Nadia Coste

Ce conte librement imprégné de l’esprit de l’antiquité grecque, sous les dehors d’une apparente légèreté, nous invite à nous poser une question philosophique : celle de la connaissance vue comme un idéal à atteindre mais aussi comme un instrument de domination.



Dans le petit archipel où vivent Sophia et Théo, les pouvoirs et richesses sont concentrés entre les mains de guildes, peuplées de privilégiés qui ont eu accès au pouvoir des mots en étudiant à l’université de Philopolis. La population non instruite est traitée comme une simple ressource dont ils disposent à leur guise… En fait, le savoir est accessible à tous les enfants qui sont suffisamment intelligents pour être admis à l’école. Mais il leur faut accepter de quitter leur famille dès l’enfance pour plusieurs années, et prendre un risque majeur : celui de la dyspnoïa, la maladie qui guette celles et ceux qui échouent à l’examen d’entrée à l’université.



Amis d’enfance, Sophia et Théo se retrouvent à l’âge de 10 ans coupés de leurs familles et envoyés à Philopolis, l’une en tant qu’écolière, l’autre comme protégé d’un groupe de résistants au pouvoir en place. A travers leurs expériences, on découvre toutes les failles qui se dissimulent derrière la lumineuse cité du savoir : l’omerta imposée par les puissants sur la réalité du pouvoir des mots, les ravage de la concurrence entre écoliers, les violences et les discriminations exercées par les guildes sur celles et ceux qui ne sont pas des leurs, l’endoctrinement de la jeunesse, la pression insoutenable imposée aux élèves, la destruction des familles, les exactions commises pour protéger le système.

Et pourtant, le monde que défendent les guildes n’est pas une dystopie cauchemardesque : l’érudition y prospère au même titre que les arts et les richesses économiques. Seulement, tout tient sur un système profondément inégalitaire et fermé.



On ne peut s’empêcher d’y voir une critique de notre système universitaire et de la manière dont il reproduit les élites, avec l’illusion de la méritocratie et l’inévitable adhésion que suscite la fascination pour le progrès et le savoir, au détriment de valeurs plus authentiques et plus simples. Mais tout cela est fait de manière merveilleusement subtile, sans renoncer à la dimension aventure qui rend ce roman palpitant jusqu’à la dernière page.

Il faudra les efforts conjugués de deux enfants liés par une amitié indéfectible (et d’immenses talents) pour faire tomber le despote sur qui tient la supercherie, et faire en sorte que ce trésor qu’est le savoir soit enfin équitablement partagé avec tous et toutes.



On apprend dans les remerciements que l’idée de ce roman est née dans le cadre d’un défi de 45 minutes. Un grand coup de chapeau à Nadia Coste pour en avoir fait une fresque fabuleuse, riche et surtout très intelligente, à l’image de ses personnages.

Un monde où la magie tire son pouvoir des mots... si c’est pas original ça !!

C’est ce qui m’a tout de suite fait flancher quand j’ai vu se livre en librairie



Sur l'île d'Hiklion, Sophia rêve depuis toujours d'intégrer l'école de Philopolis, la Cité du Savoir. Là-bas, elle pourra enfin apprendre à maîtriser la magie des mots !



De son côté, son meilleur ami Théo n'a jamais voulu apprendre à lire : son grand frère fait partie de ceux qui sont revenus de la Cité affectés par la dyspnoïa.

Lorsque Sophia est admise à l'école, Théo embarque pour Philopolis afin de la protéger.

A peine arrivé, il se joint à la guilde des voleurs qui résiste dans l'ombre à la magie des Penseurs.



J’avoue que j’ai eu du mal à me plonger dans l’univers de ce roman j’ai l’impression que les one shot sont toujours très lent à démarrer..

Et pourtant j’aimais beaucoup cet originalité en d’avoir de belles descriptions à l’image de la Grèce, c’était vraiment très appréciable !!

La Cité du Savoir est une école où les enfants prometteur apprennent la magie des mots ainsi ils progressent (ou stagnent) dans différents niveaux d’enseignement



Parlons un peu de ce pouvoir que les mots occulte, la population a peur d’apprendre à lire ou à écrire a cause d’une maladie la dyspnoïa maladie qui fait perdre l’esprit à la suite d’une échec à un examen final à la cité de Phylopolis la fameuse Cité du Savoir. Mais ça c’est ce qu’ils croyaient !



Il existe une pierre précieuse qui amplifie les pouvoir mais encore faut-il qu’elle soit placée entre de bonnes mains !

Lu dans le cadre d'une liaison CM2- 6ème. Il fait le job : court, facile et agréable à lire, écriture très correcte. Je ne suis pas fan du fantastique à la base, mais j'ai apprécié sa lecture. Le thème du harcèlement est traité de manière intéressante.

On suit deux jeunes adolescents Sophia et Théo, dans un monde où les mots peuvent devenir magiques.

Sophia, rêve depuis toujours d’intégrer la fameuse école de la Cité du Savoir afin d’apprendre à maîtriser cette magie. Alors que Théo, lui, ne veut absolument pas apprendre à lire, car il a peur de devenir comme son frère, atteint de la maladie mentale qui touche les étudiants recalés à l’examen final…

Sophia est donc admise à l’école et va découvrir la vie à la Cité. Théo, va être malgré lui embarqué par la guilde des voleurs et se retrouver également dans la ville en secret.

Finalement, la Cité du Savoir leur réserve bien des surprises et des dangers…

J’ai adoré cette lecture du début à la fin, que ce soit les personnages attachants, avec une véritable amitié forte, sans sous-entendu ou encore les différents mondes très bien détaillés dans lesquels on arrive à se projeter. La magie des mots est à la fois belle et destructrice. Au fil des pages on en découvre plus sur cette fameuse magie et sur comment et pourquoi a évolué la ville.

jusqu’à la dernière page on est surpris et touché. Un univers fantastique magnifique et pas too much comme c’est parfois le cas. Un vrai coup de cœur pour moi, que je vous invite vivement à découvrir !

J'ai eu la chance de gagner un lot de livres "dans la peau de..." de la part de Syros jeunesse. Je les remercie car c'est une très belle découverte pour moi.

Dans ce tome, 2 frères se retrouvent dans la peau de l'autre. Ils sont différents : niveau scolaire, goût vestimentaire, passion... rien ne semble les rapprocher.... Cependant, grâce à cette semaine dans la peau de l'autre, ils vont apprendre à se connaître.

Un livre touchant.... hâte de lire les autres livres de la collection.

Nadia Coste nous revient avec ce roman de fantasy de bonne facture. J'ai apprécié d'y retrouver son style toujours aussi fluide et son intrigue qui tient la route. Nous suivons Sophia qui rêve d’intégrer l’école de Philopolis, la Cité du Savoir et Théo, son meilleur ami, qui refuse d'apprendre à lire afin de ne pas devenir comme son frère. En effet, celui-ci a raté son examen et est revenu atteint d'une étrange maladie mentale, la dyspnoïa. Afin de protéger Sophia, Théo embarque pour Philopolis et se joint à la guilde des voleurs. Alors que tout les sépare désormais, ils vont cependant se recroiser alors amis ou ennemis ? Sophia réussira-t-elle son examen ? Théo arrivera-t-il à souffler un vent de révolte ? Arrivera-t-il à empêcher Sophia de passer cet examen ? Qui sont ces maîtres de la Cité du Savoir ? L'histoire est bien construite et les références étymologiques et à la Grèce antique sont recherchées. La mise en place de l'intrigue est un peu longue et pourrait rebuter certains lecteurs. Alors que la fin aurait mérité selon moi un plus grand développement. L'entremêlement des histoires est également originale et permet plusieurs niveaux de lecture. Ainsi, l'auteure s'adresse aussi bien aux adolescents qu'aux jeunes adultes. #LaCitédusavoir #NetGalleyFrance

Cassandra est la fille d'un duc très puissant. Dans ce royaume, chaque

personne possède un pouvoir spécial. Cassandra possède le pouvoir du feu ; c'est

donc une mage du feu qui est sujette à un dérèglement hormonal depuis sa

naissance. Cela signifie donc que tout ce que Cassandra touche, que ce sois sa

mère ou des vêtements, brûle instantanément : la jeune fille n'arrive pas a contenir

son pouvoir à un tel point que quand elle s'énerve, c'est son corps entier e qui se

met en feu sans jamais lui laisser de brûlure. Cassandra doit donc constamment

être dans l'eau, porter des vêtements de cuir ou avoir un mage d'eau a ses côtés

pour contenir ses débordements.

L'oncle de la jeune fille réussis a convaincre ses parents de la laisser entreprendre

un voyage long et compliqué à l'autre bout du royaume pour se rendre à une

source chaude aux propriétés miraculeuses.

Le père de Cassandra engage donc un chevalier débutant mage d'eau et son

apprentis mage de l'air pour assurer la sécurité de sa fille, malgré leurs

inexpérience flagrante.



J'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire. Certains passages étaient pleins

d'action et de vie, mais la plus part du bouquin était plutôt monotone.

Les personnages sont plutôt sympathiques et peu prévisibles mais je n'ai pas

réussis à tous les cerner et la plus part d'entre eux me paraissaient comme sans

vie.

Il y a malgré tout beaucoup de rebondissements et de passages qui m'ont

étonnée, mais au final le dénoument est vraiment prévisible.

Enfin, j'aurai aimé en savoir plus sur les personnages à la fin du livre, avec un

épilogue par exemple.

☆~ La Cité du Savoir ~☆



Le roman jeunesse de Nadia Coste chez Scrinéo.



Je poursuis mes lectures aux ambiances antiques/mythologiques et c'est la régalade !



Sophia et Théo vivent sur la petite île d'Hiklion. Elle, rêve de rejoindre l'île centrale de Philopolis et intégrer la prestigieuse école où les plus doués apprennent à lire, à écrire mais surtout à manipuler la magie des mots. Lui, rêve d'une vie simple de pêcheur mais tout bascule lorsque Sophia réussit l'examen qui lui ouvrira les portes de la Cité du Savoir et que Théo se voit l'opportunité de rejoindre la guilde des voleurs de Philopolis.



Mais la magie des mots n'est pas sans danger, car ceux qui échouent à l'examen final sont renvoyés chez eux, atteints d'un étrange mal appelé dyspnoïa, les laissant à l'état quasi végétatif. Théo se promet alors de protéger sa meilleure amie, même de loin. Il ne savait alors pas encore qu'il avait mis les doigts dans l'engrenage du pouvoir et des noirs secrets qu'il protège.



Un roman jeunesse avec tous les bons ingrédients pour passer un bon moment : un univers original et suffisamment complexe, des personnages attachants qui ne tombent pas dans les clichés (merci de ne pas être tombée dans la facilité de faire les deux protagonistes tomber amoureux.), et une intrigue qui prend dès les premières pages.



Pour un roman jeunesse, c'est parfait. Avec mon regard d'adulte j'aurais aimé plus de détails sur la jeunesse de Zélios Bias (le fondateur de Philopolis), et un affrontement final plus développé, mais c'est parce que j'aime chipoter.


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J'ai dévoré ce roman jeunesse qui apporte une véritable réflexion sur notre société actuelle par le biais de cette métaphore de l'aura propre à questionner le racisme ambiant et les a priori de tout un chacun sur les personnes différentes de part leur ethnie ou leurs origines sociales réelles ou supposées.



En outre l'autrice fait évoluer ses personnages en France et il y a une réelle plus-value à cela puisque l'on interroge également la répression des manifestations sociales et le pouvoir de l'État dans ce musèlement de la liberté d'expression 🗣️📢



J'ai réellement apprécié que l'autrice inclut les émois de Chloé et ses apprentissages notamment en matière amoureuse 👨‍❤️‍💋‍👨 J'aurais aimé avoir ce genre de roman entre les mains à la fin du collège 🎒 En effet Nadia Coste réussit à normaliser les questionnements des adolescents sur les relations sexuelles, l'envol des hormones et la virginité 👩‍❤️‍👨



De plus, on s'attache aux différents protagonistes et surtout à Chloé qui est en quête d'identité et qui questionne également l'éducation inculquée par ses parents et le bien fondé de la théorie des auras 🔵⭕ J'ai d'ailleurs toujours aimé les histoires dans lesquelles les adolescents remettent en cause les fondements de la société 🏫



Enfin la révélation finale m'a beaucoup plus malgré la perte qu'elle engendre.



Pour conclure c'est un livre que je vous recommande car il se lit aisément, que les métaphores avec notre société sont présentes à foison et que les personnages sont très attachants !



Ce livre s'attache à démontrer l'obsolescence du manichéisme et son dépassement en s'intéressant à la singularité de chaque individu.



Une excellente lecture !

j’ai beaucoup aimé la lecture de ce roman qui m’a fait plonger dans un univers intéressant et assez riche, original. J’ai apprécié le fait qu’on mette le savoir sur un tel piédestal, et l’envie de Sophia de se battre pour ce dernier. Il s’agit d’ailleurs d’une héroïne intéressante à suivre, dont j’ai apprécié de suivre l’évolution. Théo me laisse une impression plus mitigée, car j’ai eu plus de mal avec son personnage et son caractère. Le monde proposé est agréable à découvrir, et j’ai aimé les réflexions qu’il apporte sur le savoir, la connaissance, la manière de gérer un pays, et sur l’éducation en général. C’est une bonne lecture, bien écrite et bien construite, même si je trouve la fin trop rapide. Je vous conseille donc la découverte de cette histoire, dont il n’y aura pas de suite puisque c’est un tome unique.
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😍Un nouveau roman très sympa paru chez Syros dans l'excellente collection "dans la peau" !

💬Intelligent, bien écrit, Une semaine dans la peau de mon frère permet de se mettre à la place de l'autre et d'aborder différents profils d'ados.

💬Kilian est en 6e, il est plus à l'aise sur un terrain de foot qu'en classe, son meilleur ami n'est pas dans le même collège que lui et plutôt qu'être seul, il traîne avec des ados qu'il n'apprécie pas plus que ça. A la maison, il est l'éternel "trop jeune" comparé à son frère Nolan, brillant élève de 3e, à qui tout semble réussir. Mais c'était sans compter sur un échange d'airpods qui entraînent un échange de corps...

🧐Et si finalement, chaque place avait ses avantages et ses inconvénients ?

😍Un roman qui se lit très bien, qui fait réfléchir à la place de chacun y compris dans la famille, à ce que l'on peut changer, et à l'image que l'on donne...

👉A proposer dès 10-11 ans, lorsque le collège devient un centre d'intérêt...
Lien : http://abrrracadabra.canalbl..

J'ai eu le plaisir de recevoir ce roman il y a quelques mois, après l'avoir gagné à un concours organisé Scrinéo. Je suis franchement ravie de ma lecture, ça été une excellente découverte !



Nadia Coste nous entraîne dans un monde aux décors inspirés de la Grèce antique, j'ai beaucoup aimé cette ambiance, rendue très visuelle et immersive par la plume de l'autrice !



Le récit nous est narré par une conteuse qui explique aux jeunes élèves l'histoire de leur pays. J'ai apprécié la construction du roman, alternant entre quelques passages de la conteuse et l'histoire de Sophia et Théo qui se déroule plusieurs années auparavant.



Je dois avouer qu'il a des petites lenteurs au début du roman mais je ne me suis pas ennuyée pour autant. L'intrigue est tellement prenante et passionnante que ça ne m'a pas dérangé et c'est pour moi un mal nécessaire pour poser correctement les bases de l'histoire ! Dès les premiers chapitres j'ai été prise par les mystères entourant la dyspnoïa, cette maladie étrange qui donne de l'originalité à l'histoire. Elle touche les élèves ayant passé leur examen, généralement les plus doués mais on ne sait pas comment ou pourquoi ces élèves en particulier. C'est très intriguant !



Ce roman parle d'amitié, de persévérance, d'éducation pour tous, de magie... J'ai totalement été séduite par ce one-shot !

Sophia aime lire et rêve d'intégrer l'école de Philopolis mais Théo sons meilleurs ami n'est pas rassuré et va décidé de la suivre. Autre énorme coup de cœur. J'ai l'impression de voyager dans la monde de la Grèce antique. Petite critique courte. Voilà

une jolie leçon d'humanité une fois de plus et un roman jeunesse qui se lit avec beaucoup de plaisir. C'est du jeunesse à partir de 10 ans donc ce n'est pas le genre de lectures que je conseillerais forcément, néanmoins même pour un adulte la découverte de ce roman est vraiment agréable et prenante.



Une semaine dans la peau de mon frère est à mettre entre toutes les mains, surtout dans les fratries sans aucun doute mais pas seulement. Nadia Coste et Sylène Edgar donnent vie à ces deux frères de façon réaliste et les rendent incroyablement attachants !



Lire la chronique complète sur le blog:
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Sophia et Théo vivent à Hiklion. Elle rêve de quitter la ville pour Philopolis, la Cité du savoir, là où l'on apprend à lire et la magie des mots. Lui craint pour son amie, car un mal frappe certaines personnes parties là-bas, la dyspnoÏa, une maladie mentale qui a touché son frère.

Lorsqu'elle va intégrer l'école et quitter son île, il va la suivre. Quels secrets recèle Philopolis?

J'ai beaucoup aimé l'idée de départ de ce roman. Savoir lire, la magie que peuvent apporter les mots. J'ai commencé ce roman pour découvrir cette magie, j'ai été happée par les mystères de cette île.

J'ai passé un très bon moment de lecture. J'ai beaucoup aimé l'intrigue et ce monde créé par Nadia Coste. Lire est, dans ce roman, associé à la magie que peuvent procurer les mots et c'est tellement vrai même dans notre monde. Même si l'on ne produit pas de brume bleue en lisant certains mots, la lecture est les mots ont leurs pouvoirs. De même, la maladie dyspnoÏa nous rappelle les dys qui ont des handicap pour la lecture notamment. Ces parallèles entre cet univers et notre réalité m'ont touchée.

L'intrigue en elle-même est également bien menée. Même si l'on se doute de certaines choses, je me suis laissée surprendre par cette histoire. J'ai apprécié les caractères de Sophia et Théo, volontaires, attachés à leurs principes mais prêts à tout pour sauver les autres. Une belle histoire d'amitié qui s'étire sur plusieurs années (le roman commence à leur enfance et se termine bien plus tard).

Une belle découverte

Encore un sympathique moment de lecture avec ce cinquième titre de la série "Dans la peau" (tous indépendants). Cette fois, ce sont les relations fraternelles qui sont abordées.

D'un côté on a Nolan le grand frère modèle, "le sale chouchou" avec ses bonnes notes, et de l'autre Kilian "le nul qui fait toujours tout moins bien", à part au foot. Quand les deux frères se retrouvent dans le corps de l'autre, "Kiki" compte bien "profiter de la situation".



Mais Kilian comprend rapidement que son aîné subit beaucoup de pression de la part de leurs parents et qu'il est sans cesse dans la peur d'être un mauvais fils. De son côté, Nolan réalise que son petit frère n'est pas très heureux car il "vit dans mon ombre, en cours et à la maison" ("Je suis tellement nul à côté de lui"). Pour pouvoir retrouver leur corps, ils vont devoir "commencer par vous entendre. L'inversion permet à l'autre de résoudre quelque chose. Il faut vous entraider".

Et c'est ce que les deux frères vont faire petit à petit. Unis par la mésaventure, ils vont réaliser que "ce n'est pas si désagréable d'être avec lui". Nolan va se charger de Nikos le macho vulgaire, et Kilian de l'histoire avec Louna. Chacun va en effet exprimer le ressenti de l'autre à sa place.



Au bout de la semaine, Nolan aura appris à relativiser et Kilian qu'il "vaut mieux que ça". "Notre échange de corps aura vraiment modifié notre relation" (et le regard des parents sur chacun de leur fils), et tout est bien qui finit bien!
Lien : https://www.takalirsa.fr/une..

Dans l'excellente série préférée de mon petit-fils (et de beaucoup d'autres aussi !) nous retrouvons le duo d'autrices de Vendredi dans la peau de ma prof. Un nouveau roman qui sera tout autant apprécié. (Moins de découvertes, car visiter la salle des profs était un grand moment du précédent, mais un sujet plus quotidien)

Les relations dans les fratries, ça concerne presque tout le monde, c'est émouvant, énervant, parfois exaspérant et parfois réconfortant !

Trois frères dans cette famille.

Nolan, en 3e, celui à qui tout semble réussir, qui bénéficie du statut d'aîné dans la famille. Le droit d'aller en vélo au collège, d'avoir une chambre pour lui tout seul ...

Kilian, 12 ans, une place centrale peu confortable. Toujours trop petit ou trop grand selon les cas. Qui termine sans enthousiasme sa 5e, ou plutôt qui réserve son enthousiasme pour le foot.

Et Tilio, le petit dernier : "C'est pas possible d'être aussi mignon et agaçant" dit son frère !

De l'amour et des disputes, une famille normale !



Quand soudain, un matin vers la fin de l'année scolaire...

Nolan et Kilian, suite à une farce bien innocente de Tilio, se retrouvent dans le corps de l'autre. Passé la (mauvaise) surprise, et la colère en accusant l'autre, il va falloir survivre, et gérer, en attendant de trouver la parade.

Bien entendu, ça tombe au plus mauvais moment, un match important pour l'un, des décisions délicates côté coeur pour l'autre.

Peu à peu, ils vont faire un pas vers l'autre, comprendre qu'aucune vie n'est idéale, et progresser pour mieux s'entendre.

Au-delà du côté fantastique de l'échange de corps, c'est surtout la vie quotidienne qui importe ici, et les collégiens se reconnaîtront dans beaucoup de détails.



Cette collection est vraiment exceptionnelle, car tout en se lisant comme de vrais romans d'aventure et d'humour, chaque volume est une jolie leçon de vie, et une belle aide pour les soucis du quotidien.



Un seul petit regret : J'aurais apprécié des polices de caractères différentes pour chaque frère. Même si des petits dessins signalent les passages d'un à l'autre.
Lien : https://livresjeunessejangel..

J'ai aimé le duo Sophia / Théo avec leur amitié indestructible.

Ils se soutiennent et se protègent quelles que soient les épreuves.



Du mal à rentrer dans l'histoire. Le premiers tiers est long mais nécessaire pour que l'histoire se mette en place. Ensuite viennent les actions et là la lecture devient plus addictive.



J'ai aimé le pouvoir que les diamants ont dans cette histoire.



Au vu de la couverture, je me suis imaginé une île grecque avec les bâtiments blancs et les toits bleus.



Un livre qui interroge : jusqu'où des hommes peuvent ils aller pour avoir le pouvoir....
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Que celui qui n’a jamais trouvé son frère (ou sa Soeur) exaspérant lève la main ? Kilian est en 5e, pro du foot et mauvais à l’école. Son grand frère Nolan est au contraire excellent élève etnul en sport. Mais un matin, horreur, ils se réveillent tous les deux dans le corps de l’autre. Et évidemment, cela va donner quelques situations bien rigolotes.

Mais ce roman, en plus d’être drôle, décrit assez finement les relations d’une fratrie, l’éducation pas toujours parfaitement équitable des parents et la difficulté à être perçu comme « un grand ». J’ai beaucoup aimé ce roman que j’ai trouvé très touchant.

Kilian 12 ans, est capitaine de son équipe de foot, sa passion et partage sa chambre avec son petit frère Tilio très attachant mais aussi trop collant. Kilian aimerait aller au collège à vélo et aménager les combles pour avoir sa propre chambre mais ses parents ne lui font pas assez confiance et pire que tout, le comparent sans cesse à son grand frère.



Comme Nolan est brillant à l’école, ses parents lui cèdent tout et cela exaspère Kilian. Un matin, l’impensable se produit et les 2 frères se retrouvent dans le corps de l’autre …



Même si le scénario d’échange de corps me semble assez classique en tant qu’adulte, je trouve ce roman jeunesse passionnant et exaltant pour un ado. J’ai apprécié cette lecture divertissante dans laquelle se succèdent les points de vue de Kilian et de Nolan.



Les deux frères que tout oppose, vont devoir s’entraider et apprendre à mieux se connaître. Cette complicité naissante est très touchante et aborde différentes thématiques très intéressantes, comme la naissance de sentiments amoureux, l’affirmation de soi, la confiance en soi, l’intimidation, le sexisme et le harcèlement.



J’ai beaucoup aimé la bienveillance et la sincérité dont font preuve les 2 frères. Les adolescents pourront aisément se projeter dans la diversité des situations proposées dans ce roman et y trouveront des clés et des solutions à leurs tracas quotidiens.
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