Mary Jane Clark

Une équipe d'une télévision new-yorkaise s'apprête à se rendre sur Rhode Island pour y tourner des reportages pour leur série documentaire Key to America.

La veille de leur départ l'équipe apprend que le squelette d'une femme de la haute société a été retrouvé dans un tunnel sous la propriété familiale.

La victime Charlotte Wagstaff avait disparue quatorze ans plus tôt.



Malgré la réouverture de l'enquête, de nouveaux meurtres et une agression violente ce n'est pas le travail de la police que l'on suit. Et pour cause !



L e personnage central que l'on suit est Grace, la plus âgée des quatre stagiaires de l'équipe de télévision. Ce n'est pas vraiment par une enquête qu'elle se rapproche de la vérité mais par les confidences que lui font des témoins partiels des différents événements.



Malgré une plume intéressante et une assez bonne dynamique de lecture le récit s'avère plutôt moyen du fait que l'on ait pas d'enquête construite.
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Ce roman est le onzième que je lis de l'auteure et, pour moi, le moins bon : pas de suspense, des dialogues sans intérêt, des chapitres vraiment très courts, des personnages qui apparaissent au cours du récit et qui ne jouent qu'un rôle secondaire dont le but est sans doute d'égarer le lecteur.



Eliza Blake est présentatrice à Key News. Elle vit avec sa petite fille de 7 ans dont le père est mort avant sa naissance. Lorsque Janie est kidnappée, le monde s'effondre autour de la jeune femme.



Commence alors une enquête confiée au FBI mais aussi menée par une équipe de Key News.



Les soupçons se portent sur la mère de l'enfant, ensuite sur sa gouvernante qui a disparu en même temps, puis sur un pédophile, une jeune femme qui a perdu sa petite fille dans un accident et se conclut par l'arrivée d'un énième personnage. Un médium intervient aussi dans l'enquête. Eliza est prête à tout pour retrouver sa fille même à croire aux rêves de cette femme.



L'auteure a complètement égaré le lecteur en lui faisant croire que les ravisseurs sont connus dès le début du récit. Vers la fin, il apprend que la coupable présumée "pense" simplement détenir l'enfant. Je n'ai pas trop aimé le procédé.



Petite déception pour ce titre.

Le point de départ? Un œuf Fabergé a été vendu aux enchères, à un acheteur anonyme (qu'on découvre à la fin du bouquin) pour la somme de 6 millions de dollars. Or, il pourrait bien s'agir d'un faux, c'est ce qu'essayera de prouver la journaliste Faye qui vient de se faire virer et qui pourrait, si elle réussit à résoudre l'énigme, redorer son blason.



Olga, une vieille Russe détiendrait l'original mais sa maison est incendiée après le passage de Faye et l'œuf disparait.



L'enquête tombe dans les mains du FBI mais Faye y participe activement.



Quelques meurtres pour agrémenter tout ça, quelques explications intéressantes sur Fabergé et la révolution russe et voilà un livre agréable à lire, qui se lit tout seul, très vite.



Ce roman est divisé en tout petits chapitres qui ponctuent le récit. Comme à chaque fois que je lis un roman américain, j'ai été un peu perdu dans tous les personnages. Les chapitres courts n'aident pas à connaitre les personnages et à les mémoriser. Cette division peut donc être un bien ou un mal.



Rien d'extraordinaire mais un livre qui m'a bien plu. J'aime le style de l'auteure et j'ai apprécié le mélange entre fiction et réalité.

Ceci est un polar doux (on est loin de Chattam, Giebel ou Sire) et je ne suis plus habitué à ces "thrillers qui ne font même pas peur" ! Aussi, mon avis est plutôt mitigé sur ce livre.



C'est facile à lire, plaisant, mais sans plus.



Piper débarque en Floride pour le mariage de sa cousine Kathy. Lors de son arrivée, Shelley, une demoiselle d'honneur, a disparu. On la retrouve morte quelques jours plus tard.



Une vieille dame échappe ensuite à la mort lorsque sa voiture est poussée avec violence dans un fossé.



Ensuite, ce sera le suicide d'un jeune homme qui ébranlera les invités au mariage.



Mais que se passe-t-il donc dans cet endroit idyllique de la Floride?



Piper se mêle un peu trop de l'histoire et la voilà elle-même en danger...



Ce roman parle aussi de la communauté amish et de leurs coutumes et est aussi un hymne à la nature avec quelques descriptions nullement ennuyeuses.



Si vous aimez les polars doux, ce roman est pour vous.

Mary Jane Clark aurait elle trouvé un éditeur si elle n'était pas la belle fille de Mary Higgins Clark? Malgré des qualités ses romans manquent de souffle. Son plus grand mérite est d'avoir créé un univers de personnages récurrents parmi lesquels on peut retrouver des victimes et des coupables au fil de ses ouvrages ( ce qui signifie qu'il vaut mieux lire les romans dans l'ordre de parution). De plus elle brosse un tableau intéressant du monde de la télévision. Enfin le thème de l'anthrax abordé dans cet opus ci est un sujet important. Mais encore une fois tout ça manque de souffle et de liant. C'est distrayant et ça se lit facilement mais ça se dévore pas.

Pour son boulot, Caroline, chroniqueuse pour la chaine de télévision Key News, doit couvrir le festival de théâtre auquel Meg, sa belle-fille participe. La mort soudaine (accidentelle?) de deux stagiaires amis de Meg d'abord puis le meurtre d'une vieille bibliothécaire et enfin la disparition de la vedette du moment (une grande actrice) met la ville en émoi.



Meg a reçu, sur son téléphone portable, des photos envoyées par son amie stagiaire juste avant que sa voiture ne plonge dans un ravin . Quelle est donc cette dernière photo indéchiffrable et pourquoi la jeune fille la lui a-t-elle envoyée?



Caroline va enquêter et peut-être pourra-t-elle se rapprocher de sa belle-fille qui ne la tient pas en haute estime.



Comme souvent dans les romans américains, beaucoup de personnages gravitent autour de la scène du crime : il y a l'auteure du livre qui a servi à créer la pièce dans laquelle joue l'actrice disparue, la doublure de cette dernière, un peu jalouse du succès rencontré par la vedette, un peintre qui habite sur le domaine de l'actrice et qui semble obsédé par elle, un homme à tout faire qui habite également sur le domaine et ne semble pas clair du tout, le mari de Caroline et père de Meg qui semble cacher quelque chose, ...



Au lecteur de découvrir les indices qui permettent de découvrir le meurtrier...



Un thriller gentil sans grande effusion de sang.

Mort en coulisse est un thriller qui nous plonge dans l'univers du théâtre et de sa critique. C'est un monde où la concurrence fait rage et où règne la jalousie. C'est un roman qui se lit très rapidement, le suspens est maintenu jusqu'au bout. Cependant, il n'est pas de grande qualité rien à voir avec des grands auteurs comme Agatha Christie.

Même si les trois premiers crimes s'enchaînent rapidement dès le début du livre, l'auteur se perd par la suite dans des longueurs et des descriptions qui apportent peu, qui rend la lecture un peu ennuyeuse et ne crée pas un véritable un attachement aux personnages principaux que je trouve fade et sans relief.

Piper réalise des gâteaux de fête pour les mariages et le prochain qu’elle doit faire est pour sa cousine, Kathy. A son arrivée dans l’hôtel en Floride, Piper trouve sa cousine inquiète, son amie et demoiselle d’honneur à disparu depuis plusieurs jours.



N’ayant jamais lu de Mary Higgins Clark, je découvre les romans de son ex belle-fille et j’ai tout de suite été séduite par l’intrigue. On est immédiatement plongé dans le décor de Floride, dans la communauté Amish et des personnalités hautes en couleurs. J’ai adoré suivre cette enquête, le point de vue du tueur ainsi que tout les autres personnages qui ne sont pas tout blanc ou tout noir !



Et certains passages m’ont réellement ému, les personnages sont pour certains très attachants et pour d’autre détestables! Ce qui rend la chute encore plus vertigineuse !! Et honnêtement je ne m’attendais pas à ce final, c’est une enquête très bien ficelée et originale !



Sur la forme, les chapitre sont courts et rythmés. On enchaîne pleusieurs points de vues qui dynamise le récit et même si au début j’étais assez perdue dans la masse de personnages, j’ai facilement pu raccrocher les wagons !



Une très très belle surprise pour cette relique que je sors de ma PAL. Et pour le coup, elle m’a fait me dire « mais pourquoi je ne l’ai pas sortie plus tôt??!! ».

Les romans de Mary Jane Clark sont inégaux. Celui-ci est un bon cru qui se passe dans le monde du journalisme télévisé et appartient à la série de l'auteure sur la chaîne Key News. On retrouve ici Eliza Blake déjà héroïne de deux romans. Moins développée, elle reste attachante. On voit aussi des personnages vus dans d'autres romans comme Annabelle Murphy, l'héroïne de "Nulle part où aller" et Constance Young présentatrice vedette qui se fait assassiner dans cet opus. Le principal intérêt de la série consiste dans ce retour de personnages et la dissection des dessous du journalisme télévisé. Ajoutons qu'ici l'intrigue est bien construite et haletante, pleine de fausses pistes. Et le message indice est bien conçu. Un bon divertissement même si mon cœur d’amoureuse des chiens a un peu saigné.

Sans grande surprise, lecture fluide et facile, les chapitres sont courts. Arriver au bout du roman fut chose facile. Cependant, comme m'a habitué sa belle mère, Mary Higgins Clark, l'intrigue est simple et gentillette.

Ce roman ne m'a pas surprise mais pas déçue non plus, il fait le travail sans plus.

Je découvre les aventures de Piper Donovan, actrice en herbe qui conçoit occasionnellement des gâteaux de mariage avec ce deuxième volume. Lire dans le désordre ne semble pas trop gênant . J'ai beaucoup aimé. L'intrigue, l'héroïne, les personnages et les fausses pistes me paraissent supérieurs à ceux de la série Key news même si on peut regretter l'immersion journalistique qui caractérisé cette dernière. A la place on plonge dans la conception des gâteaux ( miam-miam même si recettes parfois bizarres), le spa, le monde des acteurs et l'ambiance mariage. Mélange inférieur aux modèles mais quand même réussi d'Agatha Christie et Mary Higgins Clark, hautement divertissant, ce roman achoppe toutefois sur son dénouement trop brutal.

Ce livre se veut un mélange de Mary Higgins Clark et Agatha Christie mais Mary Jane Clark n'atteint le talent ni de l'une ni de l'autre. En dépit d'un effort pour rendre ses héros plus consistants en leur faisant affronter problèmes professionnels et personnels, ses personnages restent plats et sans relief. L'intrigue n'a pas la maestria de celles de la grande Agatha et l'auteure ne maîtrise pas aussi bien que MHC l'art des chapitres courts. Le seul véritable intérêt est l'immersion dans le milieu télévisé et le milieu du théâtre. A noter que Mary Jane Clark fait revenir des personnages parus dans d'autres de ses romans ce qui donne une certaine épaisseur à son œuvre. Un divertissement moyen mais honnête.

Mary Higgins Clark est une de mes autrices pansement, doudou. Quand je ne vais pas super bien, je peux me tourner vers un de ses romans et je ne suis jamais déçue. Même si certains de ses livres sont bien meilleurs que d’autres, j’adore l’ambiance. Vous allez peut-être vous demander pourquoi je parle de Mary Higgins Clark alors que Vous ne devinerez jamais est signé Mary Jane Clark. Rassurez-vous, je ne suis pas encore sénile. Mary Jane Clark est l’ex-belle-fille de Mary Higgins Clark et on retrouve un peu l’atmosphère des romans de Mary Higgins Clark dans ceux de Mary Jane Clark.



L’héroïne de Vous ne devinerez jamais s’appelle Laura Walsh. La jeune journaliste s’occupe de la rubrique nécrologique pour la chaîne de télévision Key News. Elle apprécie son travail – ce qui me fait sourire parce que dans les films américains qui se déroulent dans l’univers du journalisme, il n’est pas rare d’entendre cette fameuse menace : « si tu continues comme ça, tu vas finir à la rubrique nécrologique. »



Laura aimerait faire un reportage sur un ancien parc d’attractions qu’elle connaît à travers les souvenirs de son père qui y a travaillé. Alors qu’elle se concentre sur son projet, qui étonnamment ne fait pas du tout plaisir à son père, son mentor, la présentatrice de Plein cadre, Gwineth Gilpatric, meurt en chutant de son balcon lors d’une réception. Comme plusieurs personnes avaient des raisons de lui faire la peau, on peut se demander si elle n’a pas été aidée à tomber. Et puis… Et puis, il y a les ossements que l’on retrouve dans le parc, probablement ceux d’un adolescent disparu trente ans plus tôt.



Vous ne devinerez jamais… Alors est-ce que l’on devine ? Très sincèrement, je ne pourrai pas vous le dire parce que je n’ai même pas essayé de deviner. J’ai été prise par l’intrigue et je me suis laissée porter. J’avoue que ça fait du bien de ne pas toujours réfléchir.



Ce roman n’est pas, selon moi, le meilleur de l’autrice. Mais si comme moi vous appréciez Mary Jane Clark et que vous avez envie de lire tous ses livres, Vous ne devinerez jamais sera sans doute un petit plaisir de lecture !
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Un roman très prenant dans le milieu impitoyable du journalisme et de la course à l'exclusivité. L'héroïne Laura Walsh, est attachante et l'intrigue habilement tissée. Ambiance de noel et milieu télévisé se mélangent harmonieusement et le mystère passé teinnte le livre de romanesque. Tout au plus peut on regretter une conclusion pas totalement convaincante

Je ne connaissais pas cette auteure et je l'ai découverte avec plaisir car j'ai passé un agréable moment en lisant son ouvrage.

Piper, le jour du mariage de sa cousine, s'inquiète de la disparition d' une demoiselle d'honneur et veut savoir ce qui s'est passé aussi elle se lance dans une enquête.

Ce livre policier se partage en chapitres courts. La lecture est fluide et facile.

Au cours de cette dernière nous découvrons en partie la vie des Amish.

Chaque chapitre nous fait découvrir de nouveaux personnages et donc d'éventuels suspects.

Le suspens est au rendez-vous et les personnages sont attachants.

Un bon moment de lecture et de détente!
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Premier volume de la saga consacrée à Key News, ce roman a des qualités certaines. Il plonge dans le milieu journalistique de l'information et dans le milieu politique des présidentielles américaines. L'héroïne Eliza Blake est moins lisse que les héroïnes de Mary Higgins Clark, belle-mère de l'auteure. L'intrigue policière est assez solide. Toutefois il y a des éléments peu clairs et des contradictions (il est écrit que Joy a lu la lettre de Bill Kendall annonçant la nouvelle et plus tard elle semble stupéfaite quand le prêtre la lui révèle...).

Un livre assez moyen dans l’ensemble, idéal pour l’été. Le contexte est sympa, l’intrigue est stimulante. La lecture se fait très rapidement, les chapitres courts donnent un rythme haletant à l’histoire.

Toutefois la plume de l’auteur n’est pas extraordinaire. J’ai été terriblement déçue de la fin. On a le sentiment qu’elle est à été rédigée à la va vite. On ne comprend même pas en détails les raisons pour lesquelles le coupable a commis les crimes.

Une petite déception ce livre, Mary Jane Clark n'est clairement pas au même niveau que sa célèbre belle-mère. J'ai trouvé la première partie longue, avec beaucoup de personnages. Il m'a manqué pas mal de rythme, d'ambiance et de suspense, malgré le fait que les chapitres soient courts. l'intrigue principale et les intrigues secondaires sont mine de rien faciles à deviner, je n'ai eu aucune surprise quand l'identité des coupables/responsables a été dévoilée. Personnellement je recommanderai plutôt ce livre pour une petite séance de plage, mais je ne vais pas courir me procurer les autres tomes de cette série.

La femme d'un patient du cabinet où je travaille aime bien me prêter ses livres (même si je lui ai dit que j'avais une PAL plus grande qu'elle). Ce livre vient de chez elle, le résumé me donnait envie, la couverture m'a fait de l'œil, et pourtant... Me voilà en train d'abandonner ce livre commencé ce matin dans le train.



À peine quelques pages, me voilà mélangée dans les personnages... Qui êtes vous ?!

L'intrigue peine à se mettre en place, c'est lent... Trop.



Il paraît que la deuxième partie du roman est mieux, mouais je vais le redéposer quand même.

Paraît même que ce serait l'un de ses plus grand succès... Hé bien Madame Mary Jane Clark, voici le deuxième livre de votre plume que j'abandonne...

Annabelle est journaliste au sein d’'une chaîne d’'information des plus réputées en Amérique : Key News. Elle est la productrice d'’une chronique médicale présentée par John Lee. Ce dernier veut donner un gros coup de pouce à sa carrière en agitant une fiole contenant de l’'anthrax en direct ! Pour l’'équipe de "Key to America", l’'émission matinale où se déroule ce fameux moment de « journalisme », c’est le début des tracas. Et quand le critique littéraire de l’'émission semble être atteint de la maladie du charbon, c’est la panique totale...



Si l’'auteur voulait être drôle et impétueuse, c’'est loupé ! L'’intrigue est très banale, tout comme l’'écriture. Cette lecture m'a beaucoup déçue. Mis à part quelque bons moments de lecture et quelques situations sympa, il n'’y a pas grand-chose de positif à tirer de cet ouvrage.