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Critiques de Marie-Florence Ehret (41)
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Colette, la scandaleuse

De cette femme un peu énigmatique, on ne fera jamais le tour. Chaque livre est le bienvenu et contribue à lever le voile sur cette auteure de milliers d'articles, d'une cinquantaine de livres, qui s'est éteinte à plus de 80 ans.
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Colette, la scandaleuse

Marie-Florence Ehret nous présente la vie tumultueuse de Colette, illustre écrivaine mais aussi femme libre et audacieuse du 20ème siècle. A la lecture de ce récit, la qualifier de scandaleuse est totalement justifiée, tant Colette s’est jouée des normes sociales de son époque.

Nous suivons Gabrielle Colette, de sa naissance dans le petit village de Saint-Sauveur en Bourgogne jusqu’à la fin de sa vie. On apprend beaucoup de détails sur son enfance heureuse, puis sur sa vie de femme, d’amoureuse, d’artiste de music-hall, de journaliste ou de créatrice de beauté.



Le récit nous fait parcourir les événements à toute allure, nous empêchant de véritablement apprécier la portée de chaque moment clé de sa vie. J’aurais aimé prendre le temps et accorder plus de temps à l'exploration de son identité d'écrivaine.

J’ai également été surprise par certains titres de chapitres, de style trop familier à mon gout, tels que "les twins" ou "le buzz". Cela peut sembler déplacé dans un ouvrage consacré à une figure de la littérature.



Malgré cela, ceux qui ne connaissent pas la vie de Colette apprendront beaucoup de choses, ce livre apportant une bonne connaissance sur une personnalité marquante de l'histoire littéraire du XXe siècle.

En tout cas, elle a pleinement sa place dans la collection « Elles ont osé » d’Oskar.

Reste à savoir si cela donnera envie aux jeunes de découvrir les œuvres de Colette !

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Fille des Crocodiles

(SC) Thèmes : traditions - coutumes - excision - émigration - scolarisation des filles - Burkina Fasso

Niveau : LP - 4ème ?

L'héroïne Fanta vit dans un village avec sa grand-mère, la Vieille, ses oncles, cousins et cousines. Sa mère Delphine est partie travailler en France et leur envoie de l'argent en attendant d'avoir ses papiers et de revenir chercher Fanta peut-être ? En attendant celle-ci coule des jours heureux entre l'école et les travaux domestiques, protégée par sa grand-mère, dont les idées choquent par leur modernité et qui s'oppose notamment à certaines coutumes comme l'excision.

Un roman intéressant, simple à lire qui aborde des thèmes intéressants

(MAB) J'ai aimé ce roman qui relate la vie dans un village du Burkina Fasso. Je confirme les niveaux 4ème et LP.

La lecture s'avère facile, le vocabulaire est riche et l'auteur nous intègre rapidement à l'histoire.

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Fille des Crocodiles

Le roman „Fille des crocodiles“, écrit par Marie-Florence Ehret, est publié en 2011 aux éditions de Klett. Le livre traite de l’histoire de la protagoniste Fanta, une jeune fille de 11 ans qui vit dans un petit village au Burkina Faso, où les traditions sont très présent.

Concernant la langue et le style du livre, j’aime que les lecteurs gagnent des impressions sur les émotions des personnages du livre. Malgré quelques mots difficiles, la langue en général est bien compréhensible. Les aides vocabulaires en bas des pages sont utiles, mais quelquefois mal-choisis, alors j’aurai eu besoin de traduction d’autres mots.

Sur le terrain du contenu, je pense qu’on apprend beaucoup sur la vie et la culture africaine. J’aime aussi que le roman souligne le contraste entre les deux mondes en comparant la vie quotidienne en Afrique avec la vie au jour-le-jour en Europe, notamment en France. Même si je pense que la question sur l’excision est palpitant, il ne se passe beaucoup dans le roman. Néanmoins, je trouve que le développement des relations entre les personnages est très intéressant. En plus, le roman „Fille des crocodiles“ est d’actualité parce que les sujets du livre jouent un rôle important dans le monde de nos jours, par example la migration, les droits des femmes ou les traditions et coutumes. D’ailleurs, pour la protagoniste Fanta il y a aussi la grande question controversée de son avenir; quant à moi, c’est un point actuel aussi, car beaucoup de jeunes sont inquiets concernant l’avenir. À mon avis, l’action traîne en longueur, mais j’aime que le roman a un happyend.

En conclusion, le roman „Fille des crocodiles“ est un livre actuel, informatif et intéressant pour le lire et le discuter à l’école, aussi convenable pour des gens qui apprend le français.
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Fille des Crocodiles

J’ai bien aimé car j’ai appris des choses sur l’Afrique comme les traditions et leur mode de vie.

Allan.

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Fille des Crocodiles

Un récit fort sur les liens mère-fille, sur l'excision, sur les traditions africaines, sur la liberté des femmes, sur l'exil, sur la vie dans les "cours".

Ce récit est bouleversant et marquant.
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Fille des Crocodiles

Un bon roman pour les adolescents. Une histoire vraie où l'on découvre le courage et l'amour maternel. Après cette lecture, il semble évident que les femmes d'Afrique sont l'avenir, car elles seules sont capables de faire évoluer les mentalités, les traditions.
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La falaise

Cette histoire tient debout bien que les rapports mère-fille souffrent de dialogues insignifiants. Peut-être pour mieux souligner l'incompétence d'une mère égoïste à soutenir correctement sa fille adolescente nettement plus mature qu'elle.

A noter : Paul, un jeune adulte schizophrène très attachant que je suis enchantée d'avoir rencontré dans cette lecture.
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La falaise

Roman policier pour ado. Deux jeunes filles se disputent en faisant leur jogging sur la falaise et c'est l'accident, l'une glisse et tombe. En bas de la falaise vit Paul, un jeune schizophrène, il devient le coupable idéal....

C'est bien écrit, avec des chapitres courts où l'on passe d'un personnage à l'autre. Peu d'actions au final mais une atmosphère et des personnages bien fouillés.
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Comme un coquelicot

De foyers en famille d'accueil, Mathilde cherche un équilibre du haut de ses 12 ans et de son corps qui change. A l'intérieur d'elle, ça bouillonne. Mais comment trouver les mots ? le bon interlocuteur ? La campagne l'apaise au fil des saisons. Les descriptions montrent une grande sensibilité. Mathide découvre l'amitié, sur la pointe des pieds... et du cœur. On ressent les hésitations de l'adolescence, les excès et les incompréhensions. L'indisponibilité de la maman est évoquée par touches successives. Le lecteur adulte lit entre les lignes. Un beau roman pour les jeunes et les moins jeunes...
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Comme un coquelicot

Petite, il m’arrivait parfois de faire une fixation sur un livre ou un film en particulier : j’étais capable de le lire ou le regarder cinq, dix, quinze fois d’affilée, si ce n’est plus. Et cela sans pouvoir expliquer pourquoi ce livre ou ce film me captivait tant. Et puis un jour, soudainement, brusquement, l’intérêt s’envolait et je passais à autre chose. Les obsessions se succédaient inlassablement, par vagues de quelques semaines ou de quelques mois. La plupart du temps, une fois que j’avais abandonné un livre ou un film, je n’y revenais plus jamais. Mais parfois, je ressentais à nouveau l’envie de me plonger dans un ancien petit bonheur. C’est le cas de Comme un coquelicot : il a bercé mon année de CM2 entière, il m’accompagnait jour après jour dans la galère quotidienne du harcèlement scolaire, et puis, l’été arrivé, je l’ai délaissé au profit d’un autre qui m’a occupée quelques semaines. Et puis, au bout de quelques mois, je l’ai relu, pour faire le plein de réconfort. Et puis, inévitablement, je suis passée à autre chose, et ce n’est que très récemment que l’envie de me replonger dans ce livre d’enfance est revenue.



Mathilde a onze ans, presque douze, un frère ainé qu’elle ne voit que les week-ends et une mère incapable de s’occuper de ses enfants. Trimballée de foyers en familles d’accueil depuis sa plus tendre enfance, Mathilde a atterri un peu par hasard chez celle qu’elle appelle Tatie Jeanne : il s’agit en réalité d’une amie de la directrice du foyer, qui a accepté de la prendre chez elle pour dépanner. Si Mathilde se sent bien dans ce grand hôtel déserté au cœur de la nature, loin de la grisaille de Paris et des souvenirs de sa vie passée, elle n’est pas heureuse pour autant. Le quotidien est morne et terne, et l’avenir semble morose. Jusqu’au jour où, à l’arrêt de bus, elle rencontre Kim, qui devient rapidement sa première et seule véritable amie. Pour Mathilde qui n’a jamais connu que la solitude, Kim est un véritable rayon de soleil. Et c’est main dans la main que les deux fillettes rêvent d’un avenir plus radieux, d’un avenir plus heureux …



Je gardais de ce petit roman un souvenir très flou, comme la mélodie d’une ritournelle à moitié oubliée. Je me souviens que du haut de mes neuf ou dix ans, j’avais le sentiment d’être très proche de Mathilde. Je me retrouvais en elle, en sa solitude, en sa souffrance indicible. Mathilde vit dans l’attente quotidienne de voir sa mère revenir la chercher, de quitter cette boucle infernale de placements en foyers ou en familles d’accueil, d’être enfin une petite fille normale et non une « enfant de l’assistance publique » dont les parents se méfient. Elle essaye de peupler ses journées en s’inventant milles et une vies toutes aussi passionnantes les unes que les autres, arpentant ce grand hôtel vide de touristes de long en large, jouant avec le chien Arthur et la chatte Pucette, grignotant les allumettes au fromage que lui prépare Tatie Jeanne, qui s’occupe d’elle depuis quelques mois, qu’elle aime beaucoup sans jamais oser lui dire. Au collège, elle a quelques copines, mais aucune amie, aucune confidente à qui confier ses soucis : Claudie et Minouche ne savent pas que sa mère est malade, hospitalisée en centre de repos, et qu’elle vit chez une tante qui n’est pas sa tante ….



Et puis arrive Kim. Kim, qui arrive du Vietnam, qui vient d’être adoptée. Kim qui a des rêves plein la tête, des étoiles plein les yeux, et qui prend Mathilde par la main pour lui faire gouter au bonheur. Face à cette main tendue, face à cette première amitié, Mathilde est perdue, désemparée : elle aimerait y croire, mais n’ose pas s’y investir totalement. Difficile de se laisser aller à l’amitié quand on a passé sa vie en solitaire, à tenter de ne s’attacher à personne, pour ne pas souffrir le moment venue, lorsque la séparation surviendra, au retour tant attendu de sa mère … Mais Kim vient briser toutes ses murailles, d’un seul sourire, et l’entraine avec elle dans ce tourbillon inconnu de l’amitié, de l’échange, de la confiance, de l’amour. Et Mathilde, progressivement, s’ouvre à ce bonheur partagé. Avoir quelqu’un à côté de qui s’assoir dans le bus, quelqu’un que l’on retrouve chaque matin avec joie, après une nuit entière à attendre avec impatience ces retrouvailles. Quelqu’un à qui confier ses peines et ses doutes, ses rêves et ses peurs.



Mathilde s’ouvre à la vie, comme un coquelicot qui déploie progressivement ses pétales pour saluer le soleil. Elle grandit, elle murit, elle commence à prendre gout à la vie qui lui tend les bras. Mais le bonheur est fragile, il ne tient qu’à un fil, et il suffit de bien peu pour ramener Mathilde à sa solitude et à sa douleur passées. Mais cette parenthèse enchantée lui aura appris à voir l’étincelle de lumière briller dans l’obscurité, au lieu de se laisser simplement engloutir par la nuit, par l’attrait des ténèbres, d’un long sommeil sans fin et sans souffrance. Mathilde n’est plus la même qu’elle ne l’était quelques mois auparavant, elle est désormais prête à aller de l’avant, prête à tourner le dos à ses rêves naïfs d’enfant pour prendre la main qu’on lui tend. Car finalement, ce roman, ce n’est que cela : une tranche de vie. Nous suivons Mathilde dans ce douloureux passage entre l’enfance et l’adolescence, cette période où les doutes et les angoisses nous envahissent si fortement qu’on voudrait que tout s’arrête. Car grandir, ce n’est pas toujours tout rose, bien au contraire. Grandir, c’est douloureux. Mais surtout, grandir, c’est accepter de souffrir. Car on se rend compte que rien n’est jamais acquis définitivement, que tout est toujours à reconstruire. Mais grandir, c’est accepter le cadeau de la vie, envers et contre tout.



En bref, vous l’aurez bien compris, difficile de rester insensible face à ce petit roman, qui semble si banal au premier abord. Une fois encore, comme lorsque j’étais enfant, Marie-Florence Erhet a su me toucher avec cette histoire, pleine de douceur et de douleur, pleine de tendresse et de délicatesse. Ce n’est pas une histoire heureuse, mais ce n’est pas une histoire triste non plus. C’est une histoire douce-amère comme peut l’être la vie. Mais c’est surtout une belle, une magnifique histoire, que j’ai pris grand plaisir à redécouvrir après toutes ces années. Et vous vous en doutez, c’est un roman que je conseille sans hésitation. Aux jeunes lecteurs qui traversent eux aussi les tracas de l’adolescence et qui trouveront ainsi une amie pour les guider, aux parents qui pourront ainsi mieux comprendre les peurs qui assaillent le cœur de leurs enfants qui grandissent … et plus généralement à tous les lecteurs désireux de revivre, aux côtés de Mathilde, cette belle et grande aventure que nous avons tous traversé un jour ou l’autre. A ceux qui sont prêts à se laisser émouvoir par cette histoire où simplicité rime avec beauté !
Lien : https://lesmotsetaientlivres..
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Roger Belbéoch, flic et résistant

En 1940, Roger Belbéoch n'a pas 20 ans. Dès les premiers jours de l'occupation, il se lance dans la résistance. Il choisit de rentrer dans la police pour la noyauter de l'intérieur
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Faim de vie

Deux adolescentes attachantes en quête d'identité : l'une, anorexique qui a du mal à

trouver sa place au sein de sa famille et de sa condition sociale aisée ; l'autre, qui doit

s'assumer toute seule et qui a du mal à trouver sa place dans la société.

La description de l'après Mai 68 est bien évoquée, à travers tous les éléments

historiques, littéraires et à travers la psychologie de ces 2 jeunes filles (besoin

d'émancipation, rêve de liberté..)
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La falaise

La Falaise est un roman très court, idéal pour une pause entre deux pavés. Si le personnage de Paul m’a beaucoup plut et l’histoire m’a tenue en haleine ; j’ai vraiment eu du mal avec Océane et le fait de « victimiser » une jeune fille uniquement parce que c’est une adolescente. Au final je trouve que la fin ne collait pas non plus avec le reste du roman, un peu trop « happy end » alors que l’atmosphère tout au long était psychologiquement malsaine, presque angoissante.



(Chronique complète en suivant l'URL)
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La falaise

des chapitres courts qui permettent une lecture rapide, avec une accroche haletante. Le rythme est bien mené, le suspense omniprésent, car on sait que Paul est innocent, mais on se demande comment il va s'en sortir...
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La falaise

Agathe et Océane sont en train de courir au bord de la falaise comme à leur habitude mais aujourd'hui Océane en veut à Agathe qui a elle aussi des vues sur Mounir, le playboy du collège. Elles en arrive à se disputer et se battre jusqu'à ce qu'Agathe tombe de la falaise et meurt.

Océane rentre chez elle, amnésique de ce qui vient de se passer.

C'est Paul, un Schizophrène, ermite qui vit au pied de la falaise qui est accusé du "meurtre" d'Agathe, mais le lieutenant Martine Sartre et son tout nouveau chef Kulman ont des doutes et vont continuer à investiguer jusqu'à faire ressortir la vérité.



Un joli roman où l'on croise des personnages très attachants tout au long des 34 chapitres très courts qui donnent le rythme à cette histoire très intéressante qui nous parle aussi de la psychologie des adolescents, de leur malaise, du manque d'un parent ou même des deux.



J'aime l'écriture de cette auteure, j'avais adoré Fille des crocodiles qui m'avait beaucoup ému.
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La falaise

Agathe et Océane, 16 ans, courent tous les jours sur la falaise. Ce matin-là, Océane est vraiment énervé contre sa meilleure amie. Celle-ci prétend qu'elle n'a aucune chance avec le garçon sur lequel elle a flaché. Qu'est-ce qu'elle en sait ? La dispute s'intensifie, elles en viennent aux mains, et l'accident arrive : Agathe tombe de la falaise. L'accident ! Océane rentre chez elle et n'y pense plus.



Alors là, j'ai commencé à tiquer un peu. Je veux bien croire que le cerveau est bien fait et qu'on oublie les accidents (ça m'est déjà arrivé) mais à ce point-là. Océane ne se souvient pas s'être disputée avec Agathe, quand les gendarmes viennent lui poser des questions. Et elle laisse tranquillement accuser le schizophrène du village, qui habite au pied de la falaise et qui n'a rien vu le pauvre ! Comme d'habitude, on accuse le plus fragile, celui qui ne peut pas se défendre ! Heureusement, les gendarmes ne sont pas convaincus par cette piste évidente.



Dès le lendemain, Océane a oublié l'intérêt qu'elle portait au garçon, source de la disoute, pour se jeter dans les bras d'un étudiant. Son comportement va être autodestructeur (ce qui est rassurant par rapport à ce qui s'est passé). Je ne vais pas en raconter plus long, à vous de découvrir la suite.



Ce livre se laisse lire, mais je n'ai vraiment pas été émue par Océane, loin de là. Son comportement m'a mis mal à l'aise. Par contre, j'ai aimé les gendarmes et la sensibilité dont ils ont fait preuve pour traiter cette affaire.


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Avec ou sans papiers

L'auteure aborde avec sensibilité la difficulté de vivre dans un pays autre que le sien. Marie-Florence Ehret montre à travers plusieurs histoires courtes le parcours de vie de ces "Sans papiers". A lire.
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La falaise

Après avoir lu le livre "La falaise", nous observons un niveau de langue très familier contraignant du début à la fin. A croire que Marie-Florence Ehret cherche à rejoindre les adolescents, mais ce langage produit un effet inverse, il nous bloque quelque peu pour poursuivre toute la lecture.



Toutefois, l'histoire est intéressante et compréhensive pour des jeunes de 12 ans.

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Mon père

Un beau roman des sentiments servi par une impeccable écriture.
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