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Citations de Paolo Eleuteri Serpieri (24)


...J'ai toujours su que dans l'Ouest entre réalité et légende c'est toujours la légende qui a le dernier mot !

(page 44)
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Tex, je peux te l'assurer a toujours été un ami sincère des indiens, il les comprenant. Cet abruti de général Sherman avait dit qu'un bon indien est un indien mort, une phrase ignoble ! Les indiens se sont battus, mais c'était pour survivre : ils avaient avec eux femmes et enfants, leurs villages, leur territoire de chasse...Tout un monde qui allait disparaître...Et maintenant tout est fini... Comme notre monde aussi...

(page 43)
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C'est le chant de mort !
"Rien n'est éternel, seule la terre dure, c'est un beau jour pour mourir !"...

(page 20)
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ça va ? T'es peut-être pas très en forme. Faire l'amour en apesanteur peut parfois causer des soucis
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Sois douce chérie, nous avons tant besoin d'une femme comme toi ! Je me sens si heureuse avec toi...
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N'accuse pas le puits d'être trop profond. C'est ta corde qui est trop courte.
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Comme je descendais des Fleuves impassibles
Je ne me sentis plus guidé par les haleurs;
Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
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Le Lakota était empli de compassion et d'amour pour la nature, et son attachement grandissait avec l'âge.
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La médecine est une putain et son maquereau c'est le pharmacien.
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La plus petite graine produit souvent le plus grand arbre.
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La première fois que j'ai vu une femme nue, j'ai cru que c'était une erreur. (Woody Allen)
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Toi, l’homme blanc, je ne sais que tu ne croiras pas ce que je viens de raconter, mais je l’ai vu de mes yeux et en ce temps-là, ils étaient bons. Maintenant que tout est fini, il m’importe peu que tu me croies ou non. Nous ne concevions pas le combat comme vous, blancs assassins. Nous étions différents. Nous ressentions profondément le sens magique de la vie et c’est sans doute pour cela que vous avez vaincu
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C'est quoi les souvenirs ? C'est trop difficile de comprendre ce mot, il n'y a rien, pas même la conscience de soi ou du moi conscient... peut-être juste l'instinct... qui pousse à fuir...
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-Qu'est ce que tu me veux soldat ?
-Tu as insulté le '' maître'' lorsqu' il est passé... Je t'ai vue.
-Mais qu'est ce que tu dis chérie...viens avec moi si tu veux le paradis.. Mais.. Il me semble que tu n'as rien dans le froc.
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"- Wakantanka m'a parlé... Le jour de la bataille est presque arrivé. Nous devons nous tenir prêts et tenir prêts les guerriers... Les longs couteaux ont toujours attaqué en masse, nous devons les obliger à combattre sur plusieurs fronts... Nous devons affronter l'homme blanc tous ensemble et calmer la fougue des plus jeunes. Ils ne doivent pas gaspiller leur vie dans d'inutiles actes de courage. Ils doivent se souvenir que notre peuple lutte pour sa terre, cette terre qu'on veut nous enlever."
Et, en juin 1876, Crazy Horse et ses Oglagas se sont alliés aux Hunkpapas de Sitting Bull sur les rives du Rosebud. Quelques temps plus tard, ils sont rejoints par des Sioux Miniconjou, Brulé et Sans Arcs, des Pieds noirs et d'autres Cheyennes. De mémoire d'indien, il n'y eut jamais si grand rassemblement.
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[Le lieutenant] : Une chose ne m'est pas claire : pourquoi n'avez-vous pas tiré lors de la première attaque ?
[Brad Sender] : Cet indien n'était pas venu pour tuer... il voulait juste "porter le coup". Pour les indiens, il n'est pas nécessaire de tuer l'ennemi, ce qui compte c'est de prouver sa propre audace. "Porter un coup" c'est quasiment un rituel magique, cela fait partie de leur façon d'envisager la guerre.
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- je sens comme une lourde torpeur s, abattre sur moi.
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Au fond ils ont peut-être raison de détruire tous ces vieux papiers pleins de mots inutiles et absurdes
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- Tu n'as pas de libre arbitre, tu n'es pas un homme.
- Aahhhhhh
- Tu es un homme, tu as le choix... ne fais pas ça.
- Le choix n'est qu'angoisse...
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La douleur, la souffrance... vous seuls, êtres humains, pouvez éprouver de telles sensations. C'est en souffrant qu'un individu devient un homme, extérieurement et intérieurement. Lorsque la douleur physique atteint celle de son esprit, il peut alors comprendre ce que le bien et le mal signifient.
Il n'y a qu'en connaissant la nature de la souffrance que l'on parvient à saisir l'essence du plaisir, le bien suprême.
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