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Critiques de Milan Kundera (977)
La fête de l'insignifiance

«Jeter une lumière sur les problèmes les plus sérieux et en même temps ne pas prononcer une seule phrase sérieuse», peut-on lire en quatrième de couverture de La fête de l'insignifiance, nouveau roman de Kundera qu'on n'attendait plus - et qui sera hors de la Pléiade de ses oeuvres complètes, finalement.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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L'insoutenable légèreté de l'être

On se laisse porter par les réflexions de l'auteur qui font écho à notre vie de tous les jours. Chaque personnage nous représente un peu, représente un peu notre entourage.



Un livre qui fait réfléchir sur soi, sur notre présent, notre avenir.
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L'insoutenable légèreté de l'être

Définitivement, Kundera est un grand auteur. J'ai adoré la façon dont l'histoire a été monté et dont on y présente différentes perspectives d'une même situation selon les personnages. Les personnages en soient ne m'ont pas beaucoup rejoints ( je l'ai est trouvé déprimant), l'histoire non plus d'ailleurs. Mais ce n'est pas si important parce qu'avant d'être une histoire, ce livre est une longue réflexion philosophique.
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L'insoutenable légèreté de l'être

Difficile d'écrire une critique sur un tel livre. C'est tellement dense !

Un tel monument, ça se lit plusieurs fois pour l'appréhender vraiment !
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La fête de l'insignifiance

Il est de retour. Avec un roman d'une apparente légèreté, le grand écrivain mène une réflexion sur l'insoutenable absurdité de l'existence.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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L'insoutenable légèreté de l'être

Il s'agit de ce genre de livre qui semble partir de rien et pourtant ne vous laisse pas indemne.
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La plaisanterie

un des dix sur une île déserte...
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L'insoutenable légèreté de l'être

éthéré, majestueux, humain, et ..intemporel, voilà ce qui me vient à l'esprit en songeant à ce livre.. à ne pas mettre entre toutes les mains...
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L'insoutenable légèreté de l'être

L'insoutenable légèreté de l'être est un livre surprenant. Très facile à lire, il est pourtant très profond et révèle de nombreuses pistes de réflexions philosophiques. Un petit bijou que je prévois déjà de relire !
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La plaisanterie

Ce livre, je suis finalement certain de ne pas l'avoir déjà lu. Bien que dans mes souvenirs, oui, tellement c'est un grand classique. En tout cas, j'ai découvert un livre long à démarrer... Certes, l'atmosphère est oppressante très vite ; certes, les personnages incarnent une complexité à la mode des romans russes... mais ce livre ne m'a pas emporté comme je m'y attendais.

Dommage !
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L'insoutenable légèreté de l'être

mon livre de chevet et préféré à tous. Une histoire d'amour, de philosophie, un monument littéraire
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La Vie est ailleurs

Subtil, admirable comme tous les livres de Kundera......
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La plaisanterie

Ce roman qui a précédé le printemps de Prague est un grand moment de la littérature européenne....
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L'insoutenable légèreté de l'être

Milan Kundera, pour son cinquième roman, nous livre un récit au thème assez vaste. L'intrigue débute au printemps de Pragues, puis à l'invasion de la Tchécoslovaquie par l'URSS pour se terminer à l'aurore des années 1980.

L'idée fondatrice de l'œuvre est cette idée que l'occident se noie dans un trop plein de légèreté, ce qui peut paraître presque insupportable, et que les pays sous le communisme sont gouvernés sous l'égide d'une certaine pesanteur. Ainsi chaque protagoniste de l'histoire tendent ou veulent tendre vers l'un de ces deux pôles dans une manière qui leur est propre.

Ensuite il y a ce que l'auteur appelle le kitsch, c'est ce qui masque tout ce qui nous insupporte tels la merde, la mort, le réel, la vacuité de l'existence... Exemple : "Le kitsch fait naître coup sur coup deux larmes d'émotion. La première larme dit : Comme c'est beau, des gosses courant sur une pelouse !

La deuxième larme dit : Comme c'est beau, d'être ému avec toute l'humanité à la vue de gosses courant sur une pelouse !" Par cette vision idyllique, on s'échappe du réel qui n'est seulement que deux enfants qui courent sur une pelouse. Il n'y a à fortiori pas de quoi être ému.

Ce livre est certainement le dernier grand roman du XXème siècle.
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La Vie est ailleurs

Mitigé.
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L'insoutenable légèreté de l'être

Milan Kundera a réussi à nous transporter dans la complexité de le construction d'un personne à travers l'histoire de deux couple, qui ont des profil différents mais en commun une même force qui les attirent l'un vers l'autre, sans trop savoir d'ou cela vient.



Sabina m'a particulièrement intrigué car elle vit avec un homme pour qui en fait elle ne partage rien (l'excellent chapitre lexique des mots incompris )

et ce qu'il y a de plus beau dans leur histoire, c'est leur rupture je trouve. Car la fin de leur histoire va débloqué plusieurs éléments complètement différents pour chacun des personnages. Sabina réalise qu'elle aurait du être moins exigeante avec Franz car le temps arrondie les angles et rapprochent les point de vue. Sabina représente à mes yeux cette éternelle quête de la satisfaction immédiate et parfaite, une pulsion qui cache en fait un désir de déception, car a fixer des objectifs trop ambitieux, on est sur de jamais trouver ce que l'on cherche.( et c'est justement pour cela qu'on le cherche...)

De son coté Franz a traversé un ascenseur émotionnel, lorsque Sabina le quitte, il est infiniment malheureux et quand il fait le point sur sa situation il se rend compte que Sabina l'a débarrassé de tout ce qui le parasitait dans sa vie. Un mariage ennuyeux , un travail qui l'ennuie, une routine dont t il n'a jamais eu la force de se détacher. J'ai été ému par ce sentiment de liberté qui le submerge soudain et le rends d'autant plus attirant au près des femmes ( on pourrait facilement imaginer l'inverse...dépression -alcool-prostitution)



Le passage qui me fait le plus réfléchir dans ce livre, c'est l'analyse de Sabina et de sa vision de sa vie , qui semble être une succession de trahison, envers sa famille, sa patrie, ses amants successifs.. Un spleen qui s'écoule en continue dans toute sa vie. Et elle n'entend aucun reproche, ne souffre d'aucun remord, car chaque trahison lui procure l' insoutenable légèreté de l'être. J'avoue ne pas avoir compris parfaitement le sens de ce concept( si certains veulent m'éclairer...!! )



Quand a Tereza et Thomas... Leur relation est basé sur un déséquilibre , ou Tereza est faible et thomas fort mais il n'en est rien , en fait on réalise sur la fin du livre , que le rapport de force est complètement inversé. Tereza possède un pouvoir encore plus puissant que la force physique, c'est justement sa faiblesse. Sa douleur par laquelle elle entraîne Thomas dans une spirale de remord quotidien, constant et permanent . De telle sorte qu'elle est la personne qui obtient ce qu'elle veut par ce harcèlement inconscient qu elle fait subir a Thomas. Thomas semble être celui qui a le choix mais il laisserait sa place a n'importe quelle moment pour ne plus avoir a choisir tant les conséquences sont lourdes a assumer a ses yeux. Il est celui qui peut la réconforter mais qui ne le fait jamais assez bien...
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L'Immortalité

Un chef-d'oeuvre.
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L'ignorance

C’est l’histoire de la rencontre de deux expatriés ayant fuit le communisme à leur retour dans leur pays d’origine, de l’incompréhension de leur départ et de leur retour par leurs proches, et du désintérêt total de ces mêmes proches, qui ne le sont plus du tout finalement, sur les vingt années passées au loin. Il est question de mémoire, d’amour et de mort, autant de points sur lesquels l’ignorance de l’homme est immense.
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L'ignorance

La vie post comunisme, de personnes touchantes.

Irena et Gusaf qui filent le parfait amour en apparence.

Josef, qui malgré son objectivité et sa perception de lui enfant qui le revulse, reproduit finalement le meme schema en abandonnant l'être aimé ou un possible avenir amoureux malgré cette liberte que tous deux ont 'en surface'.

Le coït final est plus que source de surprises entre la belle mère et Gustaf. Je trouve ce passage trop court et surtout sans aucune moralité puisqu'il n'y a aucun repenti.

Finalement dans cette oeuvre, les valeurs de l'homme ici ou ailleurs, libre ou non reste egoiste et hedoniste. L Homme est representé avec tous ses travers.

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L'Identité

ben oui, ça faisait longtemps... et non, celui-là décidément, j'ai beau le relire, il ne "passe pas" je ne lui trouve rien...
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