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Citations de Patricia Cornwell (644)


"Les frontières entre le mensonge et la dissimulation - ou le secret indispensable pour mener à bien une action - sont parfois si ténues qu'on ne sait plus parfois quand l'acteur ment ou dissimule. Tactique, intox, manipulation, raison d'Etat, Napoléon n'a pas hésité à travestir l'histoire quand il le fallait."
Excellent roman. J'ai apprécié le lire.
Auteur à suivre
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Mon seul souci est d'élucider ces meurtres .et tu peux m'y aider parce que tu peux faire des choses que je ne peux pas faire. Telles que mentir, tromper, tricher, fouiner, me faufiler chez les gens, les induire en erreur ou me faire passer pour quelqu'un que je ne suis pas .je ne peux pas faire
tout ça pour la bonne raison que je suis un officier du Commonwealth. Toi, c'est différent tu es journaliste.
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Si vous étiez le tueur, que vous ayez enlevé deux personnes et que vous les ameniez ici, qui tueriez-vous en premier ?
le type, parce que c'est lui qui risque de me poser le plus de problèmes, répondit-il sans hésitation. Je l'éliminerais d'abord et je me garderai la
petite pour la fin.
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Il ne comprend rien à ce qui se passe. Comme nous, quand on est enlevé par des petits hommes verts.
–Ce terme est discriminant. Tu ne peux plus l’employer.
–Je sais. Comme la moitié de mon vocabulaire ! Quelle merde ! Déjà qu'il n'est pas très riche !
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Kay Scarpetta, bouleversée à la vue de l'entreprise de destruction, ralentit presque jusqu'à s'arrêter et fixe les machines couleur moutarde qui ravagent son passé.
- Quelqu'un aurait dû me prévenir, parvient-elle à dire.
Chapitre 1 - page 9
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Trois heures plus tard, il était toujours assis à la même place, mangeant des beignets de pouletqu'il trempait dans de la sauce barbecue Roger's. Il piochait dans un sac de grosses poignées de chips auxquelles il réservait le mêm sort. Après plusieursCorona citron vert, , l'éventualité d'une crise cardiaque lui semblait reléguée aux confins de l'improbable.
Packer saisit la télécommandeavc autorité et monta le son. Webb regardait la caméra d'un air pathétique.
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- [...] Je ne sais pas pourquoi. Pourquoi est-ce que les gens font ce qu'ils font?
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Lucy était si consciente du moindre mouvement du procureur, du mot le plus anodin qu'elle prononçait, de la plus infime odeur qui émanait d'elle, qu'elle aurait tout aussi bien pu être sous LSD, du moins si elle se fiait à ce qu'elle en avait lu: accélération du rythme cardiaque, augmentation de la température corporelle, mélange des sensations. On entendait les couleurs et on voyait les sons.
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La salle de morgue était située au niveau inférieur par commodité.
[...]
Scarpetta avait toujours éprouvé de la compassion pour les proches qui garderaient cette image, la dernière de l'être aimé. Dans toutes les morgues qu'elle avait dirigées, la vitre était en verre incassable. Les salles réservées à cette ultime visite étaient accueillantes, avec une touche de décoration comme des peintures de paysages, des plantes, et ceux qui restaient seuls et perdus n'étaient jamais abandonnés à eux-mêmes.
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Les femmes de pouvoir avaient tendance à rester solitaires, parce que leur instinct leur conseillait de ne pas faire confiance à l'autre.
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- Oh, mon Dieu… Oh, mon Dieu ! hurle-t-elle.
- Ça va aller, ça va aller, c’est fini… dit Win, debout devant elle, en regardant l’homme qui gît sur le plancher au milieu du sang et des éclats de verre coloré.
- Il est tout seul ? crie-t-il à Lamont.
Son cœur cogne dans sa poitrine, ses yeux courent dans tous les sens, ses oreilles bourdonnent, il serre le pistolet dans son poing.
- Il y a quelqu’un d’autre ? braille-t-il.
Elle secoue la tête. Elle a du mal à reprendre sa respiration, son visage est livide, son regard vitreux : elle est au bord de l’évanouissement.
- Respirez lentement, Monique. Profondément…
Il ôte sa veste, la dépose dans les mains de Lamont et l’aide à l’appuyer contre son visage.
- Allez-y. Soufflez dedans comme si c’était un sac en papier… C’est bien. Très bien. Respirez à fond, lentement… Plus personne ne vous fera du mal maintenant.
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Win recouvre Lamont d’un édredon et défait les fils électriques qui la retiennent prisonnière, tout en répétant:
- Tout va bien ; Vous n’avez plus rien à craindre. Tout va bien…
Il appelle la police avec son portable et Lamont se redresse sur le lit en s’enveloppant dans l’édredon, le souffle coupé, secouée de violents frissons et les yeux exorbités.
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Lamont ferme son parapluie d’un geste brusque et déboutonne son long imperméable noir en apercevant Win assis dans un canapé ancien qui semble aussi confortable qu’une planche de bois.
- J’espère que vous n’avez pas attendu trop longtemps, s’excuse-t-elle.
Si elle rechignait vraiment à le déranger, elle ne lui aurait pas ordonné de sauter dans le premier avion pour être ici à l’heure du dîner, l’obligeant à interrompre sa formation à l’Académie nationale de médecine légale et à perturber son existence, une fois de plus. Elle tient un sac en plastique portant le nom d’une boutique d’alcools.
- J’ai eu des réunions et ça roulait affreusement mal, donne-t-elle comme justification pour ses trois quarts d’heure de retard.
- En fait, je viens d’arriver.
Win se lève. Son costume est maculé de taches d’eau qui n’auraient pas eu le temps de former des auréoles s’il venait juste d’échapper à la pluie.
Lamont se débarrasse de son manteau. Difficile de ne pas remarquer ce qu’il y a en dessous. Quel dommage que Mère nature ait gaspillé tant de beauté pour cette femme ! Elle porte un nom français et elle ressemble à une Française, mystérieuse et exotique, sexy et irrésistible, dangereusement. Si la vie avait pris un tour différent, si Win était entré à Harvard, si Lamont n’était pas aussi déterminée et égoïste, sans doute qu’ils se seraient bien entendus et qu’ils auraient couché ensemble.
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Elle prend ses clés de voiture dans son sac. — Parlons moins de lui et plus de moi, dit-elle. Son passé n’est pas important. Le mien, si. Mes réussites. Mon palmarès. Ma position sur les problèmes cruciaux. Le crime. Pas uniquement le crime d’aujourd’hui. Pas uniquement le crime d’hier. (Elle sort.) N’importe quel crime, n’importe quand.
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C'est étonnant qu'une femme aussi classique que toi ait une telle propension à se déguiser en paon psychédélique lorsqu'elle fait du sport.
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Tu connais le vieux diction: "N'emmerde pas un type de la mafia, à moins d'en avoir un de ton côté".
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L'excistence est si déserte quand on est seul, lorsqu'il n'y a personne à aimer.
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- Je suis trop vieille pour changer, expliqua-t-elle. Je suis trop vieille pour me préoccuper de mener une vie saine, de nouer de nouveaux liens. Je ne respire que par le passé, il est ma vie. Vous êtes jeune, docteur Scarpetta, mais un jour vous apprenderez à votre tour ce regard que l'on jette derrière soi. Vous découvrirez que nul ne peut y échapper. Vous verrez comment votre histoire personnelle vous ramène en ces lieux familiers où - ironie du sort - se sont déroulés les évènements qui ont fini par concourir à votre propre éloignement de la vie. Vous constaterez qu'avec le temps la dureté du chagrin est finalement plus confortable que tout le reste, et les gens qui vous ont trahis plus amicaux à mesure que s'évade le temps. Et vous vous précipiterez vers ces douleurs auxquelles vous cherchiez tant à échapper auparavant. C'est plus facile... Que pourrais-je dire de plus? C'est plus facile, voilà tout.
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Peu importait ce qu'avait fait - ou n'avait pas fait - la police. Une seule chose demeurait cruciale: trouver le tueur.
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La lecture des 100 voire 200 premières pages a été plutôt laborieuse : beaucoup de parlote voire de hors sujet inutile, un style d’écriture un peu vieillot d’où le manque de rythme, de dynamisme, gênant pour un livre supposé être à suspense. Mieux par la suite mais globalement très décevant.
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