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Critiques de Milan Kundera (970)
L'insoutenable légèreté de l'être

Tomas, Tereza , Prague : la légèreté et la pesanteur , l'âme et le corps, le printemps de prague ...
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L'insoutenable légèreté de l'être

Un livre qui m'a transportée, loin, et que j'aime relire, encore et encore.
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L'insoutenable légèreté de l'être

Un livre que j'ouvre très réguliérement, pour relire des passages, au hasard. L'écriture est admirable, les histoires d'amour sont sans aucun doute celles que nous ne voulons pas vivre.. Mais, au fond, on en reve tous.
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L'ignorance

Ce livre de Milan Kundera m'a été difficile à lire. Je n'ai pas accroché.
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L'insoutenable légèreté de l'être

J'ai tout compris et rien compris en même temps. C'est comme si, inconsciemment, tout s'éclaire au fond mais impossible de mettre des mots sur ce que j'ai lu.

Mise à part ça c'est très intéressant au niveau histoire de l'oppression en République tchèque, (URSS tout ça toi même tu sais).

J'ai beaucoup aimé bien qu'il faille s'accrocher pour réussi à suivre l'auteur et ses divagations.
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Risibles amours

Merci pour le ridicule et le dérisoire Kundera. Il y a plusieurs histoires d'amour qui sont assez folles et les personnages sont sans morale, très prétentieux et moqués. J'ai pas encore passé le cap des autres livres de ce monsieur par peur d'être déçue.
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L'insoutenable légèreté de l'être

j’ai vite lâché le livre au bout d’une centaine de page, j’ai pas accroché sur le fait qu’il y ait des aller-retour en tre le passé et le présent et entre la vision de tel et tel « couple », j’arrivais plus à suivre malheureusement mais le livre a l’air d’en valoir la peine, je retenterais l’expérience plus tard
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L'insoutenable légèreté de l'être

A noter : J’ai lu ce roman en anglais



L'Insoutenable Légèreté de l'être est un roman par l’écrivain Milan Kundera. Il comporte les idées de philosophies différentes comme la connexion entre la personne et son corps, mots mal compris, relations humaines et des infidélités avec une touche de politesse. L’aspect politique devient plus intéressant puisque c’était basé pendant l’invasion de la Tchécoslovaquie par l’Union soviétique.



L’intrigue est basée sur deux couples pendant l’époque soviétique en Tchécoslovaquie – et trois des personnages principaux impliqués sont tchèques. L’histoire met en scène Tomas, un homme marié qui, a mon avis, se situe entre le milieu de la trentaine et le début de la cinquantaine à mesure que l’histoire avance. Il est un coureur de jupons et il a des avis très arrêtés sur l’amour et le sexe – où il aime sa femme Tereza, mais il a plusieurs partenaires sexuels et il ne croix pas qu’il s’agit d’un comportement contradictoire. Tereza n’a pas une objection contre le comportement de Thomas et elle pense que c’est sa propre faiblesse. Elle aussi ont les avis arrêtés et elle est photographe – qui prend beaucoup des photos contre le régime. Il y a aussi de personnage de Sabina – elle est une artiste et aussi la maîtresse de Tomas. Tereza, Tomas et Sabina sont les personnages principaux dans c’histoire.



Ce n’est pas souvent que je suis devenu intéressé totalement dans les premiers vingt pages, mais c’était un de ces livres. Peut-être une raison est que je n’avais pas beaucoup d’expectations quand j’ai commencé. Normalement, si je visite un pays, pour un souvenir, j’achète la version traduite en anglais d’un livre a écrit par un(e) écrivain(e) local(e). Quand j’étais à Bratislava, j’ai essayé de chercher un livre s’écrit par un(e) écrivain(e) slovaque mais je ne pouvais pas trouver et puis, je me suis contenté de ce livre écrit à l’origine en tchèque (d’un écrivain d’origine tchèque mais il préfère s’identifier comme français).



L’histoire a un personnage vraiment intéressant – Tomas ; beaucoup d’idées sont présenter qui sont révolutionnaires même à l’époque actuelle que c’était intéressant de lire. Le meilleur aspect de ce livre est que les personnages complexes construits par l’écrivain. L’histoire traité les autres sujets comme le mal du pays, où Tomas et Tereza s’installent en Suisse mais souhaitent rentrer à Prague malgré le régime. Etant quelqu’un qui aime la mythologie grecque, les allusions au mythe étaient un autre point culminant de ce livre (comme l’histoire de d’Œdipe).



Le livre mélange sujets variés comme politesse, romance, philosophie dans une proportion correcte. Mais, je n’aime pas quand l’écrivain remonté dans le temps si tard dans l’intrigue ; où, il y a un point où la sous-placette de Sabina va avant du temps et puis elle revient au passé (qui pour de grandes parties du roman est le présent du point de vue du lecteur). Il y avait aussi beaucoup de répétition – comme les avis de Tomas et Tereza en destin et la coïncidence et la référence répétée à la symphonie de Beethoven.



Le roman est une excellente lecture, à moins que le lecteur / la lectrice est une personne qui a les avis arrêtes sur ces sujets est à lire quelque chose au contraire leur dérangée. En place de écrire un livre non romanesque en philosophie, l’écrivain a réalisé une intrigue excellente avec les personnages complexes et un contexte politique tout en s’en tenant l’objectif général.



Je donne une note de quatre sur cinq.
Lien : https://lastute.blogspot.com..
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L'insoutenable légèreté de l'être

J'ai été jusqu'au bout, pour voir, mais j'ai eu du mal. Je n'ai pas été touchée et je l'ai trouvé profondément ennuyeux. Il faudrait qu'un passionné m'explique.

Je suis passé à côté de cette lecture et cela m'est donc difficile de donner un avis, tant cet ouvrage m'a déconcerté.
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La fête de l'insignifiance

J'aborde pour la seconde fois l'œuvre de Milan Kundera avec ce court roman.

Après une brillante entrée en matière avec l'Insoutenable légèreté de l'être, je reste ici perplexe.

Oscillant entre théâtre, fiction et essai philosophique, l'auteur dissémine de manière (semble-t-il) assez aléatoire (ou subtile) des indices au lecteur pour déchiffrer le sens de son ouvrage.



[Masquer]



Qu'en ai-je compris ?



Point de fil conducteur mais plutôt des anecdotes, des références historico-philosophiques autour des figures de Kant et de Staline, un focus sur le nombril féminin et son rôle séducteur. Le tout articulé autour de 4 protagonistes masculins qui se connaissent plus ou moins, se croisent, digressent et se quittent.



Un livre qui semble absurde, ubuesque et qui pourtant porte quelques notions intéressantes que je n'ai pas su interpréter au moment de la lecture.



À l'heure où toute la société se regarde le nombril, l'auteur nous propose une alternative beaucoup plus réjouissante. Celle de ne pas se prendre au sérieux, de remettre l'humour, la légèreté et l'insignifiance au centre de nos préoccupations et échanges ?











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L'insoutenable légèreté de l'être

Je connaissais le bouquin de nom et lorsque Milan Kundera est décédé, je me suis rendue compte que je ratais sûrement quelque chose. J’ai alors décidé de me plonger dans cette expérience littéraire et philosophique à part entière, jusqu’à ce qu’à la moitié du livre… le drame.



Si la première moitié du roman est tout à fait unique et ses réflexions curieuses et pertinentes, l’arrivée d’une scène de violences se*uelles présentée comme une relation émancipatrice pour le personnage principal féminin m’a fait fermer le livre.



En y réfléchissant et en revenant sur ce que j’avais lu jusqu’alors, je me suis surprise à réaliser que tout l’objet de l’émancipation féminine et de sa complexité intrinsèque prenait sa source dans sa sexualité, ses fantasmes et son rapport à son corps.



Peut-être que je l’interprète mal ou que j’ai raté quelque chose, c’est loin d’être exclu. Mais de mon coté, je ne retournerais pas à ce livre…
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Risibles amours

Je plaçais beaucoup d'espoir dans ces nouvelles, j'ai été déçue. C'est bien écrit, mais très loin de L'Insoutenable légèreté de l'être en terme de qualité. Et surtout, je n'aime pas la manière dont les femmes sont considérées. Même si elles sont sujets de désir, et pas seulement des objets, leurs corps et comportement sont constamment tournés en ridicule. C'est frustrant car on sent un esprit brillant, mais le contenu n'y est pas ... Dommage.
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Risibles amours

J'ai adoré. La façon d'écrire de Kundera m'a beaucoup plu et les petites histoires étaient vraiment drôles. J'ai eu parfois du mal à passer directement d'une nouvelle à une autre il fallait que je fasse une petite pause le temps d'en digérer une avant de commencer celle d'après.
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L'Identité

Bluffant ! Kundera questionne le couple sous un angle original. Qui suis-je qd je suis avec l'être aimé et qui suis-je qd je suis ailleurs ? Mais aussi qui est cet être aimé qd je suis avec lui ou sans lui ? Je réfléchis encore après cette lecture !
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L'Identité

Une lecture qui m'a paru ardue au départ. J'ai mis du temps à rentrer dans l'écriture complexe de ce roman de Kundera. L'histoire pourtant très simple installe un trouble volontaire qui met du temps à se dissiper, voire ne se dissipe pas du tout. Si j'ai failli lâcher, c'est étrangement aussi cette complexité des rapports, cette opacité des sentiments, qui m'a retenue dans cette lecture. Un roman étrange et multiple, aussi simple que complexe, que j'ai aimé détester ou que j'ai détesté aimer, je ne saurais vraiment dire !
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L'insoutenable légèreté de l'être

A 30 ans j'ai trouvé ce roman remarquable !! Un chef d'oeuvre. A la mort de Kundera, je l'ai repris dans ma bibliothèque en savourant l'idée que je me faisait de ce monument de la littérature . Et là !!! déception . Les problèmes de la tchechoslovaquie ne sont plus. Le parti communiste a déserté la planète. L'infidélité du personnage a été remplacépar les pt-roblèmes de genre. Bref un livre qui a vieilli !!! Dommage
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L'Identité

Fabuleux de voir à quel point Milan Kundera, auteur de nationalité tchèque, manie à la perfection le français au point d’en écrire des livres.



Chantal et Jean-Marc doivent se rejoindre à la plage mais ils se loupent de peu et pire Jean-Marc la confond avec une autre femme… comment peut-il avoir confondu sa femme ? L’être qu’il connaît le mieux ? Il l’a retrouve chez eux un peu désarçonné par cette pensée. Et peu à peu le lecteur suit les aventures de ce couple qui va de quiproquo en quiproquo.



Chantal lui avoue se sentir vieillir (elle a quatre ans de plus que lui) et avoir fait ce constat parce qu’elle n’attire plus le regard des hommes ! Alors pour la rassurer Jean-Marc va jouer un double-jeu… qui finalement va s’avérer destructeur.



Ce roman est terriblement court, composé de 51 chapitres et pourtant tout doucement on bascule dans le rêve ou plutôt le cauchemar de ces deux personnages qui ne font finalement que se rater (autant dans leurs intentions que dans leurs actes).



Et d’un coup, je ne comprenais plus rien, l’impression d’avoir loupé des pages fondamentales, incohérence car Chantal se retrouve en plein cauchemar, le récit devient irréaliste. Je retourne en arrière, pour réussir à trouver la frontière entre ces deux mondes que tout oppose. Elle est si bien écrite que je ne la trouve pas, je ne la vois pas. Quelle prouesse d’avoir osé faire cette transition (et quelle transition d’ailleurs !) entre le réel et l’imaginaire !



En refermant ce livre, je réalise que l’identité était présente partout : l’auteur inconnu des fameuses lettres, le double-visage porté en permanence par Chantal, la disparition, le regard, le corps et jusqu’au nom et la mort.



Kundera s’est questionné sur l’identité en alliant la simplicité de son intrigue mêlée à un grand nombre de rebondissements sans de véritable fin.



En tout cas une chose est certaine, il s’agit d’un très beau texte, un véritable voyage sur le thème de l’identité.
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Jacques et son maître, hommage à Denis Diderot ..

EXCELLENT !



Absolument fabuleux ce texte.



Il s’agit d’une pèce de théâtre 🎭 qui se trouve être une variation de Jacques le fataliste écrit pas Diderot.



Premier livre que je lis du célèbre Kundera et certainement pas le dernier. Il rend à travers cette variation, sa critique de l’œuvre de Diderot, une critique positive et qui est profonde !
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Le Livre du rire et de l'oubli

Le hasard a placé ce livre entre mes mains quand j’avais 15 ans (1978) et je l’ai lu avec délice alors que, à l’époque, je lisais très peu (seulement lectures obligatoires pour l’école et encore, le résumé oral d’un copain pouvait faire l’affaire) et en plus je ne savais rien de la vie et des relations amoureuses et sexuelles (et sur ce dernier plan MK envoie du lourd). Pendant toutes les années quelques éléments ont été gravés dans ma mémoire et notamment l’idée qu’on a deux biographies amoureuses, celle qui s’est concrétisée et l’autre qui restée dans l’imaginaire. Ce n’est pas exactement ce que dit Milan Kundera mais c’est ce qui était resté dans ma mémoire. Un autre élément qui m’était resté est le parasitage des confidences lorsque le destinataire dit « C’est tout à fait comme moi, je … ». Bon maintenant, 44 ans plus tard, j’ai relu ce livre. Première observation. Il faut Relire !Deuxième observation, c’est un petit recueil

de nouvelles assez distrayant et pas la somme

monumentale qui était dans mon souvenir. Troisième observation, certains éléments sont datés en ce qui concerne non seulement les régimes politiques mais aussi les relations entre les hommes et les femmes. Ensuite, j’a trouvé les personnages très inspirants et je me suis souvenu avec délice du procédé narratif qui consiste à faire des parenthèses dans lesquelles l’auteur explique ce qu’illustre ce que vivent ses personnages.

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L'Identité

Un synopsis abscons pour une histoire d'amour paraissant banale. Un homme et une femme évoquent leur vie de couple et se questionnent, sans fin, sur l'identité et sur la résistance de l'amour face à un monde hostile. Avec ce roman achevé en 1995 et édité en 1998 l'auteur franco-tchèque publiait à l'époque ce que l'on considérait comme un livre de la maturité. Pourquoi pas... Mais c'est surtout un roman dans lequel ce dernier pérore sans arrêt et sans fin. Lassant...
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