Citations de Osamu Tezuka (274)
- Astro ? Si tu es absent, tu es prié de répondre "absent".
Les robots sont les amis des hommes, pas leurs esclaves.
Notre force à nous, les robots, ne doit pas nous servir à nous battre...nous devons l'utiliser pour protéger les humains, tu comprends, Puk ?
La soif de vengeance est vraiment une chose terrifiante.
- Astro n'est pas parfait car il n'a pas de méchanceté dans son coeur.
1ère loi : les robots naissent pour assurer le bonheur des hommes.
13ème loi : les robots ne peuvent ni blesser ni tuer des hommes.
- Dites, professeur, pourquoi les robots se combattent-ils, alors qu'ils n'ont aucune haine les uns envers les autres ?
- Eh bien, je ne le sais pas bien moi-même. Peut-être est-ce la mauvaise conduite des humains qui en est la cause.
- Je souhaite qu'une ère nouvelle s'ouvre où les robots vivront en harmonie et n'auront pas besoin de se battre...
- Cela ne sert à rien que des robots s'affrontent entre eux. Le robot le plus fort du monde est en réalité celui qui se bat pour défendre le monde, avec le plus de justice et de ténacité.
- Pardonne-moi pour l'autre fois, Pluto. Je n'aurais pas dû dire du mal de toi. Tu es un bon robot en réalité, même si celui qui t'a construit est quelqu'un de mauvais. Tu ne détestes pas Astro, n'est-ce pas ?
- Je n'ai pas été construit pour ressentir des sentiments comme l'amour ou la haine, Urane. Je me contente seulement d'obéir aux ordres qui me sont donnés.
- Tu n'es pas malheureux de vivre ainsi jusqu'à ce que tu sois détruit ?
Il m'a attiré dans une union impure... Il se transforme en femme et convoite ma chair...
Les temps peuvent bien changer mais la rancune ne s'efface pas...
L'affection née de la compassion est-elle une déviance de l'amour ?
Le ciel est sale, pas vrai ? Et l'air pue... Au milieu de tout ça vit une fourmilière de plusieurs millions d'âmes. Un Homme meurt toutes les quelques minutes... les êtres humains ne sont pas traités comme tels. Ce qui ne les empêche pas d’être assez contents. Une ville de fous !
On me tue mon fiancé, on tue Oryo, et même Sue ! ... Qu'est-ce donc que cette famille ?! Nous aurions tous la folie dans le sang ? Et moi aussi... ?
Pas la moindre nouvelle de l'extérieur ne parvenait à Ayako. Seul lien entre elle et le monde du dehors, la lucarne recevait tantôt les feuilles rougies de l'automne, tantot la lumière du ciel bleu profond, ou encore le pluie au tambourinement monotone.
C'est la fin des Tenge. Je sens la famille glisser sur la mauvaise pente à toute vitesse. Et c'est très bien comme ça, je le souhaitais depuis longtemps, mieux vaut que cette famille dégoutante et couverte de pourriture soit détruire une bonne fois pour toute.
La justice, ça repose sur quels critères ? Qu'est-ce que le crime ? Qui donc peut juger ?
Grande sœur, Ayako ne répond plus... et n'éprouve aucune joie. Elle est comme une poupée rangée au fond d'un débarras après la fête de Mars. Elle ne voit plus la lumière du jour.
J'étais quand même le plus grand propriétaire des villages alentour, dans mon jeune temps ! Ça travaillait dur chez nos fermiers, tout autour de cette colline, et ils me saluaient bien bas sur mon passage... Et puis il y a eu la guerre... et les voilà tous autant qu'ils sont, à vouloir me dépouiller.
Ayako tu as été sacrifiée... Notre famille est pourrie ! Tout est pourri autour de toi, et même toi qui est innocente, tu risques d'être contaminée.