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Critiques de Natsuo Kirino (155)
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Out

Ce triller fascinant met en avant la force des femmes bafouées par le système du Japon figé dans les règles ancestrales de hiérarchie et de soumission. Trois ou quatre dames sont forcées à s'organiser pour défendre leur situation déjà pas enviable et elles y arrivent! Avec les moyens du bord, elles luttent pour leur dignité, mais voici qu'une enquête policière s'ouvre et nous nous retrouvons dans "crimes et indices". L'issue n'est pas moins surprenante que tout ce qui précède. A lire dans son ensemble l'oeuvre de Madame Natsuo Kirino.
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Out

Out (1997) est un thriller de Matsuo Kirino, Grand prix du roman policier au Japon. Kuniko, Masako, Yayoi et Yoshié travaillent de nuit dans une usine de confection alimentaire. Leur vie familiale est désastreuse. Quand l'une d'elle tue son mari, leur solidarité va les mener au bout de l'enfer. Un roman violent et très prenant, remarquablement orchestré.
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Out

Un roman noir, très noir dans une banlieue qui ressemble à toutes les autres.

Quatre femmes travaillent de nuit dans une usine de panier-repas de Tokyo. Cela peut paraitre surprenant mais c'est un choix. Qu'ont-elles en commun à par cet emploi?

Elles ont toutes des situations familiales chaotiques. Commençons tout d'abord par Masako qui est la vieille, la chef du groupe en quelques sorte. Son mari semble souffrir de dépression, son fils refuse de parler ... Ils partagent donc un toit.

Yoshie elle est seule : son mari parti, il lui reste la charge de sa belle-mère grabataire et de sa fille adolescente.

Kuniko se dispute avec son amant, qui part, la laissant seule avec leurs dettes.

Et enfin, Yayoi : en apparence tout va bien. Deux enfants, un mari qui a un emploi, une maison, ...

Mais Yayoi découvre qu'il a dilapidé leurs économies, il la frappe et il courtise une "escort" ... elle finit par le tuer. Son premier réflexe est de se tourner vers Masako. Que faire?

Le destin des quatre femmes est maintenant lié et entre problèmes d'argent, de famille, d'amour et de fréquentations dangereuses, leur vie devient de plus en plus noire.

J'ai beaucoup aimé ce polar, à la fois très bien construit et très sombre, mais aussi teinté d'une forte critique de la société japonaise et de la place des femmes.

Je vous le conseille vivement!
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Le vrai monde

Après le succès mérité de Out, encore une réussite de Natsuo Kirino. On reste dans le milieu ordinaire des japonais ordinaires. Même pas de yakuza, cette-fois-ci! Après les femmes, les adolescents. Les adolescentes, surtout.



Prétexte de l'histoire: il a dix-sept ans, il est en cavale, car il vient de tuer sa mère. Il a subtilisé le portable d'une fille, et le voilà en conversation avec celle-ci et ses copines. La construction est classique, chacune prend la parole à tour de rôle. Jusqu'au final, à la Bonnie and Clyde.... mais dès les premières pages, le lecteur devine déjà que l'histoire ne va pas bien finir.



En parallèle, on découvre la fascination de ces filles - et de toute la société - pour un meurtrier. Chacune d'entre elles réagira différemment, ce qui fait une des forces du roman. Une peinture glaçante de la société japonaise d'aujourd'hui, avec une étude psychologique de la mentalité adolescente qui fait mouche. Le tout sur fond de pression sociale: les cours supplémentaires pendant les vacances, la course pour rentrer dans un lycée ou une université prestigieuse.



Le thème central du livre est évidemment l'incompréhension, un sentiment auquel les adolescents sont particulièrement sensibles. La fausse amitié qui lie les quatre filles ne leur permet pas de se livrer entièrement, chacune dissimule sa part de secret et ses hontes, qu'elle a peur d'avouer ou de voir découvertes. Leurs relations avec leurs parents respectifs ne sont pas non plus une solution: ils sont les premiers à ne pas comprendre leurs propres enfants... La morale est implacable: on ne peut avoir confiance en personne.
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Out

Nous suivons quatre femmes, toutes un peu esquintées par la vie, par les hommes. Elles travaillent à la chaîne dans une usine qui confectionne des bentos. Elles sont las, pas estimées par leur famille, par leur patron. Chaque chapitre est consacré à l'une de ses femmes (et d'autres personnages qui débarquent petit à petit). Un soir, l'une d'elle tue son mari. Par son action, tout le groupe va se retrouver lié à son geste.



Out est un thriller d'une qualité remarquable, la manière dont l'autrice présente ses personnages, installe l'intrigue petit à petit, fait monter la tension et soudain, tout s'enchaîne, on a l'impression d'avoir basculé dans un cauchemar, que toutes nos notions de bien et de mal se confondent. Ce roman est captivant, addictif, effrayant et c'est un pavé que l'on savoure !
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Monstrueux

Monstrueux? Oui sans doute, mais cruel.le.s surtout.

Première rencontre avec cette auteure et c'est le coup de foudre.

Une immersion totale dans les pensées de tous les protagonistes, leurs moindres faits et gestes passés à la loupe.

Ici rien n'est laissé au hasard. La société japonaise crée des monstres dont chacun se nourrit en fonction des ses besoins. Personne n'est épargné, et la loi du plus fort(riche?) est de vigueur. Une société basée, non pas sur le mérite, mais sur la position hiérarchique, l'héritage, l'apparence.

Rien de bien nouveau vous me direz sauf qu' ici cynisme, cruauté et plaisir

ne font qu'un.

Un vrai plaisir de lecture sur 700 pages. Dense, intense, violent et féroces, c e roman ne vous laissera pas indifférent.

Bonne lecture.
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Out

Roman noir très efficace et écrit avec minutie, on est mis dans le bain très rapidement et l'empathie envers Masako est immédiate malgré l'horreur de la situation entourant le groupe d'amies/collègues.

Le rythme est vraiment réussi, les rebondissements sont bien répartis dans l'intrigue.

La fin est surprenante et assez nihiliste.
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Out

Est-ce vraiment un thriller? À part le dénouement, aucune scène ne fait vraiment angoisser le lecteur. On se prend tour à tour de pitié et d'agacement pour chacune de ces femmes, cette 'bande des quatre', devenues complices un peu par hasard, et qui vont se retrouver mécaniquement embringuées dans une aventure aussi savoureuse qu'implacable.



Est-ce typiquement japonais? Des femmes exploitées dans de petits boulots pénibles et malheureuses au foyer, cela existe partout. Des surendettées, également. Que l'on (sur)vive dans une des interminables banlieues de Tokyo, Paris ou Los Angeles, entre parkings de supermarchés, usines désaffectées, HLM tristes, petites maisons délabrées et terrains vagues, quelle est la différence? Bon, évidemment, ici, quand on ne paie pas ses dettes, un yakuza débarque... ça met du wasabi dans le bento.



Sur un excellent scénario, le plus réussi dans le roman est la manière dont Natsuo Kirino nous fait nous plonger dans la psychologie de chacun de ses personnages. Sans jamais prendre parti, sans les rendre jamais ni sympathiques, ni détestables, ni faibles, ni fortes. Normales, quoi! Aucun, aucune, n'est entièrement blanc ou noir. Parfois, elles nous font rire. Parfois, elles nous désolent, mais on a l'impression de mieux les cerner, de partager une partie de leurs angoisses et de leurs - rares - moments de joie. C'est un peu "hygiène de l'assassin", mais cette version ferait presque passer Amélie Nothomb pour Béatrix Potter...
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Monstrueux

Monstrueux, catalogué comme thriller par un service marketing en mal d'inspiration, est certainement un roman, noir et psychologique. Thriller? mwouais, bof.

Deux prostituées sont assassinées à quelques mois d'intervalle. Le suspect est un immigré chinois. Partant de là, l'auteure va nous raconter l'histoire des principaux protagonistes en remontant jusqu'à l'enfance. Tantôt sous la forme d'un journal intime, sous la forme d'un témoignage de justice, etc et avec comme fil rouge, la belle Yuriko, tellement belle, qu'elle en est monstrueuse. Mais monstrueux, tous les personnages le sont. Ils mentent aussi, alors difficile pour le lecteur de faire la part des choses.

Un roman assez complexe, un peu lourd et long et si à la fin, vous attendez des réponses à toutes vos questions, vous serez déçus.

Un point que j'ai particulièrement aimé est la description des écoles élitistes japonaises et les différences de classes sociales dont il semble impossible de s'échapper. Si c'est vrai un peu partout dans le monde, c'est particulièrement marqué au Japon.

Un roman difficile à résumer et à aborder et trop dense à mon goût.
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Intrusion

J’ai toujours aimé les histoires construites comme des poupées gigognes, alors le résumé d’un livre sur un écrivain en train d’écrire un livre sur le personnage principal du livre d’un écrivain décédé avait déjà tout pour me plaire.

En plus de sa construction spécifique, le sujet et son traitement semblent se démultiplier. Intrusion se présente d’abord comme une enquête mais se transforme progressivement en une quête : celle qu'une femme écrivain mène sur l’écriture et le rapport entre fiction et réalité, et qui la conduit à s'interroger sur sa vision de l'amour en se remémorant son histoire avec son ancien éditeur, passant de la passion à la lente désagrégation.

Le seul point négatif du livre est la distance que l’auteur met entre nous et les personnages, et il faut plusieurs chapitres pour s’attacher à l’héroïne.
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Out

J’ai terminé ce roman il y a quelques heures maintenant et la seule chose qui me vient en tête c’est ohhh mon Dieu.



Il est très rare que je dise quelque chose du genre, mais le roman était super jusqu’à la fin. Franchement, je ne comprends pas. Je ne comprends pas comment une femme peut écrire ça. Oui, le roman date un peu, mais ce n’est clairement pas une raison.



Et puis ça a fait flop. je ne sais pas par contre si je me laisserais tenter par un autre roman de cette autrice.
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Disparitions

Bien qu’estampillé "thriller", "Disparitions" est davantage un roman psychologique qu’à suspense. Et j’ai aimé le fait d’être surprise par les chemins inattendus que Nastuo Kirino fait prendre à son intrigue, dont l’ossature est finalement minimale : lors d’un séjour des Morikawi dans la résidence secondaire que Yôhei Ishiyama, leur hôte, a acquise entre autres pour y abriter ses amours clandestines avec Kasumi Morikawi, leur fille aînée Yuka, cinq ans, disparaît inexplicablement. Il a suffi de cinq minutes d’inattention pour que l’enfant, littéralement, se volatilise. Aucun véhicule n’aurait pu passer inaperçu des rares habitants de ce lotissement isolé en pleine montagne ; or, personne n’a rien vu, rien entendu. Et malgré les recherches, la fillette reste introuvable (et ne vous fiez pas à la quatrième de couverture qui indique, à tort, que son cadavre est repêché dans l’océan, …).

Avant le drame, le roman s’attarde sur la passion dévorante qui unit Kasumi à Ishiyama, tous deux mariés et parents de deux enfants, dont la liaison est arrivée à un point de bascule, le couple s’apprêtant à franchir le pas d’une séparation avec leurs conjoints respectifs, projet que rompt brutalement la disparition de la fille de Kasumi. A renforts d’incursions dans le passé de cette dernière, la première partie du roman est aussi l’occasion de faire connaissance avec celle qui en est le personnage central. Une héroïne complexe, auréolée d’une part de mystère, elle-même au cœur d’une autre disparition, celle-ci volontaire. A dix-huit ans, Kasumi a fugué, fuyant son morne petit village de l’île d’Hokkaïdo, rejetant ses origines modestes et villageoises pour le rêve d’une vie citadine de richesse, de désinvolture et d’élégance. Elle a alors définitivement rompu tout lien avec ses parents, refusant même de prendre de leurs nouvelles, de crainte d’être retrouvée. La vie à Tokyo n’a toutefois pas répondu à ses attentes : bien qu’à peu près confortable, elle est loin du pétillement qu’elle imaginait. Mais Kasumi a gardé cette détermination et cette aura énigmatique qui l’a toujours rendue différente, cette part d’insondable mystère qui fait que son amant la compare à un animal sauvage qu’on peut éventuellement approcher et séduire, mais jamais vraiment comprendre.



A partir du drame, survenu dans la région d’où Kasumi est originaire, coïncidence qui la perturbe, nous suivons la dérive de cette mère rongée par la culpabilité (n’était-elle pas prête à abandonner ses filles pour vivre avec son amant ?), incapable de faire son deuil. Quatre ans après la disparition irrésolue de Yuka, elle continue d’entretenir un espoir insensé, se livrant à chaque date anniversaire du drame à de pathétiques recherches, s’enfermant dans une obsession tyrannique et morbide aux dépens du reste de sa vie et de ses proches, notamment de sa deuxième fille, réduite au rôle de sœur de la disparue.



Sa rencontre avec un policier qu’une très grave maladie à l’issue proche et fatale a contraint à quitter ses fonctions est à l’origine d’un improbable duo que nous suivons dans la seconde partie du roman. Utsumi est un cynique à l’ambition dévorante, un flagorneur dénué de tout principe, qui combattait le crime non par conviction ou par sens de la justice, mais pour en tirer profit, se faire valoir. Un reportage télévisé l’a incité à consacrer ses derniers mois à la recherche de Yuka, mais ses motivations sont confuses, et obscures. On devine que trouver un suspect ou la fillette ne l’intéresse pas tant que de percer, comme l’on se distraie en cherchant à résoudre une énigme, le secret que semble abriter Kasumi. Cette dernière n’est d’ailleurs pas plus certaine non plus des raisons qui lui font accepter la présence d’Utsumi, dont la perspective de la mort proche la fascine. Ces deux -là n’ont a priori rien en commun, ni aucune compréhension à attendre l’un de l’autre. Chacun est replié sur ses plaies, focalisé sur ses propres motivations. Ce qui les réunit est finalement ce qui les distingue des autres, un rapport au temps que les tragédies qu’ils ont subies ont déterminé, Kasumi dans une sorte d’éternel et cauchemardesque présent, celui de la disparition, qui a bloqué l’horloge dont la parentalité impulse le rythme, et Utsumi pris dans un compte à rebours inéluctable, mais comme marquant un temps d’arrêt face à l’invincible réalité de sa fin prochaine.



Un roman riche et prenant, qui décortique les répercussions dévastatrices de la perte, et qui ne doit pas tant sa dimension énigmatique à une intrigue policière quasi inexistante qu'aux mystères qui se nichent dans la complexité et la singularité des êtres.




Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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Out

Un roman qui a remporté le Grand Prix du policier au Japon, pourtant je le rangerai plutôt dans la catégorie roman noir sociétal.



Et le roman noir, ce n’est pas forcément ma tasse de thé. Pourtant, même si cela n’a pas été un coup de foudre, c’est une lecture que j’ai appréciée.



La construction, qui nous place d’emblée dans les baskets des coupables, est originale. L’intrigue est dépaysante et j’ai apprécié la description sans concession d’une société japonaise assez dure et qui accorde peu de considération aux femmes, ainsi que le personnage de Masako dont la psychologie s’enrichit tout le long du roman.



Côté rythme, c’est très lent mais avec un je ne sais quoi d’hypnotique. Malgré cela, le tout se lit facilement.





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Intrusion

Tamaki est une jeune romancière d'une trentaine d'années, qui a vécu une intense histoire d'amour avec son éditeur, Seiji. La fin de leur histoire fut douloureuse et Tamaki se plonge dans le travail, notamment pour écrire son nouveau roman, une enquête littéraire sur un auteur de best-sellers.



Natsuo Kirino, née en 1951 à Kanazawa, est l'auteur d'une dizaine de romans policiers littéraires qui l'ont fait remarquer comme un des talents les plus prometteurs de sa génération. "Intrusion" nous emmène sur les pas d'une jeune romancière menant une enquête littéraire au coeur du Tokyo d'aujourd'hui et qui va du même coup se retrouver elle même dans cette quête. Bref une belle mise en abîme à découvrir.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Le vrai monde

Nous sommes plus sur une étude de mœurs de la jeunesse tokyoïte désenchantée qu'un thriller. Le moins que l'on puisse écrire, c'est d'espérer que la majorité des ados japonais ne sont pas aussi perdus que ces 5 héros.

Car ceux-ci sont déjà bien désabusés par la société nipponne et surtout par le cercle parental rempli de non-dits, de lâcheté, mensonges et autres violences sous-jacentes.

Cet univers familial, paradoxalement, n'est guère éloigné de leur univers amical où, là aussi, aucune des protagonistes, tout comme leurs parents, ne jouent franc-jeu les unes envers les autres. Ainsi, comme bien souvent, ce que l'on reproche aux autres n'est que le reflet de nos propres errements et erreurs.

Je reste sur ma fin, m'attendant à un livre plus axé sur l'enquête dont il est totalement dépourvue et j'avoue que je commence à me faire vieux pour lire les états d'âmes d'ado aux comportements parfois incompréhensibles et souvent irritants.

Au final, plus de 200 pages d'étude psy sous couvert d'un meurtre ça fait un peu longuet.

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Intrusion

Un roman extrêmement bien mené qui traite de deux histoires, l’une réelle et l’autre en apparence fictive, qui ne sont pourtant pas si différentes l’une de l’autre…
Lien : https://comaujapon.wordpress..
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Disparitions

Un ouvrage bien mené sur une disparition, beaucoup de subtilité.
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Out

"Quatre femmes aux destins domestiques pourris travaillent la nuit dans une usine de paniers-repas. Masako vit seule avec son mari et son fils, tous deux pareillement repliés sur eux-même et indifférents à elle. Tous deux sont en échec social et ne se confient pas. Kuniko, la plus futile, vit dans un appartement minuscule avec un homme qu’elle trouve minable et voudrait désespérément s’en sortir, elle ne cesse de s’endetter pour avoir l’impression d’être à l’aise. Yoshié, la plus vieille et la plus compétente, est tyrannisée à la fois par sa belle-mère grabataire et par sa fille adolescente. Yayoi, la plus sentimentale, est tabassée par son mari violent qui dilapide tout leur argent. Quoique ne se ressemblant pas du tout, les quatre femmes sont unies à l’usine et se confient les unes aux autres. Elles ont en commun de ne pas compter dans la société japonaise, d’être totalement négligées, invisibles."

Lonnie (Extrait) pour Double Marge
Lien : https://doublemarge.com/out-..
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L'île de Tôkyô

Vraiment je ne sais pas quoi penser de ce roman terriblement bizarre mais très bien écrit
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Out

Je cherchais un livre qui ne laisse pas place a l'ennuie .. je suis tomber dessus par hasard et franchement ce livre un bon pavé quand même, m'a tenue en haleine du début à la fin. J'ai surtout aimé le style d'écriture et la psychologie des personnages c'était passionnant par contre voilà le hic c'est que c'était assez glauque et la fin ma un peu dérouter comme souvent dans les romans japonais je doit dire..

C'était une bonne lecture mais je ne pense pas retenter l'expérience sur un même genre de livre.

Si vous avez l'esprit et le coeur bien attacher alors allez y franchement ! Mais si vous êtes sensible et que vous avez plutôt besoin de positivité.. eh bien passée votre chemin ! :D
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