Critiques de Pierre Makyo (450)
Les aventures d’Obie Koul se poursuivent dans ce tome 2 : Mon pouvoir caché.
En effet, Obie Koul, sympathique garçon, sait, comme on le lui a affirmé, qu’il possède un pouvoir mais c’est à lui de le découvrir. Aussi, ce mystère l’angoisse.
De plus, sa vie au collège n’est pas simple avec sa mère prof de maths. Les deux caïds de la classe menacent Obie afin qu’il révèle à l’avance les dates des contrôles. Or, pour sa mère, pas question de favoriser son fils, ce qui lui vaut une méchante correction infligée par Killian, un gars présomptueux, vraiment antipathique.
Heureusement, le week-end arrive et son père l’embarque sur la planète Oxythol afin de lui faire suivre un stage qui lui permettra d’apprendre à vaincre sa peur et à se défendre. C’est dur, violent et ses camarades sont un peu effrayants mais sympas.
C’est au retour, parmi nous, qu’Obie applique ce qu’il vient d’acquérir puis suit Axelle qu’il venait de débarrasser du poison nommé Killian. Elle lui fait rencontrer Skyroll, sa mère, son père… on ne sait pas. Mais, révélation importante, Skyroll lui fait part d’un rêve dont je ne peux rien dire car les aventures d’Obie Koul continuent…
Les dessins d’Alessia Buffolo sont toujours très expressifs et attractifs car bien colorés par Alessandra Dottori. Quelle imagination pour Pierre Makyo, le scénariste, qui crée tous ces personnages horribles, effrayants, menaçants, vivant loin de nous sur d’autres galaxies !
Le fond de l’histoire est d’une grande importance pour les jeunes lecteurs auxquels s’adresse cette BD. Son message ne peut qu’être bénéfique car la confiance en soi devant les menaces imbéciles est tellement importante. Quel que soit son physique, un enfant ou un adolescent se trouve tôt ou tard confronté à d’autres individus voulant profiter d’une supériorité factice.
Ne pas se laisser impressionner, c’est facile à dire mais quand c’est bien raconté et mis en scène, cela ne peut qu’avoir une bonne influence sur le lecteur ou la lectrice.
J’adresse un grand merci à Albin, mon petit-fils, et à Vincent, pour ce tome 2 qui me permet de poursuivre les aventures passionnantes d’Obie Koul.
Lien : http://notre-jardin-des-livr..
En effet, Obie Koul, sympathique garçon, sait, comme on le lui a affirmé, qu’il possède un pouvoir mais c’est à lui de le découvrir. Aussi, ce mystère l’angoisse.
De plus, sa vie au collège n’est pas simple avec sa mère prof de maths. Les deux caïds de la classe menacent Obie afin qu’il révèle à l’avance les dates des contrôles. Or, pour sa mère, pas question de favoriser son fils, ce qui lui vaut une méchante correction infligée par Killian, un gars présomptueux, vraiment antipathique.
Heureusement, le week-end arrive et son père l’embarque sur la planète Oxythol afin de lui faire suivre un stage qui lui permettra d’apprendre à vaincre sa peur et à se défendre. C’est dur, violent et ses camarades sont un peu effrayants mais sympas.
C’est au retour, parmi nous, qu’Obie applique ce qu’il vient d’acquérir puis suit Axelle qu’il venait de débarrasser du poison nommé Killian. Elle lui fait rencontrer Skyroll, sa mère, son père… on ne sait pas. Mais, révélation importante, Skyroll lui fait part d’un rêve dont je ne peux rien dire car les aventures d’Obie Koul continuent…
Les dessins d’Alessia Buffolo sont toujours très expressifs et attractifs car bien colorés par Alessandra Dottori. Quelle imagination pour Pierre Makyo, le scénariste, qui crée tous ces personnages horribles, effrayants, menaçants, vivant loin de nous sur d’autres galaxies !
Le fond de l’histoire est d’une grande importance pour les jeunes lecteurs auxquels s’adresse cette BD. Son message ne peut qu’être bénéfique car la confiance en soi devant les menaces imbéciles est tellement importante. Quel que soit son physique, un enfant ou un adolescent se trouve tôt ou tard confronté à d’autres individus voulant profiter d’une supériorité factice.
Ne pas se laisser impressionner, c’est facile à dire mais quand c’est bien raconté et mis en scène, cela ne peut qu’avoir une bonne influence sur le lecteur ou la lectrice.
J’adresse un grand merci à Albin, mon petit-fils, et à Vincent, pour ce tome 2 qui me permet de poursuivre les aventures passionnantes d’Obie Koul.
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Obie Koul possède un don extraordinaire mais il n’a pas le droit de le révéler s’il ne veut pas se mettre en danger. Grâce à Albin, mon petit-fils, je peux poursuivre l’aventure, à la fois terrestre et extra-terrestre, de ce sympathique garçon.
Justement, ce fameux don est au centre du troisième album, Résurrection, signé Pierre Makyo et Alessia Buffolo plus Alessandra Dottori pour les couleurs très chatoyantes. Comme dans les deux précédents l’histoire contée n’est pas ordinaire.
Ce garçon, Obie Koul, est à la fois terrien et Nagam, par son père venu d’une peuplade extra-terrestre vivant bien loin de nous. Pas facile pour lui de mener sa vie de collégien, avec une mère prof de Maths, en parallèle avec ses escapades conduites par Elzeki, son père.
C’est dans cet épisode qu’Obie Koul, par hasard, découvre ce don miraculeux qui ne peut que rendre service, à condition de l’utiliser avec parcimonie et à bon escient.
Loin de notre planète, les conflits existent aussi, hélas. Voilà qu’Elzeki, veut ramener à la raison les trois fils du Grand Bès : Mamert, Pancrace et Servais… ça me rappelle quelque chose… Ces trois créatures sont vraiment effrayantes et ne veulent pas discuter. Elzeki se retrouve prisonnier puis condamné à mort par les Tétrakols, le peuple du Grand Bès qui vient d’être tué par un engin semblant appartenir aux Nagams.
De son côté, Obie a cédé à la demande d’Axelle qui est très attachée à lui. Je rappelle qu’elle est télévoyeuse et que, tout ce qu’elle voit et entend, est capté par Axille, sa sœur intergalactique, qui communique directement au père d’Elzeki, grand chef des Nagams.
Heureusement, Axelle a trouvé la parade.
Les événements se précipitent mais Obie est toujours à la hauteur de sa tâche avec inventivité et malice. Grâce à son oncle, Otakanac, et aux enfants des chefs Tétrakols… mais je n’en dis pas plus sur cet album qui m’a tenu en haleine jusqu’au bout et dont j’ai apprécié les dessins parfois très impressionnants.
Les retours sur notre bonne vieille planète sont des respirations bienvenues. Les petits conflits ou jalousies entre collégiens ramènent les choses à un niveau plus à ma portée alors que le plus grave, le plus terrible, se joue tout là-haut, bien loin de nous…
Lien : https://notre-jardin-des-liv..
Justement, ce fameux don est au centre du troisième album, Résurrection, signé Pierre Makyo et Alessia Buffolo plus Alessandra Dottori pour les couleurs très chatoyantes. Comme dans les deux précédents l’histoire contée n’est pas ordinaire.
Ce garçon, Obie Koul, est à la fois terrien et Nagam, par son père venu d’une peuplade extra-terrestre vivant bien loin de nous. Pas facile pour lui de mener sa vie de collégien, avec une mère prof de Maths, en parallèle avec ses escapades conduites par Elzeki, son père.
C’est dans cet épisode qu’Obie Koul, par hasard, découvre ce don miraculeux qui ne peut que rendre service, à condition de l’utiliser avec parcimonie et à bon escient.
Loin de notre planète, les conflits existent aussi, hélas. Voilà qu’Elzeki, veut ramener à la raison les trois fils du Grand Bès : Mamert, Pancrace et Servais… ça me rappelle quelque chose… Ces trois créatures sont vraiment effrayantes et ne veulent pas discuter. Elzeki se retrouve prisonnier puis condamné à mort par les Tétrakols, le peuple du Grand Bès qui vient d’être tué par un engin semblant appartenir aux Nagams.
De son côté, Obie a cédé à la demande d’Axelle qui est très attachée à lui. Je rappelle qu’elle est télévoyeuse et que, tout ce qu’elle voit et entend, est capté par Axille, sa sœur intergalactique, qui communique directement au père d’Elzeki, grand chef des Nagams.
Heureusement, Axelle a trouvé la parade.
Les événements se précipitent mais Obie est toujours à la hauteur de sa tâche avec inventivité et malice. Grâce à son oncle, Otakanac, et aux enfants des chefs Tétrakols… mais je n’en dis pas plus sur cet album qui m’a tenu en haleine jusqu’au bout et dont j’ai apprécié les dessins parfois très impressionnants.
Les retours sur notre bonne vieille planète sont des respirations bienvenues. Les petits conflits ou jalousies entre collégiens ramènent les choses à un niveau plus à ma portée alors que le plus grave, le plus terrible, se joue tout là-haut, bien loin de nous…
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♫De l'endroit où je suis
On voit les bras de mer,
Qui s'allongent puis renoncent
A mordre dans la terre... ♫
Sic p32+55
Les bras de mer - Yann Tiersen -1998
---♪---♫---👉---⛩---👈---♫---♪---
C'était toujours la même
Mais on l'aimait quand même
la fugue d'autrefois
qu'elles menaient toutes les trois
Un jour elles quittent la maison
se mettent au diapason
accordent leurs violons
Ne plus se disperser.
Le comble quand l'une d'entre elles
disparait,... se fait la belle
Devoir signaler dare-dare ou à tire-d'ailes
Une fugueuse fait une fugue, claque la Porte au Ciel
Un autre début de la fuite
En avant, vous inquiétez pas petites,
Ce n'est que le début de la suite ...
l'homme n'aura jamais d'endroit
selon l'évangile de Thomas
où se reposer la tête
ruminer c'est un panse-bête
Attendre une relative majorité
ou toujours se faire emmerder
Si mon père n'avait pas été un gros con
Si son frêre n'avait pas été un jeune con
Si ton père n'avait pas été un vieux con
y a plus qu'a , il faut qu'on
Fugue en six majeurs
Porte dans le ciel ou ailleurs
Pour parler aux morts , faut que quelqu'un meurt...
Exauce-nous, pour donner suite
à lecture de Makyo, une poursuite...en trois mineures.
On voit les bras de mer,
Qui s'allongent puis renoncent
A mordre dans la terre... ♫
Sic p32+55
Les bras de mer - Yann Tiersen -1998
---♪---♫---👉---⛩---👈---♫---♪---
C'était toujours la même
Mais on l'aimait quand même
la fugue d'autrefois
qu'elles menaient toutes les trois
Un jour elles quittent la maison
se mettent au diapason
accordent leurs violons
Ne plus se disperser.
Le comble quand l'une d'entre elles
disparait,... se fait la belle
Devoir signaler dare-dare ou à tire-d'ailes
Une fugueuse fait une fugue, claque la Porte au Ciel
Un autre début de la fuite
En avant, vous inquiétez pas petites,
Ce n'est que le début de la suite ...
l'homme n'aura jamais d'endroit
selon l'évangile de Thomas
où se reposer la tête
ruminer c'est un panse-bête
Attendre une relative majorité
ou toujours se faire emmerder
Si mon père n'avait pas été un gros con
Si son frêre n'avait pas été un jeune con
Si ton père n'avait pas été un vieux con
y a plus qu'a , il faut qu'on
Fugue en six majeurs
Porte dans le ciel ou ailleurs
Pour parler aux morts , faut que quelqu'un meurt...
Exauce-nous, pour donner suite
à lecture de Makyo, une poursuite...en trois mineures.
Je viens de passer un bon moment avec une BD signée Pierre Makyo pour le scénario, Alessia Buffolo pour le dessin sans oublier Alessandra Dottori pour des couleurs très réussies, mais c’est surtout Obie dont la moitié du visage orne une couverture très attrayante qui m’a captivé comme il captivera, je l’espère les lecteurs de son âge.
Publiée par l’éditeur belge Kennes, cette BD propose, avec des dessins très expressifs, l’histoire du collégien Obie. J’ai été aussitôt intrigué et passionné, si bien que je suis frustré de ne pas pouvoir tout de suite lire le tome 2 (Mon pouvoir caché) dont la parution est annoncée pour juillet.
C’est donc le premier chapitre de Obie Koul, intitulé Un week-end sur deux chez mon père. Je ne révèlerai rien – fidèle à mon habitude, je m’étais abstenu de lire la moindre présentation - mais la surprise est de taille et fait aussitôt rêver, même si le rêve peut vite devenir cauchemar.
Mia, la mère de Obie, est prof de maths dans le collège de son fils aussitôt harcelé par les caïds des deux bandes rivales, les Kill Dogs (KD) et les Raging Bulls (RB). C’est tellement réaliste que j’ai frémi en pensant que cela se passe toujours de la même façon, en voyant ce que peut subir un adolescent de la part de ses camarades : harcèlement, menaces, chantage, violences. Évidemment, celui qui subit préfère ne pas en parler et cela ne peut que s’aggraver, sauf dans Obie Koul où… à vous de le découvrir.
Toutefois, je peux quand même dire que son père se nomme Elzeki, qu’il vient de loin et assez rapidement. J’ajoute que le réalisme du début vire rapidement dans l’imaginaire, le fantastique, la science-fiction et que cela est réussi.
Publiée par l’éditeur belge Kennes, cette BD propose, avec des dessins très expressifs, l’histoire du collégien Obie. J’ai été aussitôt intrigué et passionné, si bien que je suis frustré de ne pas pouvoir tout de suite lire le tome 2 (Mon pouvoir caché) dont la parution est annoncée pour juillet.
C’est donc le premier chapitre de Obie Koul, intitulé Un week-end sur deux chez mon père. Je ne révèlerai rien – fidèle à mon habitude, je m’étais abstenu de lire la moindre présentation - mais la surprise est de taille et fait aussitôt rêver, même si le rêve peut vite devenir cauchemar.
Mia, la mère de Obie, est prof de maths dans le collège de son fils aussitôt harcelé par les caïds des deux bandes rivales, les Kill Dogs (KD) et les Raging Bulls (RB). C’est tellement réaliste que j’ai frémi en pensant que cela se passe toujours de la même façon, en voyant ce que peut subir un adolescent de la part de ses camarades : harcèlement, menaces, chantage, violences. Évidemment, celui qui subit préfère ne pas en parler et cela ne peut que s’aggraver, sauf dans Obie Koul où… à vous de le découvrir.
Toutefois, je peux quand même dire que son père se nomme Elzeki, qu’il vient de loin et assez rapidement. J’ajoute que le réalisme du début vire rapidement dans l’imaginaire, le fantastique, la science-fiction et que cela est réussi.
Dans ce tome 3 des aventures de Obie Koul, intitulé Résurrection, celui-ci vient enfin d'identifier le pouvoir dont il est pourvu. La découverte de ce pouvoir incroyable qu'il a tant attendu avant qu'il ne se manifeste, le laisse stupéfait et un peu effrayé. Il se souvient alors des conseils que lui avait prodigués le vieux Ima, Ce pouvoir, il doit absolument le garder secret, ne le révéler à personne tant qu'il ne sait pas à qui il peut faire confiance. Ce don lui fait plutôt peur d'ailleurs, et il pense que si ça se savait, il ne connaîtrait plus jamais la tranquillité.
Pendant ce temps, sur la planète Oxythol, la relation politique entre Nagams et Tetrakols est en train de se détériorer et de s'envenimer, suite à une erreur dans des forages. Une guerre semble imminente et le seigneur Elzeki, le père d'Obie se retrouve en très grand danger.
Grâce à son don et par l'entremise d'Axelle, sa copine télévoyeuse, une course contre la montre est engagée pour savoir si Obie réussira à ramener l'harmonie entre les deux peuples, rien n'étant moins sûr.
Un troisième album à la fois jouissif avec la découverte pour Obie de ce pouvoir extraordinaire, et anxiogène avec la crainte de cette guerre entre ces deux peuples jusqu'à la mise en danger même, de la vie du père d'Obie.
Avec Obie, ce garçon héros d'une douzaine d'années, il me semble que beaucoup de jeunes ados devraient pouvoir s'identifier à lui et ils seront sans doute nombreux à envier son super pouvoir, n'est-ce pas d'ailleurs, un des premiers rôles de la lecture de faire rêver, et ici, en l'occurrence de faire voyager, et de plus voyager sur une autre planète !
Comme dans les deux premiers tomes, j'ai retrouvé avec plaisir le graphisme de Buffolo. Les personnages sur Terre sont très réalistes et sympathiques, les créatures extraterrestres de même que les paysages sont quant à eux savamment imaginés et représentés, aidés en cela par les couleurs d'Alessandra Dottori, bien différenciées pour évoquer les deux planètes.
Une trouvaille tout à fait originale est la manière qu'a utilisée Makyo pour faire s'exprimer les trois fils du grand Bès : pour une seule phrase, chacun n'en dit qu'un tiers !
On retrouve évidemment un moment de vie d'Obie au collège, avec bien sûr tous les élèves de sa classe désirant savoir quand aura lieu l'interro, la mère d'Obie étant leur prof de maths, mais en moindre proportion. Cet album est plus axé sur l'action et l'aventure même si une place importante est laissée à la psychologie des personnages et aux sentiments qui les traversent.
Ce tome 3 de Obie Koul : Résurrection, cette BD de science-fiction devrait ravir les jeunes ados avides d'aventures et de suspense et je dois reconnaître avoir pris grand plaisir à retrouver ce jeune Obie très lucide et très courageux. Je remercie mon petit-fils Albin pour m'avoir permis de continuer l'aventure avec son héros préféré !
Lien : https://notre-jardin-des-liv..
Pendant ce temps, sur la planète Oxythol, la relation politique entre Nagams et Tetrakols est en train de se détériorer et de s'envenimer, suite à une erreur dans des forages. Une guerre semble imminente et le seigneur Elzeki, le père d'Obie se retrouve en très grand danger.
Grâce à son don et par l'entremise d'Axelle, sa copine télévoyeuse, une course contre la montre est engagée pour savoir si Obie réussira à ramener l'harmonie entre les deux peuples, rien n'étant moins sûr.
Un troisième album à la fois jouissif avec la découverte pour Obie de ce pouvoir extraordinaire, et anxiogène avec la crainte de cette guerre entre ces deux peuples jusqu'à la mise en danger même, de la vie du père d'Obie.
Avec Obie, ce garçon héros d'une douzaine d'années, il me semble que beaucoup de jeunes ados devraient pouvoir s'identifier à lui et ils seront sans doute nombreux à envier son super pouvoir, n'est-ce pas d'ailleurs, un des premiers rôles de la lecture de faire rêver, et ici, en l'occurrence de faire voyager, et de plus voyager sur une autre planète !
Comme dans les deux premiers tomes, j'ai retrouvé avec plaisir le graphisme de Buffolo. Les personnages sur Terre sont très réalistes et sympathiques, les créatures extraterrestres de même que les paysages sont quant à eux savamment imaginés et représentés, aidés en cela par les couleurs d'Alessandra Dottori, bien différenciées pour évoquer les deux planètes.
Une trouvaille tout à fait originale est la manière qu'a utilisée Makyo pour faire s'exprimer les trois fils du grand Bès : pour une seule phrase, chacun n'en dit qu'un tiers !
On retrouve évidemment un moment de vie d'Obie au collège, avec bien sûr tous les élèves de sa classe désirant savoir quand aura lieu l'interro, la mère d'Obie étant leur prof de maths, mais en moindre proportion. Cet album est plus axé sur l'action et l'aventure même si une place importante est laissée à la psychologie des personnages et aux sentiments qui les traversent.
Ce tome 3 de Obie Koul : Résurrection, cette BD de science-fiction devrait ravir les jeunes ados avides d'aventures et de suspense et je dois reconnaître avoir pris grand plaisir à retrouver ce jeune Obie très lucide et très courageux. Je remercie mon petit-fils Albin pour m'avoir permis de continuer l'aventure avec son héros préféré !
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Fervente lectrice et admiratrice de Michel Folco, un loup est un loup est un des rares romans que j’ai lu plusieurs fois pour le plaisir du texte. Qui n’aime pas l’humour noir fuira à plusieurs lieues de cet écrit diabolique ! C’est sans doute pour cela que je me j’aime à fréquenter Charlemagne, Clodomir et sa clique. Aussi, n’aurais-je aucune difficulté à chroniquer ici la version bande dessinée sur laquelle je me suis jetée dès que j’ai eu connaissance de son existence.
Nous sommes donc en1763, et dans le village de Racleterre... Une femme accouche... de quintuplés, quatre garçons et une garce (En français de l’époque dans le texte !) : Charlemagne, Clodomir, Pépin, Dagobert et Clotilde. Quatre inséparables, complices, une mini société avec ses propres règles, on le découvrira, et avec une langue commune : le « Lenou » dont l’auteur nous offre quelques extraits.
Dans ce premier tome, on pourra prendre connaissance de trois événements principaux bien présents dans le roman : la naissance des quintuplés, dits « les épateurs » et tout le remous que cela provoque dans la bourgade, le duel auquel est convié Clovis Tricotin, le père, pour avoir envoyé une pierre dans la fenêtre du maître d’armes qui l’avait compissé alors qu’il venait chercher l’engendreuse, et l’épisode de la rage provoqué par la morsure de Clarabelle, la vache laitière, qui causera bien du soucis à Clovis et aux habitants des environs.
Je n’ai pas encore lu le deuxième tome, mais je me pose tout de même quelques questions : si le premier volet renferme trois épisodes correspondant au début de ce pavé de plus de 500 pages, comment les auteurs feront-ils passer la suite et la fin dans un malheureux deuxième tome ? Surtout que ce deuxième tome date de 2015, on en reparlera prochainement, lorsque j'aurai lu ce deuxième tome.
Par ailleurs, si j’ai apprécié cette bande dessinée, c’est parce que dans ma tête, j’avais un contexte, celui du pavé, or je ne retrouve pas vraiment ce contexte, ni toutes les répliques et passages qui font le comique de l’histoire.
Les dessins sont superbes, certes, mais le personnage de Clovis apparaît bien sérieux et grave, j’imaginais un personnage plus fantaisiste, de même que les quintuplés semblent très réfléchis, et ils le sont pour se retrouver à l’origine des situations cocasses auxquelles nous assistons, toutefois, mais leur expression est celle d’adultes.
Je n’ai pas retrouvé les scènes du roman dont certaines étaient propres à me faire hurler de rire, plus c’était noir, plus c’était drôle, dans la BD, on voit bien qu’ils sont complices et s’organisent pour molester voire réduire à néant tout gêneur, le tout en pratiquant le « Lenou », mais il me semble difficile pour le lecteur qui découvre l’œuvre d’apprécier l’amplitude des actions des quintuplés, à défaut on constatera les dégâts générés par nos épateurs.
Ceci écrit, je persiste à prendre de bons moments de plaisir dans cette bande dessinée qui me rappelle les heures de délice passée en compagnie de la famille tricotin et plus tard, tous ses descendants.
Lisez cette bande dessinée, peut-être vous donnera-t-elle envie d'aller voir du côté de l'œuvre de Michele Folco si vous aimez l'humour noir.
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
Nous sommes donc en1763, et dans le village de Racleterre... Une femme accouche... de quintuplés, quatre garçons et une garce (En français de l’époque dans le texte !) : Charlemagne, Clodomir, Pépin, Dagobert et Clotilde. Quatre inséparables, complices, une mini société avec ses propres règles, on le découvrira, et avec une langue commune : le « Lenou » dont l’auteur nous offre quelques extraits.
Dans ce premier tome, on pourra prendre connaissance de trois événements principaux bien présents dans le roman : la naissance des quintuplés, dits « les épateurs » et tout le remous que cela provoque dans la bourgade, le duel auquel est convié Clovis Tricotin, le père, pour avoir envoyé une pierre dans la fenêtre du maître d’armes qui l’avait compissé alors qu’il venait chercher l’engendreuse, et l’épisode de la rage provoqué par la morsure de Clarabelle, la vache laitière, qui causera bien du soucis à Clovis et aux habitants des environs.
Je n’ai pas encore lu le deuxième tome, mais je me pose tout de même quelques questions : si le premier volet renferme trois épisodes correspondant au début de ce pavé de plus de 500 pages, comment les auteurs feront-ils passer la suite et la fin dans un malheureux deuxième tome ? Surtout que ce deuxième tome date de 2015, on en reparlera prochainement, lorsque j'aurai lu ce deuxième tome.
Par ailleurs, si j’ai apprécié cette bande dessinée, c’est parce que dans ma tête, j’avais un contexte, celui du pavé, or je ne retrouve pas vraiment ce contexte, ni toutes les répliques et passages qui font le comique de l’histoire.
Les dessins sont superbes, certes, mais le personnage de Clovis apparaît bien sérieux et grave, j’imaginais un personnage plus fantaisiste, de même que les quintuplés semblent très réfléchis, et ils le sont pour se retrouver à l’origine des situations cocasses auxquelles nous assistons, toutefois, mais leur expression est celle d’adultes.
Je n’ai pas retrouvé les scènes du roman dont certaines étaient propres à me faire hurler de rire, plus c’était noir, plus c’était drôle, dans la BD, on voit bien qu’ils sont complices et s’organisent pour molester voire réduire à néant tout gêneur, le tout en pratiquant le « Lenou », mais il me semble difficile pour le lecteur qui découvre l’œuvre d’apprécier l’amplitude des actions des quintuplés, à défaut on constatera les dégâts générés par nos épateurs.
Ceci écrit, je persiste à prendre de bons moments de plaisir dans cette bande dessinée qui me rappelle les heures de délice passée en compagnie de la famille tricotin et plus tard, tous ses descendants.
Lisez cette bande dessinée, peut-être vous donnera-t-elle envie d'aller voir du côté de l'œuvre de Michele Folco si vous aimez l'humour noir.
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Si à la fin du livre 1, Ima et l'empereur de la planète Oxythol avaient laissé entrevoir à Obie Koul, lors de sa venue sur celle-ci avec son père, la possibilité pour le jeune garçon de se découvrir un super pouvoir, pour l'instant, il n'en est rien et cela le désespère. D'autant plus qu'au collège, il est à nouveau victime des brimades des chefs de bandes que sont Killian et Boris. Heureusement son père débarque et décide de l'emmener sur une petite planète satellite d'Oxythol, Jollyphobie, pour lui apprendre toutes sortes de techniques de combat et ensuite, le plus important, le faire participer à un stage de régulation de comportement : "Vous êtes là pour apprendre la détermination, la rage de vaincre, la résistance mentale, la maîtrise de la peur et la lucidité dans le combat." Il apprendra, chose importante, à dompter sa respiration ce qui lui permettra de surmonter la peur. Cet apprentissage et ces conseils seront peut-être utiles à Obie lors de son retour en classe.
Comme dans le livre 1, est mise en exergue la difficulté d'être fils de prof lorsque les autres élèves ne pensent qu'à vous soutirer des renseignements sur les interros et donc le harcèlement qui peut s'en suivre. Mais, dans ce livre 2, avant de découvrir peut-être ce super pouvoir dont il serait pourvu, Obie va apprendre de son père qu'on a tous un pouvoir caché, petit ou grand, et qu'on met souvent pas mal de temps à le découvrir, qu'il s'agit d'une question de confiance. Il apprendra également à maîtriser sa peur et que "la peur du danger imminent est un réflexe naturel salvateur... La peur psychologique de ce qui pourrait se produire est un poison violent, un virus inhibiteur de l'esprit."
Je retiendrai avant tout de cette lecture un beau programme avec des valeurs intéressantes bien mises en valeur pour des jeunes d'aujourd'hui dans leur mise en scène sur une autre planète avec des personnages variés et hauts en couleur. de même, la mise en garde de l'instructeur du stage de régulation : "Alors, je vous préviens tout de suite : je ne tolérerai aucun comportement raciste !... Ici, nous sommes tous égaux." n'est pas superflue.
Toujours de beaux dessins et de belles couleurs, les nuances variant selon le lieu où l'on se trouve, et de magnifiques et nombreux personnages très variés.
J'ai particulièrement apprécié la scène de maîtrise de la peur avec ces petits personnages-insectes, luminescents, "les Rézongardes" qui viennent dans la nuit prodiguer leurs conseils à l'oreille des participants. Magnifique dessin dans le dortoir avec les lits superposés et les serpents !
Je remercie mon petit-fils Albin qui m'a permis de lire la suite des aventures de ce jeune collégien Obie Koul.
Lien : http://notre-jardin-des-livr..
Comme dans le livre 1, est mise en exergue la difficulté d'être fils de prof lorsque les autres élèves ne pensent qu'à vous soutirer des renseignements sur les interros et donc le harcèlement qui peut s'en suivre. Mais, dans ce livre 2, avant de découvrir peut-être ce super pouvoir dont il serait pourvu, Obie va apprendre de son père qu'on a tous un pouvoir caché, petit ou grand, et qu'on met souvent pas mal de temps à le découvrir, qu'il s'agit d'une question de confiance. Il apprendra également à maîtriser sa peur et que "la peur du danger imminent est un réflexe naturel salvateur... La peur psychologique de ce qui pourrait se produire est un poison violent, un virus inhibiteur de l'esprit."
Je retiendrai avant tout de cette lecture un beau programme avec des valeurs intéressantes bien mises en valeur pour des jeunes d'aujourd'hui dans leur mise en scène sur une autre planète avec des personnages variés et hauts en couleur. de même, la mise en garde de l'instructeur du stage de régulation : "Alors, je vous préviens tout de suite : je ne tolérerai aucun comportement raciste !... Ici, nous sommes tous égaux." n'est pas superflue.
Toujours de beaux dessins et de belles couleurs, les nuances variant selon le lieu où l'on se trouve, et de magnifiques et nombreux personnages très variés.
J'ai particulièrement apprécié la scène de maîtrise de la peur avec ces petits personnages-insectes, luminescents, "les Rézongardes" qui viennent dans la nuit prodiguer leurs conseils à l'oreille des participants. Magnifique dessin dans le dortoir avec les lits superposés et les serpents !
Je remercie mon petit-fils Albin qui m'a permis de lire la suite des aventures de ce jeune collégien Obie Koul.
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Obie et sa mère Mia viennent d'aménager dans un nouveau quartier et vont faire tous les deux leur rentrée dans un nouveau collège, Mia en tant que prof de maths. Obie va rapidement faire connaissance avec les deux terreurs du collège : Killian, chef de la bande des Kill Dogs et Boris, chef de la bande des Raging Bulls, tous deux le voulant dans leur bande, espérant avoir des infos pour les prochaines interros, les notes... Les deux chefs le mettent au défi de choisir, le premier définissant sa bande comme celle des plus de violence et l'autre comme celle des plus de haine.
Obie, dont les parents sont séparés reçoit la visite de son père et va apprendre que celui-ci est originaire d'une autre planète. Il l'aidera avec des "pikotoïdes" ou autres gadgets à se faire respecter par les deux bandes rivales.
Décision sera prise ensuite de faire comme tous les couples séparés sur terre, Obie ira sur Oxythol, un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires.
J'ai trouvé les dessins d'Alessia Buffolo très réussis avec des personnages très bien représentés, très expressifs, très variés et le trio formant la famille, de même qu'Axelle la copine d'Obie, très dynamiques et très attachants. Quant aux couleurs nuancées apportées par Alessandra Dottori, elles sont très attractives et m'ont particulièrement plu.
Pour ce qui est du scénario, Pierre Makyo, outre le thème du divorce et l'obligation pour les enfants de se partager entre les parents, il aborde également avec brio le problème du harcèlement que peuvent vivre des collégiens, et que subissent de nombreux enfants, même si ici les solutions sont apportées par la science-fiction et que la garde alternée sera extra-univers !
Si le début de ce premier tome se déroule plutôt dans une atmosphère normale, petit à petit, la science-fiction prend de plus en plus de place au fil des pages et nous promet un deuxième tome plus sidéral avec peut-être une guerre spatiale et un super pouvoir à découvrir... Impatiente donc de retrouver Obie !
Je remercie les Éditions Kennes pour m'avoir permis cette belle découverte.
Une belle BD que ce soit au niveau écriture, dessin et couleurs qui devrait enchanter les jeunes ados : elle a d'ailleurs été récompensée par le Prix des Collèges 2020 au 47e Festival International de la BD d'Angoulème.
Lien : http://notre-jardin-des-livr..
Obie, dont les parents sont séparés reçoit la visite de son père et va apprendre que celui-ci est originaire d'une autre planète. Il l'aidera avec des "pikotoïdes" ou autres gadgets à se faire respecter par les deux bandes rivales.
Décision sera prise ensuite de faire comme tous les couples séparés sur terre, Obie ira sur Oxythol, un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires.
J'ai trouvé les dessins d'Alessia Buffolo très réussis avec des personnages très bien représentés, très expressifs, très variés et le trio formant la famille, de même qu'Axelle la copine d'Obie, très dynamiques et très attachants. Quant aux couleurs nuancées apportées par Alessandra Dottori, elles sont très attractives et m'ont particulièrement plu.
Pour ce qui est du scénario, Pierre Makyo, outre le thème du divorce et l'obligation pour les enfants de se partager entre les parents, il aborde également avec brio le problème du harcèlement que peuvent vivre des collégiens, et que subissent de nombreux enfants, même si ici les solutions sont apportées par la science-fiction et que la garde alternée sera extra-univers !
Si le début de ce premier tome se déroule plutôt dans une atmosphère normale, petit à petit, la science-fiction prend de plus en plus de place au fil des pages et nous promet un deuxième tome plus sidéral avec peut-être une guerre spatiale et un super pouvoir à découvrir... Impatiente donc de retrouver Obie !
Je remercie les Éditions Kennes pour m'avoir permis cette belle découverte.
Une belle BD que ce soit au niveau écriture, dessin et couleurs qui devrait enchanter les jeunes ados : elle a d'ailleurs été récompensée par le Prix des Collèges 2020 au 47e Festival International de la BD d'Angoulème.
Lien : http://notre-jardin-des-livr..
♫De l'endroit où je suis
On voit les bras de mer,
Qui s'allongent puis renoncent
A mordre dans la terre... ♫
Sic p 9 +46
Les bras de mer - Yann Tiersen -1998
C'était toujours la même
Mais on l'aimait quand même
la fugue d'autrefois
qu'elles menaient toutes les trois
Un jour elles quittent la maison
se mettent au diapason
accordent leurs violons
Ne plus se disperser
l'homme n'aura jamais d'endroit
selon l'évangile de Thomas
où se reposer la tête
ruminer c'est un panse-bête
Attendre une relative majorité
ou toujours se faire emmerder
Si mon père n'avait pas été un gros con
Si son frêre n'avait pas été un jeune con
Si ton père n'avait pas été un vieux con
y a plus qu'a , il faut qu'on
Fugue en six majeurs
Porte dans le ciel ou ailleurs
Pour parler aux morts , faut que quelqu'un meurt...
Exauce-nous, pour donner suite
à lecture de Makyo, une poursuite...en trois mineures.
On voit les bras de mer,
Qui s'allongent puis renoncent
A mordre dans la terre... ♫
Sic p 9 +46
Les bras de mer - Yann Tiersen -1998
C'était toujours la même
Mais on l'aimait quand même
la fugue d'autrefois
qu'elles menaient toutes les trois
Un jour elles quittent la maison
se mettent au diapason
accordent leurs violons
Ne plus se disperser
l'homme n'aura jamais d'endroit
selon l'évangile de Thomas
où se reposer la tête
ruminer c'est un panse-bête
Attendre une relative majorité
ou toujours se faire emmerder
Si mon père n'avait pas été un gros con
Si son frêre n'avait pas été un jeune con
Si ton père n'avait pas été un vieux con
y a plus qu'a , il faut qu'on
Fugue en six majeurs
Porte dans le ciel ou ailleurs
Pour parler aux morts , faut que quelqu'un meurt...
Exauce-nous, pour donner suite
à lecture de Makyo, une poursuite...en trois mineures.
♫Je prie les roses, je prie les bois
Les virtuoses, n'importe quoi
Je prie l'hiver quand il s'en va
L'été, les étoiles et la mer et le soleil et ses éclats
Et j'suis sincère, je prie pour tout ça
Mais toi le ciel, tu n'entends pas
Mais toi le ciel, est-ce que t'es là ?♫
Prière Païenne-Céline Dion-1995-
-
Ah, au fait, tu l'as pas vue, toi,
celle que j'cherche ?
p (4-5-7-8-13-15-18-24-29-44-72-83)
Cette question, véritable leitmotiv
dans un esprit simple, ne pas dire débile
est douze fois répétée de façon exhaus-tive
Un titre approprié, un Exauce habile
Une prière, un souhait, un message d'amour
Innocence, mal-disance, appel Exau-secours.
Histoire d'un scénario, signé Makyo
avec Frédéric Bihel aux pinceaux
Pas de doute "Ça se passe"
dans ma babéliothèque ont trouvé leur place
Exauce-nous
Des livres et Nous...
...à suivre ;-)
Les virtuoses, n'importe quoi
Je prie l'hiver quand il s'en va
L'été, les étoiles et la mer et le soleil et ses éclats
Et j'suis sincère, je prie pour tout ça
Mais toi le ciel, tu n'entends pas
Mais toi le ciel, est-ce que t'es là ?♫
Prière Païenne-Céline Dion-1995-
-
Ah, au fait, tu l'as pas vue, toi,
celle que j'cherche ?
p (4-5-7-8-13-15-18-24-29-44-72-83)
Cette question, véritable leitmotiv
dans un esprit simple, ne pas dire débile
est douze fois répétée de façon exhaus-tive
Un titre approprié, un Exauce habile
Une prière, un souhait, un message d'amour
Innocence, mal-disance, appel Exau-secours.
Histoire d'un scénario, signé Makyo
avec Frédéric Bihel aux pinceaux
Pas de doute "Ça se passe"
dans ma babéliothèque ont trouvé leur place
Exauce-nous
Des livres et Nous...
...à suivre ;-)
Nos quintuplés sont désormais orphelins de père et de mère, on entreprend de les séparer car on les juge bons à rien et propres à porter la poisse. Ils seront donc dispersés dans trois foyers pour y apprendre leur métier. Après un court séjour chez les grand-parents, Charlemagne sera une nouvelle fois séparé de son frère pour recevoir une bonne éducation chez sa marraine, Dame Jacynthe. Mais c’est compter sans l’entêtement des enfants et particulièrement Charlemagne auquel le reste du roman est consacré. Rappelons qu’il est le héros des deux tomes du roman d’origine.
On retrouve dans ce volet, un certain humour grâce à un Charlemagne qui déploie ses possibilités de communication avec les animaux, et qui se sort de toutes les situations, se moquant éperdument des réprobations et châtiments.
Dans ce tome, trois scènes importantes : la séparation et les essais d’éducation au château dont il testera plus le cachot et le chenil que le reste de la bâtisse, sa fuite et sa captivité à la Loubières, chaumière perdue au milieu de nulle-part, où il est pratiquement réduit à l’esclavage et enfermé avec les louveteaux qu’il sevra soigner, et sa fuite vers l'inconnu en compagnie de ses compagnons lupins.
Le tome s’arrête là. Grande inquiétude : ce volet date de 2015, et aucun volume n’est paru depuis, la fin de ce volet ne semble pas amener le lecteur à une suite, il ne faut donc pas trop espérer. La suite sera donc connue en lisant le premier tome du roman, et éventuellement le deuxième : « en avant comme avant », les tomes suivants racontant les aventure des descendants de Charlemagne.
Si le plaisir ressenti à la lecture de ces deux bandes dessinées n’égale aucunement le plaisir de lecture du roman, on admirera le dessin soigné, on percevra le tempérament espiègle des fripons, on s’amusera de leur aptitude à semer la pagaille et contrer les adultes.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
On retrouve dans ce volet, un certain humour grâce à un Charlemagne qui déploie ses possibilités de communication avec les animaux, et qui se sort de toutes les situations, se moquant éperdument des réprobations et châtiments.
Dans ce tome, trois scènes importantes : la séparation et les essais d’éducation au château dont il testera plus le cachot et le chenil que le reste de la bâtisse, sa fuite et sa captivité à la Loubières, chaumière perdue au milieu de nulle-part, où il est pratiquement réduit à l’esclavage et enfermé avec les louveteaux qu’il sevra soigner, et sa fuite vers l'inconnu en compagnie de ses compagnons lupins.
Le tome s’arrête là. Grande inquiétude : ce volet date de 2015, et aucun volume n’est paru depuis, la fin de ce volet ne semble pas amener le lecteur à une suite, il ne faut donc pas trop espérer. La suite sera donc connue en lisant le premier tome du roman, et éventuellement le deuxième : « en avant comme avant », les tomes suivants racontant les aventure des descendants de Charlemagne.
Si le plaisir ressenti à la lecture de ces deux bandes dessinées n’égale aucunement le plaisir de lecture du roman, on admirera le dessin soigné, on percevra le tempérament espiègle des fripons, on s’amusera de leur aptitude à semer la pagaille et contrer les adultes.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
Passionnante expédition polaire autobiographique d'un jeune géomorphologue Jean Malaurie, parti en solitaire dans le grand Nord...L'histoire commence pourtant au Sahara où le jeune homme trentenaire étudie les éboulis de terre..
Merveilleuse et périlleuse aventure artique qui le confronte aux éléments extrêmes ainsi à sa propre solitude frôlant même la dépression..les dessins "transpirent le froid et la glace".. il a pour mission de collecter de nombreuses informations sur les éboulis de glace.. et entreprendra même une généalogie des habitants.. il devra aussi faire la connaissance du peuple Inuit auquel il faudra se faire accepter..lors de la rencontre avec le chamane .. il va falloir "faire ses preuves" pour être accepter et "apprivoiser" les us et les costumes de ces Inuits où la spiritualité et la vie quotidienne sont extrêmement liées..ainsi que les traîneaux et les chiens...en toute humilité...réussir la mission.
Très beau périple, les dessins de ce roman graphique retranscrit magnifiquement ce paysage glacial.. témoin du respect de la nature et l'humanité du peuple Inuit.
Merveilleuse et périlleuse aventure artique qui le confronte aux éléments extrêmes ainsi à sa propre solitude frôlant même la dépression..les dessins "transpirent le froid et la glace".. il a pour mission de collecter de nombreuses informations sur les éboulis de glace.. et entreprendra même une généalogie des habitants.. il devra aussi faire la connaissance du peuple Inuit auquel il faudra se faire accepter..lors de la rencontre avec le chamane .. il va falloir "faire ses preuves" pour être accepter et "apprivoiser" les us et les costumes de ces Inuits où la spiritualité et la vie quotidienne sont extrêmement liées..ainsi que les traîneaux et les chiens...en toute humilité...réussir la mission.
Très beau périple, les dessins de ce roman graphique retranscrit magnifiquement ce paysage glacial.. témoin du respect de la nature et l'humanité du peuple Inuit.
Honte à moi qui n'avais jamais entendu parler de cet ouvrage de Michel Folco "Un loup est un loup" mais heureusement qu'avant de quitter ma précieuse "médiathèque", j'ai eu le temps d'emporter avec moi cette adaptation en bande-dessinée en deux tome (il sera toujours temps pou moi de me rattraper plus tard avec le roman original, si j'arrive à mettre la main dessus mais cela est une autre histoire). Ici, nous nous trouvons dans la petite bourgade de Racleterre en l'an de grâce 1763. Clovis Fricotin est aux anges quand sa femme met au monde leur premier enfant - un garçon pour commencer-, qui sera suivi immédiatement de quatre autres bambins parmi lesquels une fille. Des quintuplés,cela fait vite parler les mauvaises langues qui ne considère pas un tel accouchement pour une femme d'un très bon œil pour les plus malveillants.
Cependant, pour la famille Fricotin, les préoccupations sont tout autre : cinq enfants, cela veut dire cinq bouches de plus à nourrir, cinq fois plus de travail. Heureusement que les présents (qui une chèvre ou qui une vache) vont permettre à la famille de pouvoir sustenter toute cette petite marmaille.
En parallèle et ce, le lecteur le découvre en tout début d'ouvrage, le trafic de loup est chose courante dans la forêt. Ces précieuses dents de loup se vendent notamment à prix d'or et notamment pour un nourrisson, lui assurant, selon les dires de l'époque , une bonne dentition. Sabotier de métier, Clovis Fricotin est un homme respectable et respecté qui a pour ainsi dire tout pour être heureux et sa paisible vie auprès de sa femme et de ses cinq enfants aurait ou se poursuivre ainsi très longtemps si il n'y avait pas eu ce terrible accident...
Un étrange sentiment de mal-être à la fin de cet ouvrage étrangement lié avec ce que nous vivons actuellement mais pour ne pas vous affoler ou vous freiner avant que vous n'ayez commencé vous-mêmes cette lecture, permettez-moi de ne pas m'attarder sur le sujet (qui lira verra).
Un graphisme extrêmement bien travaillé et un scénario qui s'annonce extrêmement prometteur pour la suite ! A découvrir !
Cependant, pour la famille Fricotin, les préoccupations sont tout autre : cinq enfants, cela veut dire cinq bouches de plus à nourrir, cinq fois plus de travail. Heureusement que les présents (qui une chèvre ou qui une vache) vont permettre à la famille de pouvoir sustenter toute cette petite marmaille.
En parallèle et ce, le lecteur le découvre en tout début d'ouvrage, le trafic de loup est chose courante dans la forêt. Ces précieuses dents de loup se vendent notamment à prix d'or et notamment pour un nourrisson, lui assurant, selon les dires de l'époque , une bonne dentition. Sabotier de métier, Clovis Fricotin est un homme respectable et respecté qui a pour ainsi dire tout pour être heureux et sa paisible vie auprès de sa femme et de ses cinq enfants aurait ou se poursuivre ainsi très longtemps si il n'y avait pas eu ce terrible accident...
Un étrange sentiment de mal-être à la fin de cet ouvrage étrangement lié avec ce que nous vivons actuellement mais pour ne pas vous affoler ou vous freiner avant que vous n'ayez commencé vous-mêmes cette lecture, permettez-moi de ne pas m'attarder sur le sujet (qui lira verra).
Un graphisme extrêmement bien travaillé et un scénario qui s'annonce extrêmement prometteur pour la suite ! A découvrir !
Nos quintuplés, Clodomir, Pépin, Dagobert, Clotile et Charlemagne, jusqu'ici inséparables et ayant même leur propre langage, se retrouvent dans une bien étrange posture. Après avoir perdu leur père dans le premier tome, c'est ici leur mère qui succombe à la maladie, les laissant ainsi orphelins. Une décision doit être prise et c'est donc le grand-pềre Fricotion qui décide, pour leur plus grand malheur, de les séparer et de les répartir dans différents foyers. Après moultes fugues pour essayer de se retrouvés réunis à nouveau, nos chères garnements qui ont cependant plus d'un tour dans leur sac doivent se rendre à l'évidence : ils sont condamnés à ne se voir que le dimanche, jour du Seigneur et pour les grandes occasions. L'on aurait pu dire de Charlemagne, le dernier-né, presque un miraculé, qui c'est de tous celui avait le plus de chance dans ce malheur puisqu'il est recueilli par sa marraine, une grande dame, pour vivre au château. Mais Charlemagne se fiche pas mal de toutes ces frasques et de tout ce luxe : lui, il ne se sent réellement bien que lorsqu'il est avec les loups ou certains animaux avec lesquels il peut communiquer. Il a le don.
Si il ne peut pas vivre avec ses frères et sœur, il aspire au moins à vivre avec ceux auprès desquels il se sent le plus en confiance, à savoir les loups, qui, il le sait, à la différence des hommes, ne le trahiront jamais car étant moins fourbes et beaucoup moins intéressées. Chez eux, seule la liberté compte. Charlemagne arrivera-t-il à mettre à jour son plan pour les rejoindre et vivre parmi eux ?
Un dessin toujours aussi bien travaillé et une histoire, quoique loin des plus réjouissantes, entraîne le lecteur dans un récit d'aventures des plus prenants. A défaut d'avoir découvert (du moins pas encore) le roman original, je suis tout de même contente d'être tombée par le plus pur des hasard sur cette adaptation en bande-dessinée et ne peux que vous recommander de faire de même !
Si il ne peut pas vivre avec ses frères et sœur, il aspire au moins à vivre avec ceux auprès desquels il se sent le plus en confiance, à savoir les loups, qui, il le sait, à la différence des hommes, ne le trahiront jamais car étant moins fourbes et beaucoup moins intéressées. Chez eux, seule la liberté compte. Charlemagne arrivera-t-il à mettre à jour son plan pour les rejoindre et vivre parmi eux ?
Un dessin toujours aussi bien travaillé et une histoire, quoique loin des plus réjouissantes, entraîne le lecteur dans un récit d'aventures des plus prenants. A défaut d'avoir découvert (du moins pas encore) le roman original, je suis tout de même contente d'être tombée par le plus pur des hasard sur cette adaptation en bande-dessinée et ne peux que vous recommander de faire de même !
Dommaaaaage.
Une belle couv' assortie d'une quatrième plutôt alléchante ne font pas tout.
Première impression, le graphisme réaliste claque. le visuel séduit d'emblée. le moment s'annonce des plus sympathiques.
Dernière impression, comme le sentiment de s'être fait enflé par un emballage tout en cherchant encore le cadeau.
Vingt planches pour narrer la naissance des quintuplés, bon, pourquoi pas.
Puis d'enquiller, suite à un vilain coup de sang, sur une sombre histoire de duel pour finir par une sale morsure de Clarabelle, la vache qui porte ici bien son pédigrée, possible porteuse du fléau, le tout s'apparente à une suite d'évènements, sans véritable lien, déroulés pour alimenter un scénario à la limite de l'abonné absent.
Le langage d'époque usité n'étant qu'une moindre valeur ajoutée, il ne suffira pas à faire passer cette pilule décidément bien amère, Michel.
Bref, autant les rétines s'en seront mis ras la gueule, autant le cortex en ressortit méchamment chafouin.
Une belle couv' assortie d'une quatrième plutôt alléchante ne font pas tout.
Première impression, le graphisme réaliste claque. le visuel séduit d'emblée. le moment s'annonce des plus sympathiques.
Dernière impression, comme le sentiment de s'être fait enflé par un emballage tout en cherchant encore le cadeau.
Vingt planches pour narrer la naissance des quintuplés, bon, pourquoi pas.
Puis d'enquiller, suite à un vilain coup de sang, sur une sombre histoire de duel pour finir par une sale morsure de Clarabelle, la vache qui porte ici bien son pédigrée, possible porteuse du fléau, le tout s'apparente à une suite d'évènements, sans véritable lien, déroulés pour alimenter un scénario à la limite de l'abonné absent.
Le langage d'époque usité n'étant qu'une moindre valeur ajoutée, il ne suffira pas à faire passer cette pilule décidément bien amère, Michel.
Bref, autant les rétines s'en seront mis ras la gueule, autant le cortex en ressortit méchamment chafouin.
Une BD avec des graphismes proches du réel. Les maisons et décors sont vraiment d'un réalisme incroyable, avec une magnifique colorisation.
Trois jeunes ados décident de fuguer. Chacune a un mal etre différent, mais elles ne se sentent plus de rester chez elles. Les voilà donc parties vers la Bretagnes ou elles vont se cacher, rencontrer des gens différents, et faire connaissance avec les légendes celtes.
Une porte entre trois menhirs pourraient leur permettre de rentrer en contact avec les morts.
Un premier tome qui nous laisse sur nortre faim, et nous donne envie d'en savoir plus sur l'étrange mystère qui se déroule dans la région.
Trois jeunes ados décident de fuguer. Chacune a un mal etre différent, mais elles ne se sentent plus de rester chez elles. Les voilà donc parties vers la Bretagnes ou elles vont se cacher, rencontrer des gens différents, et faire connaissance avec les légendes celtes.
Une porte entre trois menhirs pourraient leur permettre de rentrer en contact avec les morts.
Un premier tome qui nous laisse sur nortre faim, et nous donne envie d'en savoir plus sur l'étrange mystère qui se déroule dans la région.
Première impression à la découverte de Léonard , il y a du Forrest Gump en ce p'tit bonhomme à la simplicité et la naïveté confondantes .
Récit touchant s'il en est , Exauce-nous fait dans l'humain et le fait bien .
Si plusieurs personnages gravitent autour de ce Léo au phrasé enfantin , il en est l'épicentre énigmatique . En effet , que vous soyez de ses connaissances ou d'illustres inconnus croisés au détour d'une sombre ruelle , vous ne sauriez échapper à sa petite phrase rituelle , objet de si nombreuses interrogations stériles : T'as pas vu celle que j'cherche ?
Piqué au vif , Frank , de ses amis et scénariste au chômage intellectuel , décide d'en faire son prochain sujet en menant l'enquête...
Un dessin précis , des tons pastels du plus bel effet , de petites histoires dans l'Histoire , il n'en faut pas plus pour refermer cette jolie BD avec le sentiment d'avoir fait un petit bout de chemin avec un Léo bougrement attachant .
Une histoire à l'image de son antihéros à savoir toute simple , taillée dans le sentiment et l'émotion .
Une enquête pesante , sur fonds de tragédie familiale , qui prendra un malin plaisir à vous sécher , rendant , s'il était possible , encore un peu plus attendrissant ce p'tit bout d'homme en quête de vérité...
Exauce-Nous : véritable don du ciel...
http://www.youtube.com/watch?v=WIF4_Sm-rgQ
Récit touchant s'il en est , Exauce-nous fait dans l'humain et le fait bien .
Si plusieurs personnages gravitent autour de ce Léo au phrasé enfantin , il en est l'épicentre énigmatique . En effet , que vous soyez de ses connaissances ou d'illustres inconnus croisés au détour d'une sombre ruelle , vous ne sauriez échapper à sa petite phrase rituelle , objet de si nombreuses interrogations stériles : T'as pas vu celle que j'cherche ?
Piqué au vif , Frank , de ses amis et scénariste au chômage intellectuel , décide d'en faire son prochain sujet en menant l'enquête...
Un dessin précis , des tons pastels du plus bel effet , de petites histoires dans l'Histoire , il n'en faut pas plus pour refermer cette jolie BD avec le sentiment d'avoir fait un petit bout de chemin avec un Léo bougrement attachant .
Une histoire à l'image de son antihéros à savoir toute simple , taillée dans le sentiment et l'émotion .
Une enquête pesante , sur fonds de tragédie familiale , qui prendra un malin plaisir à vous sécher , rendant , s'il était possible , encore un peu plus attendrissant ce p'tit bout d'homme en quête de vérité...
Exauce-Nous : véritable don du ciel...
http://www.youtube.com/watch?v=WIF4_Sm-rgQ
Relecture des tomes "Sirène", "Le corbeau blanc", "La petite mort" et "Le pays de l'arbre" qui constituent cet intégrale...et déception...
J'ai apprécié, comme il y a 25 ans, les deux premiers tomes dans lesquels on suit avec un soupçon de nostalgie la jeunesse de Grimion, né avec une infirmité pour le moins inhabituelle, dans la Sarthe rurale et très superstitieuse des années 1930...
Les dessins des personnages sont plutôt brouillons ; les visages et silhouettes parfois difficiles à reconnaître d'une case à l'autre...or, les paysages aux couleurs automnales sont magnifiques, et, comme Grimion, on s'y attarde avec rêverie...
Dans les deux tomes suivants le trait de crayon et l'encrage gagnent en finesse, mais l'histoire, devenue plus initiatique, se perd dans l'ésotérisme et l'occultisme de bas étage afin d'expliquer la malédiction qui a frappée Grimion.
Se greffe là-dessus la quête d'une femme mystérieuse à la beauté lumineuse et éblouissante...quête qui à force de s'étirer sur de nombreuses pages (tome 3), devient plus agaçante qu'énigmatique.
La Magie n'opère plus guère...j'ai refermé l'album avec le soupir de "je n'y reviendrai plus !"
(Note : 2,51/5)
J'ai apprécié, comme il y a 25 ans, les deux premiers tomes dans lesquels on suit avec un soupçon de nostalgie la jeunesse de Grimion, né avec une infirmité pour le moins inhabituelle, dans la Sarthe rurale et très superstitieuse des années 1930...
Les dessins des personnages sont plutôt brouillons ; les visages et silhouettes parfois difficiles à reconnaître d'une case à l'autre...or, les paysages aux couleurs automnales sont magnifiques, et, comme Grimion, on s'y attarde avec rêverie...
Dans les deux tomes suivants le trait de crayon et l'encrage gagnent en finesse, mais l'histoire, devenue plus initiatique, se perd dans l'ésotérisme et l'occultisme de bas étage afin d'expliquer la malédiction qui a frappée Grimion.
Se greffe là-dessus la quête d'une femme mystérieuse à la beauté lumineuse et éblouissante...quête qui à force de s'étirer sur de nombreuses pages (tome 3), devient plus agaçante qu'énigmatique.
La Magie n'opère plus guère...j'ai refermé l'album avec le soupir de "je n'y reviendrai plus !"
(Note : 2,51/5)
Club N°53 : BD non sélectionnée
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BD dans l'air du temps : autisme, mal être des jeunes, problèmes de couple, collapsologie...
Il suffit de se laisser porter ;-)
Xel
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BD dans l'air du temps : autisme, mal être des jeunes, problèmes de couple, collapsologie...
Il suffit de se laisser porter ;-)
Xel
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L' album " Du Souchon dans l'air" est une oeuvre collective .
Les auteurs de BD interprètent librement les chansons d'Alain souchon.
Chaque chanson est rappelée au début avant que les auteurs de BD nous donnent l'interprétation de la chanson en la mettant en scène :
Les mélodies d'Alain Souchon me plaisent beaucoup ; j'avais laissé un peu le sens des paroles de coté. Avec les BD, j'ai du faire plus attention aux textes, et maintenant quand j'écoute les chansons .. j'imagine les images...
Les auteurs de BD interprètent librement les chansons d'Alain souchon.
Chaque chanson est rappelée au début avant que les auteurs de BD nous donnent l'interprétation de la chanson en la mettant en scène :
Les mélodies d'Alain Souchon me plaisent beaucoup ; j'avais laissé un peu le sens des paroles de coté. Avec les BD, j'ai du faire plus attention aux textes, et maintenant quand j'écoute les chansons .. j'imagine les images...
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