Rachel Hawkins

Après que sa meilleure amie (et plus ou moins petite-amie) ait embrassé son ex, Millie profite d’une bourse d’étude pour l’internat écossais de ses rêves afin de fuir l'Amérique et ses problèmes. Elle se retrouve ainsi en plein cœur des Highlands, entourée d’aristocrates et, surprise, avec la princesse d’Ecosse comme colocataire.

Le problème : les deux jeunes filles ne se supportent pas.



Le mélange d’Ecosse, de royauté et de ship fxf sur base de mauvaise entente a tout de suite tiré sur ma corde sensible. J’étais obligée de lire ce livre.

On plonge donc dans une petite romance assez mignonne, pas prise de tête et qui se laisse lire tout seule. Ce n’est objectivement pas la meilleure romance de ma vie, c’est facile et rapide, on devine certaines choses très vite, mais c’est un peu la promesse de départ et le roman fait donc très bien son travail. C’est délicieusement cliché et c’est exactement ce que j’attendais. On retrouve l’ambiance des films et/ou des livres où la petite américaine se trouve un prince - un schéma narratif dont je suis fan depuis enfant - mais cette fois, avec deux filles. J’ai été plus que satisfaite de découvrir une déclinaison de mon trope préféré où je me sens représentée (parce que nous aussi on veut nos romances clichées et mignonnes et toutes simples).

Si l’on ne rentre pas vraiment dans la profondeur des personnages, car le livre est plutôt du style “lecture plage” et va droit au but sans se perdre en détails, avec parfois des raccourcis un peu simples, j’ai tout de même beaucoup aimé la princesse Flora !



Je ne savais pas du tout que ce roman était le second tome de Royals, que je ne connaissais pas non plus et qui se concentre sur le frère aîné de Flora. Forcément, il y a des petits clins d'oeils par-ci par-là, mais rien qui n’empêche la compréhension. Je pense que les deux livres sont donc très indépendants l’un de l’autre.
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"Le sacrifice" est un roman plein d'humour, et de rebondissements

Il est quasiment aussi intéressant que les deux premiers tomes, je n'ai pas été déçue

La fin est vraiment sympa, un peu triste. J'ai bien aimé la résolution par rapport à Elodie

J'ai commencé cette série en 2013...Il est peut être temps que je la finisse bientôt... Allez ! ce sera pour cette année ;)

Je vous le recommande +++ ce très bon thriller.

Jane est une jeune femme qui est pet Sitter dans une résidence très huppée, tout le contraire d'elle même qui est passée d'une famille d'accueil pendant son absence.

Puis un jour elle se fait renverser par Eddie Rochester, bel homme riche qui a perdu récemment sa femme. Elle tombe sous son charme mais se sent pas toujours à l'aise dans cette maison.

Je vous laisse découvrir ce très bon roman.

Me voilà à la fin de la trilogie Hex Hall. Ce dernier tome, qui est dans la lignée des deux précédents, clôt les aventures de Sophie tel que je l'attendais mais non sans plaisir.



L'histoire reprend trois semaines après la fin des événements du second tome. Sophie fait la connaissance des femmes Brannick, chasseuses de monstres de mère en fille avec qui elle va devoir s'allier pour combattre les sœurs Casnoff qui transforment les Prodigium en démons. Du Tennessee à Hex Hall, en faisant un petit détour en Irlande et en Enfer, Sophie va devoir apprendre à se surpasser et faire montre de courage pour sauver les gens auxquels elle tient. Heureusement, elle n'est pas seule : Jenna, Archer, Cal, ses parents et les Brannick sont là pour l'aider à mener à bien la mission qu'elle s'est donnée.



C'est une nouvelle fois un tome plein d'action et de révélations, dans lequel on ne s'ennuie pas un instant. Les dernières vérités concernant l'histoire familiale de Sophie se font jour, du côté maternel cette fois-ci. La vérité sur les parents d'Archer est également révélée.



L'intrigue, dans sa généralité, prend en revanche une tournure un peu trop facile. Je m'attendais également à une bataille finale palpitante et je ne l'ai pas eue. Côté personnages, rien n'a changé, on reste très en surface mais on les apprécie quand même. Côté cœur, le choix de Sophie n'a fait preuve d'aucune surprise, c'était couru d'avance dès le début.



En revanche, le titre "Le sacrifice" ne prend tout son sens que dans les derniers chapitres et c'est appréciable. Le style d'écriture, plutôt ordinaire certes, est plein d'entrain et de mordant, la lecture se veut facile et dynamique.



Dans l'ensemble, j'ai trouvé cette saga sympathique. Elle manque surtout de profondeur en ce qui concerne les personnages, quelques descriptions plus poussées en ce qui concerne les lieux n'auraient pas fait défaut non plus. Elle est en revanche pleine de rebondissements et de révélations, de créatures fantastiques et de magie. Ajoutez à cela un peu d'humour, un triangle amoureux, de l'amitié et vous aurez tous les ingrédients pour obtenir un bit-lit (ou romantasy) qui plaira à coup sûr à tous les adeptes du genre.

Malgré mes réticences vis-à-vis du premier tome, je continue quand même la saga. Et grand bien m'en a pris car j'ai nettement préféré ce tome 2, riche en rebondissements et révélations.



Nous retrouvons Sophie qui, après les événements à Hex Hall, est "invitée" à passer ses vacances d'été en Angleterre à l'abbaye Thorne. C'est l'occasion pour elle de faire le point sur ce qu'elle a vécu ces derniers mois et de réfléchir à ses sentiments envers Archer, l'occasion de se rapprocher de son père également, ainsi que de se familiariser avec le Conseil, et surtout de prendre la bonne décision vis-à-vis de ses pouvoirs. Cal et Jenna l'ayant accompagnée, tous trois font la connaissance de Nick et Daisy, deux démons qui ont perdu la mémoire au moment de leur transformation.



Mais de ces vacances, Sophie n'aura guère le temps d'en profiter. Entre les attaques de l'Œil, les trahisons au sein même du Conseil, les comportements bizarres de Nick et Daisy, ses sentiments confus envers Archer et Cal, sa relation avec son père en dents de scie, ses pouvoirs qu'elle apprend à maîtriser et toutes les révélations à intégrer, Sophie n'a pas de temps pour la farniente.



Nous non plus d'ailleurs, l'intrigue prend une tournure que je n'avais pas totalement vu venir. Si les relations à venir entre les protagonistes sont assez prévisibles, l'ensemble des événements qui touchent au conflit entre le Conseil et l'Œil sont en revanche pleins de surprises et de révélations détonantes. Trahisons et conspirations sont à l'ordre du jour, certains personnages montrent leur vrai visage, et l'on se rend compte que certains faisant partie des gentils ne sont en fait pas si gentils, tout comme certains ennemis se révèlent (peut-être) être des alliés...



J'ai trouvé que ce tome relevait le niveau du premier. Riche en action et rebondissements, la tension et l'urgence montent crescendo au fur et à mesure qu'on approche de la fin. Et quelle fin ! Du genre qui nous laisse en plan, nous abandonnant sur un événement chaud bouillant et une ultime révélation imprévue.



Je ne m'attendais pas à en ressortir aussi enthousiaste et aussi pressée d'ouvrir le tome 3. Les personnages manquent toujours autant de consistance et ne dérogent pas aux clichés mais j'ai été totalement prise dans les filets de l'intrigue. Je n'ouvrirai pas le dernier tome à reculons !

J'avais besoin d'un bouquin pas prise de tête et La femme à l'étage a rempli sa mission. Son auteur s'est en fait employée à une réécriture dans le monde moderne de Jane Eyre. Elle en a repris les codes et les a mis "à sa sauce". Si j'ai été un peu déroutée au début par le style un peu relâché et familier du récit, je m'y suis faite peu à peu car ça collait bien aux personnages. Nous suivons Jane kleptomane qui a toujours vécu une vie de galère de foyer en foyer qui se retrouve promeneuse de chiens dans une banlieue chic d'une petite ville d'Alabama. Suite à un petit accident elle fait la connaissance d'Eddie Rochester, veuf séduisant comme il se doit, et dont elle va vite tomber amoureuse. Grâce à ces événements elle parvient enfin à intégrer le cercle fermé de ce milieu très chic. Et ce qui est amusant c'est de suivre Jane qui joue son rôle du mieux qu'elle peut mais qui garde un oeil lucide et plein d'ironie sur ses désormais "amies". Comme dans le roman originel l'ombre de l'épouse disparue plane. Voilà Je vous ai planté le décor qui n'est certes pas inattendu si vous avez lu Jane Eyre, et si comme moi vous avez besoin d'un roman qui se lit tout seul, tentez l'expérience. Il faut bien entendu aimer les thrillers domestiques.

Pour un challenge, il me fallait lire un "romantasy" (fut un temps, on appelait ça du bit-lit), genre que j'aimais bien quand j'étais plus jeune, quand j'avais plus ou moins l'âge des héroïnes en fait (à dix ans près) et que je croyais encore au prince charmant. Je n'en lis plus du tout aujourd'hui, alors qu'il m'en reste encore quelques-uns dans ma pal et ma bibliothèque. Me voilà donc à commencer le premier tome de la trilogie "Hex Hall", que je ne pensais plus lire.



Et ce ne fut pas trop catastrophique, malgré les nombreux clichés.



Sophie est une jeune fille de 16 ans un peu particulière : c'est une sorcière qui a du mal à maîtriser ses pouvoirs. Lorsqu'au bal de fin d'année, elle crée un sortilège d'amour pour l'une de ses amies et qu'il tourne à la catastrophe, elle est condamnée par le Conseil à suivre sa scolarité à Hecate jusqu'à ses 18 ans. Hecate est un centre d'éducation pour jeunes Prodigium qui éprouvent des difficultés à rester "discrets" parmi les humains "normaux". Sorciers et sorcières, fées, métamorphes et vampires se partagent les locaux. Pour Sophie, l'intégration parmi ces personnes hors norme n'est pas des plus faciles...



Triangle amoureux, rivalités, amitié, secrets de famille, pouvoirs magiques, sortilèges et magie noire, meurtres et attaques parmi les sorcières, alimentent le récit. Et c'est tout ce qui m'aurait plu il y a encore quelques années. Je vais donc essayer de ne pas être trop sévère dans mon ressenti...



Parce qu'il est clair que des protagonistes comme ils sont présentés ici ne m'attirent plus du tout. La fille quelconque en guise d'héroïne, le beau gosse ultra populaire et la rivale super belle et super douée, pour ne parler qu'eux, rassemblent à eux trois tous les clichés, vus et revus. Niveau psychologique, l'autrice ne s'est pas trop foulé, puisqu'on reste en surface, même l'héroïne manque de profondeur.



Malgré tout, l'intrigue est tout de même appétente. On voit venir de loin bon nombre d'évènements, pourtant les rebondissements ne sont pas en reste. Il y a donc encore pas mal de surprises, notre curiosité est titillée et on va jusqu'au bout sans problème car on veut savoir comment ça va se terminer.



Puis le style de l'autrice, bien qu'ordinaire, n'est pas désagréable. C'est écrit gros et la lecture se veut donc facile et rapide. Il y a quelques traits d'humour également qui, à défaut de faire rire, font parfois sourire.



Je lirai la suite, puisque je l'ai, parce que je suis curieuse aussi et que je vais toujours jusqu'au bout d'une série/saga. Je regrette juste de ne pas l'avoir lue dix-quinze ans plus tôt, il ne fait aucun doute que j'aurais aimé bien plus qu'aujourd'hui et lui aurais attribué bien plus d'étoiles. Ce n'est pas mauvais, ce n'est juste plus ce que je recherche d'une lecture. Je suis sans aucun doute trop vieille (et devenue plus exigeante) !

Après que sa meilleure amie (et plus ou moins petite-amie) ait embrassé son ex, Millie profite d’une bourse d’étude pour l’internat écossais de ses rêves afin de fuir l'Amérique et ses problèmes. Elle se retrouve ainsi en plein cœur des Highlands, entourée d’aristocrates et, surprise, avec la princesse d’Ecosse comme colocataire.

Le problème : les deux jeunes filles ne se supportent pas.



Le mélange d’Ecosse, de royauté et de ship fxf sur base de mauvaise entente a tout de suite tiré sur ma corde sensible. J’étais obligée de lire ce livre.

On plonge donc dans une petite romance assez mignonne, pas prise de tête et qui se laisse lire tout seule. Ce n’est objectivement pas la meilleure romance de ma vie, c’est facile et rapide, on devine certaines choses très vite, mais c’est un peu la promesse de départ et le roman fait donc très bien son travail. C’est délicieusement cliché et c’est exactement ce que j’attendais. On retrouve l’ambiance des films et/ou des livres où la petite américaine se trouve un prince - un schéma narratif dont je suis fan depuis enfant - mais cette fois, avec deux filles. J’ai été plus que satisfaite de découvrir une déclinaison de mon trope préféré où je me sens représentée (parce que nous aussi on veut nos romances clichées et mignonnes et toutes simples).

Si l’on ne rentre pas vraiment dans la profondeur des personnages, car le livre est plutôt du style “lecture plage” et va droit au but sans se perdre en détails, avec parfois des raccourcis un peu simples, j’ai tout de même beaucoup aimé la princesse Flora !



Je ne savais pas du tout que ce roman était le second tome de Royals, que je ne connaissais pas non plus et qui se concentre sur le frère aîné de Flora. Forcément, il y a des petits clins d'oeils par-ci par-là, mais rien qui n’empêche la compréhension. Je pense que les deux livres sont donc très indépendants l’un de l’autre.




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Ce tome 2 de la série Hex Hall nous entraîne dans un monde toujours aussi magique, mais plein d'embûches et d'adversité !



Je trouve les couvertures de cette série super jolies, elles nous plongent tout de suite de suite dans l'ambiance

J'ai bien aimé le premier chapitre, qui était très drôle, ça commence bien

Les personnages sont sympathiques, anciens et nouveaux. L'amitié entre Sophie et Jenna est touchante

J'ai aimé découvrir Thorne abbey, qui est aussi intéressante que l'école Hécate . Il y a plein d'aventures à découvrir

Rachel Hawkins fait de bonnes descriptions dans le roman, je pouvais bien me représenter les scènes

Au final, je ne me suis ennuyée à aucun moment !



Tout de même, un petit point négatif agaçant !

Le triangle amoureux..... Quel intérêt ? De toute manière dans les livres, tout du moins dans les anciens YA, il n'y a jamais de surprise : l'héroïne ou le héros choisit le premier "intérêt amoureux". (Dans les films, c'est le contraire souvent j'ai remarqué lol) Honnêtement, c'est juste du gaspillage d'encre pour moi, je préfère qu'il y ait juste un seul petit.e ami.e ou partenaire personnellement



En conclusion, ce tome 2 était super, et ne m'a franchement pas déçue ! Quasiment aussi bien que le tome un, voire aussi bien. La fin me donne envie de lire la suite .

Une réécriture de Jane Eyre à la sauce thriller domestique ? Je disais oui ! Cependant, après ma lecture, je suis plus dans le « Oui, mais... »

Je n’ai rien à redire sur la construction de l’intrigue, assez classique dans le genre cité plus haut. L’ensemble fonctionne bien, le mystère et le suspense sont là même si j’aurais aimé que l’autrice développe un peu plus le côté maison inquiétante. Là, à part deux trois « boums » et « toc-toc », il n’y pas grand-chose, ce qui empêche le lecteur de vraiment angoisser pour Jane. Ce côté du roman était donc assez bien exécuté même s’il restait très classique.

Mais ce qui m’a empêchée de me passionner pour cette histoire, c’est le personnage de Jane. Même si je ne m’attendais pas à un copié-collé de l’originale, j’ai été surprise par le caractère donné au personnage. Je salue le parti pris de l’autrice mais je n’ai pas du tout accroché à ce personnage. Ce n’est pas la faute de l’autrice, elle l’a construit de cette manière sciemment et je ne remets pas en cause ses compétences, c’est juste que j’ai eu du mal à ressentir autre chose que du mépris pour cette « pauvre Jane », jeune femme cleptomane un peu paumée qui passe son temps à mépriser et cracher sur les housewives de la haute tout en espérant secrètement leur ressembler. C’est cette hypocrisie que j’ai eu du mal à supporter, cette jalousie et cette envie qui font qu’elle émet des jugements sur ses voisines alors qu’elle souhaite juste avoir la même chose. Je déteste ça dans la vraie vie, les gens qui crachent sur quelque chose uniquement parce qu’ils ne peuvent pas l’avoir, et c’est pareil dans les romans. Donc, comme je n’avais pas de sympathie particulière pour Jane, peu m’importait son sort d’où ma lecture détachée. Et le personnage d’Eddie n’était pas là pour rattraper l’ensemble tant il est un personnage secondaire dans cette histoire. On le croise pour des scènes très rapides et j’avoue que je ne sais pas pourquoi Jane s’amourache de lui. Du moins, pour une autre raison que celle d’être un tremplin pour accéder à sa vie rêvée, c’est-à-dire être riche, avoir une belle maison et surtout ne pas travailler.

Je n’ai donc pas totalement apprécié cette lecture. Comme écrit plus haut, l’aspect thriller était pas mal mais pas assez original pour relever mon appréciation globale. Par exemple, je trouve que le roman « Verity » était bien meilleur à ce niveau-là. Je ne pourrai cependant pas affirmer que c’est un mauvais roman car, après tout, mon désintérêt pour l’histoire vient principalement du fait que je n’ai pas aimé Jane. Alors, c’est intéressant d’offrir un personnage aussi éloigné de son modèle en terme de caractère, mais ça ne l’a tout simplement pas fait du tout avec moi. Ressenti très personnel, donc. Je ne peux que vous inviter à vous forger votre propre avis, peut-être que vous aimerez.

Petite lecture détente avec le tome 1de Royale malgré moi, de Rachel Hawkins, aux éditions Nathan.



Au vu de la couverture flashy, je n'en attendais pas grand chose, si ce n'est une lecture agréable. Effectivement, le scénario n'est pas compliqué, et l'histoire assez "cliché".



On suit Daisy, une ado américaine dont la sœur aînée se fiance au prince d’Écosse. Daisy est plutôt maladroite et n'a pas sa langue dans sa poche. Quand elle va devoir se mêler à l'aristocratie, elle va enchaîner les gaffes.



Si les personnages et l'histoire d'amour ont un côté stéréotypé et attendu, les bourdes et réparties de Daisy font sourire. Sous la couche d'humour, on découvre l'envers du décorum royal et l'importance de l'image donnée, la surveillance constante.



Je n'ai pas eu de coup de cœur, mais c'était une lecture agréable. Je vous le conseille si vous aimez les romances et l'humour. Dès 14 ans.
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Et pour terminer, nous partons dans un pensionnat un peu particulier, puisqu’il recueille des élèves très spéciaux. Vampires, fées, sorcières, loup-garou et métamorphe y sont envoyés pour être instruits et ne pas mettre en péril toute la communauté des Prodigium.



C’est ainsi que Sophie s’y retrouve après un sortilège d’amour qui a mal tourné, désespérée de devoir s’y rendre et de ne pas pouvoir rester avec sa mère. C’est elle qui l’a élevée et qui est humaine et c’est son père qui est un prodigium mais elle ne l’a pas vu depuis de nombreuses années.



Evidemment, tout ne se passe pas normalement dans cette école et le mystère plane autour de cette jeune fille qui ignore même qui est sa famille. Des agressions, une société secrète, une intrigue qui monte petit à petit et nous tient en haleine. C’est ce mystère qui contribue pour beaucoup à une lecture sympa.



Je me souvenais l’avoir lu dans le passé et avoir bien aimé. Ca reste une lecture agréable, mais plus jeunesse que dans ma mémoire. La romance est assez neuneu et basée sur un triangle amoureux, il y a le vilain groupe de pimbèches qui en font voir de toutes les couleurs mais à côté, le petit côté piquant de Sophie et de Jenna ajoute une bonne dose d’humour et les événements mystérieux font le reste. Somme toute, une bonne petite lecture de fantasy urbaine, mais qui aurait mérité d’approfondir un peu les personnages.
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Attention, avant de lire cette chronique : nous sommes sur le tome final d'une trilogie. Je ne pourrai pas faire autrement que de spoiler les deux tomes précédents ! N'allez donc pas plus loin si vous n'avez pas encore commencé ! (mais qu'attendez-vous ?)



Dans ce dernier tome, Sophie retrouve finalement sa mère chez les Brannick, situation étrange s'il en est, mais dont nous avons rapidement le pourquoi du comment. Je ne l'avais pas vu venir !

Suite à la fin du tome 2, Sophie est privée de ses pouvoirs, de ses amis, de son père… de son espoir. La situation paraît encore plus sombre lorsqu'elle comprend que ni l'Occhio di Dio, ni les Brannick ne sont responsables des récentes attaques contre les Prodigium et le Conseil. Le complot est évident, et il vient de l'intérieur. Et c'est à Hex Hall que tout se terminera, pour le meilleur ou pour le pire…



Comme pour les tomes précédents : ce n'est pas la série du siècle, mais c'est bien fait, et ca divertit. Parfois même, ca réussit à me surprendre !

Cependant, ce troisième tome est un peu en-deça du précédent. Depuis le milieu du premier tome, l'histoire est allée crescendo, dans le rythme et la maturité mais dans le côté sombre également.

J'ai trouvé que le début de ce dernier tome retombait un peu. Certes, on apprend des choses, on retrouve des personnages et des lieux pour lesquels on s'inquiétait… mais le rythme est quand même moins haletant. On sent, pendant cette première moitié du roman, comme une attente ; l'impression que l'auteur veut faire monter la sauce avant le « grand final ».



J'avoue que le retour à Hex Hall, s'il est excellent en terme d'ambiance et de description, m'a quand même paru un peu vide d'actions. Le seul élément qui amenait un peu de peps, c'était finalement le fantôme d'Elodie, qui l'eut cru ?

Et quelle déception concernant le passage aux Enfers. Bien qu'il nous permette d'anticiper un élément final, je l'ai trouvé beaucoup trop facile. Il s'agit des Enfers, quand même !

Heureusement, après ça, on entre dans la « grande bataille finale » et là, le rythme reprend, c'est même l'explosion ! J'avoue, j'en aurais voulu un peu plus, que ca dure plus longtemps, mais elle est quand même bien réalisée. La fin est celle qu'on attend, pas de surprise cette fois mais une fin satisfaisante malgré tout.



Petit bémol (oui encore^^' pourtant je vous assure que j'ai apprécié ma lecture!^^) : on semblait s'orienter sur une prédiction au sujet d'Izzy, mais finalement, à moins d'être passée à côté de quelques choses, on ne sait finalement rien. Dommage, j'aurais aimé en savoir plus sur les deux filles Brannick, qu'elles aient un rôle plus important dans la bataille finale.



Globalement, cette série fut donc une lecture addictive, agréable et divertissante, mais ne sera pas, je pense, marquante. Je ne me vois pas, par exemple, avoir envie de la relire dans quelques années.

Cependant, si vous cherchez un bon divertissement, un peu jeunesse, vous pouvez foncer, vous serez servi.

Avant tout, avant de lire cette chronique, j'attire votre attention sur le fait qu'il s'agit d'un tome 2. Il se peut donc que mon avis spoile partiellement, parfois, le tome 1, je n'aurai pas le choix. N'allez donc pas plus loin si vous n'avez pas commencé la série.



Dans ce deuxième tome, Sophie a retrouvé son père, président du Conseil, et découvert leur vraie nature. Accompagnée de Jenna et Cal, elle le suit à Londres pour passer les vacances avec lui et apprendre à le connaître, mais surtout pour mieux comprendre et accepter qui elle est.

La voilà donc arrivée à l'abbaye Thorne, où les membres rescapés du Conseil l'accueille avec bienveillance. Rescapés car, comme l'apprend rapidement Sophie, la situation des Prodigium s'est singulièrement dégradée : l'Occhio di Dio et les Brannick ont fait alliance. Les Prodigium courent un grave danger.

A Thorne, Sophie fait la connaissance de Daisy et Nick, deux jeunes démons. Stupeur puisque Sophie pensait que sa lignée était la seule du genre. Elle comprend alors que la situation est plus grave qu'elle ne le pensait.



Pour moi, ce second tome est le meilleur de la série. Dans la lignée de la fin du tome 1, l'histoire s'assombrit et se complexifie, les personnages sont plus profonds qu'ils n'y paraissaient, et la ligne entre le bien et le mal, entre les bons et les méchants, parait de plus en plus floue.



La romance est moins présente que dans le premier tome et, paradoxalement, cela la rend plus intéressante à mon goût. Malheureusement on sent rapidement se dessiner, dans la deuxième partie du roman surtout, un triangle amoureux qui, je l'avoue, ne m'enchantait pas de prime abord. Ce n'est pas un trope dont je suis très fan en général, et j'ai eu très peur d'être déçue par celui-ci.

Cependant, je l'avoue, l'évolution des personnages a fait en sorte que, tout au long de ce roman (et même pendant une bonne partie du suivant), je me suis beaucoup questionnée sur les motivations des deux prétendants de Sophie, j'ai douté de leur sincérité, et finalement j'ai trouvé leur relation intéressante pour l'histoire.



Ce tome est très riche en rebondissements et révélations en tout genre, et je l'ai trouvé encore plus addictif que le premier. Encore une fois, la fin m'a prise par surprise, avec le sort réservé à Sophie et à son père, et l'incertitude sur d'autres personnages importants. Autant, le permier tome pouvait à la rigueur se suffire à lui-même, autant il est impossible de s'arrêter après ce tome 2, la tension est à son paroxysme et l'inquiétude pour les personnages est bien trop forte. Donc, comme vous l'avez compris, j'ai enchainé directement avec le dernier tome de la série !

L'automne est la saison où j'apprécie le plus de découvrir des histoires fantastiques, des histoires de sorcellerie, de magie, des histoires à l'ambiance sombre et mystérieuse.

Tous les ans, j'aime jeter mon dévolu sur une série jeunesse/young adulte que je vais dévorer.

Cette année, je suis tombée sur Hex Hall, et si je n'ai pas eu le coup de coeur que j'ai pu avoir pour d'autres séries, j'ai tout de même beaucoup apprécié ma lecture.



Hex Hall, ou le manoir d'Hécate, est un pensionnat un peu particulier. Situé sur l'île de Graymalkin, en Géorgie, la bâtisse abrite en réalité un centre d'éducation surveillé pour les jeunes Prodigium (sorciers, fées, elfes et métamorphes) particulièrement indisciplinés. Ceux qui ont du mal à maitriser leurs pouvoirs, ou les ont exposés en public, au risque de mettre en danger la communauté magique.

Sophie fait partie de ces jeunes « condamnés » par le Conseil à intégrer l'école pour apprendre à se maîtriser. On ne peut pas dire que cette jeune sorcière en soit particulièrement ravie.

Sur place, elle va faire la connaissance de ses nouveaux camarades, dont Jenna, la vampire qui partage sa chambre, Archer, le beau sorcier dont toutes les filles sont folles, ou Elodie, la sorcière noire.

Mais Sophie va également découvrir que sa mère, assez hostile au monde magique, lui a caché beaucoup de choses sur ses origines, et que tout le monde semble en savoir plus long sur elle, qu'elle-même.



Ce premier tome est une introduction au monde magique où on découvre rapidement notre héroïne Sophie, le manoir de Hex Hall et les différents éléments constituants ce monde magique.

Je l'ai trouvé assez axé jeunesse, l'aspect « premiers troubles amoureux et instabilité adolescente » est très présent, quasiment plus que l'aspect magique qui est finalement secondaire pendant une bonne partie du récit. Comme Sophie qui est déçue des cours qu'on lui propose, j'ai d'abord été moi aussi déçue par ce manque de magie. Par exemple, on ne saura quasiment rien des fées, elfes et métamorphes.

Le côté sombre de ce monde magique, représenté par l'Occhio di Dio et la famille Brannick, n'est d'abord abordé qu'indirectement, et même si l'on a conscience de la menace qu'ils représentent pour les jeunes Prodigium, on ne la ressent pas du tout dans le pensionnat d'Hex Hall, où le principal risque pour ces adolescents semble somme toute être l'ennui.



Heureusement les choses s'emballent avec l'arrivée du personnage d'Alice, et l'histoire prend alors de l'épaisseur et est traitée avec plus de maturité. L'histoire m'a alors happée et le roman n'a pas trainé longtemps sur ma table de nuit ! A vrai dire j'ai dévoré l'ensemble de la trilogie en 6 jours. Certes les tomes sont courts mais il faut avouer que l'histoire est aussi assez addictive grâce à de nombreux rebondissements et révélations.



Je me suis rapidement attachée à Sophie ainsi qu'à sa colocataire Jenna, et j'ai trouvé le développement de leur amitié très jolie. Ce sont deux jeunes filles à part, même dans leur monde particulier, Sophie car elle sait finalement très peu de choses des Prodigium pour avoir été élevée par une mère humaine, Jenna car les vampires ne sont pas des Prodigium et restent des créatures effrayantes pour tous.



La fin m'a un peu surprise, plus sombre que je ne l'attendais après ce début de roman léger. L'intrigue principale du roman est soldée, mais de nombreuses questions sont ouvertes et on comprend que ce monde est plus complexe qu'il ne semblait. C'est avec impatience que j'ai donc enchainé sur le tome 2.

J'ai choisi ce livre car j'ai adoré la couverture. Dommage que ce soit une trilogie dont le 3e tome n'est pas sorti en poche. Je pensais le proposer à ma fille de 13 ans mais sans avoir la fin... quel dommage.



L'histoire n'est pas inédite. loin de là... une fille aux pouvoirs magiques envoyée dans une étrange école. Le beau mec. La fille tape à l'œil... du déjà vu. Mais ça se laisse lire.



Ce tome est centré sur Sophia, l'héroïne. Trop car ça ne l'aisse pas les personnages secondaires se développer. J'entends pas la Jenna ou Taylor (celle là on la croise mais c'est tout)

Par ailleurs il y a une histoire dans l'histoire qui ne nous ai pas narré, juste dit par quelqu'un... cela nous aurait permis de comprendre peut être un peu mieux.



Certains personnages ne sont pas développés. il.persiste une zone de mystère. peut être étayer dans le 2nd tome.



Au final, ça ça laisse lire pour des jeunes mais pour ma part, ça ne m a pas transcendé.

Vous avez dit sorcières, vampires, vous allez être servies !



Une histoire qui a marquée mon adolescence, ma première histoire fantasy ! Je voulais la relire pour le plaisir et je n'ai pas été déçue. J'ai replongée tête la première dans l'intrigue.



Les personnages sont attachants et on veut les suivre et connaître le dénouement. La petite romance donne de la légèreté à ce petit roman. On est plongée dans un univers fantastique que j'aime beaucoup. Cela fait du bien de changer d'univers et d'être happé par l'histoire.



J'ai vraiment hâte de relire la suite et de suivre Sophie et ses drôles de camarades.

J'avoue avoir acheté ce livre essentiellement par le titre et je n'ai pas du tout regarder l'histoire de ce dernier. Mais rien qu'avec le titre, je savais que cela allait potentiellement me plaire sans avoir à regarder le résumé. La femme à l'étage est typiquement le genre de roman qui aurait pu être adapté d'un film télévisé. Le genre de film à suspense avec un personnage un peu naïf et un autre un peu psychopathe sur les bords...



" Jane gagne sa vie en promenant les chiens des habitants d'un quartier chic, Thornfield Estates. Pour pouvoir payer son loyer et ses factures, elle commet d'ailleurs de menus larcins chez ses employeurs… Lorsqu'elle rencontre, par accident, Eddy Rochester, jeune, beau, riche… et veuf depuis peu, sa vie s'apprête à changer. Pourtant, le fantôme de Bea, son décès, ainsi que celui de sa meilleure amie Blanche, dans des circonstances mystérieuses, imprègne la maison d'Eddy, la vie même du quartier… Et les apparences sont parfois trompeuses… "



J'ai bien aimé ce roman car c'est vraiment le genre de livre un peu suspens que j'aime lire. Le genre de thriller, roman d'ambiance qui nous fait frissonner un tout petit peu. J'ai l'habitude de ce genre d'histoire dans les livres mais aussi comme vous le disais juste avant, dans les films télévisés. Donc alors oui, ce roman n'a rien d'original sur le plan de l'histoire. J'ai deviné tout de suite ce qui allait se passer dans les prochaines pages à chaque fois.



Néanmoins, même si cela n'est pas très recherché, c'est le genre de romans d'ambiance super à lire pour passer un petit moment frissonnant et pour une lecture sans prise de tête. En bref, j'adore les histoires comme cela malgré le manque d'originalité, une bonne lecture que je vous recommande tout de même si vous aimez les romans avec une ambiance mystérieuse...

Un soupçon de "Rebecca", une pincée de "Jane Eyre" et une bonne dose de manipulation, me voilà plongée dans "la femme à l'étage".



Le début est un peu lent, cette amourette cousue de fils blancs est un peu mièvre, les tentatives de Jane pour s'intégrer dans les desperates housewifes ramollissent l'histoire et je me suis perdue à un moment, me demandant si j'arrêtais ou non ma lecture.



Et puis, dans seul coup, changement d'ambiance...Un corps est retrouvé, les langues se délient, les souvenirs affluent et c'est tout de suite bien plus intéressant !



Qui manipule qui ? Jane est-elle si innocente qu'elle le laisse penser ? Eddie est-il responsable de l'accident, a-t-il tuer pour récupérer l'argent de sa femme ? Bea était elle si parfaite ?



L'auteure creuse chacun de ses personnages,  la psychologie est importante et chaques faits décortiqués pour mieux comprendre les actions de chacun.



L'auteure nous embrouille pour mieux nous surprendre et ça marche ! Oublier le début trop lent et gentillet, l'histoire s'accélère, je voulais comprendre, savoir... Le suspense est bien maintenu et l'épilogue parfait ! Un bon moment de lecture pour ceux qui aiment les thrillers psychologiques.

'La femme à l'étage' a failli rester en place.

Heureusement que j'ai de la patience, car j'aurais abandonné ce livre. La cause ? Beaucoup de mièvreries que ce soit dans l'histoire d'amour de Jane ainsi que dans les relations amicales entres les femmes riches du quartier.



Voici un exemple parmi les phrases qui m'ont agacée : - Booooon, lance Campbell en sortant le classeur monogrammé qu'elle avait apporté la semaine passée. Cette chère Jane ici présente nous a trouvé les nouveaux réverbères solaires en deux temps, trois mouvements. Merci, Jaaaaane.



Il m'a fallu au moins 100 pages pour continuer la lecture sans trop me poser de questions, car finalement au fil des pages, l'histoire est devenue intéressante, l'ironie plus acceptable et la lecture agréable. A partir de ce moment - là, il m'a été impossible de passer à autre chose.

Un bon moment de lecture et c'est tout.

PS : Je n'ai pas lu 'Jane Eyre' pour pouvoir faire une comparaison entre les deux livres. Par contre j'ai eu l'occasion de lire ' Taro, un vrai roman' de Minae Mizumura, l'adaptation moderne du classique 'Les hauts de Hurlevent'. Je peux dire que j'ai préféré le livre d'Emily Brontë, la soeur de Charlotte Brontë.