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Citations de Osamu Tezuka (273)


Osamu Tezuka
Ce que j'ai cherché à exprimer dans mes œuvres tient tout entier dans le message suivant : Aimez toutes les créatures ! Aimez tout ce qui est vivant !
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"Est fou celui qui recourt à la raison dans une situation extrême."
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"Ils veulent tous me tuer : Le vieux maître, M'sieur Ichiro, tous. Mais moi, j'veux pas mourir. J'veux me marier et partir dans un endroit mieux."
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En esquivant cette peur, elle reviendra sûrement demain. Je préfère l'affronter maintenant, et ainsi conserver la sérénité.
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Au nord de la capitale du Magadha, se trouvait une vaste forêt couverte de bambou appelé Karnataka. Karnataka signifiait aussi Écureuil. En effet, on raconte qu'il y a très longtemps le roi du pays s'y était assoupi et un écureuil l'avait réveillé pour l'avertir qu'un serpent venimeux s'approchait de lui. En signe de gratitude, le roi décida que désormais les écureuils pourraient vivre librement dans la bambouseraie. C'est cette forêt que Bimbisara avait offerte à Bouddha et à ses compagnons. On appelle Monastère de la bambouseraie, le lieu d'où se propagea peu à peu l'enseignement de Bouddha.
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Dans ce monde, rien n'est indépendant, tous les êtres sont reliés les uns aux autres, et cela durant toute leur vie. Jusqu'à ta mort, tu seras lié à tous les autres êtres.
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- Heil ! Heil ! C'est l'autre bras, voyons !
- Je me gratte, c'est tout, ça me chatouille.
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"_Pour tes quinze ans, on va savoir comment il a partagé ses biens.
_Il n'y a que dans ces moments-là que je peux m'élancer vers les étoiles...et toi, tu te dépêches de me ramener ici...
_Demain, c'est ton anniversaire, tes quinze ans.
_Il paraît. Je m'en fiche complètement."
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Je vous l’ai dit hier soir, rester ici me sclérose jusqu’à l’âme.
Votre venue m’a secouée au bon moment.
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- C'est vrai que t'es un nazi...
- Mais toi, t'es un nazi à part, t'es mon copain.
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Je ne veux pas d’un patriotisme qui attire le mépris et la haine !
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De même que le cours d'une rivière ne cesse de se mouvoir, notre destin n'est pas immuable. Il se meut, change sans cesse. Vous pouvez donc changer le vôtre durant ls quatre prochaines années. Certains malheurs sont évitables, d'autres non. Ceux qu'il peut éviter, l'homme est capable de les prévoir et ainsi d'y échapper.
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Le nom est un artifice bien quelconque. Question idiote, dans la bouche d'un savant qui s'intéresse à l'essence des choses. Malheureusement, en ce monde, même l'essence des choses porte un nom.
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- Tu es un drôle d'étranger !
- Les yeux sont bleus mais l'âme est japonaise.
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On qualifie souvent d’ « enfer » les villes bombardées, le mot semble insuffisant, « apocalypse » décrit mieux ce spectacle atroce de centaines de vies qui s’évanouissent en quelques instants.
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p.208.
Sué : Je ne peux même pas dire "ma fille " à ma propre enfant ! C'est "ma petite sœur "... que je ne peux pas prendre dans mes bras, par égard pour toi. Tu sais combien ça me coûte ?
Ichiro : J'Y SUIS POUR RIEN LÀ-DEDANS ! Écoute... le vieux n'en a plus pour très longtemps... que seulement son testament me reconnaisse le domaine et les champs... Je te ferai un enfant. Je sortirai Ayako de la resserre et je la reconnaîtrai. Patience jusque-là.
Sué : Tu me mens ! Comme tu m'as toujours menti jusqu'ici ! Tu n'as pas la moindre affection pour moi... ce que tu veux, c'est me chasser, dès que ton père sera mort, oui !
PLAF
Ichiro : Femme, tu parles trop !
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L'insecte enfermé dans son cocon ne peut savoir ce qu'il adviendra de lui quand il s'en sera échappé, n'est-ce pas ? De la même façon, l'homme ignore ce qu'il deviendra quand il quittera son enveloppe charnelle. Une seule chose est sûre, c'est qu'un autre monde s'ouvre devant nous, qui est sans limite.
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Pour échapper à la souffrance, l'homme doit suivre un chemin à huit branches ou principes : la perception correcte, la réflexion correcte, les paroles correctes, les moyens d'existence justes, l'activité quotidienne correcte, la persévérance correcte, l'attention correcte, enfin la concentration correcte.
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On vit dans notre monde qu'en s'entraidant, et si vous vous montrez charitables, on vous le rendra un jour.
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M. Togué, ne faites pas comme papa, il ne faut pas mourir pour rien !!
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