans une famille juive tunisienne, elle comprend très jeune l’inégalité entre les hommes et les femmes, et qu’elle est “née fille dans une société où la femme est une chose”. Le récit à la première personne se passe l’été de ses 18 ans, en juillet 1945, quand Gisèle Halimi va enfin partir pour Paris.

A travers des souvenirs d’enfance émouvants et très imagés dans le Tunis des années 30, grâce au récit haletant de ces longs mois d’attente et de mensonges pour obtenir enfin sa liberté, Maïa Brami nous fait découvrir une enfant singulière, espiègle, qui devient une jeune femme magnifique et révoltée. Roman pour adolescents mais qui séduira tous les âges, ce livre est un bel hommage à celle qui fut à l’origine de nombreuses victoires du féminisme, et permet de faire connaître aux jeunes générations cette figure incontournable de la lutte pour le droit des femmes.

Jebsuisbun peu gênée car j’ai le sentiment d’être complètement passée à côté de ma lecture. Je ne sais pas pourquoi mais je ne suis pas rentrée dans le livre. Je n’ai pas réussie à le lire en entier j’ai du le laisser sur le côté. Est ce que je l’ai lu au mauvais moment? Est ce que j’ai du mal, de par ma sensibilité personnelle, à entrée dans le livre et à supporter? Je ne sais veaiment pas, tout ce que je sais c’est que je n’ai malheureusement pas réussi a le finir… je pense que je re tenterais de le lire et si je réussi j’en ferais une nouvelle critique mais pour l’instant je ne sais pas exactement pourquoi mais il ne passes pas je n’y arrive pas…

Je me suis tellement ennuyée durant la lecture. Il n'y a pas d'actions : rien ! Le personnage principal n'est pas attachant : sa vie n'a rien d'intéressant. Je n'ai pas eu le moindre sourire ou autre sentiment face à ce livre. Je trouve même l'idée bizarre, absurde. Bref, ça aurait pu être un coup de cœur s'il y avait eu des pages destinées à Stella et le gars sur qui elle fantasme. Elle nous raconte que ses ex. Je n'ai pas pu le lire en entier, mais je l'ai quand même fini, malgré l'ennui que j'ai éprouvé. La fin m'intriguait tout de même, et ça ne valait pas la peine ! Je ne vous le recommande pas !

J'adore le concept de la collection L'Ardeur de Thierry Magnier ! L'Ardeur propose des récits érotiques à destination des adolescents. Ces récits sont dans l'ère du temps, représentatifs d'une diversité, tolérants et bienveillants 😍



Toute à vous ne fait pas exception à la règle. Après avoir aperçu, de sa fenêtre, son voisin entrain d'enlever son T-shirt, l'héroïne du roman, devenue folle de désir, se lance dans une "correspondance" avec ledit voisin. Elle y exprime librement ses fantasmes mais également ses réflexions sur le monde, son histoire et sa personnalité. Ses lettres, elle sait qu'il ne les lira jamais alors elle s'y livre entièrement, elle peut s'y dévoiler. Cela donne un texte émouvant, fluide, parfois drôle et subtilement sensuel.

Cet album jeunesse documentaire va vous faire voyager à travers le monde entier ! Les autrices ont mis à l’honneur 22 enfants qui vivent sur des continents différents, mais surtout au sein de cultures toutes plus éloignées les unes des autres. Le lien entre chacun protagoniste ? Un petit (ou grand) geste mis en place pour préserver notre planète bleue. Cela va de l’action collective à celle individuelle mais chacune nous réchauffe le cœur par sa bienveillance et son effet boule de neige ou de petit colibri, chacun fait sa part. Car la Terre est notre maison et notre amie, elle mérite d’être préservée et utilisée avec respect. Il plaira aux lecteurs dès 6 ans sans aucun doute et sèmera des petites graines d’écologistes auprès de chacun. Lisez-le d'urgence !
Lien : https://booksetboom.blogspot..

NORMA

Maïa Brami

@editions_davallon



Agréablement surprise par ce court roman, lauréat du 20 ème festival du 1 er roman de Chambéry.

👏👏👏

Un premier roman de l'autrice, et bien réussi.

Très touchée par l'histoire de cette petite Norma, à peine âgée de 7 ans et un vécu plus qu'horrible.

Placée dans ce centre d'accueil pour enfants maltraités, abandonnés, et qui ont pu vivre un quotidien douloureux, que l'on va découvrir page après page.

📜📜📜

On va faire la connaissance de quelques-uns de ces gamins à travers leur récit, leur malheur, leur secret, la folie des adultes et leur faiblesse, ainsi que le personnel qui y travaille.

Comment vous dire que j'en avais la gorge nouée.

🥺🥺🥺

Un essai bien intrigant, prenant, je ne savais pas vers où j'allais, mais je me sentais tellement présente dans ce centre avec chaque enfant.

On reste quand même dans un certain mystère, malgré les informations sur chacun des protagonistes.

🤔🤔🤔

On se pose 1000 questions, mais pourquoi ? Et que faire ? Que va t'il se passer ?

Un livre fort en émotions, des secrets qui restent enfouis, un passé bien lourd pour chacun de ces enfants malgré leur jeune âge, une violence physique ou psychologique qu'ils vont malheureusement découvrir toute leur vie.

On ressent à travers les mots, ce besoin qu'ils ont de vouloir s'attacher, échanger, pour peut être retrouver un petit peu de normalité.

Écorchés vif , on ne peut que s'attacher à ces enfants.

🥺🥺🥺

Cet essai traite clairement la maltraitance infantile, les conditions dans les centres d'accueil et famille d'accueil.

Un style et une plume qui m'a beaucoup plu, ainsi qu'une nouvelle maison d'édition que je découvre avec plaisir.

Merci Camille pour cette découverte qui m'a bien marqué.



A très vite avec un autre titre de la même ME.

Lionel ne veut pas manger la soupe, ni les petits pois et ni les haricots verts. Et lorsque sa maman lui raconte le soir une histoire, le conte n’est plus le même : plus aucune soupe dans les bols pour Bouclé d’Or et plus d’haricot magique pour Jack !

Je trouve le récit assez brouillonne difficile à suivre pour les enfants. Même si l’idée est intéressante, je trouve qu’elle n’est pas bien exploitée. Les dessins des personnages, très carrés, ne m’ont pas plu également,, renforçant ce sentiment de récit assez fade et peu compréhensible. Dommage, au vue de l’idée intéressante de parler de nourriture avec les contes.

Mon ressenti: J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque. On y retrouve le personnage de Nora, ado complexée qui se retrouve dans un échange épistolaire avec Rodrigue, par hasard. J'ai beaucoup sourit en lisant ce roman, en repensant à mon adolescence notamment à travers Nora. Une lecture agréable. J'ai passé un bon moment avec ce livre.

A son arrivée dans le foyer d'enfants où elle vient d'être placée, Norma, 7 ans, intrigue beaucoup les autres "résidents ": Que lui est-il arrivé ? Pourquoi tient t-elle à garder ses cheveux cachés sous sa casquette ?

Les adultes, quant à eux, ont toujours à l'esprit le procès médiatique qui a précédé son admission.

Très vite, la fillette va s'attirer la sympathie de Léo, un jeune garçon habituellement violent et plutôt ingérable, ainsi que celle de l'une des éducatrices.



Dans ce court, mais intense roman, le sujet principal est la condition de certains enfants dans notre pays. Bien sûr, les histoires abordées sont extrêmes, mais elles reflètent tout de même un des aspects peu reluisant de notre société.

Un des côtés de cette lecture que j'ai préféré, c'est celui du dévoilement progressif de chaque histoire, notamment celles de Norma et de Léo.

Il n'y a pas de déballage brut des événements, pas de voyeurisme, mais une distillation d'informations par petites touches, qui donnent envie d'aller plus avant dans la lecture.

La relation très forte qui se noue entre Léo et Norma est également un des plus jolis points du récit. Elle donne au texte le côté humain et doux qui permet de contrebalancer la violence des vécus.

Enfin, l'auteure aborde le thème de la distanciation professionnelle, en mettant en miroir la situation d'une des éducatrices, et celle de Norma. C'est osé, mais bien mené.

L'écriture de Maïa Brami est plaisante et pudique, et les thèmes abordés particulièrement intéressants. Je pense que le livre aurait encore gagné en profondeur avec un peu plus d'explications sur les raisons qui ont amenées Norma dans le foyer...C'est un phénomène que peu de gens connaissent, mais qui est réel et bien difficile à détecter. L'auteure a, en tous cas, le mérite d'en avoir parlé.

Merci aux éditions Davallon pour cet envoi. Une belle découverte

😊 A la découverte de 🙂

Norma de Maïa Brami

Les éditions d’Avallon



Merci à la maison d’édition pour cette jolie découverte.

Ce roman a été une première fois publié en 2006 aux éditions Folie d’encre, et a été lauréat du 20ème festival du premier roman de Chambéry. Les éditions d’Avallon ont souhaité republier ce premier roman de l’auteure, séduites par ses qualités stylistiques et la force de son histoire.

Ce roman aborde un thème cher à l’auteure, la place de l’enfant dans notre société. Une thématique qui m’intéresse aussi beaucoup et qui nous fait découvrir des livres forts et riches en émotions.



Norma est une fillette de tout juste 7 ans quand elle arrive dans ce centre pour enfants qui accueille les enfants battus, abusés ou abandonnés. Discrète, timide, elle cache sous une casquette sa belle chevelure disparue.

Léo est dans ce foyer depuis longtemps, suffisamment pour inspirer le respect ou la peur chez le autres pensionnaires. Il va se prendre d’affection pour Norma, cette petite fille qui porte bien des secrets en elle.



Ce livre nous plonge immédiatement dans le quotidien de ces enfants blessés abandonnés, livrés à eux-mêmes. Page après page, on découvre leur passé déjà si lourd malgré leur jeune âge : Léo dont la mère l’ignore et l’accable d’être ne serait-ce qu’en vie, Emily découverte dans un abribus... Mais sur Norma nous ne savons que peu de choses au départ : une famille aimante, une maladie, un procès et beaucoup d’interrogations autour de cette petite fille.

Petit à petit l’auteure va nous livrer les secrets de chacun, les rêves et les peines, les incompréhensions et les malentendus souvent. Des vies sordides et inimaginables voient le jour sous nos yeux, le quotidien de ces enfants placés.



Un livre assez dur qui nous parle d’enfants écorchés vifs, qui n’ont pas eu la chance de connaître une enfance normale placée sous le signe de l’amour et la bienveillance. Abandonnés, maltraités, ils sont livrés presque à eux-mêmes dans ce foyer où l’on a pas le temps, ou pas l’envie, de leur donner tout cet amour dont ils ont été privés.

Mais on y croise aussi des adultes en mal d’amour dont les failles de l’enfance resurgissent avec force. Des adultes en proie aux mêmes terreurs que les enfants dont ils ont la charge, comme un cercle vicieux sans fin du malheur.



C’est un livre court mais plein d’émotions et de sensibilité. Dans un contexte dur et tendu, quelques bribes d’espoir apparaissent parfois. Mais la réalité rattrape trop souvent ces enfants victimes de situations inhumaines et qui les dépassent.

Une très jolie lecture, pleine de douceur malgré le thème très sombre. On aimerait croire que ce n’est que de la fiction, que tout s’arrangera très vite, mais malheureusement la maltraitance infantile est un sujet toujours d’actualité malgré les moyens mis en place.



Pour retrouver ce livre, c’est par ici https://www.bod.fr/librairie/norma-maia-brami-9782491996130

Voici un roman pour lequel je suis déçue (de moi ?!) de ne pas avoir eu un coup de coeur parce qu'honnêtement ça aurait pu.



Si je me suis parfois un peu perdu dans le fouillis des pensées exacerbées de certains protagonistes celles-ci se tiennent avec le fait de montrer les failles et les fêlures de chacun. Celle des enfants, adolescents présents au foyer depuis plus ou moins de temps qui ont chacun leurs rêves, leurs angoisses, celles des éducateurs, parfois dépassés (voire un peu trop névrosé à mon goût pour un des protagonistes), parfois pas vraiment à leur place.



Les failles de la vie en foyer loin d'une vie idyllique où les educ ne peuvent pas jouer le rôle de famille aimante pour ces enfants blessés. Mais qu'il peut malgré tout s'y tisser des liens solides entre les enfants, substitut de ''famille'' les uns pour les autres, qui sont aussi un soutien pour s'en sortir et avancé, comme Léo qui découvre peu à peu l'écriture.

C'est un texte court qui se lit très vite et permet une lecture en une seule fois (ou deux à la limite). Et ça, c'est agréable après avoir lu de gros pavés ! Enfin, ça, c'est un peu plus dommage quand l'histoire est super intéressante et donne envie d'y rester un petit peu plus longtemps 🤔



On fait la connaissance de Norma, une petite fille de 7 ans qui est propulsée dans un foyer d'accueil, le crâne complètement rasé et sujette à des crises ! Elle y rencontre Léo, un adolescent adorable avec elle et qui la prends sous son aile dès son arrivée, alors qu'il se trouve être atteint d'une sorte de mutisme et de troubles difficiles (il est dans le foyer depuis très longtemps déjà). Ils vont dès lors devenir amis - ce qui va déranger.



Un drame bouleverse Norma, elle est séparée de ses parents qui ont été arrêtés. Toutefois, nous n'avons pas la raison exacte (enfin peut-être que si, mais pour ça, il faudra le lire 😇). Les souhaits de ces personnages sont simples : "j'aimerais voir la mer", "avoir une famille" 🌅



On découvre aussi Antoine, Mira et d'autres ayant chacun leurs soucis et malheureusement parfois, ce sont les enfants qui vont trinquer.



C'est un roman touchant, sincère et sans choses inutiles. Chaque phrase à sa place et aucun personnage n'est mis de côté - malgré qu'il y ait des personnages clé.

Blanche vit dans un royaume gris où tout est terne. Le soleil ne perce jamais les gros nuages, l'eau est nauséabonde et les gens tombent malade. Mais Blanche adore rêver à son idole Sacagawea, la femme oiseau née dans une tribu américaine en 1788 et qui marqua l'histoire par son courage et sa détermination en aidant des blancs, Lewis et Clark dans leur exploration de l'est en ouest du continent. Cette héroïne lui inspire paix et nature, tout l'inverse qui se trouve dans son royaume ! Et si les habitants n'avaient plus le choix que de protester contre cette pollution pour leur santé ? Un conte écologique sur la préservation de l'environnement à travers les yeux d'une petite fille. Superbement illustrée par la dessinatrice Karine Daisay, on découvre cette terre de désolation dû à la main de l'homme. Le livre est grand, avec de grandes planches colorées pour immerger le lecteur dans cette histoire. Je vous recommande de la découvrir dès 6 ans, pour également en apprendre plus sur Sacagawea avec sa courte biographie en fin d'ouvrage. Allons sauver le village de Blanche sans plus hésiter !
Lien : https://booksetboom.blogspot..

Une jeune fille tombe amoureuse de son voisin par échange de courrier interposé. 300 pages pour savoir si elle va surmonter ses complexes et accepter d'entamer une "vraie" relation avec lui... beaucoup de blabla , d'atermoiements et de mièvreries pour pas grand chose. Un pas en avant , deux en arrières...il ne se passe rien ! De plus les personnages ne sont pas très crédibles. Je n'ai rien contre les bluettes sentimentales pour adolescentes mais là c'est too much pour moi.

Rencontré Karine Daisay l'illustratrice au Salon du Livre Opéra de Tours 2019. Je lui achète et fais dédicacer pour Paul ce beau livre co-créé avec Maïa, fille d'Elisabeth Brami. Un tour du monde incarné par des portraits d'enfants.

Les Brami, ou c'est une grande famille d'écrivains, ou c'est un nom hyper fréquent!!! C'est le 4ème bouquin de ce patronyme que j'ajoute à mon babélio ;-)

Alors qu'en dire? Eh bien pas grand chose : lecture facile, un peu trop simpliste à mon goût, qui a le mérite d'essayer de varier la narration (blog, tests psy à deux balles, narration proprement dite) : Douce, une jeune ado, va rencontrer au cours d'un stage sa chanteuse préférée et tisser des liens d'amitié avec elle... Pas grand chose d'original, style un peu gnangnan, ça ne m'a pas convaincue du tout! Le genre "conte de fées" trop facile, bof...

Quand le livre est paru, je n'étais pas encore décidée sur si j'allais lire le livre ou non. C'est en tombant dessus dans les rayonnages du médiabus que je me suis décidée.



Au début, je n'ai pas accroché avec Nora car je pensais que ce sera un récit trop jeunesse mais finalement, page après page, j'ai commencé à l'apprécier de plus en plus. Par contre, je dois vous avouer quelque-chose : je n'ai absolument aucune idée de qui est Ava Gardner et je n'ai pas éprouvé l'envie d'en savoir davantage.



La relation qu'elle construit avec Rodrigue, via des lettres, est au départ platonique. À mesure que l'on avance dans l'histoire et qu'elle rencontre en chaire et en os son "voisin", la miss prend peur et fuit. Là, j'ai eu l'impression de me voir. J'aurai eu la même réaction.



Vous vous en doutez, cela va s'arranger à mesure que l'on approche de la fin.

Une lecture qui m'a fait passé un bon moment.
Lien : http://www.paradise-book.fr/..

Après avoir lu ce livre, ma première impression a été : Bon. Peut-être ai-je quelques années de trop pour apprécier ce roman à sa juste valeur. Parce que c’est un bon roman ado.



J’ai beaucoup aimé l’ouverture atypique où l’héroïne s’adresse à son héroïne à elle, Ava Gardner, dans une lettre. Le ton est donné : une histoire qui fait la part belle à l’écriture, à la correspondance qui nous devient de plus en plus étrangère mais aussi au glamour aussi désuet que séduisant, aux références cinématographiques de qualité (TEAM HITCHCOCK)… Les princes charmants n’existent pas traite cependant de thèmes bien actuels tels que le harcèlement sur les réseaux sociaux, l’image de soi. Le contraste est donc intéressant.



L’écriture est fluide, il y a de très jolies réflexions ça et là… « Dans la rue, pas âme qui vive. Je me demande toujours où disparaissent les gens entre le samedi et le dimanche. » (pour n’en citer qu’une) Ce que j’ai moins apprécié, c’est l’emploi d’expressions en décalage total avec les habitudes langagières des ados d’aujourd’hui : Le « vous » et les jolies tournures sont vraiment bien vues dans les lettres, en revanche les dialogues entre les personnages dans la vie de tous les jours sonnent parfois un peu faux.



Je conseille donc, au final, mais surtout pour les douze-seize ans qui y trouveront encore plus leur compte.
Lien : https://prettyrosemary.wordp..

Une histoire d'amour originale, un peu enfantine parfois mais l'interet est la ! La touche epistolaire ajoute beaucoup de poesie dans ce livre je trouve.

C'est l'histoire d'une jeune fille qui s'appelle Nora et qui reçoit une lettre de rupture mais qui ne lui est pas destinée. Elle décide donc de renvoyer la lettre au bon destinataire , et ils commencent à s’écrire.

Ce livre est un récit d'amour car ils ressentent un sentiment fort l'un pour l'autre .

Le roman entre dans un schéma-type de quête car Nora essaye de retrouver le jeune garçon qui lui envoie des lettres. Je trouve que le début de l'histoire est un mystère car elle ne sait pas qui est le garçon qui lui envoie des lettres.

Finiront-ils par se rencontrer ?

Je trouve que Nora, le personnage principal, est plutôt mystérieuse et gentille.

Je trouve que je suis plus proche du personnage de Nora car l'histoire commence avec elle et on partage ses sentiments.

Je trouve que pour l'écriture les phrases sont assez courtes, et il y a quelque fois de l'humour.

C'est un roman épistolaire.

Je trouve que l'histoire est originale car la façon de raconter l'histoire avec des lettres est originale

Je trouve que ce livre m'a fait rêver ; le fait que Nora reçoit une lettre de rupture qui ne lui est pas destinée et qui termine en une histoire d'amour.

Et je mets 2 étoiles car j'ai bien aimé le livre mais j'ai eu comme même du mal à le finir.