Citations de Patricia Briggs (517)
Si je continuais comme ça, j’allais finir avec une maison hantée. Avec un peu de chance, ça ferait fureur sur Airbnb.
Nous avions dû remplacer le carrelage de la cuisine quelques mois plus tôt. Lentement mais sûrement, la maison de l’ex-femme d’Adam, Christy, devenait la nôtre. Si j’avais su le bien que me ferait une moquette neuve, j’aurais éviscéré un loup-garou zombie depuis longtemps.
Le hasard n'a rien à voir là-dedans. Il était normal que je sois là, puisque je suis Mercy partout. C'est mon nouveau hobby.
Les femmes aiment voir leurs homme tout émus.
je suis sous le choc.leur dit anna.hormis la premiere fois que j'ai vue charles,je ne crois pas avoir pas avoir jamais désiré quelque chose aussi fort de toute ma vie
— Pourquoi n’es-tu pas resté loup ? le gronda-t-elle.
Des yeux froids se plantèrent dans les siens, plus loup qu’homme
dans leurs profondeurs jaunes.
— Tu allais partir. Le loup n’avait aucun autre moyen de te parler.
Il avait supporté ça parce qu’il avait eu peur qu’elle le quitte ?
C’était romantique… et stupide.
Tout changement apporte du bon et du mauvais, qui remplacent le bon et le mauvais du passé. C'est naturel de porter un regard nostalgique sur celui-ci en croyant que c'était mieux avant... Mais ça n'en est pas plus vrai. Différent n'est pas synonyme de pire. C'est juste différent.
« Lui apprendre à le faire correctement, pour éviter qu’elle se casse la figure, c’est probablement plus prudent que de lui interdire totalement, ce qui ne sert à rien, »
Ce que je préférais le plus dans le fait d’être sa compagne
et à présent son épouse, c’était que je pouvais le toucher dès que j’en avais envie… et plus je le touchais, plus j’en avais envie.
Les faes vous contraignent à faire des trucs comme échanger
la vie de votre premier né ou la vôtre contre un chewing-gum, et à penser que
vous avez fait une sacrée affaire
Ça dort où, un loup-garou ? Où ça le décide, évidemment.
Elle [Leah] aimait de tout son coeur égoïste l'enfoiré insensible et imparfait qu'était son mari et compagnon.
Un large sourire s'étira sur les lèvres d'Adam.
- Ce qui ne nous tue pas ...
- Nous fait nous gratter la tête en nous demandant ce qui va nous tomber dessus ensuite, complétai-je.
Etrangement, son accent britannique faisait paraître tous ses propos plus intelligents qu'ils ne l'étaient en réalité, un effet qu'il contrebalançait - à dessein, j'en étais convaincue - en ajoutant le genre de mots à cause desquels des générations entières connaissaient le goût du savon.
-C'est du mithril ? demandai-je, émerveillée. Ça scintille dans le noir.
Tad baissa les yeux sur sa tenue et poussa un juron.
-Papa, ça recommence !
-Cette tunique ne faisait pas penser à un costume de cinéma quand je l'ai fabriqué, marmonna Zee. Je regrette le coté spectaculaire, mais elle réfléchira les sorts que le sorcières lanceront à Tad. Enfin, parfois.
Il se pencha à l'intérieur pour taper sur l'épaule de Tad. L'espèce de cotte de maille fut parcourue d'un léger chatoiement avant de se confondre presque totalement avec l'obscurité environnante.
-Elle n'est pas sortie de puis longtemps, avoua Zee. Elle est un peu fofolle.
-"Fofolle"...
En général, quand les gens (disons moi, par exemple) se ramènent avec un coquard, on leur demande : "Houla, qui t'a tabassé ?". Mais dans le cas de certains individus (comme Spielman), on est plutôt tenté de demander : "Où est enterré celui qui t'a fait ça ?".
-Les yeux, c'est le meilleur.
J'étais fidèle à mon personnage, voilà tout. Bart la Raclure prend plus de plaisir à tuer qu’à amasser de l’or, ma belle. RAison pour laquelle il a le meilleur score après capitaine Wolf et Lady Mockingbird.
Il n’avait jamais rien senti de tel, certainement pas avec une femme qu’il connaissait depuis moins de vingt-quatre heures. Il ne savait pas comment gérer la situation, ne voulait pas la gérer, et – contrairement à son habitude – voulait retarder indéfiniment le moment de la gérer tant qu’il pouvait rester ainsi, son corps contre le sien.
Il défit sa tresse, ce qu’Anna ne se lassait jamais de regarder. Ce n’était pas juste que ses cheveux étaient beaux… même s’ils l’étaient. C’était le caractère intime de ce moment. Personne d’autre n’avait l’occasion de voir à quoi il ressemblait avec les cheveux détachés.