C'est dans l'imprévisible et l'inopiné qu'on arrive (le plus véritablement) à regarder au fond de soi et repenser les questions personnelles dont le poids devient à chaque page plus écrasant. C'est dans cette voie là que le livre nous embarque.
Si vous voulez un conseil, ne lisez pas trop les critiques, ne cherchez pas trop l'histoire. Laissez vous faire, et vous ne serez pas déçus par cet chef-d'oeuvre de Kundera.
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le premier roman "court" de Kundera dont le plus marquant n'est ni lee sujet de la lenteur, expriméee de façon un peu artificielle, ni son aspect "roman absolu" mais la fulgurance de l'analyse de Milan Kundera (qui date de 1995!!) sur les hommes politiques obsédés par la gloire plus que le pouvoir, par "occuper la scène pour faire rayonner son moi" (les "danseurs"). lees décennies suivantes confriment sa prescience!
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Sur fond historique d'envahissement de la Tchécoslovaquie par l'URSS, histoire croisées de Franz, Sabina,Téreza et Tomas.Ils se rencontrent s'aiment se séparent.....
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Recueil de réflexions et de courts essais, l'art du roman laisse la parole à Milan Kundera sur des sujets divers et passionnants par l'approche qu'en fait l'auteur, qui m'avait déjà subjuguée dans son roman l'insoutenable légèreté de l'être.
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Un étrange roman sur la vie à deux qui pose des questions sans braquer le lecteur
Joli
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Attirée par le nom de l'auteur dont j'avais entende beaucoup de bien sans jamais le lire, j'ai franchi le pas avec cette nouvelle.
Enorme déception.
Certes c'est très bien écrit, mais rien ne m'a touché dans ce récit...
L'insoutenable légèreté de l'être est néanmoins sur ma liste car je ne voudrais pas juger trop vite un auteur vanté comme extraordinaire!
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Kundera nous ramène inévitablement à nos sentiments et nos émotions, il nous ramène à nos 20 ans. Mais le trop plein de pensée des personnages nous enlise peu à peu dans un ennui.
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C'est mon premier essai d'un livre de cet auteur. En fait, j'ai aimé jusqu'à la page où j'ai abandonné. Il y en a de beaux passages d'une vérité rare et humaine. Mais je n'ai pas le courage de continuer en ce moment; l'histoire va trop lentement et je ne sais pas par où; j'ai perdu un peu mon intérêt, donc j'attends un futur moment calme quand je pourrai me concentrer pour le recommencer.
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Un bel essai du maître tchèque ou l'on retrouve Kafka Stravinsky et bien d autres..
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Une magnifique pièce de théâtre et un grand texte..
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Des textes un peu disparates, parfois très éclairants.
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Dans cet ouvrage Kundera pose des questions essentielles et en y répondant, nous assure que toute réponse est discutable mais que les choix sont irréversibles. Les personnages sont très proches de nous, bien plus qu'on l'attendrait d'une œuvre à la limite de l'essai et située en Europe de l'est. L'histoire est si brillamment dirigée, pleine de sens et si riche en surprises qu'à ma plus grande surprise il s'agit d'un roman.
Peut-être le meilleur livre que j'ai lu. A garder en haut de l'étagère car je le relirai sans doute un jour.....
(note de lecture sur l'Agora en 2007)
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Le projet est louable, la thèse pertinente. Pourtant admiratrice de Kundera, je m'y suis ennuyée en revanche. Peut-être à laisser décanter pour relire plus tard.
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Si j’ai souhaité lire ce livre, c’est parce que je m’attendais à être portée par une certaine philosophie et poésie dans la réflexion de pensée kunderienne. Au lieu de cela, je me suis retrouvée à lire une plume qui utilisait une quelconque histoire d’amour comme truchement aux idées que voulait véhiculer l’auteur. Cette impression est malheureusement restée au tout long de la lecture ce qui a enlevé tout naturel aux événements et paroles du couple de Chantal et Jean-Marc. Je ne nie pas la présence d’une pensée intéressante et de passage qui mériteraient d’être gardés quelque part mais je ne me suis pas sentie transcendée par l’ensemble. J’ai dû rappeler souvent à ma mémoire la postface de François Ricard pour vraiment comprendre dans quoi voulait nous emmener Kundera.
Nous comprenons aisément les questions essentielles du roman : s’aimera-t-on toujours quand le temps aura fait son œuvre ? L’aurais-je aimé en la voyant autre ? Sommes-nous ce que nous prétendons être ? ; qui sont en elles-mêmes des réflexions identitaires captivantes mais il n’a pas réussi à les porter jusqu’au bout. Elles sont affadies par des personnages sans relief qui eux-mêmes semblent être utilisés de manière inapte et inélégante.
En bref, je n’ai pas retrouvé le Kundera de "La vie est ailleurs" ou encore de "L’Immortalité" .
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Recueil de textes ou Kundera revient sur ses thèmes de prédilection : l'existentialisme, la littérature et plus généralement l'esthétique. Il nous fait partager ses réflexions sur des auteurs et leurs oeuvres.
Toujours aussi intelligent et pertinent.
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Un livre que j'ai lu il y a quelques temps déjà. Je me sens bien à contre-courant de la très grande majorité des avis ici, mais c'est une lecture avec laquelle j'ai eu du mal à vraiment accrocher - en particulier au début du livre - une lecture que j'ai dû reprendre à plusieurs reprises, après l'avoir délaissée, et dont je garderais le souvenir de plusieurs longueurs et d'un récit parfois décousu.
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Un ouvre extraordinaire d'un vrai génie de la littérature et grand connaisseur de ma nature humaine et des dérapages terribles d'une utopie.
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Dès la couverture (un diable de Picasso) on se trouve transporté sur une planète où de brillants artistes se disputent en attendant d'être mis au ban de la société. Kundera excelle aussi à faire des relations amoureuses une sorte de farce assez grinçante.
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