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Critiques de Romain Puértolas (2444)
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13 à table ! 2023

🌎Chronique🌍



« Je peux te rejoindre? »



Chaque année, je rejoins ce mouvement de solidarité. 13 à table! c’est une invitation, un moment de partage, un mouvement du cœur.

Cette fois-ci, on partage autour de la planète…

Autour de la planète, il y a les étoiles…Les étoiles montantes, les étoiles brillantes, les étoiles bleues et les rouges, les étoiles brûlantes, les étoiles cachées, les étoiles dans les yeux, et ceux dans l’assiette. Tu vois les étoiles ne manquent pas, elles nous entourent. Elles sont à tout le monde: au règne animal comme aux astronautes, aux pauvres comme aux riches, à l’ancienne génération comme à la jeunesse d’aujourd’hui…Elles sont disponibles pour cell.eux qui veulent bien les voir et les célébrer…Un repère dans la Nuit…

Je ne me lasse jamais de regarder les étoiles.

Dans ce recueil, elles ont du talent, de l’engagement, des questionnements, des ambitions dévorantes, de belles histoires à raconter. Parce qu’elles sont habitantes éphémères de la Terre, et bientôt, lumières accrochées au ciel...

« La planète et moi », comme si le grand côtoyait l’infiniment petit, comme si nos insignifiantes vies pouvaient changer l’effondrement en cours de la planète, comme s’il suffisait d’y croire un peu, pour que les petits gestes sauvent le futur…L’utopie fait de beaux horizons, redessine tellement mieux nos défaillances…Rien que pour ça, je veux rejoindre le mouvement du cœur, le choix du Vivant, l’énergie des rêveurs, la marche des étoiles fulgurantes…

Ca ne semble pas difficile, vu d’en haut: du tri, des bibliothèques nouvelles, des câlins aux arbres, signer des accords de protection, s’emparer de la cause animale, regarder bleuir des oranges, s’intéresser aux autres cultures, défendre à corps perdu la biodiversité…C’est euphorisant même, et pourtant, dans ces textes, on sent la difficulté du projet, l’effort de guerre qu’il va falloir déployer, la lassitude de se confronter aux puissances destructrices et sourdes…

Il y a urgence, pourtant. L’urgence de comprendre, d’écrire, de sensibiliser. L’urgence de voir, de dénoncer, de s’engager. L’urgence de se sentir être vivant, dépendant de la bonne santé de notre chère planète. L’urgence d’être moi, sur cette planète à visualiser, pétrifiée mais totalement consciente de la prochaine catastrophe interplanétaire…

Est-ce que je peux te rejoindre? Est-ce que je peux rejoindre ces auteurs et autrices qui s’interrogent, est-ce que je peux écrire moi aussi une chronique étoffée de mes plus sincères émotions à lire ces nouvelles fabuleuses qui m’ont fait voyager autour de la planète? Est-ce que je peux rejoindre les étoiles? Est-ce que je peux rejoindre la merveilleuse initiative des éditions Pocket? Est-ce que, seulement, ça suffira?

Je vous laisse voir cela…Que les étoiles veillent sur vous…

Je vous souhaite de pouvoir les entendre, les admirer, les dispenser, les recevoir et les faire briller dans le jour comme dans la nuit…Parce qu’elles sont indispensables dans les yeux de tou.te.s…
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13 à table ! 2021

Par amour. Par amour, parce qu’il ne devrait y avoir que ça dans nos vies. Par amour, parce que c’est tout ce qui compte vraiment…Par amour. Et un acte de solidarité. Parce que ça aussi, ça compte…Les éditions Pocket réitèrent l’opération 13 à table pour la septième année consécutive, et je suis toujours fidèle à ce rendez-vous! Parce qu’il est nécessaire de dépasser le chacun-pour-soi…En plus, cette fois-ci, le thème de cette année, je le trouve inspirant et qu’il arrive comme un souffle de fraîcheur, après cette année éprouvante de 2020…Le Premier Amour.



Alors juste par amour de la littérature, j’ai relevé juste les citations de ce recueil de nouvelles qui me semblait parler le mieux de l’Amour…Et je vous laisse déguster ces histoires qui parlent du premier amour, dans l’imaginaire de ces auteurs talentueux et solidaires de la cause des Restaurants du Cœur…J’ai adoré et vive l’Amour! Qu’il n’en finisse pas de remplir nos vies, nos rêves et nos lendemains…



Un véritable coup de foudre qui la tétanise.



N’a-qu’un-œil

Françoise Bourdin.



De se sentir plus proche de son homme que jamais. Au point de se comprendre comme jamais. De s’aimer comme jamais.



Une si jolie nuit

Olivia Ruiz



Il avait la sensation enfantine d’être entré dans un magasin de bonbons par effraction où tout n’était que désir et volupté.



Éric Giacometti et Jacques Ravenne



Et qui sait, sans doute voulais-je garder d’elle l’image de sa splendeur, non celle de sa décadence.



Hier, à la même heure

Tonino Benacquista.



Ce n’était déjà plus dans l’air du temps de n’avoir qu’un amour pour la vie…



Des lettres oubliés

Agnès Martin-Lugand



À cet âge-là, quand on s’aime, c’est pour de vrai.



Un train d’avance

Franck Thilliez.



Il est plus amoureux que jamais.



Maxime Chattam

Big Crush ou le Sens de la vie



« Ce serait merveilleux », dit-elle.



Heureux au jeu

Leila Slimani



Ce sentiment lui déchirait toujours l’âme.



L’Amour volé

Romain Puertolas



Il est le seul que j’aie voulu épouser.



Mon premier amour

Veronique Ovaldé



Que sa passion avait tout dévoré.



Le correspondant autrichien

Alexandra Lapierre.



C’est là que, pour la dernière fois, j’ai vu mon tout premier amour.



1973, 7 B

François D’epenoux



Elle me manquera toujours.



Une belle vie avec Charlie

Jean-Paul Dubois.



Puisqu’il faut être deux pour faire une histoire.



Un film de Douglas Sirk

Philippe Besson.
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La police des fleurs, des arbres et des forêts

Mais pourquoi prendre la peine d’expliquer, au début du livre qu’à la fin du roman, il y aura un coup de théâtre final époustouflant qui remettra tout le récit en cause ??



Ça fout tout en l’air… Soit la surprise attendue ne sera pas à la hauteur de ce que l’on attendait, soit nous allons être tellement sur nos gardes qu’on verra venir ce que l’on tente par tous les moyens de nous éviter de voir.



Bardaf, l’embardée, j’avais compris tout que nous étions à un dixième du récit. Certes, au départ, je me suis trompée d’un poil, mais j’ai vite éclaté d’un rire cynique peu de temps après.



Fatalement, j’étais sur mes gardes, attentive, alors que si on ne m’avait rien dit, on m’aurait fait le même coup qu’avec le film "Le sixième sens" ou que le roman "Le meurtre de Roger Ackroyd".



Bon, n’est pas Agatha Christie qui veut (elle savait nous égarer mieux que personne), ni M. Night Shyamalan qui m’avait troué le cul dans son film.



J’étais donc à un gros dixième de lecture que j’avais déjà pigé et je me suis demandée si ça valait la peine de continuer ma lecture, puisque j’avais décroché la floche. C’est alors qu’une petite voix m’a dit :



— Tu regardes bien les Columbo alors que dès le départ tu sais QUI a tué et pourquoi ! Même ceux dont tu souviens de comment Columbo piège le coupable, tu les regardes toujours avec avidité… Donc, tu pourrais continuer ce roman, même si tu as compris le principal, non ?

— Oui, c’est pas faux… Mais bon, Columbo, c’est Columbo !

— D’accord, alors, tu n’as pas envie de savoir le mobile du crime et de connaître le nom de l’assassin ?

— Si, parce que ça, je n’ai pas encore trouvé… Nous n’avons pas fait le tour des suspects.

— Tu n’as pas envie de passer encore un peu de temps avec ces sympathiques villageois qui fleurent bon la ruralité ? Dans cette époque bénie qu’étaient les années 60 ?

— Si, j’ai envie d’arpenter les ruelles de ce village et de boire un coup avec ses habitants. Les portraits sont fleuris.

— T’as pas envie de te gausser de l’inspecteur qui enquête sur ce crime horrible ??

— Oh putain, si, j’ai envie de me foutre de lui. C’est bon, je continue ma lecture.



J’ai donc continué, sachant que la douche froide ne serait pas pour moi, mais pour l’inspecteur, me demandant comment il pouvait être aussi obtus.



Et puis, je suis devenue humble car lui ne savait pas, comme moi, par la trop grande langue de l’auteur, qu’il y avait une couille dans le pâté. Au moins, on n’a pas gâché la surprise à l’inspecteur.



Dommage que le trompe-l’œil était mal déguisé, mal fagoté, trop flagrant (pour moi), alors que d’autres ont réussi à m’avoir, sans que je m’en rende compte une seule seconde (Nymphéas Noirs).



Anybref, si ce n’est pas le polar du siècle, si les indices étaient trop gros pour mon œil acéré, si l’introduction était de trop (faut jamais annoncer ça dans son livre), j’ai tout de même passé un agréable moment bucolique à la campagne, plongée en 1961, sans smartphone, sans Internet, avec des gens simples, des gens vrais et cette petite fleur a été une jolie parenthèse après des lectures forts sombres.



Si le décor et les personnages avaient été moins bien réalisés, ce roman aurait terminé avec une cotation plus basse car l’introduction est un véritable divulgâchage.


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Écouter le noir

Écouter le noir… Dit ainsi, on pourrait croire que l’on parle mal des gens de couleurs. Honni soit qui mal y pense !



Ici, on écoute le noir qui est un genre littéraire, celui qui a un contexte social mis en avant et en règle générale, ce n’est pas celui des gens friqués.



Mais peut-on ouïr un livre ? Peut-on écouter un roman qui n’est pas en audio ? Peut-on écouter en lisant ?



Oui à tout. J’ai ouï et j’ai joui de plaisir littéraire (Yvan, gaffe à tes fesses si Chouchou apprend qu’un autre que lui m’a fait ouïr de plaisir – MDR).



Michel Sardou le chantait déjà, tiens : ♫ Et ouïr, de plaisir, et ouïr, de plaisir ♪



Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à notre recueil de 11 nouvelles écrites par 13 auteurs (ça porte chance)…



Les nouvelles, un genre peu apprécié dans nos contrées, plus mises en valeur chez les Américains ou les Anglais.



Moi, je les trouve toujours trop courtes, je les aimerais plus longues, j’ai l’impression de subir une cassure lorsque le mot fin apparaît, toujours trop tôt et de devoir abandonner des personnages auxquels je venais juste de s’habituer. En un mot, frustrant.



Les seules nouvelles que j’apprécie sont celles qui contiennent une enquête de Sherlock Holmes car là, je suis sûre d’avoir un début, une fin fermée et de retrouver des personnages que je connais. Tandis qu’ailleurs, rien n’est moins sûr.



Bardaf, la première nouvelle écrite par Barbara Abel et Karine Giebel me scotche sur ma chaise, m’emporte au loin, me fait suffoquer, me fais supplier un happy end avant de me laisse pantelante sur le bord de la route à imaginer les conséquences d’un tel manque de malchance, d’un tel concours de circonstances.



Sa chute est à la hauteur de celle que j’ai faite pour son final. Après ça, tu fais une pause, tu bois un coup et tu y reviens, mais doucement, de peur de subir encore des émotions un peu trop forte pour ton petit cœur. Ça commençait très fort.



Hormis la nouvelle SF des Cam/Hug, toutes les autres m’ont surprises, éreintée, remuées, dérangées (surtout celle de Lebel, j’aurais bien fracassé les crânes du flic et de l’agresseur sexuel), celle d'Ellory m’a laissée sans voix et la dernière, celle de Cédric Sire m’a laissé un goût métallique en bouche.



Toutes étaient d’excellentes factures, toutes étaient un plaisir à lire. La plus soft étant celle de Romain Puértolas et ça a fait du bien un peu de douceur dans ce monde de brutes.



Non, je n’en veux pas aux auteurs de m’avoir mis la tête et les oreilles en vrac, par contre le directeur de cette audition entre maintenant sur ma kill-list, aux côtés d’autres auteurs à qui je garde un chat de mon chien, ou de mon cheval. Ils se reconnaitront…



Yvan, mon barbu préféré, j’ai fait un challenge de fou à moi toute seule, mais le tien était encore plus dingue que le mien, tout aussi risqué mais je vois que tout comme Norek, tu as eu les couilles (Domi, si tu me lis, rien de sexuel là-dedans), tu as osé et tu as réussi ce tour de force qui était de réunir des auteurs autour d’un thème bien précis (l’audition) et, écoutes-moi bien, c’est foutrement putain bien réussi.


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Tout un été sans Facebook

Après Ikea, les contrôleurs aériens et Napoléon, voilà que Romain Puértolas se frotte au polar. Il ne respecte donc rien ! ;-). Qu’on se le dise, Tout un été sans Facebook n’est bien évidemment pas un roman noir ordinaire, c’est du Puértolas tout craché. D’ailleurs, il appelle ça un « poilar ».



Let me introduce you Agatha Crispies. Lieutenant de police à New York (pas la grande ville, mais le trou du c… de l’Amérique dans le Colorado). Agatha est noire (ce qui détonne fortement dans ce patelin), énorme (puisque nourrie presque exclusivement aux donuts au chocolat) et a des méthodes plutôt particulières.



Elle tente de suivre les préceptes du manuel officiel du bon flic, mais a tendance à les interpréter de façon assez personnelle. Ça permet à son inventeur (du personnage, pas du manuel) de nous en apprendre de belles sur les méthodes théoriques policières.



Romain Puértolas, c’est une cartouche par phrase (on ne dit pas « balle », vous n’avez qu’à lire le livre pour savoir pourquoi). Lire Tout un été sans Facebook, c’est très vite se retrouver menotté par l’humour décalé de l’auteur, au point de ne plus pouvoir s’en détacher.



Puértolas se permet tout, y compris les idées les plus folles. Sa fantaisie est sa signature propre. Chacun de ses romans est un feu d’artifice de bons mots et de passages drolatiques. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est toujours au sommet de sa forme avec ce nouveau roman. Je ne suis pas loin de penser que c’est son meilleur délire à ce jour.



Et vous ne savez pas la meilleure ? Il y a même une histoire derrière cette folie de passages cocasses. Et puis du fond aussi, comme avec son précédent roman. Cette parodie de notre monde lui permet de placer des passages aussi drôles que bien sentis sur le racisme ambiant ou encore le principe de tolérance.



Et sur la littérature aussi… Parce que son personnage principal est une passionnée des livres (même si elle a une manière assez personnelle de les conserver. La littérature ça (se) déchire). Romain Puértolas en profite pour clamer son amour de toute la littérature, classique ou moderne (((même si parfois c’est de l’amour vache (un rapport avec le fakir Ajatasharu Lavash ?) (c’est compliqué toutes ces parenthèses))).



Cette nouvelle extravagance est une réussite totale, un polar comme celui-ci vous n’en avez jamais lu. Un livre certifié à 99,99 % sans internet, mais avec plein de calories qui font du bien au moral. Juste irrésistible !
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13 à table ! 2016

13 nouvelles achetées pour les restos du cœur mais aussi parce j'étais curieuse de lire les récits d'écrivains contemporains et renommés autour d'un thème commun, en l'occurrence la fratrie (et/ou la sororité).



Je n'ai pas été déçue mais j'ai mes préférences, bien entendu.

Tout comme moi, éprouverez-vous ou avez-vous éprouvé semblables impressions ?



Apprécierez-vous – ou avez-vous apprécié – le suspense et la fin étonnante de La seconde morte de Michel Bussi ?

Trouverez-vous – ou avez-vous trouvé – plus convenue Cent balles de Françoise Bourdin ?

Frémirez-vous – ou avez-vous frémi – d’épouvante à la lecture de Ceci est mon corps, ceci est mon péché de Maxime Chattam ?

Arborerez-vous – ou avez-vous arboré – un large sourire en lisant Frères Coen de Stéphane de Groot, courte nouvelle qui consiste en jeux de mots humoristiques ?

Serez-vous – ou avez-vous été ému – presque jusqu’aux larmes avec La main sur le cœur de François d’Epenoux ?

Vous révolterez-vous – ou vous êtes-vous révolté – en prenant connaissance du sort dévolu à Aleyna (et ses semblables) de Karine Giebel ?

Vous renfermerez-vous – ou vous êtes-vous renfermé – en vous-même en méditant sur Tu peux tout me dire de Douglas Kennedy ?

Serez-vous – ou vous êtes-vous – légèrement étonné par Fils unique d’Alexandra Lapierre ?

Songerez-vous – ou avez-vous songé – avec nostalgie au lien si fort qui unit les personnages de Karen et moi d’Agnès Leidig ?

Pénètrerez-vous – ou avez-vous pénétré – dans le monde de la folie avec La robe bleue de Nadine Monfils ?

Partagerez-vous – ou avez-vous partagé – la misère comme on partage une orange en lisant Le premier Rom sur la lune de Romain Puèrtolas ?

Et enfin découvrirez-vous – ou avez-vous découvert – la fratrie parfaite avec le récit de Bernard Werber Jumeaux trop jumeaux ?

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Re-vive l'Empereur !

Un bon moment que cette lecture avec le dernier livre de Romain Puertolas ou Napoléon se retrouve dans d'autres époques ce qui donnent pas mal de descriptions savoureuses car les temps on tout de même bien changé depuis la mort de l'empereur. Tout ceci est mêlé avec des situations achat d'une ferrari, d'un avion, l'empereur avec un tee shirt de chat qui rat. Avec un fond d'histoire plus conséquent avec la guerre que souhaite mener Napoléon contre les jihadistes.



On ne s'ennuie pas dans cette lecture après il faut aimer le genre et la surprise est moindre quand on a déjà lu un autre livre de cet auteur. Il ne me reste plus qu'à sortir de ma Pal le fakir également.
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La petite fille qui avait avalé un nuage gran..

Un roman complètement déjanté dont par moment les loufoqueries m'énervaient mais je suis allée jusqu'au bout. Je reconnais un certain talent à l'auteur.
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L'extraordinaire voyage du fakir qui était re..

Je vais faire court : je suis totalement passé à côté de ce voyage et de ce fakir. Pourtant, j'étais en vacances, détendu, intellectuellement disponible et - presque - prêt à tout (lire).



Mais même en mode détente, il y a un niveau minimum exigé dans l'écriture et le maintien de l'intérêt du lecteur. Et même en passant sous le prisme du 2e, 3e voire 4e degré, je n'ai toujours pas perçu le début du commencement d'une explication à l'engouement médiatique et commercial pour ce livre...



Un bon point en tout cas pour l'approche très "marketée" de la couverture. Ce qui explique peut-être cela...
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L'extraordinaire voyage du fakir qui était re..

Alors, j'ai reçu le livre audio grâce à Masse Critique.



Au début, je ne savais pas si je n'accrochais pas au côté livre audio ou au texte. Puis, ayant testé d'autres livres audio, je me suis rendue compte qu'en fait c'était le texte qui posait problème.



L'histoire de ce fakir à première vue est assez drôle, avec une prononciation toujours différente de son nom dès qu'un nouveau personnage arrive, puis, le pauvre il enchaine, il se trouve toujours dans des situations assez complexes.



Mais, ... et oui, il y a un mais et ce n'est pas bon... c'est trop, mais vraiment trop. Au début lorsqu'il rencontre les clandestins, le roman vire social, puis la rencontre avec le policier britannique c'est drôle, mais bon il faudrait quand même garder un peu la pitié que le fakir ressent pour les clandestins, donc on parfume tout ça de bons sentiments.



Il me manquait une ou deux plages audio pour le terminer mais s'en était vraiment trop, on dirait que l'auteur a écrit pleins d'histoires différentes et au lieu de faire un recueil de nouvelles et ne sachant que choisir pour son roman, il a tout emmêlé.



Dommage mais vraiment pas très bon.
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L'extraordinaire voyage du fakir qui était re..

Que dire de bien nouveau après 123 critiques déjà postées ?

Avec un titre assez improbable, et une histoire qui l'est tout autant, Romain Puértolas, réussit à nous faire sourire tout en évoquant un sujet aussi sérieux que la situation des clandestins en quête de la Terre Promise. De l'ex-fakir qui arnaquait tous ceux qui croisaient son chemin au futur écrivain qui n'a plus comme objectif que celui d'aider son prochain, le parcours va être long et semé d'embûches, mais ce sera avant tout l'occasion d'un voyage intérieur et d'une belle transformation.



Agréable à lire, même si les jeux de mots sur les noms propres finissent pas lasser, ce ne sera cependant pas pour moi le livre de l'année. Son côté très moraliste m'a gêné et j'ai quand même eu l'impression de tourner un peu en rond... Il va de ce pas rejoindre un rayon de ma bibliothèque Ik..., sans grand espoir d'être ressorti un jour. Ma note 12/20.
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Comment j'ai retrouvé Xavier Dupont de Ligonnès

Finalement, lecture faite, on pourrait se dire que, quand la police se casse les dents pour retrouver un assassin, elle pourrait lancer un romancier sur la piste.

Car l'auteur arrive à son but : il met la main sur XDDL et, pour sauver sa peau, va jusqu'à le tuer avec les moyens du bord, en l'occurrence un couteau à beurre.

Tout cela paraît loufoque, abracadabrantesque.

On s'amuse certes, mais c'est plus sérieux que cela en a l'air. Les raisonnements de l'inspecteur Puértolas tiennent debout, les hypothèses soulevées sont raisonnables, la preuve c'est qu'il lui met la main dessus et le tue.

Voilà une lecture à la fois sérieuse et réjouissante.

Le lecteur pourrait se féliciter que l'assassin avait subi le sort qu'il méritait, si dans les dernières pages il n'apprenait que le plus fort c'était encore lui, XDDL.

Chut... je m'arrête pour ne pas divulgâcher.
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13 à table ! 2024

A l’instar de plusieurs babelionautes, j’ai trouvé bon le recueil de cette année. Dix ans d’une initiative fêtés en beauté malgré un contexte d’inflation et a fortiori de pauvreté toujours présent. Les sujets de l’enfance et de la famille sont bien sûr récurrents. Pas beaucoup d’humour cette année mais des nouvelles qui m’ont permis de passer un bon moment. Mes préférées sont :



1) Maxime Chattam et la fusillade du centre commercial

2) Raphaëlle Giordano qui fait parler une machine à laver (si si vous avez bien lu !) ; il paraît qu’on appelle cela « prosopopée »

3) Karine Giebel sur fond d’harcèlement scolaire, d’enlèvement et d’Alzheimer

4) Michel Bussi et l’immigration clandestine d’une famille qui veut passer en Angleterre



Mais j’ai bien aimé aussi Lorraine Fouchet, Romain Puértolas, Philippe Besson & Alexandra Lapierre.

J’ai pas accroché avec Slimani & Tatiana de Rosnay (c’est rare).

Je profite de ce dernier jour de l’année pour souhaiter à tous un bon réveillon et à l’année prochaine pour de nouvelles aventures littéraires !

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Les Ravissantes



Avis un peu mitigé pour ce roman de plus de 400p  qu'il est possible de ranger dans la catégorie polar, efficace pour être honnête.

Le titre ( je n'aime pas) joue avec la racine du verbe ravir, oui, pourquoi pas .

En fait la vraie question que pose le roman est « La fin justifie-t-elle les moyens » ?

Un journaliste tente d'élucider le mystère de 3 ados disparus dans une petite ville d'Arizona ; Le début a un petit air de western. Dans un petit bled tranquille une Communauté s'installe et la pagaille commence pour les habitants . Les moyens légaux pour faire partir ces gens bizarres avec un gourou qui se prend pour Jésus Christ ne donnent aucun résultat et débute donc l'étrange affaire qui se termine par la réapparition des enfants.

C'est quand l'histoire sera terminée que le journaliste pourra écrire son roman à partir du témoignage d'un homme incarcéré.

Ovni, incendies , et j'en passe, mettent de l'intrigue dans ce roman.

Merci aux Edts Albin Michel pour l'envoi de ce roman.
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La police des fleurs, des arbres et des forêts

Une lecture distrayante ,un pastiche de polar qui ne se prend pas au sérieux et cela fait un certain bien .

Se rajoutent à notre plaisir, l'époque : l'action se situe en été 1961 , le lieu : une bourgade campagnarde bien loin de Paris, en un temps où les distances n'étaient pas abolies par les réseaux sociaux et la forme épistolaire : les lettres qu'envoient le jeune policier à Madame le Procureur pour la tenir au courant de l'enquête et lui transcrire les auditions sont savoureuses .



Joël , 17 ans a été assassiné , découpé et ses morceaux , mis dans des sacs des Galeries Lafayette , ont été retrouvés dans une cuve de l'usine de confitures du village dont le maire est le patron , ou dont le patron est le maire ( comme vous voulez ... )



Notre jeune policier mène l'enquête avec le Garde- Champêtre , mais on sait dès le prologue que la chute sera inattendue . Cette annonce d'ailleurs a un peu gâché l'innocence de ma lecture car elle oblige à avoir un certain recul pour deviner où cela cloche ...



Mais même s'il y a un meurtre, cela reste bucolique avec la recherche d'une certaine fleur rare, seul indice du crime .



Voilà qui me réconcilie avec l'auteur !
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Les nouvelles aventures du fakir au pays d'..



Monsieur et Madame Damasoop ont une fille. Comment s'appelle-t-elle ?

- Yadémoush



Coïncidant étrangement avec la sortie du film L'extraordinaire voyage du fakir prévu le 30 mai 2018, Romain Puértolas revient cette année avec la suite des aventures du personnage qui a fait sa renommée en 2013, j'ai nommé l'Indien Ajatashatru Lavash Patel.

Je l'appellerai Aja pour plus de simplicité.

De toute façon, comme dans le premier volume, son nom sera torturé de toutes les façons possibles et imaginables et ses interlocuteurs l'appelleront tour à tour Chatachatrou, Ajatash-à-truc, Je-tombe-dans-un-trou : On semble bel et bien parti avec le même humour lourd que dans le premier volet, qui ne se renouvelle pas.

J'ai beaucoup aimé la majorité des romans de Puértolas qui ont suivi, mais je n'ai jamais compris le succès de L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, que j'avais trouvé mal écrit et qui n'avait jamais provoqué chez moi le début d'un sourire. C'est donc à reculons que j'ai entamé cette suite, et je dois avouer que si ça n'est pas un chef d'oeuvre, il aura quand même eu le mérite de bien m'amuser cette fois-ci.



Notre fakir préféré, après ses tribulations précédentes relatées dans le premier tome, n'a désormais plus rien à voir avec l'Indien ascétique vêtu d'un simple pagne qui multipliait les galères en arrivant en France. Aujourd'hui, il vit dans un grand appartement parisien avec son épouse Marie Rivière. Il a une ferrari, des polos Lacoste, il regarde Télématin, il boit de l'actimel. Grâce aux ventes pharaoniques du livre qui relatait ses pérégrinations, il s'est quelque peu embourgeoisé. Et a perdu toute authenticité, se complaisant quelque peu dans le matérialisme.

Son éditeur va cependant remettre les pendules à l'heure après la lecture du second manuscrit d'Aja, quatorze pages absolument nulles.

"Le lecteur veut de l'émotion. On veut sentir ta misère. Ton malheur fait du bien aux autres."

Son épouse se pose également des questions : "Avait-il renoncé à sa vie, à sa personnalité, à ce qu'il était vraiment à cause d'elle ?"

L'autre élément déclencheur sera l'absence du lit à clous Kisifrotsipik dans le dernier catalogue Ikea. le géant suédois des meubles en kit avait en effet du interrompre sa fabrication suite à diverses plaintes.

"Les 15000 clous pourraient en effet transpercer le corps du client pendant son sommeil."

C'est ainsi qu'Aja décide de se rendre en Suède pour rencontrer monsieur Ikea et lui demander de lui fabriquer un dernier modèle.

Et c'est reparti pour une nouvelle série d'aventures hautement improbables, assez réjouissantes également, dans lesquelles on retrouvera brièvement Gustave Palourde, le chauffeur de taxi gitan qui sera incarné par Gérard Jugnot dans le film.



Parallèlement à ce nouveau voyage, il sera également question de la jeunesse d'Aja, et plus précisément de la façon dont il est devenu fakir grâce à son maître Baba Orhum.

"Fakir signifie pauvre et humble. Etre pauvre, c'est notre gagne-pain, c'est notre fond de commerce. Etre pauvre, c'est notre richesse."

Bienvenue en Inde, au Rajasthan plus précisément, où le petit Aja rejoindra la contrée de Shishke Babhe et apprendra non seulement la privation en ne mangeant pas à sa faim mais également tous les secrets qui permettent de devenir fakir : comment avaler des sabres, tenir en équilibre sur un clou, boire du plomb en fusion. Bref, tous les tours de magie que pratiquent les fakirs dont le calendrier commence à la naissance de David Copperfield.



Vous l'aurez compris, c'est du grand n'importe quoi.

Mais l'humour provoqué le plus souvent par le mélange des cultures indiennes, françaises et suédoises porte quand même ses fruits, même si l'histoire est totalement ( et volontairement ) rocambolesque et pleine d'improbables coïncidences.

Vous rencontrerez en Inde des personnages du nom de Deminjareth, Klaydedouzh, Arthrit ou encore Rhed Dingh. Les suédois attendus à l'aéroport s'appellent quant à eux Ericsson, Larsson, Carcasson, Clakson ou encore Michaeljacksson. Cet humour avec les noms n'est pas très subtil, voire carrément lourd ... mais de temps en temps ça marche.

Vous apprendrez aussi que Céline Dion, Alain Souchon et surtout Début de soirée ( Et tu tapes, tapes, tapes, c'est ta façon d'aimer ) sont de grands philosophes aux maximes célèbres que vous découvrirez.

Saviez-vous par ailleurs que le Sh'ti est un dialecte profane et impur en Inde, que Jésus Christ était le premier fakir, que la FBI est la Force Bollywood d'Investigation en Inde ou encore qu'Andhrimnir est le dieu scandinave des chefs de cuisine ?

Seule l'allusion aux probablitités quasi nulles que le petit Gregory se soit suicidé m'a parue quelque peu déplacée.

Les lecteurs habituels de Romain Puértolas s'amuseront aussi de trouver une allusion à sa nouvelle parue dans le second recueil de 13 à table ! :"La France venait d'expulser le premier Rom sur la lune." et de revoir très brièvement "une grosse policière noire" qui ne peut être qu'Agatha Crispies de Tout un été sans facebook.

D'ailleurs, comme dans son poilar paru l'an dernier, l'auteur attribue à nouveau une grande importance aux livres et aux auteurs, qui seront souvent de nouveaux prétextes de farces. Avec un traitement privilégié pour Autant en emporte le vent de Margaret Mitchell mais aussi différentes allusions à Amélie Nos-Tombes ( toute ressembance avec un écrivain que vous connaîtriez serait fortuite ), Alexandre Dumas, Antoine de Saint-Exupery, Jo Nesbo, Michel Houellebecq et bien plus encore ...



Rien de sérieux alors dans ce second tome ? Pas de message de tolérance caché sous cet humour comme le romancier a l'habitude de le faire ?

Quasiment pas.

Les quelques réflexions sont volontairement terre-à-terre pour la plupart : On ne peut pas aider tout le monde, la beauté est à l'intérieur, le bonheur c'est de continuer à désirer ce que l'on possède déjà ... Rien qui ne vole très haut et on reste donc cette fois vraiment dans l'absurde quasiment d'un bout à l'autre.

A une exception près.

L'immigration fait partie des sujets de prédilection de Romain Puértolas et il en était déjà question dans le premier volume. A nouveau le fakir se retrouvera accompagné de clandestins, des Syriens fuyant les horreurs de leur pays.

"Fallait-il toujours qu'il tombe sur des gens qui voulaient traverser une frontière."

La question de ces limites arbitraires séparant les différents pays, autrement dit de l'utilité des frontières, est brièvement posée, dans le sens où le monde est censé appartenir à tous.

Mais ça n'est pas ce point qui m'a fait réfléchir à nouveau sur ce sujet toujours particulièrement brûlant et d'actualité.

Imaginons-nous que la situation soit un jour inversée. Que la guerre fasse rage en Europe et que la seule alternative pour retrouver un endroit où vivre en paix soit de traverser la mer et de rejoindre l'Afrique ou les pays du Moyen-Orient. Comment aimerions-nous être accueillis ?

"Et si, d'un coup, il n'était plus dans le bon camp ? S'il n'était plus de la bonne couleur, s'il ne se trouvait plus du bon côté de la Mediterrannée ?"

Parce que même si ça n'est pas pour demain, on ignore de quoi le futur sera fait.



Les nouvelles aventures du fakir au pays d'Ikea ( dont la couverture représente le pull en laine d'Aja, tricoté avec amour par sa femme ) est peut-être un produit purement commercial, mais je l'ai pour ma part largement préféré au premier volume. Certes, s'abstenir si vous êtes un lecteur particulièrement exigeant, mais si vous souhaitez juste passer un bon moment avec un roman facile à lire, rempli de jeux de mots et de sottises, alors ces nouvelles pérégrinations remplissent largement leur part du contrat. Elles arracheraient quelques sourires même à l'ours le plus mal léché qui soit.

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13 à table ! 2016

13 à table, 12 auteurs et 4 repas pour 5€. En 2015, le collectif littéraire au profit des Restos du Coeur planche sur la fratrie et les rapports qui en découlent.

Frères parasites, frères ennemis, frères chéris (et soeurs bien sûr), tout y passe dans ce recueil. Les secrets de famille y vont également bon train, à charge d'être dévoilés comme dans l'amer "Tu peux tout me dire" de Douglas Kennedy.



Michel Bussy m'a bien emballée avec son histoire de jalousie sororale, entre une aînée aussi sublime que talentueuse et sa cadette banale, passe-partout. La chute en est délicieuse.



Karine Giébel, comme à chaque fois, m'a époustouflée et comme giflée avec son recit d'honneur bafouée par une jeune fille issue d'une famille turque traditionaliste de la banlieue de Mulhouse. Les frères veillent, à coups de poing si nécessaire. L'auteure dénonce avec violence et justesse les mariages arrangés et les exactions commises sur des filles qui ont rêvé d'être libre de leur corps, libre d'aimer. Récit choc pour une réalité choquante au-delà de tout.



Douces, amères ou amusantes, ces fratries se lisent aisément. Exceptée le texte de Stéphane de Groodt. J'ai trouvé sa nouvelle pourtant courte pesante et indigeste. Le style lourdingue accumule les calembours tous les deux mots voire plus. Indigeste est donc réellement le qualificatif qui convient. Je ne dois pas être compatible avec son humour et sa tournure d'esprit. Et ne compte pas réitérer l'expérience pour une deuxième chance.
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L'extraordinaire voyage du fakir qui était re..

Ecrit par un auteur à l'époque totalement inconnu de tout le monde ou presque , l’Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, a été le vrai carton de l’automne 2013.



Un livre qu'il faut dévorer en oubliant toute idée de rationnalité et de bon sens tant cette épopée de ce fakir, venu en France acheter un matelas à clous Ikéa, est totalement loufoque et décalé.



Mais sous des dehors de farce bueb déjantée, cette fable pétillante et assez tordante aborde également des sujets plus profonds du monde contemporain, comme le déracinement ou la surconsommation. Bref, pour qui aiment les livres barrés et bourré de rebondissements, cet extraordinaire voyage vaut assurément le déplacement!!
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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L'extraordinaire voyage du fakir qui était re..

Avec ce roman l'auteur m'a laissée quelque part sur le tarmac, telle ma valise tombée un jour de la soute de l'avion dont je venais de débarquer... et que j'ai attendue un fameux bout de temps à la sortie des bagages d'un aéroport ! Fort heureusement, il n'y avait personne à l'intérieur !!

Cela dit, je me suis embarquée dans ce roman avec rires et plaisir, et je n'aurais pas dû le quitter ! car à la reprise de cette lecture, mon enthousiame est retombé comme une mayonnaise un jour de grande fatigue. Cela ne prenait plus, allez donc comprendre pourquoi ? Je lui trouve bien des qualités, mais ce mélange de loufoque et de réalisme ne me convient décidément pas. Je suis donc partagée, peut-être faut-il le lire d'une seule traite ? Essayez, et vous verrez il ne peut laisser indifférent.
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13 à table ! 2024

13 à table souffle ses 10 bougies !!!

Ce recueil de nouvelles permet de passer un agréable moment en découvrant la patte des écrivains emblématiques français à travers ces textes courts et, surtout, de faire une bonne action, un livre acheté correspondant à 5 repas pour Les Restos Du Cœur !!!

La thématique de cette année est toute simple : J'ai dix ans !!!

J'ai tout particulièrement adoré celles de Raphaëlle Giordano "On est pas des machines" , François D'Epenoux "69, année fatidique ", et, en apothéose du cru 2024, "Le miroir " de Franck Thilliez !!!
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