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Citations de Nalini Singh (340)


Et même s'il lui en coûtait de l'admettre, il n'y avait pas de danse nuptiale entre lui et Indigo, pas d'impulsion née du cœur sauvage de leur nature qui - à défaut d'autre chose - l'attirerait inexorablement vers lui et l'obligerait à lui prêter attention. Non, il ne pouvait compter que sur sa détermination à toute épreuve... et sur son cœur. Judd soupira.
— Ce n'est pas ton fort.
— Tu me donnes des conseils de séduction, toi ?
Andrew était abasourdi.
— Je suis en couple, lui signala Judd avec une froide arrogance qui masquait presque l'amusement dans sa voix. Toi, tu n'arrives même pas à mettre la femme que tu désires dans ton lit. J'écouterais si j'étais toi.
Andrew le gratifia d'un doigt d'honneur, mais son loup dressa les oreilles.
— Ouais, alors ?
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— On vivotait, on cherchait un lieu où s'établir depuis longtemps, et personne n'avait revendiqué les couloirs du vieux métro. (Un souffle de vent ébouriffa ses cheveux impeccablement coiffés.) Une chance que ce soit les félins qui nous aient trouvés. Vous autres loups auriez sans doute décidé que l'on aurait eu bon goût rôtis au tournebroche au-dessus d'un feu de camp.
— Aucun loup qui se respecte ne mangerait un rongeur... même si on aurait peut-être pu se servir de vos dents comme de décorations, dit Andrew sans perdre son sérieux.
Teijan émit un sifflement peu caractéristique pour un rat.
— Pourquoi est-ce que je me don ne la peine de te parler ?
— Hawke pense que je te donne du fromage. (Il sortit de sa poche une petite tranche emballée dans du papier aluminium.) Tiens.
— Va te faire foutre. (Mais le chef des Rats riait.) Pourquoi voulais-tu qu'on se voie ?
Fourrant les mains dans les poches de sa veste, Andrew laissa le vent imprégné de sel lui caresser le visage.
— Je voulais savoir si tu avais des nouvelles à me communiquer.
DarkRiver envoyait toujours une copie des rapports aux SnowDancer conformément aux termes de leur alliance, mais Teijan avait souvent des bribes d'informations sur le feu qu'il ne mentionnait pas dans les rapports avant d'avoir tout confirmé.
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Andrew partageait son avis.
— Félicitations, au fait, dit-il, estimant qu'il serait bête de ne pas en parler puisqu'il avait deviné.
Ria rayonnait.
— Je ne me doutais pas que des changelings étrangers à la meute remarqueraient.
— La plupart ne remarqueront pas, dit Indigo sur un ton narquois, tout en tendant la main pour la poser sur celle de Ria. Mais Drew a consacré sa vie entière à l'étude du corps féminin.
Emmett partit d'un rire et déposa un baiser sur la tempe de sa compagne.
— Raconte-leur ce que Lucas a dit quand il s'en est aperçu.
— Vous savez que je suis l'assistante administrative de Luc, n'est-ce pas ? (Ria attendit qu'ils hochent la tête pour poursuivre.) Quand il s'est rendu compte que j'étais enceinte, il m'a passé un savon.
Andrew cligna des yeux.
— Tu es sérieuse ?
Les félins adoraient les enfants autant que les SnowDancer. Il n'imaginait pas que le chef des léopards ait pu être contrarié par un tel événement.
— Eh oui. Il m'a demandé ce qu'il allait devenir quand je prendrais un congé maternité. (Ria attendit une seconde avant de leur révéler le dénouement de l'histoire.) Puis il m'a dit de mettre les pieds sur la table et ne m'a même plus laissée tenir une agrafeuse, jusqu'à ce que je menace de lui donner un coup sur la tête avec.
Indigo éclata de rire.
— Combien de fois t'a-t-elle menacé depuis que tu sais ? demanda-t-elle à Emmett.
— Juste une vingtaine, répondit-il en se fendant d'un lent sourire.
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— Si les meutes changelings sont parvenues à conserver leur identité intacte et à ne pas finir aspirées par la machine Psi, c’est parce qu’on n’accueille pas n’importe qui parmi nous, dit Riley avec sa mesure habituelle.
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Lara haussa un sourcil, interloquée.
— Sors-tu avec quelqu’un en ce moment ?
Elle s’immobilisa.
— Non.
Sa réponse resta suspendue dans l’air.
— Je veux ces droits, Lara.
Walker se rendit soudain compte que si elle disait « non », il ne se retirerait pas comme un homme civilisé.
À la brusque inspiration qu’elle prit, il vit qu’elle avait saisi l’allusion.
— Tu as déjà l’essentiel de ces droits en tant qu’ami. Qu’est-ce que ça changerait ?
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Judd repensa à tout ce qu’ils avaient entrepris et accompli ensemble, puis réfléchit à ce que ça leur avait coûté.
— Comment est ton statut mental ?
C’était une question qu’il ne lui avait jamais posée de façon aussi directe, mais les temps avaient changé.
— Sain, répondit-il avec concision.
Même si la folie est une question d’interprétation.
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Il approcha les lèvres de son oreille et murmura :
— Chérie, tu sais que je t’aime, mais il faut que tu sortes Luc d’ici avant qu’il perde la tête.
Sascha se figea et le dévisagea. En un éclair, ses yeux virèrent au noir absolu.
— Mince, chuchota-t-elle. Comment est-ce que ça a pu m’échapper ?
— Sans doute parce que tu en es à ton neuvième mois et demi de grossesse.
Levant les yeux au ciel, elle se pencha et déposa un baiser sur sa joue.
Lucas émit un grondement audible.
— Lucas, dit Sascha au même moment. Je ne me sens pas vraiment bien.
Le chef de DarkRiver recula sa chaise et sortit Sascha de la pièce si vite qu’Anthony et Nikita en restèrent pantois.
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— J’aimerais vous présenter mademoiselle Nadiya Shayla Hunter, dit Lucas avec un sourire empreint d’une féroce tendresse.
Dorian se pencha au-dessus du bébé.
— Je peux la tenir ?
— Ne flirte pas, dit Lucas en tendant le bébé à la sentinelle blonde, qui se retrouva aussitôt entourée de sa compagne et de celles des autres hommes.
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Certains Psis parvenaient même à simuler un charme glacial ; le Conseiller Kaleb Krychek comptait un nombre étonnant d’admiratrices chez les autres espèces. Sophia n’arrivait pas à comprendre pourquoi. Oui, d’un point de vue esthétique, il était le parfait exemple d’une beauté froide et masculine. Mais elle ne doutait pas qu’il fut également capable de briser la nuque de ses admiratrices sans hésiter une seconde si la situation l’exigeait
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- Gabriel, c'était...
- ... déplacé, compléta-t-il en souriant lentement, tout en elle le comblant de bonheur. Vous êtes au courant que je compte faire bien pire, quand même?
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- Vous n'avez pas l'impression de vous emballer?
- Si vous saviez, mademoiselle Baird.
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Un ravissant petit lot. Dommage qu'elle soit terrifiée à sa simple vue.
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Chapitre 1 : Charlie la Souris rencontre T-Rex et... surprise !
" Non. Il s'agissait juste de dossiers tombés par terre, ou de la climatisation qui, en se déclenchant, aurait fait claquer une porte, ou...
Charlotte hurla en voyant un homme - un colosse ! - surgir de la salle des archives et jeta l'agrafeuse de toutes ses forces dans sa direction.
L'homme l'attrapa au vol, contempla un instant de ses yeux gris acier le projectile, puis Charlotte. Il arqua un sourcil.
- Vous devriez répondre.
...
Sur ces mots, l'homme à la chevelure de jais et d'une désarmante décontraction fit un pas en direction de Charlotte et lui tendit l'agrafeuse.
- Peut-être en aurez-vous besoin, mademoiselle... ?
- Baird, croassa Charlotte avant de s’éclaircir la voix d'un raclement de gorge. Charlotte Baird."
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Chapitre 7 : La fameuse «clause de l'esclavage»
" - Trouvé, annonça Gabriel. J'ai besoin de vous au bureau immédiatement.
- Pourquoi ?
Toujours plus facile de jouer le résistante au téléphone.
Gabriel émit un grognement - un vrai - à l'autre bout de la la ligne.
- Parce que vous êtes ma foutue assistante !
- Je n'ai pas vu de clause d'esclavage dans mon contrat, répliqua Charlotte sans savoir d'où cette idée lui venait. Et je n'ai pas déjeuné. je prends ma pause.
...
Sauf que le premier e-mail était signé de Gabriel Bishop et indiquait «Avenant à votre contrat de travail» en objet.
Le cœur bondissant, prête à recevoir en plaine figure les sanctions infligées par son patron pour mauvaise conduite, elle cliqua... et éclata de rire. La main posée sur la bouche pour faire moins de bruit, elle pivota vers la porte fermée de Gabriel. Ce mec était vraiment mortel.
Se tournant à nouveau vers l'écran, elle relut l'e-mail.

Chère mademoiselle Baird,
À compter de ce jour, votre contrat comporte une clause d'esclavage. Cette dernière stipule qu'en aucun cas vous ne devez manger, dormir, prendre une pause ou réserver une chambre d'hôtel avec le dénommé Hernie.
Cordialement,
Gabriel Bishop

Elle cliqua sur «Répondre», tapa sa réponse et l'envoya avant de pouvoir changer d'avis."
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— Tu as dit que je devais te faire confiance, lui rappela-t-elle avec douceur, la tête penchée, la masse sombre et bouclée de sa chevelure devant les yeux de Fox.
— Oui, tu le dois, répondit-il d’un ton plus autoritaire qu’il n’aurait voulu. Mais tant que tu ne le feras pas, je préférerais que tu me poses des questions.
Aussi longtemps qu’elle viendrait à lui, il pourrait supporter n’importe quoi. Tout ce qu’il voulait, c’était une chance de se battre pour la garder.
— On est d’accord là-dessus ?
Elle hocha la tête tandis que ses doigts jouaient avec les pans de sa veste.
— Molly ?
Elle le fixa de ses grands yeux limpides, sans ciller.
— Je demanderai toujours, dit-elle. Cela ne me ressemble pas de me taire. Surtout pour ce genre de choses. J’essaierai de me comporter en adulte, mais je ne peux pas te promettre de ne pas crier et hurler.
— Là, je reconnais ma Molly, chuchota Fox dans un sourire qui creusa sa fossette et éclaira son regard. 
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Quand Fox lui avait envoyé un texto la veille au soir pour lui dire qu’il était de sortie avec ses camarades pour fêter l’anniversaire d’Abe et qu’elle lui manquait, elle aurait pu saisir cette occasion pour prendre de la distance, se protéger. Au lieu de quoi, elle avait poussé un soupir tremblant et lui avait dit ce qu’elle avait sur le cœur. Toi aussi, tu me manques.
L’échange de messages tendres et sulfureux qui s’était ensuivi avait fait fleurir sur les lèvres de Molly un sourire idiot, surtout quand Fox avait conclu ainsi : Abe a prétendu que tu me menais par le bout du nez. Je lui ai répondu qu’il n’était qu’un crétin jaloux, et il l’a reconnu. Maintenant, il veut une Molly, lui aussi. 
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— Comment suis-je supposé trouver ma compagne si je traîne une autre femme avec moi ? demanda-t-il avec un accent encore trop guttural.
— Tu as survécu six cents ans sans compagnes, rétorqua Raphael, une touche d'amusement dans la voix. Pourquoi soudain une telle impatience ?
— Parce que le moment est venu.
Naasir vivait au rythme de son sang et de son âme. et ce rythme poursuivait désormais un seul but.
— Est-ce que cette érudite est sauvage et intéressante ? demanda-t-il, plein d'espoir.
Tout comme Raphael, il ne jugeait pas les gens selon leur ascendance, mais seulement sur leurs actes.
— Pas selon ta définition. Il semblerait qu'elle ait fait vœu de chasteté.
Naasir grogna.
— Je crois que je ferais mieux de me jeter de l'immeuble pour atterrir en pleine circulation. Cela serait moins douloureux qu'une telle torture.
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Quand elle put de nouveau consulter son smartphone, elle vit que David lui avait envoyé un nouveau message. La fleur rouge me fait penser à toi. Elle est si incroyablement sensuelle…
Théa s’approcha du bouquet pour faire courir son doigt sur l’un des boutons aux nuances de braise. Il était sublime, avec ses pétales de velours qui s’incurvaient légèrement vers l’extérieur, à partir d’un cœur doré qui cachait en son centre un opulent noyau couleur crème. Dans un soupir, elle retira la fleur du bouquet afin de la couper pour la glisser derrière son oreille.
— Aïe !
Baissant les yeux, elle vit une goutte de sang sur sa peau. Cette belle plante était hérissée, tout le long de sa tige, de minuscules épines vertes !
Théa fut secouée d’un éclat de rire. David avait dû donner des instructions spéciales au fleuriste pour qu’il n’ôte pas les épines, car sinon, celui-ci l’aurait évidemment fait.
— Message reçu, David, murmura-t-elle. Un point pour toi.
Avec un compagnon capable de voir de la beauté dans ses épines, elle pourrait sans doute faire un bout de chemin… 
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Quand tu as été profondément blessée, plus longtemps tu gardes ton chagrin en toi, plus il grandit, jusqu’à ce qu’il essaie de dévorer ton âme.
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La vie pouvait blesser, laisser des marques et des cicatrices indélébiles, mais elle était faite pour être vécue.
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