AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Roger Frison-Roche (287)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Nahanni

La remontée en barque à moteurs de la rivière canadienne Nahanni par l'auteur, un photographe, un guide local et un religieux au cours de l'été 1969 se révèle longue et périlleuse. C'est une belle aventure qui nous est relatée, avec de superbes descriptions de paysages et d'animaux.
Commenter  J’apprécie          00
Nahanni

Excellente aventure vécue par Roger Frison-Roche qui a remonté la dangereuse rivière Nahanni dans les territoires du Nord-Ouest canadien. A chaque page Frison a les mots justes pour décrire la nature, immense, intacte, dangereuse, mais toujours merveilleuse. Il en est un de ses grands conteurs, qu'il s'agisse des montagnes, du Sahara ou de la Nahanni.
Commenter  J’apprécie          80
Nahanni

Dépaysement total dans une plongée aussi aventureuse qu'humaine.



Le choix de l'homme dans sa réalité d'instant où, seule la vérité d'âme peut répondre à ses propres questionnements.



Très belle écriture offrant aventure et découverte dans une littérature pleine de vie et de rebondissements.
Commenter  J’apprécie          40
Nahanni

A travers ce court récit de voyage nous suivons l'auteur et trois de ses compagnons qui entreprennent la remontée d'une partie de la rivière Nahanni en bateau à moteur. La découverte de cet itinéraire situé au coeur des contrées sauvages du Grand Nord canadien est en soi intéressante. Malgré tout, la qualité littéraire de l'ouvrage est assez médiocre et autant j'admire le montagnard autant je suis moins convaincu par Frison-Roche écrivain. Divertissant...
Commenter  J’apprécie          00
Nahanni

Roger Frison-Roche ne fut pas qu'un écrivain de la montagne, si sa plume a souvent suivi les crêtes et si nous l'imaginons instinctivement appuyé sur un piolet, les yeux levés vers des sommets brillants et enneigées, ce livre nous rappelle qu'il était surtout un homme d'aventures, pris par la quête de la découverte, découverte des lieux et des hommes. Son récit est un cheminement nautique, qui nous emmène dans des contrées sauvages, rudes, ou tout se mérite et ou tout se paye. L'erreur dans la décision se paye comptant, et faire le choix de continuer la route, une route d'eau, semée de pièges et recelant de fabuleux trésors, pour la vue, pour les sens, continuer la route, donc, est un choix qui engage l'être entier. Ce récit de voyage est quasi-initiatique, tant il est vrai qu'instinctivement, beaucoup d'entre nous aimeraient découvrir cette partie du monde de cette façon, dans un canot, le regard braqué sur des flots argentés, où tout peut arriver.
Commenter  J’apprécie          80
Peuples chasseurs de l'Arctique

Pour celles et ceux que le froid polaire, la viande de phoque crue, l'attente interminable du gibier et la blancheur éternelle des paysages ne rebutent pas. Écrit en toute simplicité avec les détails qui conviennent. Une vraie histoire humaine.
Commenter  J’apprécie          100
Peuples chasseurs de l'Arctique

Roger Frison Roche est un conteur specialiste du monde polaire et ce livre est un recit passionnant de la vie au pole nord.Tout est ici tres bien ecrit,passionnant car parlant de réalité.Un livre a decouvrir et un ecrivain doue qui nous offre ici un beau livre documentaire.
Commenter  J’apprécie          20
Premier de cordée

C'est un livre qui m'a pas mal déçu. Bon je l'ai choisi pour un oral, donc je n'y attendait pas grand chose de base (je suis atteint d'une malédiction avec les livres pour les cours), mais la promesse du synopsis n'est pas tenue.

On a l'impression que l'on va suivre un jeune homme qui doit ramener le corps de son père foudroyé en descendant une montagne et ça ne parle pas de ça. Enfin si, mais ce n'est pas le point central du livre et ce n'est pas ce que je voulais lire.

Surtout que, même si les personnages morflent sévère en montagne, je me fous d'eux. Je peux m'imaginer à leur place, mais les personnages en eux-mêmes ne sont pas intéressants à suivre. Le père du héros est mort, mais je m'en cogne, parce que je ne les connais pas assez pour être investi dans leurs problèmes (la mort survient beaucoup trop tôt). Et dans l'autre moitié du bouquin, on parle d'autres choses.

Bref, je n'ai pas aimé, mais je ne pense pas que ce soit un mauvais livre. Si vous êtes intéressé par la montagne, ça peut vous plaire. En tout cas, c'est pas pour moi. Et de ce que j'ai pu voir, ce livre est considéré comme un classique de la littérature de montagne. Il y a aussi 2 suites (que je ne lirai pas).
Commenter  J’apprécie          10
Premier de cordée

Une très belle decouverte, un roman d'aventures montagnarde comme on peut l'imaginer. On va suivre des guides de montagnes qui gravissent les montagnes de la vallée de Chamonix. Le tout mené de péripéties et d'embuches a surmonter.

Ne vous fiez pas a la date de publication et entamer cette marche avec Pierre.
Commenter  J’apprécie          00
Premier de cordée

En ce mois de septembre j'avais envie de froid de neige de montagne j'ai été servi. Peut-être un peu trop de description pour moi entre le nom des sommets, le nom des passages le nom des refuges je me suis un petit peu perdue il m'aurait vraiment fallu un repère graphique pour me retrouver.

Autant j'ai beaucoup aimé la première partie autant j'ai pas été très emballée par la deuxième.
Commenter  J’apprécie          90
Premier de cordée

La promenade est agréable, mais loin des sommets espérés.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
Commenter  J’apprécie          20
Premier de cordée

Dans un premier temps, je tenais à te remercier "Emmanuel 1er" de nous avoir invités à ce rallye lecture. Bon je sais, je suis un peu à la bourre, on va dire que c'est le quart d'heure agricole.

Ça ne m'étonne guerre que tu aies aimé ce bouquin Emmanuel. Je t'imagine tout à fait durant ton enfance dorée, à te délecter d'histoires de ces vrais hommes, vraies forces de la nature, que tu ne seras malheureusement jamais. Et quand tu ne lisais pas petit Emmanuel, est-ce que tu regardais "les sentinelles de l'air" (marionnettes qui te ressemblent un peu plus) dans la télévision à tubes cathodiques de tes parents, tout en sirotant un bon chocolat chaud van Houten préparé par Maman? Alors que tes petits camarades, eux, perdaient leur temps et gâchaient leurs avenirs à trafiquer des mobylettes et rouler leurs premières galoches au stade du village.

Certes, dans Premier de cordée, le langage y est parfois un peu désuet, et la place de la femme est un peu old school (wahou je commence à défendre la cause féministe) mais je sais, Emmanuel, que tu es un personnage à la pensée bien moyenâgeuse. T'es pas très futuriste comme garçon, on sait tous que ton mot préféré est le mot "compétitivité". Je n'ai rien contre l'écriture "à l'ancienne", ça ne me dérange pas, je suis d'ailleurs dans ma phase où je m'enfile des gros classiques donc les bonnes descriptions de paysage vintage me font pas peur, ça peut même parfois me faire frissonner. Et des fois je me dis: "putain c'est beau sa mère »



Quand j'étais branleur, j'ai eu ma période où je je me gavais de reportages à la télé en me mettant des gros oinjs. Je me rappelle encore d'un docu arte qui m'avait fasciné sur les premiers alpinistes ouvrant de nouvelles voies en haute montagne avec des moyens tout pourris. Apparemment les doudounes Patagonia n'existaient pas encore. Lâ, on était plutôt dans l'ambiance : je mets de la paille dans mes mitaines et du journal dans mes brodequins. Je me rappelle qu'il y avait une histoire de passage impossible à franchir. Les conditions météorologiques étaient extrêmes et un des gars de la cordée avait du se sacrifier car ils n'avaient plus assez de cordes. du coup, il a crevé tout seul congelé sur son bout de caillou. J'ai cherché sur la toile mais je n'ai jamais retrouvé ce docu mais j'ai retrouvé par moment cette même torpeur à la lecture de Premier de cordée.



Bon l'histoire est pas mal. J'aime les récits où l'humain se sent comme une vulgaire petite crotte face aux éléments qui se déchainent contre lui. Et je connais ça ! Aujourd'hui, j'ai arrêté de fumer des pétards et je n'ai plus le temps de m'abrutir devant la télé. Je travaille depuis plusieurs années aux phares et balises et je m'occupe de la maintenance du parc de phares des côtes françaises. Je vous garanties que parfois, quand la mer est déchainée, que je suis dans le phare et que de grosses vagues tabassent la muraille au point de sentir l'édifice trembler comme une feuille et bien je me dis "putain on est vraiment rien". Mais là, j'avais envie de changer d'atmosphère, il me fallait troquer l'air maritime contre l'air montagnard.



Ce qu'il y a de magique avec la lecture de certains bouquins c'est qu'au travers des mots, à travers l'histoire qui t'est comptée, tu sens, tu devines la mentale de l'écrivain. Pour ma part, j'y ai décelé un auteur assez critique sur la notion de l'argent, bon pas au point de Walden, mais quand même. T'as un passage où le guide Jean Servettaz meurt parce que un de ses clients riche fait un gros caprice d'enfant gâté, parce qu'il veut absolument monter en haut de tel sommet alors que le guide n'a pas arrêté de le prévenir que le temps se gâtait et que ça sentait sérieusement le roussi. Au final l'orage pète, le guide se fait foudroyer et le riche américain finit avec les pieds congelés (enculé de riche !) le truc de l'auteur, c'est plutôt la notion de l'effort et la patience. Avant de crever, l'auteur nous raconte comment Jean Servettaz, le guide, avait construit son chalet tout seul. Un beau matin, il est parti couper des arbres avec quelques gars du village. Ils ont fait dévaler les troncs de la montagne, pour ensuite les faire débiter à la scierie. C'est autre chose que d'acheter ses planches toutes faites à la zone matériaux de chez Casto. Et à côté de ça, le gars il trouvait le temps de cultiver son lopin de terre et de continuer à faire quelques courses en tant que guide, histoire de ramener un peu de caillasse au chalet. A l'époque, les bonhommes c'étaient des vrais durs. Bon après, à cette période on respirait moins de dioxyde de carbone, on avait donc plus d'endurance. Maintenant on est juste bon à lever un pouce de ci de là et pondre une critique sur babelio, le cul vissé sur une chaise de bureau.



J'émettrais tout de même un petit bémol concernant cette lecture. Je reproche parfois une suite ennuyeuse de descriptions techniques lorsque nos montagnards gravissent tel ou tel rocher. Et puis, on a à faire à de l'humain bien droit dans ses bottes, du genre toujours déterminé et qui ne lâche rien. En fait, j'aurais aimé un peu plus de folie humaine ; je n'ai pas trouvé de noirceur, d'esprit dépravé, de scènes de sexe lubriques dans les montagnes. Non rien de tout ça...



Pour terminer, ça me gêne un peu Emmanuel Jean-Michel Frédéric que tu te sois comparé à un premier de cordée. Tu ne peux pas te mesurer à ce genre de personnage, au pire tu peux fantasmer cette idée dans ta tête. Mais par pitié, garde ce type de pensée pour toi, tu n'as cruellement pas de retenue ma parole, c'est dégoutant de s'exalter à ce point en public. Désolé, mais pour moi, tu n'es pas un rude boy buriné par la montagne que l'on suivrait n'importe où, ça non. Jamais.



Remets toi bien gros. J'ai appris que tu étais actuellement dans la souffrance et que tu étais à deux doigts de casser ta pipe.
Commenter  J’apprécie          112
Premier de cordée

Une histoire de passion, de courage et de solidarité entre les hommes où la montagne joue le premier rôle. Mon premier roman lu = mon premier coupe de coeur
Commenter  J’apprécie          40
Premier de cordée

je sais pas si c'est le fait de pratiquer la montagne ou le style de roman du terroir mais je me suis un peu (beaucoup) ennuyé

j'ai trouvé la réputation du livre usurpé, mais c'est le genre de lecture a se garder sous le coude pour ressayer plus tard
Commenter  J’apprécie          20
Premier de cordée

A lire dès 15 ans ou selon la maturité de l'enfant. Superbe histoire de montagnes et montagnards ... qui donne envie de lire la suite via les 2 autre tomes.
Commenter  J’apprécie          10
Premier de cordée

Critique littéraire du roman « Premier de cordée »

Ce roman est très bien écrit, avec un vocabulaire riche et complexe, et des verbes très bien utilisés avec leur contexte. Ce livre m'a fait réfléchir à tous les dangers courus en montagne, notamment pour les guides et les montagnards. L'auteur, Roger Frison- Roche, décrit la nature et la montagne avec beaucoup de détails, ce qui rend le livre très beau. Les phrases sont longues et les descriptions sont nombreuses. Les descriptions sont très riches, avec un vocabulaire soutenu. L'action met du temps à commencer, elle vient après une trentaine de pages. le rythme est lent. L'atmosphère du livre est très chaleureuse, les personnages très solidaires, même si certains sont très têtus. Les personnages sont très courageux, la plupart sont des guides experts qui savent ce qui faut faire en cas de danger, surtout en montagne. Ils ont plein de repères, pour savoir si la neige est bonne, s'il va faire beau, si un orage approche… Ils sont très bien équipés et ont une connaissance de la montagne sans limites. Ce roman apprend à connaître la nature, plus particulièrement la montagne, tout en restant dans l'histoire. Je conseille ce livre à tous les amateurs de la montagne, grands et petits.

ChloéeC
Commenter  J’apprécie          00
Premier de cordée

Pierre, promis à une vie d’hôtelier mais descendant de guide montagnard depuis des générations, se porte volontaire pour aller chercher le corps de son père en haute montagne. Celui-ci a été foudroyé alors qu'il tentait de secourir un touriste imprudent. Reste gravé en moi l'image de cet homme tué sur place et collé à la montagne comme faisant corps avec elle, gelé sur la roche.

C'est non sans mal que les hommes reviennent de l'expédition, et Pierre n'en sort pas indemne puisqu'il est atteint physiquement, mais pire que tout, il souffre du vertige mais se met au défie de guérir par la montagne et décide de devenir guide à son tour.

C'est alors une histoire de courage et de solidarité qui permet à Pierre de vaincre son mal.

Je garde en tête des images claires de l'environnement montagnard, des personnages si bien décrit, des combats de vaches... Frison-Roche à le don de nous prendre par la main pour nous entrainer avec lui dans les endroits les plus reculés par un style agréable et fin.
Commenter  J’apprécie          300
Premier de cordée

Je pense que si j'avais été fan des virées en montagne j'aurais aimé ce livre car il est vraiment très bien écrit. Malheureusement ce n'est pas mon cas et à part 2-3 passages émouvants, je n'ai pas trop apprécié l'oeuvre.

Commenter  J’apprécie          90
Premier de cordée

J'ai ADORE ce livre ! Vraiment ! Et pourtant, je lis plus des livres "modernes"... Premier de Cordée est magnifiquement bien écrit, c'est une histoire d'amour mais qui parle aussi de la beauté de la nature. Cela m'a donné envie d'aller faire de belles balades en montagne ! Je conseille aussi les deux autres livres de cette trilogie, La Grande Crevasse et Retour à la Montagne.
Commenter  J’apprécie          00
Premier de cordée

Si vous aimez la montagne, il faut avoir lu ce lire, c'est un grand classique. Attention cependant, si vous n'êtes pas un grand fan de montagne, vous trouverez sûrement que les descriptions de courses sont bien longues, et que l'histoire est bien mince. Personnellement j'ai eu un peu de mal à rentrer dedant, et j'ai préféré "La Grande Crevasse", du même auteur.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Roger Frison-Roche Voir plus

Quiz Voir plus

Les enfants de Timpelbach de Henry Winterfeld par Léa et Tiffanie

Qu'accroche Willy Hak à la queue du chat ?

une montre
un élastisque
une horloge
un reveille matin

10 questions
315 lecteurs ont répondu
Thème : Les enfants de Timpelbach de Henry WinterfeldCréer un quiz sur cet auteur

{* *}