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Critiques de Minetaro Mochizuki (225)
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Dragon Head, tome 1

Je découvre cette série de 10 tomes, Dragon Head, et le premier tome m'a bien plu.



3 jeunes adolescents vont se retrouver rescapés d'un accident de train lors d'un voyage scolaire. Si le premier personnage que l'on rencontre, Teru, va essayer d'avancer et de survivre, un autre de ses camarades va devenir de plus en plus inquiétant. Et la 3ème camarade est bien mal en point physiquement. Voilà pour le charmant programme de ce premier tome.



J'ai bien aimé ce démarrage, l'ambiance est inquiétante et l'on se sent enfermé dans ce tunnel avec les protagonistes. La psychologie des personnages semble avoir une place importante et je me demande quelle va être la suite pour les 3 collégiens. Affaire à suivre.
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Chiisakobé, tome 1

Un récit mêlant tranches de vie et destinée familiale assez ancrée dans le réel. Le personnage principal gagne en empathie et en humanité au fil des pages, tout comme les orphelins recueillis. Les graphismes sobres et justes cadre bien avec cette intrigue assez épurée. Hâte de lire le suivant.
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Dragon Head - Perfect edition, tome 2

Nouvelle claque avec ce deuxième tome tout aussi fort et cauchemardesque que le premier qui a su me saisir d'effroi et me surprendre !



Après ce début en huis clos dont j'avais essentiellement entendu parler, je ne m'attendais pas à voir les héros sortir si vite de sous-terre pour rejoindre la surface. Cela change tout, la dynamique insufflée par Minetaro Mochizuki est bouleversée et de nouveaux enjeux apparaissent continuant à corser cette sombre et mystérieuse histoire de survie.



Tout est toujours aussi flou, aussi étrange. On avance pas à pas avec les héros, perdus dans le temps et l'espace comme eux. Je me suis vraiment demandée tout au long de ce tome combien de temps exactement était passé tant c'est étrange que ça ait tant changé si vite. On est vraiment dans un pur titre fantastique hyper bien écrit.



Pour cela, l'auteur s'inspire grandement de l’École emportée du grand Kazuo Umezu, c'est évident ! Les mystères de la surface : le soleil, la brume, les adultes quasi absents, le monde désert, tout ça est directement pris dans ce titre culte. Même l'ambiance glauque et étrange semble calquée dessus, tout comme la lente folie qui prend les héros et les fait basculer dans l'absurde le plus complet.



J'ai beaucoup aimé la dynamique de ce tome, entre découverte tâtonnante de la surface, recherche de survivant et de quoi survivre, réalisation d'un monde dévasté, rencontre d'autres individus. Tout est parfaitement calibré pour nous entraîner peu à peu sur la route aux côtés des deux héros. Malgré leur apparente fragilité, ceux-ci sont d'ailleurs bien plus solides que prévus l'un et l'autre. Ils parviennent toujours à surmonter leurs peurs pour avancer, c'est à saluer. Quant à ceux qu'ils rencontrent, un peu sur le mode de ces road-movies post-apocalyptiques, ce sont des bandes de jeunes ou de militaires dont on ne sait pas bien quoi penser et qu'on sent proche de la dérive voire en plein dedans. C'est fascinant.



L'univers étrange dans lequel ils évoluent est vraiment prenant. On se pose mille questions sur ce qui s'est passé. Quand ? Comment ? Qui ? Où ? Pourquoi ? Aucune réponse n'est donnée, on ne peut que constater les résultats. Des bribes d'informations sont lâchées par différents biais mais c'est bien menu. C'est parfait pour entretenir notre curiosité et la paranoïa des héros. Cette paranoïa qui approche de plus en plus Teru de la folie. Regardez-le sur la couverture. C'est lent et insidieux mais la bascule est de plus en plus proche.



D'ailleurs le travail fait par l'auteur sur la psychologie des personnages est très intéressant. On avait déjà eu Nobuo, qui dans une situation impossible à appréhender pour lui, s'était réfugié dans une sorte de culte qu'il avait lui-même créé et qui avait totalement basculé dans la folie, mais j'avais mis ça sur le dos du personnage et de la suite étouffante de ce train enterré. Là, on voit la même chose se reproduire à l'air libre. Faute d'explication, faute de gens plus nombreux pour les aider, les petits groupes d'individus basculent tous peu à peu, les uns vers une religion étrange proche de celles des origines, les autres vers des violences impassables avant mais tout à fait crédibles dans ce monde sans règle désormais. Ils profitent d'un vide pour faire ce qu'ils n'auraient jamais osé faire avant, se désinhibant aussi bien religieusement que juridiquement. C'est assez fascinant à observer.



Graphiquement, c'est encore une fois génial. L'auteur a su un sens du découpage et du cadrage fou. Il nous plonge dans l'horreur tel un génie. Il saisit aussi à merveille l'inquiétude et la folie qui gagne les héros par un superbe travail sur les ombres et les noirs. C'est saisissant.



Avec cette nouvelle évolution de l'histoire, l'auteur ouvre de nouvelles voies de réflexion à la fois surprenantes et réconfortantes, car elles s'appuient sur un mélange de connus / inconnus très bien pensé. J'ai adoré les références à L'école emportée, un titre fort impactant que j'avais beaucoup aimé et qu'il faudrait que je poursuive. J'ai adoré l'évolution du périple des héros. J'ai adoré cette ambiance étrange où l'on se perd nous aussi. Deux tomes, deux claques, j'ai bien fait de redonner une chance à ce titre !
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Dragon Head, tome 1

Dragonhead est le premier manga que j'ai suivi. J'avais bien lu l'un ou l'autre recueil d'Osamu Tezuka mais je n'avais jamais encore entalé une série.

A l'époque, j'avais été scotché par ce récit claustrophobique à souhait.

En quelques pages, le décor est planté. Un train rempli d'étudiants de retour d'un voyage scolaire s'engouffre dans un tunnel. Un grand choc, le train déraille.

Il semble n'y avoir qu'un survivant. Téru se retrouve entouré de cadavres. Il découvre rapidement que les 2 accès du tunnel sont obstrués. C'est le point de départ d'un récit dense et riche en tension.

Il est amusant de considérer ce titre en le comparant avec l'excellent Chiisakobé qui a offert à son auteur la reconnaissance critique et populaire. Si Chiisakobé est un récit intimiste qui se démarque par un sens aigu de la mise en scène, Dragonhead reste un titre plus classique dans sa conception. Il reste malgré tout de très belle scènes qui jouent à merveille du sentiment d'oppression et d'angoisse généré par l'obscurité. Efficace et poprté par un concept fort.
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Chiisakobé, tome 1

J'ai bien accroché et lu d'une traite le premier tome de cette série manga.



Shigeji doit assumer ses nouvelles responsabilités, faire ses propres choix et on imagine à quel point ça doit être difficile. Avec sa longue chevelure et sa barbe bien fournie, il surprend un peu. Les personnages ont un sacré caractère, les enfants y compris même si tous ont un peu de mal à communiquer. Malgré les tragédies, c'est sans pathos et plutôt agréable à lire.



Pour ce qui est du graphisme, de jolis dessins fins et détaillés, des plans larges et rapprochés. C'est très plaisant.



Vivement la suite! J'ai maintenant envie de savoir comment ce jeune entrepreneur va gérer l'entreprise familiale ainsi que ses relations avec Yûko, Ritsu et les enfants.



Une série à poursuivre.
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Chiisakobé, tome 2

Au début de ce volume on découvre une explication du titre qui a un rapport avec le fait d'adopter des enfants.

Ritsu continue à s'occuper activement aussi bien de la maison de Shigeji et ses employés que des orphelins qu'elle a recueillis après l'incendie. Elle se compare toujours à Yûko en se dépréciant mais Shigeji semble toujours aussi impassible devant les femmes. Il refuse encore et encore toute aide extérieure pour redresser l'entreprise malgré les recommandations prudentes de ses adjoints. C'est apparemment une question d'honneur...
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Chiisakobé, tome 1

Tout commence par une tragédie, celle de la mort, dans un incendie des parents de Shigeji. Ce qui va plonger l'entreprise dans de grandes difficultés financières. Le jeune homme doute de lui. C'est vrai qu'il ne renvoie pas l'image d'un entrepreneur sur de lui, avec son physique atypique, et ses premières décisions sèment encore plus le doute dans l'esprit de ceux qui l'entourent.



Les personnages prononcent peu de mots et n'exposent pas beaucoup leurs sentiments, dans la pure tradition des romans japonais. En cela, ce manga est vraiment le reflet d'une adaptation du roman de Shūgorō Yamamoto. Le dessin prend alors toute sa place, il dit ce que la pudeur n'ose pas, à travers les gros plans sur des détails physiques et des moments du quotidien, avec son côté pop décalé mais justement dosé pour ne pas lasser.

Récit de la reconstruction d'un homme et de la découverte de sa place dans la société, de l'importance des figures parentales dans la construction de l'être, cette série de quatre tomes explorent également bien d'autres thèmes : le conflit entre les jeunes générations et les adultes, le malaise face à des comportements déplacés, le deuil ou encore les liens qui se tissent doucement au fil des expériences communes. Sans grands événements, l'auteur sait pourtant diablement attraper le lecteur et le conduire tout au long de cette histoire pour son plus grand plaisir, avec une simplicité enchanteresse.
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Tokyo Kaido, tome 3

La conclusion apporte son lot de frustrations, d'incompréhensions et de satisfactions. Le style somptueusement soigné l'emporte, tous ces inserts vaguement signifiants qui interrompent les trames délétères des rares événements, comme autant de points par lesquels l'étrange s’insérerait dans le quotidien forcément nauséeux et stérile d'une clinique. Comme ce livre dans le livre, le manga de Hashi qui trouve là un troisième et dernier opus assez aisé à lire entre les lignes/cases. Evidemment, on se pose encore des questions sur certains personnages, cette galerie hétéroclite de freaks qui, finalement, parviennent à s'accommoder peu ou prou de leur anormalité pour vivre dans cette singulière synergie où les sentiments affleurent et les mots font mal, parfois, pour découvrir la cruelle platitude d'un monde qui n'est pas fait pour eux mais qu'ils espèrent. Entre eux, ces jeunes malades philosophent sans le savoir et tissent dans la douleur des liens puissants qui transcendent leur condition, déchirant le tissu même du réel scabreux qui leur fait si peur.

De magnifiques points d'orgue émotionnels nous sont servis au long de ces pages douces-amères où les masques tombent et les langues se libèrent. Désillusions et fantasmes se mêlent à une doucereuse langueur et la peur terrible de cette solitude que tous cherchent, d'une manière ou d'une autre (et toujours maladroitement), à terrasser.

Contemplatif et mystérieux, sans doute vain pour certains, mais d'une richesse et d'une sensualité insoupçonnables. Vivifiant.
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Dragon Head - Perfect edition, tome 1

Je ne connaissais pas ce manga, malgré sa parution déjà assez ancienne, avant de le découvrir dans la sélection masse critique c'est donc une découverte et je remercie Babelio et son opération pour me l'avoir fait découvrir. Ce manga de style horror-survival et post-tragédie ou post-apocalyptique (ça c'est après avoir lu la suite que je pourrais définir totalement) m'a bien plu sans non plus être transcendant. D'abord le dessin est très beau et c'était très important car toute l'histoire se base sur une atmosphère pesante et pour cela il faut une bonne plume ce qui est le cas. Le deuxième point fort c'est le rapport entre les trois personnages dans ce huis clos horrible qui est bien utilisé et qui rend l'histoire fort intéressante. Après habitué des livres et films d'horreur, j'ai pas été bousculé par cette histoire mais je peux comprendre que ça trouble certaines personnes, par exemple les personnes claustrophobe doivent plus ressentir la peur dans ce récit. Donc voilà ça m'a plus mais sans plus mais je vais continuer la série car le récit est quand même fort intriguant.
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Tokyo Kaido, tome 1 : Les Enfants Prodiges

Aussi déroutant que fascinant, ce premier tome fait partie de ces oeuvres inclassables qui suscitent des sentiments contradictoires. Le style épuré mais ciselé, d'une netteté presque chirurgicale, induit pour chaque case des interprétations équivoques mêlant symbolique et onirisme. D'autant que les personnages, tous plus énigmatiques et singuliers les uns que les autres (tant les patients que les praticiens de cette clinique du cerveau), interpellent automatiquement l'imaginaire du lecteur qui parviendra pourtant difficilement à s'identifier, cherchant constamment à anticiper sur des caractères et des situations qui finissent immanquablement par lui échapper. Rien n'est figé, rien n'est certain dans ce manga particulier, parfois sobrement angoissant, parfois délicatement émouvant comme dans la partie "livre dans le livre" où l'on explore le manga que l'un des personnages est en train de créer en y injectant toute sa frustration et sa douleur.

On pense parfois à Twin Peaks, parfois aux X-Files, avant d'opter pour les Nouveaux Mutants : toujours à la lisière du fantastique mais sans jamais l'aborder de front - surtout que la question de l'interprétation est au centre du récit. Qu'est-ce qui est réel ? Et qu'est-ce qui ne l'est pas ? Philip K. Dick n'a qu'à bien se tenir. A vous de voir.
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Tokyo Kaido, tome 3

Dernier tome pour cette série de Minetaro Mochizuki. Depuis le début, j'avais un doute sur ce Tokyo Kaido, dont le propos était plutôt insaisissable. Arrivé à la conclusion, je dois reconnaître que je ne suis pas du tout convaincu.

C'est beau, c'est bizarre mais la bizarrerie l'emporte et le résultat en devient parfois incompréhensible et plutôt hermétique. Nous plongeons dans une galerie de personnages décalés et dérangés mais sans qu'il y ait un enjeu quelconque.
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Chiisakobé, tome 1

J'ai lu ce manga sur les recommandations d'une amie, qui a su m'allécher avec sa description de «personnages moches» ou «banals» à côté d'autres plus beaux, comme des personne qu'on pourrait croiser tous les jours... Et effectivement, ce manga sort des clous, il ne présente pas un monde idéal, mais plutôt toutes les difficultés auxquelles on peut se heurter dans le monde qui est le nôtre, et nous invite à nous pencher sur les aspects de notre humanité les plus beaux (générosité, gentillesse, dévouement, curiosité...) mais aussi les plus laids (jalousie, orgueil, perversion...). L'histoire est centrée sur deux personnages qui se retrouvent à devoir vivre ensemble après un malheureux accident. Bref, un premier tome qui donne envie d'en savoir plus!!!
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La Dame de la chambre close

Publié à la même époque que DragonHead, sa série apocalyptique, "la dame de la chambre close" permet à Minetaro Mochizuki de montrer toute l'étendue de son talent lorsqu'il s'agit de créer des ambiances. Dans ce one-shot, il s'amuse à créer un climat oppressant malgré une intrigue qui manque parfois corps. Passé une mise en place implacable, le récit peine à trouver un second souffle.

SOn récit commence comme un mauvais rêve. Hiroshi a la mauvaise idee de se demander qui peut bien frapper a la porte de son voisin si tard la nuit. C'est ainsi qu'une étrange femme débarque dans sa vie. Elle ne tarde pas a devenir terriblement envahissante... et de plus en plus inquiétante. Un point de départ classique mais un personnage qui suinte le malaise. Le harcèlement qu'elle impose à Hiroshi n'est pas sans rappeler l'ambiance d'un film comme Audition de Takashi Miike. Nous naviguons aux confins de l'épouvante mais certaines scenes très reussies, le récit s'enlise vite, tournant à vide sur son point de départ sans arriver à le faire décoller. Il y avait base à un court récit glaçant. En l'étirant sur un tome complet, la répétition finit par ne plus réussir à entretenir le malaise et la fin arrive trop tard pour conserver tout son impact. Dans l'ensemble, ce manga est loin d'être mauvais. les qualités sont évidentes, mais il est trop long. Et s'il fallait n'en retenir qu'une chose, c'est que lorsqu'on entend quelqu'un frapper a la porte de son voisin, il faut tout éteindre, se blottir dans un coin et ne plus respirer jusqu'a ce que ce visiteur s'en aille.
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Dragon Head, tome 1

À la fois sombre, inquiétante et mystérieuse... Minetaro Mochizuki a tous les ingrédients en main pour faire de Dragon Head une série de manga à la fois captivante et dérangeante !



Ce premier tome en huis-clos nous plonge dans la lourdeur étouffante d'un tunnel juste après le déraillement d'un train. Des dizaines de corps jonchent les carcasses des wagons. Seuls trois survivants arrivent à s'extirper des décombres. On découvre aux côté de Téru, Nobuo et Ako l'horreur de la situation, la terreur de se retrouver piégés et leur impuissance à trouver une solution pour s'en sortir.

J'ai beaucoup aimé découvrir le ton très noir du récit, agrémenté de cet aspect très inquiétant lié à l'inconnu d'un lieu, d'une situation, de l'attitude à adopter. La montée de la folie chez un des personnages apporte une dimension encore plus effrayante à l'histoire. Il est fascinant d'observer les personnages se battre pour leur survie, entre eux et contre leurs démons.



Un premier tome captivant avec un style obscure, gore et mystérieux qui intrigue et fait froid dans le dos. J'ai hâte d'attaquer la suite.
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Chiisakobé, tome 3

Dans ce troisième tome, les relations entre Shijegi et Ritsu se tendent... mais en fait, tenter de résumer l'intrigue ne fait qu'affadir le récit. l'important n'est pas ce qui se déroule mais la petie musique délicate qui joue sans cesse. Chiisakobé est une oeuvre rare d'une délicatesse absolue.
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Dragon Head, tome 1

Dragon Head nous offre un scénario catastrophe prenant et inquiétant, où on en vient à se demander: "Et moi? que ferais je dans leur situation?" L'auteur parvient habilement à communiquer au lecteur les sentiments de ses personnages: angoisses, folie, cruauté... Les dessins y contribuent d'ailleurs pour beaucoup, malgré leur manque d'esthétisme.

Impossible de sortir indemne de cette lutte pour la survie...
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Chiisakobé, tome 1

De magnifiques dessins, des personnages et une intrigue plein de mystère et surtout la narration en planches est épurée et percutante.



Toutes ces raisons font que l’on lit par curiosité, plaisir et que l’on veut connaître la suite de cette histoire avec impatience

Chiisakobé ?!
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Dragon Head, tome 10

Ca y est, j'ai lu les 10 tomes de Dragon Head. Ce fut une lecture intéressante, ce manga a dû inspirer bon nombre de mangakas car cela me semble être un classique du récit de survie, post-apocalyptique.



C'est une œuvre très sombre, pas toujours très optimiste sur l'Homme et sa nature et les dessins, avec beaucoup de noirceur, contribuent à cette impression. Ce n'est pas forcément ce qu'il y a de plus plaisant à lire mais c'est cohérent avec l'œuvre.



Je regrette un peu que les personnages ne soient pas plus attachants que cela. La plupart sont faits pour être détestés et craints, mais j'aurai aimé m'intéressé un peu plus au destin des protagonistes.



Aussi, bien que la série ne fasse que 10 tomes, j'ai constaté quelques longueurs et des impressions de déjà vu. L'histoire s'étire et la fin n'est pas forcément très satisfaisante.



Quoi qu'il en soit, je suis content d'avoir enfin lu Dragon Head !
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Dragon Head, tome 9

L'avant dernier tome de Dragon Head ! Et pas vraiment mon tome préféré ...



Teru se retrouve seul (encore) dans Tokyo, il erre dans les vestiges de la capitale à la recherche d'un peu de vie. Et c'est long, c'est long ... Le souci est l'impression de déjà vu, et le fait qu'il faille attendre la moitié du tome pour qu'il se passe quelque chose. Passé la moitié, Teru va faire une rencontre assez intéressante qui va nous en apprendre plus sur les Dragon Head !



Plus qu'un tome et j'aurai terminé cette série de manga. Il y a eu du bon et du moins bon, notamment quelques longueurs, mais je reste content d'avoir lu cette œuvre.
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Dragon Head, tome 5

Un vol d'hélicoptère, une nouvelle rencontre, un protagoniste mal en point, une expédition pour trouver un vaccin, un homme au crâne couturé qui répète "Dragon", c'est le programme de ce tome 5 de Dragon Head.



Ce tome m'a bien plu, plus que le précédent. Les personnages prennent de la hauteur et nous aussi, leur rencontre nous permet d'avoir un peu plus d'information sur l'univers et cela tombe à pic après 4 tomes dans le flou.



Evidemment il reste du mystère et des zones d'ombre mais j'ai apprécié d'avoir quelques informations. Les dernières rencontres faites par un duo pas super compatible m'ont bien intrigué, ils sont assez effrayants et j'ai hâte de voir le sort qu'ils réservent à ce duo. La suite au prochain tome.
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