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Critiques de Philippe Bertrand (59)
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Le Montespan (BD)

1663, le marquis de Montespan épouse une jeune dame Françoise de Rochechouart connu dans un tribunal suite à un duel entre le frère du marquis et le futur époux de celle-ci. Mais les finance du couple ne sont pas au beau fixe alors pour renflouer les caisses le Marquis s'engage et part en guerre, Françoise quant à elle va être placée à la cour auprès de la reine. Chaque fois qu'il rentre il retrouve sa femme enceinte.

Louis XIV a fait de la marquise de Montespan sa maitresse, mais au lieu d'en être fier (comme c'était l'usage à l'époque) le marquis de Montespan refuse catégoriquement de « prêter » sa femme et souhaite vivement la récupérer, en vain… Il deviendra le cocu le plus célèbre de l'histoire de France.

Pour marquer son opposition il va orner son carrosse de cornes (ramures de cerf) mais cette rébellion ne va plaire à tout le monde si certains vont en rire d'autre vont essayer de tuer ce marquis qui l'ouvre un peu trop.



Adaptation Bd du roman de Jean Teulé, Le Montespan est une sorte de parodie historique alors oui on rigole bien en le lisant mais je doute que le marquis a vraiment ri de toute cette histoire.

J'ai été un peu rebuté au début par les dessins un peu simpliste mais en fin de compte c'est ce qui donne tout son charme à la BD, des scènes crues qui m'ont bien fait rire crues mais pas vulgaires, des situations cocasses pour le récit d'une obstination absurde (organiser des obsèques pour son amour perdu).

Un côté humoristique qui fait quand même un peu de place à un homme touchant qui pour garder sa femme sera prêt à tout, à tout subir et tout entendre quel homme serait capable d'une telle chose de nos jour : se proclamer cocu et insister pour récupérer sa femme ?


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Jack et la Citrouille - Conte d'Halloween

L'habituel pacte entre un mortel et le diable. L'humain se croit finaud, et réussit à prendre le diable à son jeu à deux reprises. Mais le Malin n'a pas dit son dernier mot.



Un très grand format qui laisse les illustrations s'exprimer pleinement. Dans les orangés, celles-ci sont envoûtantes. Elles attirent le regard.



Le texte est long, remplissant lui aussi l'espace de la page en vis-à-vis des dessins. Il est tellement dans l'esprit des contes d'antan qu'on a du mal à croire qu'il est écrit en 2001. Un vocabulaire riche et de beaux rebondissements. Mais pas mal de longueurs également.
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Olympia

Cet album aura au moins le mérite de remettre en lumière un dessinateur éclectique au trait singulier autant que marquant et un récit qui l’est un peu moins !
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Le Montespan (BD)

Bien. Mais beaucoup moins savoureux que le roman. Si le dessin est très agréable et que cette lecture m'a permis de me remémorer des passages que j'avais un peu oubliés pour n'en garder que d'autres en tête, il n'y a pas dans ce livre la truculence et la saveur qu'il y avait dans le roman original de Jean Teulé. Ni les détails, bien entendu, ni l'impression de grandiose que l'écriture avait su donner à cet homme. Ici, on le voit bravache, inflexible, un peu paumé, mais pas amoureux (même si c'est dit et que le sexe y est largement présent), pas fou de douleur, pas courageux ni fier comme dans le roman... Je pense que peut-être la forme BD ne permet pas de retranscrire de manière aussi intense émotionnellement à la fois son panache et son côté pathétique, aussi...

Bref, c'est un peu plat, à l'image des cornes du carosse, moins immenses dans la BD que sur la couverture du livre. Dommage donc, même si c'est une bonne BD. A réserver, donc, aux amateurs d'images qui ne liront pas le livre de Jean Teulé.
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Le Montespan (BD)

C'est l'histoire du cocu le plus fameux de l'Ancien Régime, Louis Henri de Montespan, qui épousa le 18 janvier 1663 la somptueuse Françoise de Rochechouart qui devint quatre ans plus tard LA Montespan, favorite de Louis XIV. C'est l'histoire d'un amoureux transi, d'un cocu magnifique qui refuse de voir sa femme partager la couche d'un autre, serait-ce celle du Roi Soleil. Avec panache il va, sa vie durant, œuvrer pour le retour de sa femme, quitte à harceler le souverain et braver l'autorité royale. Ainsi, il repeint son carrosse en noir, l'orne de monumentales cornes, organise les funérailles de son amour perdu... et crée le scandale à la Cour !



En 2008, Jean Teulé faisait un best-seller de cette histoire rocambolesque ; aujourd'hui, il en signe avec Philippe Bertrand l'adaptation en bande dessinée. Mais si on trouve dans cette BD l'essentiel du récit et quelques belles répliques, on n'y retrouve pas pour autant la verve du roman et la démesure des personnages qui ont perdu de leur fulgurance et de leur caractère. Le Montespan, personnage insolent, truculent et plein de panache, devient ici plus doux (plus mou) et mélancolique, affadi ; et La Montespan, ribaude à la cuisse légère et à la repartie piquante et spirituelle, parait simplement vénale et quelque peu niaise. Quant au dessin, composé de traits simples et de couleurs en lavis, il contribue à édulcorer tant les personnages que les décors au lieu de les incarner.



Bref, une adaptation un peu fade d'une histoire pourtant savoureuse et rocambolesque.
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Le Montespan (BD)

Adaptation du roman de Jesn Teulé qui nous fait découvrir la ie du marquis de Montespan pendant le grand siècle.

Les auteurs portent l'éclairage sur la vie du mari de celle qui fut la maîtresse du Roi Soleil. Ils décrivent les conditions de vie d'un noble de province qui ne résoudra jamais à accepter les faveurs du Roi en compenser de la perte de son épouse.
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Le Montespan (BD)

Adaptée du roman de Jean Teulé, évoquant une petite histoire dans la Grande Histoire, cette bande-dessinée ne pouvait que me plaire : récit historique, grands personnages, humour. Mais je n'ai pas particulièrement apprécié ma lecture, sans trop savoir si cela était dû au graphisme trop simple à mon goût ou à l'humour de l'auteur, dont je connais finalement peu l'oeuvre. Une déception qui ne m'empêchera pas pour autant de partir à la découverte de l'oeuvre de Jean Teulé.
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Rester normal

une satyre de la richesse sur fond de catastrophe... Dessins stylisés, histoire assez construite et recherchée mais ce n'est pas le style que j'apprécie d'habitude.
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Jack et la Citrouille - Conte d'Halloween

Le format choisi par l’éditeur est propice à la lecture à voix hautes et à plusieurs, un parti pris qui ne va pas forcément dans le sens des enfants, qui n’arriveront pas à tenir l’objet ni à lire les très longues narrations, mais qui fait participer les parents qui peuvent le lire s’ils le souhaitent, à la veillée, ce que je trouve très sympa. Les grandes planches signées Philippe Bertrand sont emplies des couleurs de l’automne et font la part belle aux ocres, marrons et orangés et mettent en scène des personnages aux allures et postures très explicites et expressives, qui ont beaucoup plu aux garçons.

Le texte écrit par Françoise Le Braz est littéraire et plutôt soutenu, ce que j’ai apprécié aussi, le texte est simple à comprendre, ce qui ne l’empêche pas d’employer des mots plus recherchés, ce qui permet aux enfants d’enrichir leur vocabulaire. En raison de quoi, c’est moi qui ai surtout lu car ils ne sont encore pas capables de lire une pleine page tout seuls, ils se lassent vite et les pages si hautes, rendent la lecture difficile pour eux. Mais ces petites difficultés de lecture mises à part, nous avons pu partager un joli moment de lecture tous les trois, ce qui était le but recherché, et nous connaissons désormais la légende de Jack O’Lantern, bien que l’auteure est pris quelques libertés avec la tradition, que je vais vous résumer en quelques mots !

Lire la suite...
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Linda aime l'art

Philippe Bertrand (1949-2010) est un dessinateur et auteur français. Après des études de graphisme il travaillera pour plusieurs journaux, Charlie Mensuel, L'Idiot international et Pilote.

Auteur-dessinateur de BD, comme avec la série érotique Linda aime l'art qu'il crée en 1983 dans Pilote, écrivain et dessinateur pour enfants, illustrateur avec des auteurs comme Tonino Benacquista et Frédéric Beigbeder, ou auteur de contes érotiques, Philippe Bertrand était un touche à tout.

Les éditions La Musardine viennent de rééditer Linda aime l’art dont la première version avait été publiée dans Pilote avant de faire l’objet d’une parution en album chez Dargaud en 1985. Les planches sont complétées par une courte préface de Frédéric Beigbeder, hommage à son ami disparu, et Jean-Marc Thévenet clôt l’ouvrage par une analyse du travail du dessinateur.

Linda habite le 25e étage, elle ne sort jamais et elle regarde son vidéoscope quand elle n’est pas branchée sur une chaîne câblée spécialisée. Pour faire plus simple, disons qu’elle est très portée sur la « chose ». Seule devant son écran, elle phantasme en tenue légère, « Oh ! Extra, il a amené ses copains ! » Et c’est tout.

Des histoires sans queue, ni tête. Sans tête, surtout. On a beau mouiller son doigt pour tourner les pages, rien n’y fait. On s’ennuie raide, tout comme les personnages de cette BD qui donnent l’illusion de s’envoyer en l’air à longueur de pages mais qui pourtant ne décollent pas. Une succession de phantasmes assez banals sans avoir le mérite d’être développés.

Une bande dessinée pour moi, c’est un scénario et des dessins. Parfois, il faut qu’un spécialiste de l’un et un expert de l’autre, s’associent pour nous pondre une merveille. Ici, Philippe Bertrand est seul, bien seul, avec un scénario indigent et des dessins qui laissent indifférents, tant ils sont froids. Mêmes les vignettes les plus explicites nous laissent en berne. Ce n’est pas assez, pour être lu d’une seule main, mais c’est trop, pour être mis dans toutes les mains. On va me dire que c’est de l’érotisme… A ce compte-là, précipitez-vous sur Martin Veyron ou Manara, pour ne citer qu’eux. Là vous aurez un scénario et des dessins chauds et sensuels.

L’éditeur indique en quatrième de couverture, « la BD culte », le lecteur rectifiera de lui-même, il faut lire « cul-culte » bien entendu. Linda aime l’art, elle est bien prétentieuse. Seul point positif, la vignette de couverture est assez réussie.



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Le Montespan (BD)

1663. Deux marquis se sont provoqués en duel. L’un en est mort, l’autre a préféré l’exil pour échapper à la justice royale car, si les duellistes sont encore nombreux à cette époque, un édit interdit cette pratique depuis plus de 10 ans. Devant répondre des actes de son défunt frère, le Marquis de Montespan se rend au procès. Françoise de Rochechouart de Mortemart, quant à elle, représente son fiancé en exil. La situation l’oblige de plus à annuler ses noces. Voyant cette belle femme aussi désemparée, Montespan la demande en mariage. Ils vivent quelques heureuses années d’un amour réciproque, partageant leur temps entre de nombreux ébats amoureux et moultes soirées à jouer aux cartes. Ils y perdent beaucoup d’argent. Préoccupé par l’état de leurs finances désastreuses, le marquis s’enrôle dans les troupes royales, pensant que son salaire suffira à redresser le budget familial.



C’est ainsi que l’histoire de notre jeune marquis se met en marche. Car si ses débuts amoureux sont assez joyeux, le reste de sa vie est pour le moins originale. Chacun de ses départs au combat est l’occasion pour sa dulcinée de batifoler à tout-va, chose qui n’inquiète pas le marquis (malgré la naissance de son fils qui survient à son retour de la guerre, soit après 11 mois de campagne). Et puis Madame de Montespan aspire au grand luxe, elle ne refusera donc pas la proposition de devenir Dame d’honneur de la Reine. Son arrivée à la Cour royale est remarquée par Louis XIV et, peu de temps après, elle devient sa maîtresse. Les tentatives du Marquis de Montespan pour récupérer sa femme sont vaines. Il entre dans la postérité en devenant le cocu le plus célèbre de l’histoire de France.
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Le Montespan (BD)

Tout le monde connait désormais l'histoire du marquis de Montespan qui s'est fait voler sa femme par le roi Louis XIV lui-même. Refusant d'accepter le fait et d'en tirer profit, Montespan fait des vagues en affichant à la face du monde son statut de cocu, pour le plus grand déplaisir de la cour qui finit par l'expulser de Paris.



Le roman de Teulé, sorti en 2008, vient désormais d'être adapté en bande dessinée par Philippe Bertrand.

Collant au roman, l'album bénéficie d'un fort réalisme historique. Les costumes, les décors, l'ambiance de la vie quotidienne, la saleté de la ville, ... tout est parfaitement rendu dans un graphisme qui, sans être révolutionnaire, sait pointer aussi les défauts des personnages et des situations.



On y retrouvera une grande partie des scènes du roman qui s'enchainent ici rapidemment, trop rapidemment... En effet, le roman foisonne de scènes truculentes et malgré les 112 pages de cet album, difficile de s'attarder sur chacune. De fait, je n'ai pas réussi à me replonger dans l'ambiance de l'époque, trop survolé à mon goût. L'idylle entre le Montespan et sa femme est trop vite brossée et on ne ressent pas toute la sensualité et sexualité latente entre eux, malgré une scène coquine.

Je n'ai pas réussi non plus à y retrouver la verve de Teulé malgré les fulgurances langagières des personnages.

Difficile de reprocher quoi que ce soit au dessinateur qui a parfaitement retranscrit tout ce qui se trouve dans le texte d'origine mais je reste très mitigée sur cet album qui plaira inconstestablement à ceux qui n'ont pas lu le roman.

Peut-être que 100 pages de plus auraient permis d'approfondir tous les éléments que je trouve trop légers... Je ne sais pas vraiment...

Cette album est une déception pour moi mais je vous invite tout de même à y jeter un oeil car ce n'est pas une mauvaise adaptation.
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18 meurtres pornos dans un supermarché

L'écrivain français Philippe Bertrand est surtout connu dans la littérature de jeunesse, ainsi que dans la bande-dessinée. Ici, dans 18 meurtres pornos dans un supermarché, Philippe Bertrand fournit un roman évidemment tourné vers un public adulte, un texte trash, gore et clairement pornographique...



Suite: Voir lien ci-dessous!
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Dimanche

Offert à mon chéri il y a longtemps, cet album accordéon fait la liste des "petits bobos et petits bonheurs" du dimanche. Et j'avoue que je me retrouve bien dans la liste édifiée par Elisabeth Brami, que ce soit "avoir le cafard et se sentir seul" d'un côté ou pour "se moquer de l'heure des repas" de l'autre.

Après je suis moins fan du style du dessin mais il correspond bien à l'époque à laquelle il a été édité.
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Olympia

Peu de chose à en dire si ce n’est que j’ai trouvé l’histoire particulièrement brouillonne. Les dessins en noir et blanc sont forts. Pour moi, les nus apportent peu de chose à l’histoire, si ce n’est une sorte de voyeurisme comme l’évoque Enki Bilal dans la préface.
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Le Montespan (BD)

Jean Teulé et le Neuvième Art. Cette association est loin d'être nouvelle. Avant de devenir romancier, Teulé était un auteur de BD ayant participé notamment à la revue L' Écho des savanes. Avec « Le Montespan », lui et Philippe Bertrand adaptent dans ce format son célèbre roman éponyme.





N'ayant jamais lu du jean Teulé, j'attaque cette bande dessinée vierge de tout a priori. Et le résultat m'a séduit. L'auteur mélange habilement un humour cru et salace avec la tendresse de la romance dramatique. Je n'ai pas eu de coup de cœur pour les dessins mais ces derniers collent bien avec le sujet.

Une bonne bande dessinée.
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18 meurtres pornos dans un supermarché

Par un coup du hasard, ou devrais-je dire grâce à une rencontre de salon, j'ai eu l'opportunité de discuter avec un éditeur de la Musardine. A ce jour, je n'ai lu que très peu de romans érotiques et cette rencontre fut l'occasion d'avoir des conseils sur quelques titres.

Après en avoir choisi trois, j'ai commencé par celui-ci dont la couverture très suggestive m'a intriguée. (Couverture dessinée par l'auteur lui-même !)



Le roman se scinde en deux intrigues dont certains personnages sont récurrents. Il s'agit des psychopathes Mouloud et la Sardine et de l'inspecteur Morel. A savoir que le second récit se passe quelques années avant le braquage malheureux du supermarché Bravo.



Le premier récit narre le casse violent et pervers par deux (trois si on compte Loulou) malfrats pas nets dans leur tête d'un supermarché populaire. le braquage est violent et nos lascars en profitent pour tâter la marchandise et régler quelques comptes.

Toutefois, si ils sont plutôt bien fournis sous la ceinture, il n'en va pas de même au niveau du cerveau...

Qui arrivera à s'en sortir ?



Dans le second volet, l'inspecteur Morel est loin de se douter de ce qui l'attend quand il accepte, en se faisant passer pour un majordome, une mission d'infiltration chez une baronne soupçonnée d'abominables meurtres sexuels. La baronne, qui s'appelait auparavant Pauline dans sa jeunesse, possède des désirs aussi impérieux qu'imprévisibles et règne sur une nuée de jeunes filles cultivées et nymphomanes. Tandis que la Sardine, le tueur de service rôde...

Que se passe-t-il réellement dans cette demeure bourgeoise ?



Ces deux nouvelles sont... Crues. Tant par les descriptions, les actions que le vocabulaire. Ne vous attendez pas à une once de romantisme ou d'élégance, c'est passé de mode. Ici, c'est sale, trash et le sexe est abordé de façon plutôt vulgaire. L'homme ou la femme est traité comme un objet de plaisir (ou un animal) et ne sert qu'à extérioriser des besoins primitifs.

Pas de préliminaires ! Pas non plus trop de scénario. le tout exprime plus de la bestialité que de la sensualité. L'auteur aborde le sexe de façon cavalière, cru. Pas de fioritures, chacun va droit au but pour le meilleur et pour le pire. Sadomasochisme, nymphomanie, jeux de rôle sexuel... Autant de vices que le lecteur va découvrir au fil des pages.

Si on oublie le côté sexuel des histoires, les scénarios manquent un peu (beaucoup) de profondeur (Désolée pour le jeu de mot !) et on reste sur sa faim.



Personnellement, je préfère quand le sexe est abordé avec plus de bon goût et de délicatesse. Mais ce livre saura contenter les amateurs de sexe extrême. Toutefois, j'ai hâte de découvrir les deux autres romans sur lesquels je reviendrais prochainement.



Un roman rose, noir et trash, à ne pas mettre entre toutes les mains.
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Dimanche

Petits bonheurs et petits bobos d'un dimanche dans un format original en accordéon recto-verso. On vit tous, petits et grands, une fois par semaine, chacune des situations proposées.
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Rester normal

Que dire de cette bande dessiné. Elle résume la vie des gens riches: argent, luxure et excès en tous genres....

J'ai trouvé qu'elle n'avait aucun intérêt et je n'ai absolument pas apprécie.
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Le Montespan (BD)

Le marquis de Montespan épouse une jolie jeune femme qui va devenir la maîtresse du roi. Montespan refuse de considérer cela comme un honneur...

J'ai vraiment bien aimé le personnage du marquis de Montespan, le dessin n'est pas désagréable mais ce n'est pas une histoire qui m'a passionnée. Le roman est sans doute plus riche pour ceux qui aiment ce genre historique.
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