Philippe Torreton

« Un coeur outragé » est à la fois une déclaration d'amour et une critique savoureuse du cinéma français.
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CIRCULEZ Y A RIEN



Qui cela peut interesser ?



Un enieme livre de cet acteur qui se veut à présent auteur. Faute de cachet pour lire des textes il se met a faire des lignes pour faire du texte.



Parce que ce n'est que cela. Pour ainsi dire.



Encore dans du nombrilisme. Professionnel pourquoi peu, et un tantinet personnel. Pas d'élan, pas d'histoire, pas de vrai style. Rien.





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Philippe Torreton nous offre un magnifique hommage à sa grand-mère, une femme au caractère bien trempé, empreinte de valeurs simples et essentielles. À travers une plume poétique et empreinte de tendresse, l'auteur nous transporte dans l'univers authentique et chaleureux de cette grand-mère volontaire, généreuse et économe, qui vivait au rythme de ses animaux, de son potager normand et de ses tiroirs remplis de ficelle.

Dans ce recueil de souvenirs, chacun peut retrouver l'écho de sa propre grand-mère, et se replonger dans une époque où l'on se satisfaisait de peu, où l'économie et le travail étaient des valeurs cardinales, où la société de consommation n'avait pas encore pris le dessus. C'est un rappel poignant de cette époque où l'on réutilisait tout, où la préservation des ressources était une nécessité plus qu'un choix écologique.

Ce livre m'a profondément émue, m'arrachant des larmes tout en me plongeant dans une douce nostalgie. C'est un véritable baume pour l'âme, un retour à un univers réconfortant et bienveillant.

Je ne saurais que trop recommander cette lecture à ceux en quête de réconfort et de simplicité.

Je ne sais plus qui m'a influencé dans le choix de cette lecture, mais pour moi, c'est une déception. J'ai trouvé ce bouquin - proche d'une biographie même si l'auteur s'en défend - dénué d'intérêt. Je n'ai pas accroché du tout.



Normalement, ce genre de livre doit susciter des émotions. Je n'ai rien ressenti lors de ma lecture.



Il apparait, ça, c'est certain, que Philippe Torreton adorait sa grand-mère, une femme simple et généreuse, mais à part ça nada ! Il relate ici la vie de sa grand-mère, faite de travail, de dons de soi, les relations qu'il a nouées avec elle.



Le début du récit est très ennuyant : l'auteur décrit la maison de mémé sous toutes les coutures et fait un inventaire de ce qu'elle contient.



Ensuite, son héroïne apparait...



Voilà, je n'ai rien d'autre à dire. Je n'ai pas du tout été capté par ce récit qui ne fait, heureusement, que 140 pages.
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Très joli petit livre,qui a le mérite de faire revivre sa mémé,comme on disait à une époque désormais révolue.

Tout passe hélas et le goût de ces moments passés ensemble aussi.

Tendresse et bienveillance sont au cœur de ce livre si émouvant et remuant.

Merci Philippe,je peux bien l'appeler par son prénom puisqu'on a eu la même mémé...

Philippe Torreton est un acteur français de théâtre et de cinéma. En 2014, il publie « Mémé », roman autobiographique où il nous parle de sa grand-mère bretonne. Elle veillait sur lui et lui sur elle.

Ce portrait est écrit avec sincérité et pudeur. On y rencontre le respect, l’admiration et l’amour. Ce récit parle de la société de consommation dans laquelle nous vivons, en opposition à « mémé » qui recyclait tout.

Ce roman est court et écrit avec une belle plume. Il contient beaucoup d’humour.

C’est une magnifique déclaration d’amour de Philippe Torreton à sa grand-mère. A lire si on adore la campagne !

Philippe Torreton fait preuve d'humilité, trouvant dans ses professeurs, ses camarades, au théâtre comme au cinema des leçons d'humanité. La distance nécessaire avec le personnage interprêté et l'accent mis sur le texte, lui permet de tout jouer. L'acteur porte les paroles de l'auteur et le reste est affaire de travail. Il ne s'agit pas de copier les autres mais de trouver dans le texte la vérité du personnage.

Partagé entre une mère desséchée par sa bigoterie et un père bon vivant, généreux qui a bien compris l'idée de partage, et qui fuit dans sa belle voiture la mesquinerie de sa femme, Jacques finalement est entré dans l'armée pour fuir sa ville dévastée, sa vie dévastée, sa famille dévastée. La vie que lui propose sa mère et la société au lendemain de la guerre ravageuse lui pèse, alors il ira trainer sa vie en Indochine, pour faire une pause, droit dans ses bottes et uniquement intéressé par la vie en communauté auprès des soldats embarqués comme lui dans la galère, et animé par la seule responsabilité dans son travail, qui fera sens à sa présence dans l'armée.

De retour de « son errance », la rencontre avec Claudine va le booster pour commencer « sa libération ».

En fin d'ouvrage, son fils Benjamin, en se faisant réformer , va comprendre toute la douleur enfermée de son père : craignant d' être rejeté par un père ancien militaire, au contraire, se faire réformer lui aura permis de se rapprocher de cet être silencieux, phagocyté par la violence de la destruction de la ville de son enfance, « la casse à ciel ouvert », la perte de son père, une jeunesse en « vase clos ».

J'ai beaucoup aimé le style « Torreton » que j'avais découvert dans « mémé », son humour caustique qui ne mâche pas ses mots, la simplicité et la puissance de certaines images, sa tendresse et sa poésie.

Beau témoignage.

Je n'ai pas grand chose à dire à part que c'est une très belle déclaration d'amour à son aïeule.

Ses merveilleux souvenirs auprès de son ancêtre qui nous rendent nostalgiques de notre enfance et en même temps reconnaissant de les avoir vécus.

Rien ne peut remplacer les bons plats d'une grand-mère 🍗



&#xNaN "C'est vrai que la vie de mémé se sera déroulée au cours d'une période d'inventions sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Elle est passée du facteur à cheval aux e-mails, des premiers avions en toile à la navette spatiale, de la guerre en pantalon rouge garance à la bombe atomique et de l'affaire Dreyfus aux chambres à gaz."

🍁. Je pensais être face à un roman où j’attendais l’action .. j’ai vu qu’après avoir fini le livre que c’était une autobiographie 🙄😅

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🍂. L’histoire est jolie et m’a fait retomber en enfance… ma grand-mère est toujours dans ce monde mais je pense je pense que mes propos seraient identiques à ceux de l’auteur.

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🍁. On sent beaucoup d’amour dans cette lecture, c’est touchant. Je vous recommande ce livre sans hésitation !

Une lecture commune avec Sylvaine pour un challenge

Je vous invite à lire sa critique

J ai aime ce petit livre dans lequel philippe Torreton rend hommage à sa grand-mère.

Un livre plein de tendresse

Une certaine génération pourra s y reconnaître

Bravo m Torreton

L'ode d'un petit-fils à sa grand-mère.. cela pourrait être banal et passe-partout mais ce serait oublier le respect, l'admiration et l'Amour qu'il lui portait et qu'il lui porte toujours maintenant qu'elle a déposé les armes..



Chacun trouvera dans ce recueil de souvenirs ce petit quelque chose enfoui au fin fond de sa mémoire, ce petit quelque chose qui tout à coup envahit la rétine , fait affleurer un sourire et briller une larme.



Merci Monsieur Torreton

Celle qui est tendrement appelée Mémé vit dans une ferme normande bien trop humide et froide. Sa vie n'est que travail : à l'usine, aux champs, à la cuisine... Son petit-fils, l'auteur, grandit près d'elle et lui voue une grande affection.

Le livre est un bel hommage rendu à cette femme, à son mode de vie simple, responsable et respectueux. Le lecteur comprend que ces tranches de vies ont façonné l'homme engagé que Philippe Torreton est devenu.

Quel bonheur de lire cette lettre d'un immense comédien à d'imaginaires amateurs/étudiants de théâtre!

Issue moi-même d'une formation théâtrale, même si je n'ai pas poussé plus loin, je me suis plongée dans les conseils de Philippe Torreton.

Il saute du coq à l'âne, évoque son parcours puis plonge dans la théorie de l'art dramatique, et à travers ces propos, dresse un bel état des lieux de l'enseignement dramatique aujourd'hui.

Le glossaire en fin d'ouvrage est bien conçu et rappelle en quelques mots les références pointues que le lecteur n'a pas forcément.



Alors c'est sûr, ce livre n'est pas pour le lecteur que le théâtre n'intéresse pas/que peu. Voire même je dirais "est pour le passionné de pratique théâtrale". Mais quand on l'est, c'est passionnant. Même s'il n'y a pas de suspense à proprement parler, j'avais hâte de reprendre la lecture pour voir les autres conseils donnés et les petits aperçus de la formation théâtrale de l'auteur.



Et pour conclure, un détail, M. Torreton, si vous lisez cette critique... vous faites allusion à un bibliothécaire prudent qui enfilerait masque et gants pour feuilleter un livre ancien... oubliez tous ces accessoires inutiles, surtout les gants, ce serait plutôt de l'imprudence car on pert en dextérité, je vous passe les autres risques ... secret de bibliothécaire ! (seule petite crispation de la lecture ce livre prenant)

J’ai eu la chance de découvrir cette lecture dans le cadre d’une Masse Critique ! Je dois dire que je suis relativement surprise ! Même si l’emploi du tu m’a un peu déstabilisé, j’ai bien aimé la bienveillance de l’auteur, les conseils qu’il promulgue au future comédien, les témoignages et bride de vie. Bref c’est un bel ouvrage de transmission.

J'aime quand le hasard des ventes chez EMMAUS fait tomber des pépites dans mon caddie. Et là, je te parle d'une très, très jolie pépite.



Philippe TORRETON est un acteur connu, bien connu et reconnu. J'apprécie l'acteur, je ne connaissais pas l'auteur. Or, l'auteur est tout à fait à la hauteur de l'acteur !



La Mémé de TORRETON, elle ressemble à MA mémère. Elle nous parle, elle a un goût d'enfance. Elle raconte les gens de peu qui font de tout avec un rien, elle dit l'amour des siens en silence ou au détour d'une tarte aux pommes, elle est avare de sentiments mais pas de travail.



Et Philippe TORRETON, nous la présente avec une plume pleine de tendresse, il raconte ses souvenirs comme ils viennent, avec le cœur plus qu'avec la tête. Et il en pleut des souvenirs, forcément ça évoque des choses...

C'est écrit avec une infinie tendresse, avec légèreté, sans prétention hors celle de rendre hommage à celle qu'il aimait tant.



Forcément, j'ai aimé cette jolie plume qui m'évoque celle de Philippe DELERM, j'ai aimé cette évocation des petites choses de la vie quotidienne, j'ai aimé la tendresse qui déborde ... j'espère que je saurai être une grand-mère comme celle-là.



J'ai beaucoup, beaucoup aimé.

Après plusieurs ouvrages, dont l'émouvant Mémé, Philippe Torreton publie cette fois une lettre ouverte, sorte de bienveillant dix commandements à destination des futur.e.s et/ou potentiel.le.s comédienn.e.s que nous sommes.



Un texte alliant conseils et injonctions, écrit à la 2ème personne, ce fameux tu, créant un lien immédiat entre l'auteur de la lettre et son lecteur.



Dans celle-ci, Plilippe Torreton met son expérience au service de la jeunesse et déclame son amour du verbe et du théâtre. Non pas un amour aveugle, une passion au sens philosophique du terme, mais plutôt un amour éclairé et éclairant. Conjuguant citations, situations vécues et ressentis en tant que comédien puis professeur, il s'adresse au comédien en devenir tel un coach à son protégé qui monte sur le ring.



Il n'édulcore pas le milieu du théâtre mais offre un éclairage qui déconstruit un certain nombre de préjugés pour aller vers l'essentiel : « Ne laisse personne polluer cette joie première d'être sur scène. » ou bien « Ne deviens jamais un acteur professionnel, reste amateur, reste fragile, reste étonné. » Un emploi de l'impératif qui peut étonner au premier abord, mais qui interroge au lieu d'ordonner.



Dans cette lettre, il parvient à associer théories et idées plus abstraites avec une approche très concrète du métier, en établissant une to-do list à destination du comédien en herbe : être en avance aux répés, comment travailler son texte, comment rebondir à un échec, etc...



Du texte ressort fraîcheur et enthousiasme pour cet art qui, selon lui, devrait prendre place dans le cursus scolaire. Trop peu d'élèves y goûtent pendant leur scolarité, et ils ont pourtant tant à y gagner. Aller à la recherche de soi-même, se mettre au service d'un texte, apprendre à poser sa voix, à écouter l'autre...



Car le théâtre n'est pas fait de narcissiques cherchant à briller sous les projecteurs, mais bien plus de personnes à la sensibilité exacerbée, au vécu chargé d'émotions qui  trouvent un exutoire sur les planches et donnent toute leur énergie pour que vive le plus important : le texte.



Philippe Torreton le rappelle à juste titre sur la couverture : Je dis donc je suis. L'individu au service des auteurs de théâtre et de leurs mots. Au gré des pages, nous croisons Shakespeare, Verlaine ou Molière au gré d'un voyage au pays de la littérature. Le cinéma n'est pas en reste avec de nombreuses anecdotes sans voyeurisme mais choisies avec lucidité.



Autre point que j'ai particulièrement apprécié : la notion de troupe élargie. Philippe Torreton a une conscience aiguë de l'autre, qu'il soit acteur célèbre ou machiniste. Il fait l'éloge de tous ces métiers de l'ombre, derrière le rideau ou en régie, ceux qu'on ne montre que d'une main à la fin du spectacle pour les remercier. Pour lui, chaque personne est aussi essentielle, qu'elle soit ou non dans la lumière.



Il bouscule avec modernité bon nombre de codes et de traditions : pourquoi un jeune sans le bac ne pourrait-il pas avoir accès aux grandes écoles de théâtre ? Pourquoi un rôle masculin ne pourrait-il pas être joué par une femme ? Pourquoi Roméo serait-il nécessairement « beau et élancé »? Pourquoi s'intéresse-t-on encore aujourd'hui, et de manière archaïque, à la couleur de peau pour un rôle ? Autant de portes qu'il enfonce pour ouvrir le débat.



Philippe Torreton a dû être un professeur de théâtre passionnant !



Certain.e.s targueront peut-être que le texte paraît parfois un peu long voire répétitif pour le néophyte en matière de théâtre. Je comprends.



Mais enseigner, c'est aussi répéter !



Et le message est si positif, délivré avec une telle volonté d'être aidant et, surtout, rédigé avec un tel souci du mot juste qu'il serait dommage de ne pas le faire découvrir à un maximum de jeunes lycéens et adultes. Il y a tant de belles phrases, citations en devenir à noter sur les coins de cahier ou de script !



Philippe Torreton offre ici un voyage initiatique, un essai réussi et passionnant sur le métier de comédien.



 



 

Voilà, le temps de ces quelques 140 pages, et au travers des mots de Philippe TORRETON, j’ai presque retrouvé ma mémé, ses habitudes, son énergie, sa simplicité, ... J’ai parcouru ce livre les larmes aux yeux, le cœur et la tête emplis d’images et de souvenirs ressurgis du passé. Ce livre aurait pu être écrit par beaucoup tant les mots que l’auteur emploie pour évoquer sa mémé sont universels ; ils parlent d’amour, de bonheur, de moments simples et simplement partagés ; ils parlent du temps qui passe, qui marque, qui affaiblit ; ils parlent de la douleur et de la tristesse des adieux... Bien sûr, il y a quelques passages parlant de politique, de société, qui à moi, m’ont semblé décalés ; bien sûr, certains de ces mots peuvent paraître excessifs, trop recherchés, trop soignés. Mais à moi, ces mots ont énormément parlé alors juste merci Mr TORRETON d’avoir su écrire ces sentiments universels, intemporels, l’amour inconditionnel d’un enfant pour sa mémé.

Philippe Torreton nous dévoile une partie de son enfance, tout en pudeur et retenue. Un enfance ballottée entre ses parents et sa mémé chez qui il a passé beaucoup de temps.



Un récit émouvant. Entre souvenirs, ressentis, paroles rares et chaleureuses. On sent tout l'amour de cet homme pour sa grand-mère. Une histoire bien écrite, des souvenirs d'enfance très parlants sur les conditions de vie de nos grands-parents.

J'ai moi aussi une Mémé, une Mémé qui s’est battue pour être, qui s’est privée, qui nous a aimé de manière un peu rustre parfois mais toujours sincère et profonde. Une Mémé avec le cœur sur la main et la modestie des enfants d’ouvriers, une Mémé qui m’a offert mes souvenirs les plus doux et qui m’a faite telle que je suis aujourd'hui. Ses conseils m’accompagnent au quotidien. Aussi n’ai-je pu qu’être émue par la plume de Philippe Torreton, pleurer à l’évocation de cette vie humble et honnête, cette vie de deuils et de solitude. Une superbe et touchante déclaration d'amour à la femme la plus importante de sa vie. ”Pour faire une mémé il vous faut de l’ancien temps et de la constance...”