Citations de Osamu Tezuka (273)
p.38.
Je ne sais plus qui a dit cette vérité… Mieux vaut être un Socrate maigre qu’un porc gras.
p.30.
- Ta signature au moins est réussie. Pas besoin de jeter un coup d’œil ?
- À quoi bon ? Tout ça, c’est de l’hébreu pour moi.
- C’est parce que beaucoup font comme toi qu’ils sont exploités par les maisons de disques.
p.28.
« C’est quand elle jouit que la femme est la plus belle. » a dit l’autre… Et elle… C’est quand elle meurt de faim !
-Conduisez ces 2000 juifs jusqu'à Buchenwald.
-Ils iront à pied ?
-Vous ne les laisserez pas se reposer, abattez les traînards. Autre chose, ne leur donnez pas à manger. Pas plus de la moitié doit arriver au camp. La place manque.
-Les nazis ne seront pas éternellement au pouvoir. [...]
-Vous croyez ? J'ai du mal à croire qu'Hitler se retire du pouvoir.
-Se retirer ? Se suicider, oui, avec la politique dictatoriale qu'il mène !
"Les temps peuvent bien changer, la rancune ne s'efface pas."
"Se faire connaître...c'est tout bénéfice pour l'avenir."
_Pourquoi êtes-vous venu seul ?
_Je suis venu discuter. Je me suffis largement à moi-même.
Je comprends quand j'ai eu mon premier chagrin d'amour... J'ai écrit ma peine sur une feuille puis je l'ai mise dans une cachette en priant, ça m'a fait l'impression de m'être confessée.
C'est de la superstition son truc !
Eh bien vous avez une vaste parenté... Monsieur LOHEN.. Monsieur TRISTAN...
Savez-vous qu'à AIZU existe un temple d'architecture peu commune appelée "Tsuburado" ? Il est constitué d'un escalier à double spirale, de telle façon qu'une fois entré dedans, on tourne en rond et on se retrouve dehors s'en sans s'en rendre compte.
En jargon de métier, on appelle "Tsuburado" le fait de revenir à la case départ alors qu'on a failli toucher au vouer d'une enquête
Je prêterais pas ma femme à mon père par cupidité moi…
Sache que j'ai consulté les registres de la famille
Eh bien, c'est pas une généalogie qu'on a, c'est un vrai cloaque !
Un monde où la loi du plus fort est toujours la meilleure
Je vous connais vous! Vous êtes ce fieffé imposteur de Black Jack! Il exerce sans licence et rôde dans notre établissement...Vous n'êtes pas le bienvenu ici! Cessez de fanfaronner sans prétexte que vous êtes doué.
-Votre sentiment, Monsieur le ministre des Affaires étrangères ?
-Eh bien, le Japon peut faire état de précédents en matière de bases étrangères sur son sol... Et nous avons su prendre bouche avec la communauté internationale...
-Vous voulez dire que nous pouvons également prendre bouche avec les oiseaux ?
-Heu... à condition d'éviter les prise de bec, évidemment...
-Mmoui... Je ne voudrais pas que nos problèmes croassent, surtout...
"Chers concitoyens, je vous demande d'ouvrir vos foyers à nos amis les oiseaux..."
Ce fut la dernière fois que les oiseaux chantèrent pour un humain. Ce requiem s'adressait à l'humanité toute entière...
- Astro ? Si tu es absent, tu es prié de répondre "absent".
Notre force à nous, les robots, ne doit pas nous servir à nous battre...nous devons l'utiliser pour protéger les humains, tu comprends, Puk ?
Cette fois, il ne sera pas possible de maquiller ça en suicide, comme pour cette femme.
Shiro : C'est impardonnable ce que nous faisons là... c'est interdit...
Ayako : Pourquoi ? C'est toi qui m'as emmenée par cette lucarne jusque dans le ciel, si haut et si vaste. Je vois le monde entier, la maison aussi, les bois et les champs où j'ai si souvent joué...
Shiro : Ayako, c'est pas des choses à faire entre frère et sœur...
Ayako : Ne pars pas ! Serre-moi plus fort ! Ah, je suis si heureuse !
Shiro : On arrête pour aujour...
Ayako : Non ! Je t'aime !
Shiro : Tu ne dois pas ! Il ne faut pas !
Ayako : Je t'aime, grand-frère...
Shiro : Ne dis plus ça, je t'en prie !
Ayako : Il n'y a que dans ces moments-là que je peux m'élancer vers les étoiles et toi, tu te dépêches de me ramener ici.