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Critiques de Olivia Jones (128)
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Il y a toujours un piano quelque part

Roman, conte, pièce de théâtre, série à épisodes… c’est un peu tout cela que nous offre Olivia Jones à travers son joli roman. J’ai pensé à L’Immeuble Yacoubian de Alaa El Aswany, à la série Desesperate Housewives… On parle couple, amours déçus, désillusions, mais aussi décoration, peinture, mode, robes de mariée, poubelles qui valsent, chats perdus, viande saignante et plats cuisinés au fumet délicieux…

Un immeuble, c’est une unité de vie, un lieu où se côtoient des personnes, chacune avec ses rêves, ses aspirations, ses déceptions… Chacun peut décider de vivre uniquement derrière sa porte et de ne jamais croiser le pas de ses voisins… ou bien il peut choisir de toquer à la porte d’en face, de lancer une invitation, de rendre un petit service, de prêter son talent… et alors, toute sa vie, et celle de l’autre, peut en être chamboulée.

Et, c’est vrai, peut-être faut-il parfois juste un petit coup de pouce pour que le destin de chacun en soit changé à jamais. Cela étant, n’est-ce pas à chacun d’entre nous de se donner son propre petit coup de pouce pour oser changer de vie… pour oser trouver le bonheur.

Car au fond, c’est cela le message de l’auteure. Avec beaucoup d’humour, de bon sens, de sensibilité (d’hypersensibilité), de romantisme (beaucoup aussi), d’inventivité également, elle nous rappelle qu’on peut changer de vie. Non, il n’est pas de situation désespérée --- Bon, j’exagère un peu, je ne vous parlerais pas d’une certaine concierge ---. Encore faut-il y croire, encore faut-il le vouloir. Merci Olivia Jones.

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Un parfum de lavande et de sang

J'ai bien aimé ce polar. L'écriture n'est pas flamboyante, l'intrigue n'est pas époustouflante et un peu cousue de fil blanc.. mais ça a fonctionné pour moi. J'avais sûrement besoin d'une lecture sans prise de tête. Juste le plaisir de suivre une enquête, un peu d'amour, un peu de suspense et une pincée de violence. Et qu'importe qu'on déroule rapidement les ficelles de l'intrigue ( à défaut de tricot), j'ai passé un agréable moment.

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Mes nuits sans elle

C'est le quatrième roman de l'auteure que je lis, quatre histoires différentes, mais toujours cette même plume agréable à lire. L'histoire débute avec l'installation des parents d'une jeune fille disparue près du domicile de ses meurtriers. Deux futures mamans qui s'affrontent, des secrets, des remords et l'angoisse de perdre pied, font de ce roman une très agréable lecture. Prise par l'intrigue, j'avoue l'avoir lu très rapidement et apprécié le twist final. Olivia jones nous roule dans la farine!
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Blue Kashmir, tome 1 : Valentina

Avis : ADDICTIF

La pincée de surnaturel qu’Olivia Jones met dans certains de ses romans m’avait un peu surprise dans le premier lu mais je dois avouer que je m’y suis habituée avec bonheur. Et heureusement car dans le tome 1 de Blue Kashmir, même si c’est plus discret que dans le tome 2, cela a toute son importance.

Valentina a perdu brutalement son père ; elle a été obligée, avec son frère, d’assurer la direction de la bijouterie Beauchamp spécialisée dans la haute joaillerie. Quand Marc lui propose d’acheter une fabuleuse pierre connue sous le nom de Blue Kashmir, elle n’hésite pas tout en connaissant toutes les légendes associées à cette pierre. Mais a-t-elle conscience de la révolution qu’elle va connaître alors qu’elle n’aspirait qu’à la paix après des événements tragiques qu’elle surmontait avec peine. Et moi, étais-je prête à voyager des montagnes du Cachemire à Paris, sans temps morts, entre bonheurs familiaux et secrets honteux ?

J’ai dit que cette lecture était addictive car les nombreux personnages sont attachants — pour la plupart, car il y a des meurtriers, et les rebondissements des actions sont permanents. Rien ne s’installe, tout se bouleverse en un instant et la pierre précieuse n’est pas la dernière à susciter envies et drames. La trame faite de bijoux, de bons et nobles sentiments, de jeunes patrons beaux et riches, de relations amoureuses compliquées, est suffisamment solide pour que les émotions puissent nous prendre au détour d’une ligne et nous laisser une larme au coin de l’œil. Car l’auteure a ce talent de nous emporter un peu malgré nous, certains d’être dans une jolie fiction, et nous laissant néanmoins cueillir par des dialogues de la vraie vie. Le mariage est magique.

L’aventure commence dès le prologue au cours duquel un homme va être guidé pour trouver la pierre qu’il doit rapporter pour sauver sa femme mourante. Le paranormal s’installe gentiment. Aussitôt après, on bascule dans le drame avec une jeune fille fauchée par une voiture. Je ne vous en dis pas plus, vous l’avez compris, cela ira de Charybde en Scylla. Je vous conseille de vous laisser tenter.

Je remercie Olivia de m’avoir fait découvrir Blue Kashmir, Valentina et je ne vous cache pas que le Tome 2 est déjà lu.


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Mes nuits sans elle

Pour lire tous les livres de cette auteure dès qu’ils sont publiés, je ne pouvais que dévorer celui-ci également. J’y ai retrouve la plume alerte et mystérieuse d’Olivia Jones, distillant avec parcimonie de petites informations pour que le mystère ne soit résolu qu’à la toute fin...et quelle fin ! Je ne m’y attendais pas !

Un bon thriller au rythme soutenu, au récit prenant et au dénouement inattendu...Encore un bon Olivia Jones, quoi !
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Le feu sous la peau

Ce livre est addict, on avance dans l'histoire peu à peu, surfant sur une écriture fluide, directe, simple et efficace.

On "vit" les émotions, on s'interroge, on s'étonne, on s'inquiète, on s'attendrit, on se réjouit, à aucun moment on ne s'ennuie.

Olivia Jones maîtrise parfaitement son récit et livre les éléments pas à pas, nourrissant subtilement notre soif de découvrir la suite...

Bref, Bravo, Olivia, et merci!!!
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Un parfum de lavande et de sang

L'idée est bonne mais l'écriture n'y est pas. C'est beaucoup trop brouillon à mon goût. Il n'y a pas de fil conducteur, tout est deconstruit, certains passages sont bâclés, on passe d'un jour à l'autre sans précision, il y a même des moments où j'ai eu l'impression d'avoir sauté une page.

C'est vraiment dommage car l'histoire était intéressante mais ça ne l'a pas fait...
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La tête dans les nuages

Avis : ONIRIQUE



Je remercie Olivia Jones qui me fait découvrir peu à peu ses romans car elle sait qu’ils m’enthousiasment tous par la part de merveilleux qu’elle sait apporter à toutes les histoires. La Tête dans les Nuages m’a charmée une nouvelle fois par le mélange de réalité, de fantastique et d’humour, ce dernier étant finement distillé.

1911 et 1981, deux années et une même heure 12 h 45 : deux drames. Jean perd sa fille Lucy dans un accident de vélo en 1981. Il en est inconsolable et dans ses cauchemars, il ne comprend pas la scène qu’il revit sans cesse et qui lui parle de mer et de tempête. Un jour, une belle femme aux cheveux de feu, habillée de mousseline légère en plein hiver, entre dans sa vie, locataire de la chambre de Lucy que sa mère a décidé de rentabiliser. Il ya aussi le chien empaillé qu’il promène… Séverin, jeune mousse de dix-neuf ans se retrouve en pleine tempête avec le bateau sur lequel il a embarqué, le Carl Bech. Là, nous sommes en 1911, et c’est ce que Jean voit dans ses cauchemars. Il va partir à la recherche de sa fille tout en cherchant à savoir quel bateau a bien pu sombrer… Et Ingrid viendra le retrouver en chemin, lui redonnant vie et apportant aussi son histoire. Reverra-t-il Lucy ? Trouvera t-il la vérité ou une vérité ? Entre conte et récit de naufrage, il y aura une fin séduisante.

C’est à un voyage entre la terre et l’au-delà que l’auteure nous invite et c’est avec une harmonie totale que les deux univers se mêlent. Traiter de la mort d’un enfant en donnant à l’espoir toute sa force, faire un devoir de mémoire envers tous les marins naufragés, donner la parole au personnage principal ; c’est bien fait et l’on ne se perd jamais, comme guidés par « la folie » qui anime Jean.

J’apprécie toujours autant l’écriture d’Olivia Jones qui donne du merveilleux aux mots les plus simples, qui dose l’humour en saupoudrage de pages et qui nous fait découvrir avec amour les lieux qu’elle aime, ici la Bretagne. J’ai eu plaisir à chercher sur une carte les sites dont elle parle et à suivre son penchant pour les légendes bretonnes.

Bref, si vous avez envie de merveilleux en gardant les pieds sur terre, ce roman est tout indiqué pour vous et je vous souhaite une bonne lecture.


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Noir comme les souvenirs

Le commentaire de Carole : COUP DE COEUR!



Angèle, un personnage attachant qu’on voudrait pour amie, a été abandonnée à la naissance. Ne connaissant ni son père ni sa mère, elle n’a que son conjoint David comme famille. Malheureusement, l’union a été de courte durée, et Angèle se retrouve seule. Elle décide de partir en Normandie, là où elle a passé son enfance. Une occasion s’offre à elle d’ouvrir une boutique d’antiquité et pour arrondir ses fins de mois, elle fabrique des rideaux et des couvre-lits. Elle fait la connaissance de Victoire Granvillier, la grande bourgeoise au regard hautain, froide et déplaisante qui vient lui commander des rideaux. À partir de ce moment impossible de déposer le livre, l’action, le suspense, le mystère tout y est pour faire de cette histoire un excellent roman. La famille Granvillier a tout de mystérieux et de bizarre, Gilbert l'époux de Victoire, demeure toujours dans sa chambre, médecin de profession, il est devenu alcoolique et est très malade. Paul le beau-frère de Victoire qui avait quitté subitement le pays pour s’installer au Brésil revient avec son fils, sa bru et son petit-fils, et achète l’immeuble où habite Angèle. Cette situation ne semble pas plaire à Victoire. Tandis que Julia, la fille de Victoire, vient lui rendre visite à l’occasion et s’est liée d’amitié avec Angèle. J'oubliais, il y a Magdelena la bonne qui est avec eux depuis 50 ans, muette comme une carpe, elle travaille et obéit à Victoire. Le décès de Gilbert va provoquer une rencontre surprenante chez le notaire, manigance, trahison, et surprise, c’est ce qui attend la famille Granvillier à l’ouverture du testament. Je ne peux vous en dire d’avantage sauf qu'entre un beau-père qui flirte sa bru, une ado qui accouche à 14 ans, une vieille dame qui rêve de vengeance et des meurtres fait sans aucun remord il y a l’amour. L’auteur Olivia Jones sait mener une intrigue avec une plume habile, elle jongle avec les mots et nous fait vivre des émotions sans aucune agressivité. La couverture du livre est l’image d’une belle poupée, soyez sans crainte elle aussi a son histoire. Je vous suggère de découvrir Olivia Jones si vous êtes adeptes de thriller psychologique, vous ne pourrez que passer un bon moment.
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Noir comme les souvenirs

Avis : SOMBRE

Je remercie tout d’abord Olivia Jones qui a souhaité me faire confiance, de différentes façons, pour accompagner la sortie de « Noir comme les souvenirs » publié exclusivement sur Amazon, comme elle le fait pour tous ses romans.

Alors, ai-je aimé ? Oui et oui. Pourquoi ? Parce qu’Olivia sait donner un rythme et relancer l’attention du lecteur. Elle a l’art de nous emporter dans la recherche des détails alors que l’on a deviné qui va mourir et presque qui va être l’assassin. Malgré cela, on veut savoir le comment, le pourquoi et tant d’autres choses ; c’est très addictif.

Angèle a été quittée par son mari car elle l’étouffait, Victoire règne sur un beau manoir et une famille qui sent le soufre, Virgile arrivera mais sera-t-il trop tard pour le bonheur d’Angèle. Entre temps, des meurtres auront été commis, des secrets exhumés et des vies mises à mal. Les cousins Granvillier se retrouveront sans vraiment le vouloir et regretteront d’être revenus du Brésil (la scène chez le notaire est magnifique). Tout ceci se déroulant en bord de Manche, terre Normande propice aux longues balades en bord de mer, là où le vent peut entendre les silences.

Il y a du suspense, beaucoup ; du romantisme, toujours ; de l’érotisme, un peu ; de la passion, en trame et tout ceci sur fond de mystère bien caché dans une poupée.

L’écriture de l’auteure est vivante et enjouée, le vocabulaire adapté et précis quand il faut parler métier ; le tout est assez page-turner. Et la couverture est très belle.

Si vous aimez les crimes sans le sang et les larmes, ce roman est fait pour vous. La soirée de lecture sera à la hauteur de votre envie de jouer au détective auprès d’une famille bien comme il faut.


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L'appel du loup

Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Cette lecture m'a accrochée dès le tout début, et impossible de la mettre de côté.

Paola est une jeune veuve, son défunt mari beaucoup plus âgé qu'elle, romancier très célèbre est décédé, lui léguant tout en héritage, c'est donc dire qu'elle est à l'aise financièrement.

Elle se retrouve à louer un chalet, et bien du moins, elle appelle ça un chalet, mais la description que l'auteure en fait, et bien ça me semble quand même, immense et assez luxueux. Elle se retrouve donc dans une longue location, et une fois qu'elle sera installée, son intention est de terminer le livre qu'elle a commencé à écrire, parce que oui, elle écrit, et on apprend un peu plus tard, un secret qui n'aurait pas dû être divulgué.

Un couple, Quentin et Karen, sont à son service, Karen dans la maison comme cuisinière et ménagère et Quentin s'occupe de l'extérieur. Dès le départ, la magie opère entre eux et ils s'entendent très bien.

Mais un mystère plane, on le sent, dès le début, dès l'arrivée de Paola dans ce fameux chalet, mais quoi ? On apprend que ça concerne l'épouse du propriétaire un certain M. Hoffman, les ont dit racontent qu'elle se serait suicidée. Mais il n'y a pas que ça.

Elle fera aussi la rencontre du garde-forestier, en la personne d'un jeune homme, Mathieu, qu'elle trouve tout de suite à son goût, mais lui aussi semble avoir des choses à cacher.

En bref, il y a une aura de mystère qui plane, mais on ne sait pas quoi. On écoute les oui-dires de l'un et de l'autre, les pièces de la maison sous clef avec interdiction d'y entrer, Quentin, qui agit drôlement, Karen, elle encore plus. Mathieu, qui lui on ne se sait vraiment pas.

Paola, en promenade avec ses 2 chiens rencontrera un couple de loups, pourtant, il ne devrait pas y avoir de loups dans cette région, et un des deux a un regard assez particulier. En parlant de cette rencontre avec Mathieu, celui-ci se referme, et semble vraiment troublé.

Faustine, la femme de Hoffman, s'est-elle vraiment suicidée, sinon où est-elle ? Quel est le fameux secret que Mathieu essaie de protéger ? Et Karen, aussi semble avoir un gros quelque chose sur la conscience, sans parler de Quentin.

Et tout ça sans parler des ragots que les villageois lui racontent.

Disons que Paola, en a plein les bras, son attirance pour Mathieu, les problèmes avec sa mère, les ragots qui se rendent à ses oreilles. La découverte de certains secrets, qu'il aurait mieux valu de ne pas savoir, et quelques-uns des ces secrets vont vous jeter par terrre!

Ce n'est pas le premier roman d'Olivia Jones que je lis, mais je dois vous dire, que malgré que j'ai toujours beaucoup aimé ses livres, celui-ci remporte la palme pour moi. Elle nous embarque solidement dans l'histoire, tout au long du livre, on se questionne, on essaie de deviner, mais on n'y arrive pas ! Un brin d'amour, une touche de fantastique ou encore de magie, vous pourrez juger par vous-mêmes, un suspense qui nous garde alerte, oui, c'est ce que vous offre Olivia Jones, de belles descriptions font que vous n'avez aucune peine à imaginer le décor, intérieur et extérieur et une conclusion du roman qui vous donnera le frisson! Est-ce que je vous ai mentionné que c'était un coup de cœur!
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Un parfum de lavande et de sang

Je dois bien avouer que j'avais d'abord craqué sur la couverture avant d'être intriguée par le résumé...

Tout se passe à S., dans le sud de la France, où Liz, cherchant à se reconstruire après un traumatisme, a choisi de s'installer. Peintre en mal d'inspiration, elle part se balader dans les bois et tombe sur un couple en plein ébat. Fascinée par cette scène, elle ne peut résister à l'envie de les photographier. Quelques jours plus tard, elle apprend la disparition suspecte des deux amants...

Une lecture très agréable mêlant suspense, intrigue policière et romance.

J'ai beaucoup aimé le côté artiste meurtri de l'héroïne, mais aussi j'ai adoré détester Etienne, le méprisable mari de la victime.

Seul petit bémol : je n'ai pas trop accroché avec le côté médium de Juliette, j'ai un peu de mal avec tout ce qui touche au paranormal...
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Un parfum de lavande et de sang

un tueur en série sévit dans un petit village du sud de la France. Il enlève, bats et tue les femmes infidèles. Un tueur vengeur ou un détraqué mental ?



LIz va êtres malgrès elle un témoin majeur dans cette enquête. Oui elle a pris en photo les ébats sexuels d'un couple illégitime. Non par voyeurisme mais pour son œil d'artiste. Elle voit un magnifique tableau de ses 2 amants.



Cette intrigue fait naître, de l'angoisse, le doute, la rage.

ce qu'il fait subir à ces femmes est insupportable.



Bonne lecture

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Un parfum de lavande et de sang

Dans ce roman on fera la rencontre d'un tueur vengeur. Oui il venge les hommes trompés par leurs femmes, en les battant, violant, et tuant.

Une enquête qui piétine car il ne laisse pas de trace.

Mais l'enqueteur ne baisse pas les bras aidé par Liz johnson, une jeune artiste peintre qui a pris une photo d'un des amants.



L'enquête va tourné au tour de cette photo particuliere.... la photo a l'aire vivante prise au parfait moment ....



lisez ce livre
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Le feu sous la peau

Le commentaire de Carole : COUP DE COEUR!

Ce livre est écrit sous forme de narration, chacun des personnages principaux nous parle de leur moment présent ou passé et décrivent leurs sentiments face à la situation que nous sommes en train de lire. L’auteur a bien su diriger le texte pour que tout s’imbrique et nous crée un suspense très intéressant. Impossible d’arrêter de lire, le seul reproche que j’aurais à faire à l’auteur, c’est que je la tiens responsable d’une nuit blanche pour terminer ce superbe roman addictif.

Marialys, jeune adolescente heureuse, rêve d’être une chanteuse, mais pour le moment elle travaille à la clinique du docteur Fabien Neuville. Une journée qui semble bien ordinaire, elle est assise sur un banc de parc, caché par un buisson. Celle-ci est témoin d’une discussion entre deux personnes, dont le docteur Neuville, qui demande un service bien spécial à un jeune homme. Malheureusement, le docteur découvre que Marialys a tout entendu. Dès le lendemain, elle donne sa démission et le docteur Neuville lui remet une grosse somme d’argent pour acheter son silence. Nous nous retrouvons 25 ans plus tard et le secret n’a toujours pas été dévoilé. Marialys a une vie tranquille sans fanfare ni trompette, elle souri toujours et se contente d’un travail peu rémunéré. Par chance, elle a sa fille, Cristal qui a 18 ans. Cristal, une jeune adolescente sans problème, aimerait que sa mère prenne plus soin d’elle. Cristal se demande pourquoi sa mère, malgré son sourire, a toujours un fond de tristesse dans les yeux. Un jour Marialys reçoit un appel téléphonique, dont Cristal est témoin en secret. Dès ce jour, elle décide de suivre sa mère pour en savoir un peu plus. Nous allons découvrir une vie basée sur des mensonges, des personnages coupables et d’autres non-coupables, mais assaillis par la culpabilité. Qui parmi eux va réussir à sortir de ce secret trop longtemps gardé. Je vous recommande sans aucune hésitation ce livre et je me promets de lire d’autre livre de cet auteur que je viens de découvrir.
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Le feu sous la peau

Lorsque je lis un bouquin avec pour objectif final l’élaboration d’une chronique, je cherche le « truc» qui va suivant les cas : Me plaire, me surprendre, m’amuser, m’agacer, me bluffer, m’émouvoir, me sauter aux yeux, m’intéresser… Bref, une longue liste de verbes à l’infinitif que je vous invite à traquer dans le Bescherelle. Donc dégoter un aspect de l’ouvrage que je pourrais mettre en lumière et développer joyeusement, telle est ma quête.

Dans « Le feu sous la peau » d’Olivia Jones, il y a plusieurs de ces petits « trucs ». Donc je me dois choisir, j’écris une chronique, je ne soutiens pas une thèse.

Après tri aussi sélectif que réfléchi, les trucs qui m’ont le plus… inspirés, sont :

- La richesse et la crédibilité des personnages, avec leurs failles, leurs forces, leurs démons, leurs faiblesses, leurs espoirs, leurs peurs et leur doute. Ils ne sont ni tout blanc ni tout noir. Ils présentent tous une couleur d’âme d’un gris diffèrent, de ce gris qui fait de chaque être humain un individu complexe et imparfait capable tout à la fois de grandeur, de laideur, de beauté, de lâcheté, de courage et d’Oh combien de bêtise parfois.



- La convergence de ces personnages. Ça, c’est du tricoté sur mesure ! Tous se déplacent sur un réseau compliqué de rails qui parfois se croisent sans jamais se rejoindre tout à fait, excepté à la fin de l’ouvrage quand, enfin aiguillés par un maître d’aiguillage digne de ce nom, ils rejoindront tous la même gare celle de leur destin commun. Alors, enfin libres de quitter un parcours ferroviaire imposé, ils trouveront leur propre voie





Ce roman met en place tout un univers de vies complexes. Univers modeste parce que réaliste. Univers touchant, pour exactement le même motif.

Comme dans toute tranche de vie édifiée sur un passé douloureux, on découvre toute cette habituelle pléthore de valeurs tantôt positives tantôt négatives. Tant et si bien qu’en plus d’une intrigue divertissante et agréable à lire, cet ouvrage véhicule une sorte de « vision du monde et des humains ». Cette vision, Olivia la transmet à travers ses personnages, par le regard tendre mais sans concession qu’elle porte sur eux et aussi par ses rapports avec eux : sympathie ou antipathie, éloge ou blâme.

Mais bien sûr, pour nous lecteurs, cette vision se révèle également à travers les relations que l’auteure établit entre ses personnages. Marialys, Cristale et les autres ne sont pas des individus isolés qui se limitent à incarner chacun une valeur, un vice ou une détresse. Tous interagissent avec les autres (nombreux) personnages. Dans ce livre, pas de petits rôles, mais parfois de courtes apparitions importantes.

Et le voilà ce fameux « truc » sur lequel je voulais mettre un coup de projecteur. Olivia Jones, dans ce livre mais aussi dans les autres, excelle dans l’art de créer des liens de connivence et de convergence entre ses personnages. C’est par le biais de ces conflits et contrastes qu’elle met en œuvre qu’elle parvient à construire sa vision personnelle de notre société.




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La tête dans les nuages

La vieille dame racontait.

Dans ses yeux azur pétillants de malice, l’on pouvait deviner les nombreux voyages qu’elle avait faits, les paysages sauvages qu’elle avait admirés, les légendes qu’elle avait entendues, les personnes étranges qu’elle avait rencontrées, les animaux exotiques qu’elle avait tendrement caressés, les tempêtes qu’elle avait traversées. C’était une routarde, une voyageuse des temps d’avant.

La vieille dame racontait.

Cet univers qu’elle partageait si bien de ses mots était chargé de légendes, d’odyssées, de mystères, de fées, de déesses, de revenants, de magie et de quêtes aussi lointaines qu’incertaines.

La « Mary Céleste » était son navire. Elle tutoyait les goguelins, ils étaient ses amis, lui soufflant souvent de belles tragédies marines qu'elle brodait.

La vieille dame racontait… Et moi, je l’écoutais.

J’avais cinq ans, dix ans, quinze ans, qu’importe ! Jusqu’à son départ sans ailes, pour un paradis qu’elle émerveille aujourd’hui, j’en suis convaincu, de ses récits, la vieille dame raconta pour moi.

Cette vieille dame était ma grand-mère. Elle était bien plus qu’une conteuse, elle était une faiseuse de légendes envoûtantes, affectueuses et même, de temps à autre, horrifiques.

Parfois, je posais la naïve question : « Ma Mone, elles sont vraies tes histoires ? » Elle prenait alors un air mystérieux, puis avec un sourire de connivence frisant cette ironie qui la caractérisait, elle répondait :

« Si tu veux demeurer un enfant toute ta vie, Il est une chose à ne jamais oublier, il suffit de croire aux légendes pour qu’elles deviennent vraies ».

J’ai grandi et même vieilli, mais avec « La tête dans les nuages », avec les mots de son auteure Olivia Jones, l’enfant barbu que je suis à retrouver les longs et tendres moments de complicités que je passais avec « Ma Mone »

C’est vrai, je suis féru de vieux gréements, gourmand de légendes maritimes, une partie de mon sang d’origine bretonne me rappelle constamment à l’océan… Je ne suis donc pas objectif lorsque je prétends qu’avec ce bouquin, j’ai quitté les pages de ma liseuse pour voyager au gré des marées bretonnes et des créatures merveilleuses qu’elles abritent.

J'ai retrouvé ma si chère "Ma Mone"

C’est doux, mystérieux, parfois triste, parfois naïf ou tendrement maladroit… Comme un rêve d’enfant poursuivant sans relâche les nuits d’un adulte.

Jean, le héros malgré lui, croit en la légende de sa vie, grâce à cette belle ouverture d’esprit il aura l’exceptionnelle opportunité de la vivre… Sans doute que lui aussi, dans ses songes, il a entendu les si extravagantes, mais passionnantes chimères que ma grand-mère pourchassait sans cesse.

Nous avons besoin d’auteures comme Olivia, nous avons besoin de faiseuses de rêves fantasmés comme « Ma Mone » pour que nous, simples enfants au corps d’adulte, puissions encore nous égarer dans un monde qu’il est si bon et important de rêver.
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Il y a toujours un piano quelque part

Ce bouquin se déguste à la façon d’une recette habilement poivrée sucrée qui mariant différents ingrédients certes individuellement peu originaux mais savamment combinés par le malicieux talent culinaire de l’auteure, dresse un plat plutôt agréable à savourer, peu commun et surtout diablement positif.

La gentillesse et la simplicité d’une histoire tendre, ça peut donner un bon coup de couleurs à la grisaille ambiante. Et bigre que ça fait du bien de se laisser aller à sourire candidement sans redouter l’horreur d’un nouveau drame (ou d’un nouveau meurtre selon les cas) à chaque nouvelle page.

À vos tabliers, cuisiniers en herbes, voici les ingrédients !

Vous prenez un aimable petit revenant débutant, genre Prosper le gentil petit fantôme, qui une fois devenu entité invisible aux yeux des vivants, n’a qu’une idée fixe pour occuper son éternité, aider ses ex-semblables à connaître ce qu’il a sans doute toujours ignoré de son vivant : Le bonheur.

La tâche n’est pas simple et il est plutôt maladroit l’apprenti ectoplasme. Taquin aussi. Il ne loupe jamais une bonne blague bien potache. Le Seigneur doit l’avoir à la bonne, il lui laisse pas mal de liberté… Et l’autre, éternel gamin qu’il est, va en profiter sans vergogne.

Cependant pour lier la sauce, il est primordial de rajouter au spectre, une pincée de « Joséphine ange gardien », ce qui relèvera l’humour, les pouvoirs peu maîtrisés du personnage et surtout sa mission d’entre deux : Venir en aide aux mortels qui en ont bien besoin !

À cette base fantasmagorique et bien peu effrayante, vous incorporez une solide proportion de « Chers voisins ». Vous savez la série TF1. Les relations de voisinage des habitants d’un immeuble plutôt vétuste qui se croisent sur les paliers décatis, donneront le fumet nécessaire à l’ensemble de la préparation. Tous ces gens enrichiront de leurs vies et de leurs personnalités complexes la saveur du plat.

Avant cuisson, et afin de pimenter comme il se doit le mélange des saveurs, vous saupoudrez d’une généreuse pincée d’un extrait insupportable de vieille bonne femme aigrie et acariâtre, propriétaire de l’immeuble qui en fait voir de toutes les couleurs à ses locataires. Choisissez la spécialité « Tati Danielle » mais version prolétaire sans éducation, dépositaire d’un terrible secret.

Hé oui ! La méchanceté n’est jamais gratuite. La laideur, celle de l’âme, non plus. D’ailleurs, une âme n’est jamais noire de naissance. Si sombre est son apparence, elle ne peut qu’avoir été repeinte par un drame passé. Reste à savoir lequel.

Jetez sur la sauce en ébullition, en désordre anarchique et au rythme de vos envies soudaines, un mélange savant de beaux gosses talentueux mais bien sûr sans un rond, de maris volages, de bourgeoises névrosées et allumées, de femmes trompées ou abandonnées, de couples sans amour, de SDF en goguette, d’écrivaines torturées et esseulées, de flics retraités désabusés et bedonnants.

Bref, tout un panel de loosers de vie comme il en existe tant dans nos immeubles parisiens ou provinciaux et qui rempliraient l’escarcelle d’un psy en mal de patients, si tous se donnaient la peine de consulter.

Dans un pot scellé, qu’il ne faudra surtout pas oublier de soigneusement refermer, puisez une bonne grosse portion de solitudes non partagées, de malheurs en dépôts longue durée, de regrets, d’erreurs, de désespoirs.

Ha ! Un détail ! Ne soyez pas surpris, si parfois, comme poussé par le vent, une sorte de trou normand théâtral, triste et bien écrit, qui se lit comme un dialogue de scène, vient se poser malgré vous, en plein cœur de la préparation.

Je vous conseille de déguster l’italique interlude, puis de reprendre la préparation en enfournant à four de plus en plus chaud. La fraicheur de l’écriture bienveillante s’occupera du reste.

Notre fantôme est maladroit. Nos locataires trainent des casseroles si pleines de douleurs, si lourdes à porter ! La cuisine n’est pas chose aisée lorsque l’on veut qu’elle soit bonne et partagée. Il faut insister !

Mais petit à petit, l’oiseau fait son nid. Grâce à qui ? Grâce à quoi ? Au contenu de cet imposant bocal d’espoir, genre pot de miel sucré. Mélange de tendresse, d’humour, de positivité. Une pâte possédant la saveur d’un rêve fou, celui qui tente de nous faire croire que les gens, même les plus torturés, peuvent changer avec l’aide des autres, ces autres qui aussi ont besoin d’eux pour pouvoir espérer à leur tour se transformer.

On est chez les bisounours me direz-vous ? C’est possible, Tant pis ! Ces marrantes petites bestioles à croquer sont bien plus mignons que les hideuses poupées Chucky et surtout bien plus cool.

Ce livre a le grand mérite et la modeste ambition de vouloir donner l’exemple. De nous dire, finalement, ce gentil petit fantôme qui vient se mêler de ce qui ne le regarde pas, nous le cachons tous en nous. Si bien enfermé dans notre fierté, solitude, orgueil, confort désœuvré ou simple habitude, (cochez la case correspondante) qu’il ne peut plus s’exprimer. Alors bien sûr, on ne l’entend plus le Prosper. On laisse faire nos bas instincts.

C’est peut-être naïf cet étalage d’humanisme et de bonté, c’est sans doute aussi improbable, mais on se prend à espérer que c’est parfois possible, trop rarement certainement.

Il arrive que l’écriture devienne chaotique, comme la vie de ces personnages. Il faut, de temps à autre revenir en arrière. L’auteure semble tellement savoir ce qu’elle veut nous dire, qu’il lui arrive parfois d’oublier que nous, pauvres lecteurs-témoins muets, nous ne savons pas où elle nous entraîne. Alors on se perd dans le dédale des histoires qui se croisent et des prénoms qui se ressemblent. Puis on se retrouve, avec son aide.

La fin est prévisible, tellement prévisible qu’elle est attendue, guettée, presque espérée. On en refuserait une autre !

Pourtant, on craint un drame. Il est là, omniprésent, toujours possible. Ce genre de petit drame sans importance pour le monde, mais si grave pour ces anonymes qui au fil des pages sont devenus nos amis. Comme le fantôme, on a joué les voyeurs, on les connait par cœur.

C’est vrai, on a peur d’en perdre un, ou plusieurs.

Je ne dirai pas si ce drame intervient, il vous faudra lire l’ouvrage pour le savoir. Et ce ne sera pas un effort, le livre se consomme facilement.

Enfin, pour conclure, quel genre vais-je attribuer à ce livre ? Franchement, je n’en sais rien. Il est évident que nous ne sommes pas dans un polar, nous ne sommes pas dans l’humour non plus, nous ne sommes pas dans la romance, nous ne sommes pas…

Bref !

Nous lisons de simples chroniques, contées par un petit bonhomme de 17 ans qui trop tôt, quitta notre monde des vivants si imparfaits et pourtant si pleins d’espoirs quand on prend le temps… D’espérer. Lui, le héros malgré lui, a toute l’éternité pour comprendre ça… Et pour nous aider à comprendre à notre tour, un jour que le simple bonheur se cueille comme une fleur, il faut savoir pour cela faire un pas de côté pour quitter un chemin mal tracé.

Quoi qu’il en soit, quand on le rejoindra, il sera trop tard. Nous hanterons alors les gens que nous aimons, pour continuer à les aimer.






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Un parfum de lavande et de sang

Le commentaire de Lynda :



Ayant fait d'autres lectures des livres d'Olivia Jones, une chose que je peux vous affirmer en toute sincérité. L'auteure nous démontre son magnifique talent, et ce dans différents styles d'écriture. Premier thriller pour Olivia, je peux dire sans me tromper, travail accompli pour l'auteur, elle a rendu avec brio ce thriller qui vous captivera et vous charmera, ça c'est évident!



Le tout commence tout doucement et sans que l'on soupçonne ce qui s'en vient. Une jeune femme, peintre, qui photographie des choses ou des gens qui lui serviront de modèles pour ses peintures! Ce couple, appuyé sur un arbre, faisant l'amour, se croyant seul au monde, fera un superbe tableau, se dit-elle, sans se douter que c'est le début d'une longue histoire, une intrigue à couper le souffle.



En apprenant que ce même couple est disparu, elle ira à la police et tentera d'aider. Même si le coup refait surface, amoché mais vivant, d'autres disparitions surviennent qui ne se termineront pas comme la disparition du couple, Mathilde et Alex et avec un tout petit indice laissé sur place par le ravisseur : un bouquet de lavande.



J'ai tout simplement adoré, impossible de mettre de côté une fois commencée alors, vous dire que ce livre est lu presque d'une seule traite.



La trame est excellente, le rythme est soutenu et fluide, le suspense très fort en intensité, et une chose que j'adore et apprécie, totalement imprévisible, même si on essaie tant bien que mal de deviner qui est derrière, impossible!



Les personnages sont extrêmes, pas de milieu, on les aime ou on ne les aime pas du tout. J'ai aussi aimé le petit côté histoire d'amour, qui vient adoucir et tempéré le suspense, qui nous permet également de reprendre notre souffle.



Bref que puis-je vous dire de plus, que vous devez lire ce livre, vous le devez et si vous ne connaissez pas cette auteure, je suis certaine que vous voudrez lire tous ces livres par la suite!
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Blue Kashmir, tome 2 : L'homme de cristal

Le commentaire de Céline :

Wow ! Wow ! Comment vous dire en seulement quelques mots combien j’ai adoré ma lecture. Je suis tellement contente d’avoir eu le privilège de lire le tome 2. Valentina a toujours le Blue Kashmir, mais elle commence à avoir des absences de quelques instants ce qui inquiète grandement son fiancé Raphaël. Mais Valentina en est consciente et voudrais tout dire à Raphaël, mais comment lui expliquer que le cristal lui parle, sans passer pour une folle. Ce n’est qu’à sa grande amie centenaire à qui elle peut se confier. Pendant ce temps Anna (l’ex-fiancée de Raphaël) et Émilie, la sœur de Raphaël, complote pour se débarrasser de Valentina, mais leurs plans tournent au cauchemar et c’est tout le monde qui est en danger de mort. Arriveront-ils à tous s’en sortir ? Pas sûr ! Mais il va falloir que vous lisiez cet excellent roman pour le savoir. Un roman incroyablement captivant, tellement que je l’ai même emmené chez le dentiste pour pouvoir continuer ma lecture. Un mélange de fantaisie et de surnaturel qui ne vous laissera vraiment pas indifférent. J’ai adoré l’histoire de tous et chacun et… J’ai vraiment détesté Anna et Émilie (oh que oui!). Une histoire superbement bien écrite où il n’y a aucune longueur, aucun temps mort. C’est vraiment un excellent roman et une excellente auteure que je vous invite à découvrir. Petit bémol ! J’aurais vraiment aimé qu’il y ait encore un autre tome !
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