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Citations de Max Heratz (83)


Pour faire autant d’atrocités à son prochain, l’homme est la pire des saloperies existante sur terre.
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L'humiliation enseigne à prendre sur soi, s'ouvrir aux autres. La punition physique apprend à assumer. Ce sont deux choses différentes qui se complètent.
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Elle a de belles formes. Une fille bien faite. Pourvue d’un généreux décolleté, elle porte une robe rouge qui lui arrive à mi-cuisses. Doucement, je pose mes mains sur ses genoux et j’écarte ces derniers. Je remonte sa robe le plus haut possible : elle ne porte rien en dessous, et j’aime ça. Je pose une main sur son sexe lisse. Elle serre ses cuisses, comme par réflexe. Je les lui claque alors violemment du plat de la main. Docile, elle ouvre d’elle-même ses jambes. Je reprends les choses en mains en les lui écartant exagérément. Elle se laisse faire. Je poursuis mon intime caresse.
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Je lui ai souri et, pour là première fois, je me suis demandé si je faisais le bon choix en voulant retrouver Wélia. Kholhy bénéficie de l' effet de découverte : tout nouveau tout beau. Mais Wélia reste la première femme de ma vie qui m' a exprimé des sentiments aussi forts que sincères.
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Justine pose son verre, se lève en soupirant, se dirige vers la porte d’entrée en traînant des pieds. Elle signe le reçu et retourne dans le salon après avoir remercié le coursier.
—Combien serez-vous ce soir pour l’anniversaire du petit ? Cinq ?
—Oui, cinq, Augustine.

La bonne reprend le chemin de la cuisine et Justine retourne s’asseoir en regardant, intriguée, cette enveloppe. Dans l’angle, il y a la mention Confidentiel. Elle vérifie que cette dernière lui est bien adressée personnellement, fronce les sourcils et l’ouvre frénétiquement. Elle lit ensuite le courrier et sa main se met à trembler. Puis ses yeux se remplissent de larmes qui, très vite, coulent le long de ses joues. N’ayant plus la force de tenir le pli, son bras s’abat sur sa cuisse, comme si elle se trouvait lasse et tout à coup, tout son corps se secoue, pris de violents spasmes, en sanglots. La lettre tombe à terre et, d’un bond, elle se lève, se saisit de la bouteille de whisky et la jette dans l’âtre de la cheminée au fond duquel elle se brise en produisant un bruit épouvantable. Elle fait la même chose avec le verre qu'elle n’a même pas pris soin de vider. Alertée par le bruit, Augustine vient voir ce qu’il se passe.
—Madame Justine ! Quelque chose ne va pas ? Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi pleurez-vous ainsi ?

Sa patronne se met à respirer brutalement, comme si elle reprenait son souffle après une immersion en apnée. Elle pose alors ses mains sur sa poitrine comme si son cœur était en train de se broyer.
—Vous voulez que j’appelle le docteur ?
—Non, Augustine, merci c’est gentil. Tout va bien.

La bonne aperçoit alors la lettre au sol et se penche pour la ramasser.
—Ne touchez pas à ça !

Surprise par la réaction hystérique de Justine, Augustine sursaute et fait un pas en arrière en se redressant. La jeune femme se baisse, s’empare du courrier et le plie en quatre. Du revers de main, elle essuie ses larmes et se tourne vers la bonne.
—Excusez-moi Augustine, je suis un peu nerveuse.
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_ Je t'aime...
_ ... Moi non plus
_ Kiss-kiss...
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Il n’y a rien de mal entre adultes consentants.
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Max Heratz
Les seules femmes qui me détestent sont celles que j’ai épousées.
Les seules femmes qui m’ont vraiment aimé et qui m’aiment encore sont celles qui ont été mes maîtresses.

Vous comprenez mieux pourquoi je préfère la femme des autres…

Max Heratz
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Pauvre cruche, va! Avec des raisonnements comme ça, tu finiras vieille fille avec des chats. Tu passeras tes vieux jours à changer des litières et balancer quelques graines aux pigeons idiots dans le parc du coin.
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Si les relations avec Justine se sont quelque peu détendues, il n'oublie pas que pour sa future compagne cette union est avant tout une alliance économique. Cependant, certain de son charme, il ne désespère pas d'enflammer son cœur pour le restant de ses jours.
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La catastrophe qui finit par arriver n’est jamais celle à laquelle on s’est préparé.
Mark Twain
 
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Un jour je viendrai te chercher et ce jour-là nous nous quitterons plus. Si tu m’aimes aussi fort que je t’aime, tu me suivras. Tu es à moi et tu le resteras à jamais.
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- J’ai besoin de ta presence, de sentir ton parfum, de respirer ton haleine. Donne-moi de ta douceur Justine, donne-moi de ta tendresse. J’en ai tant besoin.
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Pour moi un homme et une femme qui sont amis peuvent coucher ensemble, juste comme ça, parce qu’ils en ont envie. C’est comme ça que je conçois l’amitié entre les deux sexes.
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Les romantiques ont disparus, les poètes aussi. Je préfère avoir une vie libertine plutôt que d’être un petit bonhomme bien sage qui attend dans son coin que la mort vienne le chercher.
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Entre adultes consentants, tout est permis, même le plus immoral.
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Cette force de persuasion me redonne confiance en moi et cette petite aventure me revigore quelque peu. Grâce à cet intermède qui confirme la reprise en main de ma vie, j’envoie au Diable toutes les désillusions que j’ai pu connaître. Allez, c’est terminé, reprenons goût à la vie.
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Allons ma chère Thalz, écoutez donc le petit diable qui est en vous de temps en temps ! Comme le disait Oscar Wild, le seul moyen de se délivrer d'une tentation, n'est-il pas d'y céder ?
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Comme beaucoup de femmes, elle a dû se jurer de se taper le premier type qu’elle croiserait et je crois lui offrir là une belle opportunité. Je suis persuadé qu’en insistant quelque peu je suis capable de gagner la partie. Mademoiselle se fait désirer, ce qui est normal. Elle vient de se faire larguer, ce n’est pas pour passer pour une fille facile !
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J'essaie de lui remonter le moral avec plus ou moins de tact tout en lui faisant remarquer qu'à 37 ans il n’est pas difficile de refaire sa vie, surtout quand on est sans enfant, comme elle. Mais rien n'y fait. Le chagrin qui a laissé place à la colère l'empêche d'écouter tout ce qu'un illustre inconnu peut bien lui raconter à la terrasse d'un café en sirotant un whisky à 10h du matin ! Aussi, continue-t-elle son récit, le ponctuant de gestes nerveux qui donnent vie à ce dernier. De plus en plus désinhibée par l'alcool, elle se libère et, de temps à autre, me laisse entrevoir ses seins magnifiques par l'échancrure de sa robe lorsqu’elle se penche vers moi. D’ailleurs je ne me cache pas pour les admirer ce qui ne semble guère la déranger.
Elle continue à crier vengeance lorsqu’une soudaine pulsion me gagne, tel le réveil d'une addiction qui s’était dernièrement évanouie : l'appel du vice, celui de la perversion de l'innocence comme une renaissance. Un sang nouveau circule dans mes artères. Pourquoi cette femme a-t-elle ressuscité ces désirs charnels que je croyais enfouis à tout jamais au fond de moi ? À moins que le réveil de cette pulsion ne soit la suite logique de ma résurrection observée ces derniers jours.
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