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Critiques de Sarah Lark (459)
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Un espoir à l'autre bout du monde

Que ce soit avec sa Saga des Îles ou sa Saga Néo-Zélandaise, j'ai déjà passé de très bons moments de lecture aux côté de Sarah Lark. Aventure, romance, Histoire et dépaysement, ses récits ont tout pour captiver et faire naitre un tas d'émotions.



C'est donc tout naturellement que j'ai souhaité repartir en Nouvelle-Zélande avec ce tome qui clôture la trilogie (qui du coup n'en est plus une) du Nuage Blanc. Pourtant, je n'ai pas lu ladite trilogie mais cela ne m'a posé aucun problème pour suivre l'intrigue de Un espoir à l'autre bout du monde. James MacKenzie semble être un descendant des héros des premiers tomes et, si ces derniers sont brièvement évoqués, ne pas connaitre le détail de leur histoire n'est absolument pas gênant. Au contraire, cela nous donne même envie d'en apprendre plus à leur sujet et de découvrir les débuts de Kiward Station, la ferme familiale.



Ce quatrième volet semble, à première vue, beaucoup plus court que ses prédécesseurs. Il se déroule durant la seconde Guerre Mondiale et nous plonge au cœur des transferts de populations, pas forcément connus, subits par les Polonais au début de la guerre. En effet, les Russes, alors alliés à l'Allemagne, ont déporté massivement des familles dans des camps de travail en Sibérie. Lors de la rupture du pacte de non agression germano-soviétique et à la demande des Alliés, la Russie a libéré les survivants. Certains, comme Helena et sa sœur, se sont retrouvés dans des camps d'accueil en Iran puis, des centaines d'orphelins ont été envoyés en Nouvelle-Zélande. C'est un aspect de l'histoire qu'il a été très intéressant de découvrir.



Un espoir à l'autre bout du monde débute en Iran, alors qu'Helena n'est pas sélectionnée pour partir en Nouvelle-Zélande à cause de son âge. Helena est une jeune femme très attachante; marquée par les épreuves qu'elle a traversé, elle reste résolument optimiste. Elle est travailleuse, soucieuse de bien faire et porte de grandes responsabilités sur ces épaules, notamment celle de sa petite sœur, avec laquelle elle entretient une relation compliquée. Luzyna, la petite sœur d'Helena a une personnalité diamétralement opposée; là où Helena pense aux autres, Luzyna pense à elle avant tout. Elle se laisse porter par ses envies car elle sait que sa sœur saura réparer ses erreurs. En effet, leur mère a fait promettre à Helena de s'occuper de sa petite sœur et de s'assurer qu'elle aura une belle vie. Partagée entre son affection et l'obligation morale qui l'enchaine à Luzyna, Helena s'oublie à son profit. Très vite, le lecteur conçoit une certaine affection pour la jeune polonaise et condamne le comportement de Luzyna à qui tout semble dû; son jeune âge ne pouvant pas excuser son ingratitude.



Tout au long du récit, nous retrouvons des personnages très manichéens. Helena, l'héroïne pure par excellence, va traverser de terribles épreuves, enfermée dans la peur de perdre ce qu'elle a, rongée par la culpabilité. Pour autant, elle ne m'a jamais parue larmoyante ou pathétique, simplement résignée, ne sachant pas toujours voir le possibilités qui s'offrent à elle. J'ai aimé découvrir la Nouvelle-Zélande, apprendre rudiments de la culture Maorie. Tout comme Helena, je me suis laissée séduire par leur vision de la vie. J'ai également apprécié découvrir l'impact de l'homme blanc (pakeha) sur les autochtones : la peur inspirée par la légende des Maories vs leur déchéance au contact de l'alcool notamment.



En parallèle, nous découvrons James, ce jeune aviateur qui s'est engagé contre l'avis de ses parents. Ce jeune aviateur qui dégomme les avions Allemands mais n'arrive pas à lâcher de bombes sur des lieux publics. Ce jeune aviateur avec le cœur sur la main et la révolte au corps à la sensibilité désarmante.



Si la rencontre et l'issue de l'intrigue sont assez prévisibles (déjà parce qu'on en parle dès le résumé), j'ai pris plaisir à voir Helena se fourvoyer et James avoir peur de la brusquer. J'ai été divertie par l'apparition d'un personnage perturbateur, dont seule Helena se méprend sur le rôle. Helena et son peu de confiance en elle, sa crainte de ne pas être crue et toujours, sa culpabilité.



Sarah Lark manie avec talent les sentiments et sait apporter à ses histoires ce qu'il faut de réalisme. Elle intègre des personnages hauts en couleur, tous très différents (que ce soit la cousine déjanté ou la mère secrète et renfermée) qui rendent le récit animé et prenant. Un jour, je m'envolerai à nouveau pour la Nouvelle-Zélande, afin de découvrir les premiers tomes de la saga.
Lien : https://sawisa.wixsite.com/y..
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Un espoir à l'autre bout du monde

Juillet 1944. Lorsque Helena apprend que la Nouvelle-Zélande est prête à accueillir des orphelins venant d’Europe, elle espère faire partie des heureux élus. Rêve de courte durée quand on l’informe qu’à 17 ans elle est trop âgée…



Une romance historique, nous plonge dans la déportation des Polonais vers la Sibérie qui seront ensuite parachuté vers l'Iran et les orphelins mis à l'adoption en Nouvelle-Zelande. C'est une partie peu connue de cette période trouble.



Hélèna et James sont très attachants. Perdus dans ce conflit, ils vont se lier. C'est une belle histoire sentimentale que l'autrice nous propose ici sur fond de roman historique. On ressent les émotions qu'ils vivent et les pages défilent rapidement. J'ai beaucoup aimé découvrir leur histoire sous la plume fluide malgré le manque de surprise. Un plaisir pour les fans de romance.



Bref, un roman parfait pour l'été qui arrive.



Merci à NetgalleyFrance et Archipel
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Un espoir à l'autre bout du monde

Voilà un livre agréable à emporter en vacances !

Même si le décor est historique, je classerais ce roman dans les romances.

L'originalité de ce récit est le contexte historique : la déportation en 1940 des Polonais de l'est de la Pologne par les Soviétiques vers la Sibérie puis, après la rupture du pacte germano-soviétique, le départ de prisonniers de Sibérie vers l'Iran puis celui d'orphelins polonais vers la Nouvelle Zélande.

J'ai trouvé sur Internet plusieurs sites assez bien documentés sur le sujet.

L'autrice a veillé à respecter la réalité historique ; les coutumes et meurs de l'époque dans les sociétés décrites sont également très cohérentes.

Cette histoire sentimentale (qui finit bien !) est agréable à lire, sans réelle surprise.

mais on passe un bon moment !

Merci à NetGalley et aux éditions L'Archipel de m'avoir permis de le lire.
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Un espoir à l'autre bout du monde

C’est un roman historique avec une bonne dose de romance que nous propose l’autrice allemande Sarah Lark. Cette dernière a écrit de nombreux romans se déroulant en Nouvelle Zélande, mais c’est le premier que je découvre. On devine que les précédents romans concernent le passé de la famille qui va accueillir notre héroïne, mais il n’est pas nécessaire de les avoir lu pour profiter de cette intrigue.



On va suivre le parcours d’Helena, jeune orpheline polonaise qui se retrouve dans un camp de réfugiés en Iran en 1944, après une déportation en Sibérie… De multiples péripéties vont la conduire jusqu’en Nouvelle Zélande ; le pays a en effet accueilli 700 orphelins polonais à la fin de la guerre. Et là, Helena va rencontrer James, sa famille et la culture maorie…



Ce roman ne comporte pas de grandes surprises, ni de retournements de situations inattendues. Il met néanmoins en lumière un épisode peu connu de l’histoire de la seconde guerre mondiale (je n’avais jamais entendu parler du sort des réfugiés polonais envoyés dans l’hémisphère sud) et présente la culture maorie ; les relations entre les autochtones et les descendants des colons se révèlent évidemment difficiles, mais l’autrice décrit le début d’un sursaut chez certain.e.s maori.e.s



En bref, c’est une lecture plutôt légère, mais qui étoffe néanmoins la culture générale.



Je remercie vivement les éditions de l’Archipel et NetGalley pour cette découverte.
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L'île aux mille sources

Je viens de terminer ce roman de Sarah Lark et j’ai passé d’excellents moments en compagnie de Nora, jeune anglaise qui, suite à la perte de l’homme qu’elle aimait, a accepté de s’unir à un riche propriétaire d’une plantation de canne à sucre en Jamaïque. Celui-ci employait des esclaves. Sarah Lark nous plonge dans une partie de l’histoire du XVIIIème siècle et nous transporte en Jamaïque : la splendeur de ses paysages, la difficulté pour les européens de supporter le climat chaud et humide, la société anglaise dans les colonies, et l’enfer pour les esclaves de travailler sans repos et subir la maltraitance des colons.

Nora, femme douce et bienveillante va subir un choc lors de son arrivée, elle découvre les sévices subis par les esclaves, la dureté et l’inhumanité des colons envers eux. Elle consacrera chaque jour à soigner les esclaves sur sa plantation et se révoltera contre leurs conditions de vie. Elle trouvera réconfort et amour auprès de Doug, le fils de son mari qui partage les mêmes valeurs morales.

Cette cruauté des colons envers les Africains a engendré une riposte sanglante. Parmi les Africains, il y a les « marrons », les esclaves qui se sont libérés du joug de leur propriétaire soit car ils se sont enfuis des plantations, ou parce qu’ils ont rallié les esclaves libres venus faire vengeance auprès des propriétaires terriens. Ceux-ci semaient la terreur sur les plantations, ils exterminaient les propriétaires, leur famille et les esclaves ne voulant pas prendre parti, puis brulaient leur maison.

Emmenée malgré elle dans un village de « marrons », à son tour elle subira l’esclavage. Un jeune homme employé sur la plantation de son mari tombe éperdument amoureux d’elle et n’a de cesse de vouloir la posséder. Elle va vivre des évènements terribles, elle les subira avec courage, restera forte mais conservera son humanité et sa détermination à lutter contre l’esclavage.

Dès la première page de ce livre, je n’ai plus eu envie de le quitter. L’écriture est fluide, claire, agréable. Je n’avais jamais lu d’ouvrage de Sarah Lark auparavant, c’est une belle découverte !

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Le pays du nuage blanc, tome 3 : Le cri de ..

J'ai refermé la 702ème page de ce roman avec un petit rictus mi-sourire, mi-déception.

Ne vous méprenez pas, la déception ressentie est dûe à la fin de cette trilogie car, oui, ça y est, j'ai terminé la trilogie néo-zelandaise de Sarah Lark.



Moi qui ne lisais pas de romance. Moi qui ne commençais pas de trilogies trop imposantes par peur de ne pas avoir le temps de les lire. Moi qui.... Oublions tout ça.

Tome après tome, j'ai basculé du côté obscur de la force.

J'ai lu des histoires de familles, d'amour et de trahisons. J'ai suivi des familles de pionniers peupler la Nouvelle-Zélande. Je me suis imprégnée des traditions Maories et de la malheureuse influence qu'elles ont subie...



Pas d'enquêtes, pas de meurtres mais.... N'oublions pas mes basiques... Une superbe fresque familiale et historique sur le développement de la Nouvelle-Zélande aux XIX ème et XX ème siècles, sur les relations avec l'Angleterre et les traditions séculaires. Un récit romancé mais qui est une mine d'informations sur la cohabitation forcée entre les peuples autochtones et les colons. Cela permet également de s'imprégner de l'avancement d'un pays ciselé par les éléments.



Vous l'aurez compris : je me suis régalée.

Si je n'étais pas allée en Nouvelle Zélande, je n'aurais peut-être jamais ouvert la 1ère page. Je suis sortie de mes sentiers battus et bien m'en a pris.
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Le pays du nuage blanc, tome 1

Des romans racontant l'histoire de jeunes femmes partant au bout du monde au joyeux temps des colonies, il en existe une quantité invraisemblable. Je ne saurais dire si celui-ci se démarque car ce n'est pas ma came habituelle. J'ai pourtant bien apprécié cette lecture : le dépaysement est au rendez-vous, l'histoire est bien menée. J'ai surtout apprécié que les personnages soient bien dessinés et subtils. Leurs réactions sonnent juste et aucun ne semble caricatural, au moins au début. Cela se gâte un peu pour deux d'entre eux au fil de l'histoire mais on peut supposer que, même dans la vraie vie, l'alcool finit par faire des caricatures d'homme.

L'auteure semble s'être bien documentée. Sa description du voyage puis de la vie en Nouvelle-Zélande paraissent très vraisemblables.

C'est donc un roman plutôt réussi même si ça reste très "littérature sentimentale pour dames". Les questions de qui couche avec qui et qui se marie avec qui semblent constituer l'essentiel de l'histoire, émaillées de temps à autres d'intrigues secondaires très vite expédiées.



La version audio disponible sur Audible est de bonne qualité et très agréable à écouter. La lectrice module sa voix juste ce qu'il faut pour distinguer sans difficultés les différents personnages.



En résumé : un roman dépaysant, agréable et correctement écrit. Si c'est plus du divertissement que de la grande littérature, il en faut aussi et celui-ci est plutôt réussi.



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Le pays du nuage blanc, tome 3 : Le cri de ..

Gloria, arrière-petite-fille de Gwyneira, n'est heureuse qu'ai milieu des chiens, chevaux et moutons. Mais ses parents décident de l'envoyer loin de sa Nouvelle-Zélande natale, dans un pensionnat anglais. Accompagnée de sa cousine Lilian, toujours joyeuse, Gloria va tout de même dépérir, se sentant abandonnée de tous, y compris Jack, qui l'accompagne depuis l'enfance.

Jack, lui, épouse une femme qu'il adore avant de s'enfoncer dans l'enfer de la première guerre mondial. Tous les deus aspirent à se retrouver et retrouver leur terre natale, quitte à en payer le prix.

Ce genre de roman est un vrai pêché mignon. J'ai beau y voir des incohérences, des libertés historiques... Je ne peux pas m'empêcher de tourner les pages toujours plus vite, plus de 100 par jour pour Le cri de la terre. Le dosage entre aventure et romance fait qu'il n'y a pas d'overdose de bons sentiments, contrairement à de la romance pure à laquelle j'accroche moins. J'aime beaucoup suivre une même famille sur des générations. .
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Le chant des coquillages

Je continue ma découverte de Sarah Lark !



Comme à chaque fois, j'ai adoré les personnages, les décors et les intrigues.

Bien sûr, les personnages sont toujours blancs ou noirs, rarement gris, et on sait également comment le roman va se terminer dès le début. Mais le chemin est passionnant à chaque fois.



Je ne m'en lasse pas...l'autrice a le don de dresser le portrait de ses personnages de sorte qu'on les cerne tout de suite et qu'on les aime/déteste de rapidement. Puis, ces trilogies, saga familiales me plaisent vraiment ! Quand on commence les tomes 2 et 3 on est à chaque fois déjà attaché aux protagonistes, on connaît leur ascendance.



J'adore les paysages de Nouvelle-Zélande et je trouve qu'avec Sarah Lark on s'y croirait. Pareil pour l'époque, je vois les bâtiments, les vêtements, le quotidien des personnages et leurs préoccupations.



On découvre également le contexte historique, les traités, les conflits, les trahisons, l'appropriation de la terre par les colons... On a le point de vue des Maoris et leur culture est valorisée dans chaque roman.



Vraiment une de mes autrices favorites !
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Le pays du nuage blanc, tome 1

Une fresque incroyable qui nous fait découvrir la nouvelle Zélande au début du 19 ème siècle, quand les anglais sont venus s'y installer.



On frôle vraiment le coup de coeur, seules quelques longueurs sur la fin ont un peu gâché mon ressenti général. Ou alors j'ai eu du mal à voir le flambeau se passer de la première génération à la deuxième, et j'aurais voulu rester encore avec Gwyneira et Hélène pendant encore longtemps ( pourtant la relève promettent aussi de belles histoires...)



J'adore ces sagas où les destins s'entremêlent, MAIS uniquement si les personnages sont à la hauteur de nous faire supporter un pavé de 700 pages, et c'est le cas ici !

Pas de mièvrerie, ce que je crains toujours avec ce type de roman, mais uniquement des histoires fortes et vraies qui captivent. Il y a bien sûr quelques histoires d'amour qui viennent se greffer, forcément !, mais ce n'est pas le sujet principal de l'histoire.

Les héroïnes sont juste géniales. Des femmes fortes, parfois impuissantes face à la misérable place laissée aux femmes à cette époque...mais qui s'adaptent, se battent, rusent et cela quelques soient les coups du sort.

Elles ont toutes une belle place dans ce roman !



Il était aussi très intéressant d'en apprendre plus sur le peuple Maori. A l'image de ce qu'on sait sur le triste sort des indiens en Amérique on apprend ici - sans surprise - que la colonisation a surtout apporté beaucoup de négatif, de douleur, de manipulation et d'escroqueries pour les natifs du continent... Pas forcément plaisant à lire mais important à savoir.



Je vais m'empresser de me procurer la suite !

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Le pays du nuage blanc, tome 3 : Le cri de ..

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Les rives de la terre lointaine

Kathleen, Michael, Ian, Claire, Lizzie ... Des destins qui se croisent, s'entrecroisent au fil du temps. Entre l'Irlande, l'Angleterre, l'Australie et la Nouvelle Zélande que vont-ils devenir? Vont-ils se perdre pour mieux se retrouver ou s'éloigner définitivement ?

Vont-ils trouver leur mana?
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Le pays du nuage blanc, tome 2 : Le chant d..





J’ai bien aimé ce deuxième volet. Les personnages ont des personnalités bien distinctes et les intrigues bien ficelées. Beaucoup de rebondissements.



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Sous la montagne de feu

Le commentaire de Lynda :

Ce titre termine une trilogie, je n’ai malheureusement pas eu le plaisir de lire les 2 autres tomes, mais je n’ai quand même eu aucun problème pour lire ce tome, qui se lit comme un roman seul.

On retrouve Linda qui dirige un orphelinat à Otaki, elle y vit avec sa fille Aroha, qui vit très heureuse, jusqu’à cette journée où un drame surgit.

Dans ce troisième tome, il y a plusieurs personnages autour desquels se tissent l’histoire, bien sûr, Aroha qui se croit un peu frappée par une malédiction, en fait, qui serait que tout le monde qu’elle aime finisse par la quitter.

Pour son bien, sa mère, Linda, décide de l’envoyer chez sa sœur Carol, qui vit sur une ferme où elle élève des moutons. Linda fera la connaissance de ses cousins, Robin qui ne pense qu’au théâtre et March une vraie boute-en-train qu’il fait bon connaître, elle apporte une certaine légèreté qui est bienvenue dans ce long roman.

Je crois que je me suis plus attachée à March, une jeune femme qui sait ce qu’elle veut et qui ne recule devant rien. Je l’ai aimée dès le début.

On parle beaucoup également des Maoris, on apprend leur façon de vivre, leurs coutumes, et c’est un des côtés que j’ai trouvé très intéressant.

C’est un roman au côté historique très développé, on sait reconnaître quand un ou une auteure a fait un travail de documentation énorme.

Tout ce qui concerne la colonisation de ces îles est très prenant, et surtout très instructif, j’ai encore une fois eu la chance d’apprendre plein de choses.

Sarah Lark, a un faible pour tout ce qui est historique et elle le démontre très bien dans ce roman. Une lecture que je vous recommande si vous aimez la saga familiale historique.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
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L'Île de la mangrove rouge

J'ai autant apprécié ce 2nd tome que le premier, pour l'aspect historique de l'intrigue mais également les sujets abordés, surtout l'esclavage ici. Deirdre est peut être un personnage un peu difficile à apprécier, son attitude laissait parfois vraiment à désirer. Sarah Lark offre encore une fois une histoire passionnante et très bien écrite, j'ai vraiment passé un très bon moment !
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Le pays du nuage blanc, tome 2 : Le chant d..

Les années ont passé et les petites-filles de Gwyneira et Hélène, arrivées en Nouvelle-Zélande pour épouser des inconnus, sont les héroïnes de ce 2e tome. On ne peut pas faire plus différentes que ces deux cousines : la rousse Elaine, passionnée par les animaux et si joyeuse; et Kura, à moitié maori, chanteuse hors-pair mais un peu hautaine.

Lorsque les deux jeunes femmes tombent amoureuses du même homme, William, la famille court à la catastrophe.

Ce livre m'a paru long au départ , mais j'ai enchaîné les 200 dernières pages sans reprendre mon souffle ! Je ne suis absolument pas certaines de l'authenticité historique des faits, moeurs et du quotidien décrits, ce qui m'a un peu posé question lors des premières pages, pour finalement me laisser emporter par le souffle romanesque de l'auteur.
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Fleurs de feu

Décidément j'adore les romans de Sarah Lark



J'ai pris du retard dans ses romans après une overdose (j'ai enchaîné les trois tomes de sa première trilogie et le premier tome de sa seconde) mais je viens de littéralement dévorer celui-ci et je lorgne déjà sur la suite.



Je trouve qu'elle nous apporte toujours beaucoup de connaissances sur le contexte historique du pays, sur la vie quotidienne de l'époque, sur l'élevage des moutons, l'installation des colons etc...

Les histoires d'amour qui tiennent le fil du roman sont toujours attendues et un peu niaises ou clichées mais ce n'est pas ce qui m'emporte avec cette autrice. J'aime surtout l'époque, la vie des colons et les paysages décrits. J'aime aussi ses personnages et les thèmes qu'elle aborde dans ses ouvrages. On tourne toujours autour des mêmes scénarios mais j'ai toujours envie d'y revenir.



Pour moi ce sont des lectures feel-good, d'évasion, de vacances. Mon péché mignon un peu.



Bref, ce ne sera pas mon dernier de l'autrice.
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Le pays du nuage blanc, tome 1

L'histoire est prometteuse et j'ai apprécié les 200 premières pages qui permettent de suivre Hélène et Gwyn mais rapidement, l'auteur fait des "saut dans le futur" et avance l'histoire de 10 ans d'un coup. Cela m'a déstabilisé car on ne suit plus uniquement les 2 femmes mais aussi toutes les personnes qui les entourent (Lucas, Howard, Daphné, les jumelles, Georges, les enfants d'Hélène et Gwyn ...). J'ai vite trouvé que l'histoire partait dans tous les sens et je me suis plus d'une fois perdue.

De même, je n'arrive pas à comprendre comment les personnages peuvent se retrouver aussi souvent et facilement.



En bref, une lecture en demi-teinte qui ne me donne pas envie de poursuivre la saga.
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Le pays du nuage blanc, tome 1

Au milieu du XIXè siècle, Sarah et Gwynéira, toutes deux britanniques, font connaissance à bord d'un navire qui les mène vers de lointaines terres australes où les attend leur destin.

C'est en Nouvelle-Zélande qu'elles doivent toutes deux rencontrer le futur mari qu'elles n'ont jamais vu. C'est là que se poursuivront leurs vies, qu'elles feront face aux déceptions, aux déconvenues, à la brutalité des hommes et à la précarité des conditions de vie dans ce "nouveau monde".

Là qu'elles se révèleront, avec force et courage.



Un grand souffle romanesque nous happe dès les premières pages de ce récit où sont réunis tous les ingrédients qui font le succès des grandes sagas: des personnages typés, des pays lointains, des conflits, des sentiments, des traques, des horreurs, du courage, de l'amour... Bref, on éprouve le même plaisir à lire ce roman que celui qu'on pouvait éprouver à regarder les séries d'antan, qui ne se déclinaient pas en "saisons" mais en "épisodes", dont on attendait la suite avec impatience d'une semaine à l'autre, et dont les personnages finissaient par nous paraître si familiers.



Le style de Sarah Lark est agréable et précis, ses recherches sérieuses pour nous faire découvrir la Nouvelle-Zélande, ses habitants maoris et les colonies britanniques, ses paysages grandioses, ses chercheurs d'or et ses éleveurs de moutons.



Un gros pavé qui nous tient en haleine sans jamais nous lasser.
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L'île aux mille sources

J'ai adoré me plonger dans ce livre, que j'ai dévoré, et découvrir l'histoire de Nora. Dès les premiers chapitres on est totalement immergé dans l'atmosphère de Londres, puis ensuite la Jamaïque. Les personnages sont très intéressants à découvrir et suivre, j'ai vraiment beaucoup apprécié Nora. L'écriture de l'auteure est très agréable à lire et je me suis vraiment imaginée par delà les océans.
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