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Critiques de Pedro Mairal (34)
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Salvatierra

Art brut? Influence des luministes de Majorque? Rouleaux chinois ou japonais?

Non simplement,un journal intime, en images, de 4 kilomètres de long!!!Soixante toiles suspendues dans un hangar par deux frères chargés à la mort de leur père,peintre de génie,muet suite à une horrible chute de cheval,de garder la mémoire vivante.

Un sentiment de paix s'en dégage, "tissage de vies,de gens,d'animaux,de jours,de nuits,de catastrophes",c'est une oeuvre "inhumaine" colorée qui a absorbé toutes les couleurs.

Où est passée le 61° rouleau? A-t-il été volé?Que représentait-il?

La parole passe souvent par la peinture. Elle dévoilera bien des secrets!

Une enquête bien menée et deux questions à méditer:connaissons nous tous les pans de vie de nos proches et faut-il les révéler lorsqu'ils ....nous sautent aux yeux!

Un bon roman presque policier (qui tient en haleine) au rebondissement final imprévu, basé dans le milieu artistique contemporain d'Amérique latine.

Un auteur d'une quarantaine d'années né à Buenos Aires,qui a déjà publié: Tôt ce matin,Une nuit avec Sabrina Love (adapté au cinéma) et L'intempérie tous chez le même éditeur Rivages-Payot et traduit de l'espagnol(Argentine).
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Salvatierra

J'ai beaucoup aimé ce livre, lu en espagnol ,parce que bien écrit et ayant un sujet très original. Je souhaite que la traduction soit à la hauteur et rende toute la poésie qu'il existe autour de cette belle histoire.

D'abord l'écriture, simple et précise pour nous décrire la vie de Salvatierra, le nom du peintre autodidacte et muet (après un accident) qui passera sa vie, depuis ses 14 ans, à peindre une toile de plusieurs kilomètres, en raison de une toile par année. Cette peinture raconte l'histoire de sa famille, mais aussi l'histoire de la ville où ils résident le long d'un fleuve puissant et implacable puisqu'il lui volera sa fille unique.

Ensuite un sujet tellement original et bien emmanché.

Lorsque le père décède, ses deux fils voudront faire reconnaître cette toile comme faisant partie du patrimoine culturel du village. Ainsi, ils s'apercevront qu'il manque l'année 1961. À partir de ce moment, le livre se transforme en une histoire policière pleine de rebondissements avec un final inattendu.

On pourrait penser que cette toile détaillée et ce fleuve qui coule imperturbable, représentent une métaphore: celle de l'incommunicabilité entre parents et enfants.
Lien : http://pasiondelalectura.wor..
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Salvatierra

A la mort de leur père, deux fils, Miguel et Luis, retournent dans le village de leur enfance. Ils ont désormais la charge de s'occuper de l’œuvre de leur père. Celui-ci, devenu muet dès l'enfance à la suite d'une chute de cheval, a conjuré le silence par la peinture. Sa vie durant, il a raconté son existence et celle de ses proches sur de larges rouleaux de toile. C'est une toile immense, de plusieurs kilomètres, sur laquelle se déroule la saga d'un village. La peinture de Salvatierra est conservée dans un vieux hangar, où pendent des dizaines de rouleaux suspendus. Les fils vont les redécouvrir et feront surgir bien des secrets avec eux. Interrogeant le gardien du hangar, ils vont en apprendre plus sur le travail de leur père. Ils vont aussi se rendre compte qu'un des rouleaux manque et qu'amputée d'une partie, l’œuvre reste hermétique. C'est finalement à une quête d'eux-mêmes que se livreront les frères car rechercher le rouleau manquant, c'est rechercher leur histoire.
Lien : http://liber-libri.blogspot...
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Salvatierra

Que dire de ce livre ? Je n’ai déjà pas besoin de vous parler de l’histoire, la quatrième de couverture le fait vraiment très bien, sans en dire trop, ni pas assez.



Il reste à parler des personnages et du style, qui dans le cas de ce livre sont indissociables. Le livre est écrit comme si on vous racontait une histoire, et de préférence une histoire qui puisse s’adapter en film. Les personnages sont donc décrits par leurs actions et à chacune d’elles, vous avez des images qui vous viennent en tête. Pour vous donner une idée, à un moment, Miguel parcourt le village à vélo (il est tout de même assez vieux et le fait un peu au ralenti) pour découvrir qui a volé le rouleau manquant de la peinture de son père. J’ai pensé à des vieux films policiers. Pour dire que je voyais la scène. Pour ce qui est des “surprenants secrets”, je dois être un peu blasé car je les ai trouvé tout ce qu’il y a de plus légitime dans un roman. Peut être que cela m’aurait plus convaincu si cela avait été développé mais l’auteur ne peut pas se le permettre car il a situé le narration trop tard par rapport à ces secrets. Pour donner une idée, le peintre est mort à 81 ans, le roman se passe dix ans après, si on peut penser que l’essentiel des secrets que peut avoir un homme (surtout de cette génération) est entre ces 20 et 50 ans, que les témoins de ces fameux secrets ont à peu près le même âge (voire plus vieux), vous voyez aisément le problème.



Cette manière de raconter une histoire qui aurait pu être passionnante dessert le propos car finalement, elle rend les personnages sans âme (ils agissent, moi aussi et alors ?). Seul à de très rares passages, Miguel s’interroge sur sa relation avec ce père hors-norme. Il ne raconte que certains souvenirs qui lui reviennent à partir de la toile (qui décrit toute la vie de Salvatierra) mais ne décrit pas ce qu’il ressent à ses souvenirs et les prend comme une chose faite.



Je dirais que c’est un roman agréable à lire (je l’ai lu dans le bus en une journée, je n’ai pas rechigné à le finir), avec des chapitres courts, une narration simple et agréable, une histoire intéressante mais il manque à tout cela un quelque chose qui en ferait un roman passionnant. Je suis méchante mais j’ai lu un autre roman argentin, Mes deux mondes, juste avant qui m’a beaucoup plus convaincu et ce livre a donc souffert de la comparaison à mon avis.
Lien : http://cecile.ch-baudry.com/..
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Tôt ce matin

Tôt ce matin est un recueil de nouvelles de l'auteur argentin Pedro Mairal paru en 2001. Ces nouvelles sont majoritairement réalistes même si un fantastique discret rappelant celui de Borges et de Cortázar vient parfois se glisser opportunément dans certains textes.





Sur la douzaine de nouvelles qui composent le recueil on retrouve les thèmes de la mort, de la folie (très présents dans le fantastique argentin) qui se mêlent à celui de la banalité la plus grise. Le livre dévoile également une vision désabusée (mais hélas souvent réaliste) de notre monde contemporain désenchanté. Dans l'ensemble j'ai trouvé le recueil très bien avec des textes qui vont du bon à l'excellent en révélant même une ou deux pépites (« Amazonie », « Tableaux »).





Tôt ce matin, démarre dans une Peugeot 404 avec l'excellent texte qui donne son nom au recueil et qui sous la métaphore du voyage de vacances nous parle avec beaucoup de justesse et un brin de mélancolie du temps qui passe et de la finitude de la vie. Il se poursuit avec « Week end d'amour à Colonia » qui reprend et adapte avec soin dans une ville touristique uruguayenne un grand classique de la littérature fantastique avec le thème du double. Ensuite, c'est pour moi, la meilleure nouvelle de recueil avec la nouvelle « Amazonie » : une belle pépite avec un dialogue surréaliste, un texte intriguant et superbement amené qui nous place dans l’enfer vert que doivent affronter les conquistadors à la conquête du nouveau monde. Le reste du recueil se poursuit ensuite, avec des textes plus ou moins marquants mais toujours aussi justes dans le traitement de leurs sujets respectifs : la mort, la culpabilité, le travail, l’amour, les médias et l’émergence d’internet (avec pour conclusion du recueil une histoire fictive de vente de virginité sur internet qui, comme c’était sans doute prévisible, ne tarda pas à être rattrapée par la réalité).





Le style est également un bon point pour ce livre qui m’a semblé bien écrit et bien traduit. SI une ou deux chutes sont un peu téléphonées et attendues par le lecteur, elles sont, pour la plupart, bien trouvées et beaucoup de textes invitent à la réflexion.





SI le début du recueil m’a paru exceptionnel et la fin plus convenue, je peux dire globalement que les nouvelles sont de très bonne facture et que j’ai grandement apprécié ce livre de Pedro Mairal. Une belle découverte.

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Tôt ce matin

Je dois d'abord remercier Bookycooky, membre babelio, pour sa liste Petits-Bijoux-littéraires, qui m'a fait découvrir l'univers de l'écrivain argentin Pedro Mairal.



Tôt ce matin, est un recueil de nouvelles étonnant. Les premières lignes de chaque nouvelle nous amènent à chaque fois sur des pistes différentes. Personnages, lieux, style, narration se succèdent laissant place à un recueil hétéroclite. Il y a du comique, du surnaturel et parfois on s'approche de la fable. Au cours des premiers paragraphes, on peut même avoir le sentiment d'un exercice littéraire et on ne peut s'empêcher de chercher à le comparer aux grands écrivains de nouvelles, Raymond Carver, mais pas seulement, il y a aussi du Bolaño, du Fante.



Mais dès les premiers paragraphes passés, l'univers de Mairal apparait progressivement, avec fermement. Cet univers est étonnant, car peu importe le sujet traité, il laisse transparaitre une douceur, une fraicheur et peut-être plus que tout, une candeur. Chacun des personnages des douze nouvelles abordent la vie avec une innocence rassurante, comme s'ils vivaient à côté d'eux même, se laissant couler selon les événements du quotidiens, ordinaires ou inattendus.



Que ce soit le correcteur remplaçant, la femme qui n'arrive pas à avoir d'enfant ou encore le petit garçon qui assis à l'arrière de la voiture regarde défiler les années, chacun se réconforte dans le siège du passager, regardant la vie défiler par la fenêtre, acceptant ce qui arrive, avec désillusion, mais sans amertume.
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Tôt ce matin

Douze nouvelles qui ont pour décor l'Argentine d'aujourd'hui. C'est bien écrit, chaque nouvelle a une coloration particulière , des personnages uniques et fort bien campés. Des nouvelles comme je les aime!









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Tôt ce matin

Pedro Mairal est un auteur argentin que j'apprécie car sa prose est claire et ses histoires bien balancées.

Ici nous avons 12 récits très différents, très réussis. Les histoires se tiennent très bien.

J'ai beaucoup ri avec l'histoire du couple adultère qui se rend à Colonia pour un WE romantique...mais rien ne sera comme rêvé...Ou l'histoire Amazonie où les pauvres soldats en pleine Conquête crèvent sous les armures chauffées à blanc, les bestioles petites et grosses et sont gagnés peu à peu par le délire le plus total...ou le conte sur la virginité de Karina Duran, une histoire angoissante qui montre très bien l'irruption dans la vie privée des gens des réseaux sociaux et de l'usage que l'on peut en faire...
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Tôt ce matin

J'ai découvert Pedro Mairal grâce à Bookycooky et je l'en remercie.



Si j'ai adoré 'une nuit avec Sabrina Love', j'ai un peu moins accroché avec ce recueil de nouvelles. Douze nouvelles assez courtes (livre de 150 pages). On retrouve le style très agréable de l'auteur et son côté décalé. Maintenant, comme souvent dans cet exercice, le niveau est un peu inégal.



Sans tomber dans la psychologie de bazar, et après avoir seulement lu 2 livres de Mairal, il me semble qu'il a été marqué par les accidents de voitures, ainsi que par le porno. Si le 1er thème, fort récurrent, est peut être tributaire des routes argentines, le 2ème est sans aucun doute l'affirmation de son identité masculine au 21ème siècle!
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Une nuit avec Sabrina Love

Pour grandir, il faut tracer sa route. Elle peut être longue, ennuyeuse voire effrayante. Mais elle est aussi souvent pleine de rencontres incroyables, faite de têtes qui savent se relever, fières d'avoir réussi ce passage entre l'adolescence et le monde adulte avec panache, ravies d'avoir suivi leurs envies, réalisé un rêve d'enfant pour devenir cet homme empli d'une expérience inoubliable et structurante. J'ai beaucoup aimé ce parcours suivi par ce jeune garçon, Daniel, qui devient un beau jeune homme. Tout jeune, il a perdu ses deux parents dans un accident de la route et sans le savoir il va croiser sur ce même chemin qui le mène vers la blonde sulfureuse Sabrina Love (pas besoin de détailler plus avant cette dame, avec un pseudo comme ça, on imagine aisément sur quelle chaîne câblée et dans quelle tenue Daniel a découvert les joies émoustillantes sur petit écran) il croisera donc sur cette route menée à pied, en stop, en bus et même en radeau des personnages et des histoires qui lui apprendront beaucoup sur la vie. 500 kilomètres pour rejoindre Buenos Aires, quitter un monde pour découvrir ce qu'il aime, ce qu'il veut, qui il veut être et revenir grandit à Curuguazu. Un roman que je recommande vivement. Encore une fois, un grand merci à Bookycooky pour cette découverte :)
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Une nuit avec Sabrina Love

À l'occasion du Salon du Livre 2014, où l'Argentine est à l'honneur, je suis heureuse de rendre hommage à la littérature argentine, variée et riche qui m'a procuré tant de découvertes intéressantes.

En voici une, l'écrivain Pedro Mairal dont je viens de terminer l'excellent "Salvatierra".



"Une nuit avec Sabrina Love" est aussi très bon: il narre l'apprentissage sexuel d'un garçon de 17 ans qui rêve d'une actrice du porno, Sabrina Love, jusqu'à devenir obsédé. Il gagnera un concours que lui octroie une nuit avec Sabrina, sa muse érotique. Il voyagera à la capitale et cette nuit initiatique lui ouvrira les yeux sur le côté obscur des choses, sur la triste réalité.

Livre par moments très drôle, par moments pathétique et cru, toujours hyperréaliste.

Un film a été tourné en 2000, il est visible sur youtube.
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Une nuit avec Sabrina Love

Merci à Bookycooky qui m’a fait découvrir Pedro Mairal.



Ce court roman se lit rapidement d’une traite. Très beau roman sur l’initiation d’un jeune homme aux premières joies charnelles. Très bien écrit, avec une poésie que je qualifierai d’argentine en filigrane.



Je vais me plonger avec hâte dans ´tôt ce matin’, commandé en même temps que ´une nuit avec Sabrina Love ´.
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Une nuit avec Sabrina Love

Una noche con Sabrina Love. Lu en v.o.



Ah! La premiere fois! Qui ne s'en rappelle! Je pensais me suicider. Ca lui a pris longtemps, de tres nombreux jours pour me convaincre qu'il y a des evenements plus graves dans la vie, que les echecs sont faits pour etre surmontes. Mal lui en a pris: elle a du me supporter jusqu'a aujourd'hui.





Daniel Montero, le jeune heros de ce livre, pourra, lui, se rappeler tres agreablement son “debut", comme l'auteur nomme cela. Il pourra sourire, parce que pour y arriver il aura fait un long periple, long et pas ordinaire. Il aura ete etonne, deconcerte, desoriente. Par une metropole, Buenos Aires, dont il ne pouvait soupconner la grandeur depuis son patelin natal. Par des modes de vie et des comportements qu'il n'aurait ose imaginer. Il aura ete nombre de fois en danger mais en sera sorti par chance et avec pas mal d'audace. Il aura ete saisi de craintes, d'une petite panique, avant de rejoindre la femme dont il avait longuement reve, Sabrina Love, la grande star porno. Mais il aura su s'elever au dessus de son trouble, de ses apprehensions, et faire de ce rendez-vous une aventure inoubliable, ou la gene et la gaucherie s'effaceront devant une sorte d'hesitante tendresse, aboutissant en un dechainement sensuel. Pour couronner ce succes, il rencontrera une jeune fille avec qui il aura plaisir a parler, a deambuler, avec qui il fera de nouveau l'amour, en un echange deja plus assure, et qui voudra le revoir. Le premier vrai amour de jeunesse. Qui saura jamais? Peut-etre l'amour de sa vie.



Une nuit avec Sabrina Love est donc un roman d'apprentissage, d'initiation. Plus que cela, c'est une odysee moderne. Le voyage d'un adolescent qui devra passer par toutes sortes de situations plus ou moins perilleuses pour reussir en fin de compte a joindre une ame soeur. C'est une replique, ou plutot une parodie, des poemes epiques du moyen age, ou les futurs chevaliers devaient s'affronter a divers monstres, geants ou dragons lanceurs de feu avec un objectif tres clair: etre un heros, etre un homme, ou ce qui revient au meme, integrer le systeme de valeurs de l'epoque. C'est ce que reussira Daniel Montero, apres avoir ete vole par des soldats, failli etre pietine par un troupeau de boeufs, adopte par des ouvriers de maintenance routiere, dormi avec des vagabonds, pris en stop par des fous du volant, apres s’etre enivre dans un bal masque de gays, apres avoir ete battu et blesse par le producteur-proxenete de Sabrina. Comme les heros moyennageux il aura droit a sa recompense: l'amour d’une pure jeune fille scellera sa randonnee. Daniel Montero est desormais un heros.



Daniel Montero reussit a nous toucher, surement parce que Pedro Mairal reussit a ecrire juste. Simplement, deroulant linearement l'intrigue, avec des dialogues qui sonnent vrai dans les bouches des differents personnages. Ce n'est que quand le jeune heros est sur la route du retour a son bourg provincial, repu et content, que l'auteur se permet quelques flash-backs, comme une cerise sur le gateau.



Mairal ecrit bien. J’avais deja aime de lui L'Uruguayenne, et je suis content d'avoir suivi le conseil de BookyCooky et d'avoir ouvert ce livre aussi. A mon tour, je le conseille.

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Une nuit avec Sabrina Love

Un garçon de 17 ans vit dans un petit village de la province argentine.Ses parents sont morts dans un accident de voiture,il vit avec sa sœur et sa grand-mère et travaille pour un élevage industriel de poulet.Il pirate l'antenne satellite de ses voisins ,se procure un téléviseur et un décodeur,et accède à la multitude numérique et télévisuelle.Ce qui l'intéresse évidemment sont les chaînes pornographiques.Lors d'un tirage au sort organisé par une de ces chaînes,il gagne une nuit avec la présentatrice vedette de porno,Sabrina Love.Il ira a Buones Aires pour son prix,un voyage qui l'initiera à la vie en général.Ne vous inquiétez pas ,ce n'est pas un roman pornographique.Si vous aimez l'Argentine et les films de Carlos Sorin,ce livre est pour vous.
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