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Citations de Maria Ernestam (308)


Pourquoi les gens se faisaient-ils souffrir les uns les autres en permanence ? Pourquoi bataillaient-ils tous ainsi avec leurs échecs au lieu de se sentir un tant soit peu valables et bons, ce qui les rendrait plus conciliants envers autrui et surtout envers ceux qu'ils prétendaient aimer ?
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Ou bien il était en train de s'apercevoir qu'il ne l'aimait pas. Que les choses peuvent être très belles en apparence mais vous glisser entre les doigts dès qu'on essaie de s'en saisir.
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On croit qu'on fréquente certaines personnes pour obtenir certaines choses et puis on se rend compte que ça ne marche pas comme ça. Les gens vous surprennent en permanence, on ne peut pas les mettre dans des cases et penser qu'ils y resteront toute la vie. On est obligé de reconsidérer les choses.
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Incroyable comme le temps pouvait vous faire changer de point de vue.
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Cette peur de l’inconnu. C’est probablement quand la peur est absente que nous osons dire oui à nos rêves et, dans le meilleur des cas, les réaliser. Les gens qui ont franchi le pas ont ceci en commun que leurs visages s’ouvrent à la diversité de l’existence et y consentent.
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Mais nous ne voyons des autres que ce qu’ils nous montrent. Chacun de nous existe dans sa propre tête et dans son coeur, les seuls lieux où nous apparaissons tels que nous sommes, sans promesses et sans fard.
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Pourquoi n’avais-je pas compris – pourquoi personne, en fait, ne comprenait que la vie ne dure qu’un instant, et que repousser l’essentiel équivaut à le nier ?
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Une divinité affute nos destins, malgré tous nos grossiers efforts pour les sculpter.
Est-ce que cette citation te rappelle quelque chose...quelqu'un ?

Dernieres phrases du roman.
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Jan ERSA et Per PERSA se cherchaient toujours des poux.
Ils plaidaient et chicanaient.
Le pasteur prêchait la paix - mais autant parler aux poules.
Dès qu' Ersa sortait vainqueur, Persa faisait un procès.

p 54
d'après Gustaf Fröding


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La bassine en zinc était remplie à ras bord d'eau de pluie. Le chat s'étira de tout son long, inclina la tête en avant et lapa le liquide glacial et revigorant. Sans peur. Il ne connaissait pas la peur. (p.11)
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... je connais l’odeur fétide de la perfidie. Sa puanteur est conservée dans un bocal en verre soigneusement scellé, entreposé au plus profond de mon être.
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Pourquoi les rosiers ? … M’évoquent-ils les orgies de roses de Cléopâtre ? Ou l’expression sub rosa, « sous la rose », qui désigne l’intime, le confidentiel ? Ai-je jugé que la rose, tenue au secret, serait ma meilleure alliée ? Sans doute, car les miennes, en plus d’être belles et inaccessibles, savent tout.
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J’avais sept ans quand j’ai décidé de tuer ma mère. Et dix-sept ans quand j’ai finalement mis mon projet à exécution
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Je me suis marié avec la femme qu'elle a été, pas celle qu'elle est devenue.
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Dans la bibliothèque, quelques âmes solitaires lisaient le journal. Un homme faisait des photocopies. Une bibliothécaire feuilletait des archives, cliquait sur son clavier, sortait des classeurs. Sara s'adressa à elle d'une voix feutrée. La femme continua ses multiples activités tout en lui répondant avec pertinence.
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Postface :
Nos voisins ne sont toujours pas conscients du rôle qu'a joué leur chat dans notre vie. Nous ne pouvions pas leur demander de l'empêcher de se balader chez nous.
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" Mon cheminement vers le but ultime, tuer pour ne pas être tuée "
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J'avais sept ans quand j'ai décidé de tuer ma mère. Et dix-sept quand j'ai finalement mis mon projet à exécution.
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En surface elle pouvait paraitre calme mais je la connais.Je savais tout de sa violence
Moi, te tenir à l'écart ? J'étais prête à tout pour te plaire.Tu as toujours refusé de le voir
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Ces derniers jours ont été agrémentés de petits déjeuners en plein air, d’obligations mineures et de longues promenades au bord de l’eau. J’ai bichonné mes roses, qui semblent maintenant avoir récupéré après les tempêtes. J’ai enterré des peaux de bananes pour favoriser la floraison, écrasé entre l’index et le pouce quelques pucerons égarés et coupé des rameaux de mon York and Lancaster, que j’ai disposés sur mon secrétaire. Ses fleurs rouges et blanches exhalent une remarquable odeur de conflit et de pardon. J’aimerais garder mon odorat jusqu’à la fin. En fermant les yeux, je me remémore le parfum des croissants frais en France, l’air de la montagne en Autriche et les fragrances sucrées des vignobles le long de la Moselle.
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