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Critiques de Satsuki Yoshino (141)
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Slice of Life, tome 1

J'ai adoré l'entrée en matière de ce manga pas comme les autres. Le premier chapitre nous ballade sur une île japonaise plutôt isolée où évolue un groupe de quatre amis qui perdent leur maîtresse d'école mais qui gardent le contact avec elle via des courriers. Il s'agissait pour elle de leur donner les chances de réussir dans ce pays où tout semble être concentré sur la capitale Tokyo et les grandes villes.



Sitôt ce premier chapitre terminé, on se rend compte qu'il y a une histoire dans l'histoire à la manière de poupée russe que l'on découvre au fur et à mesure. L'effet est garanti pourvu qu'on ne lise pas le dos de ce manga pour ne pas se faire spoiler ce qui est difficile quand on veut savoir de quoi cela parle au juste.



C'est une belle mise en perspective puisque l'on va se concentrer sur la vie d'un mangaka qui a arrêté ses histories à sensation pour se concentrer sur des tranches de vie de campagnard. Il vît également sur cette île qui paraît isolé du monde mais sans m'être véritablement.



On se rend compte que la vie d'un mangaka n'est pas très facile puisque le succès n'est pas toujours au rendez-vous. Pour autant, celui-ci se paye le luxe d'avoir un employé qui a 10 ans de moins que lui soit 22 ans et qui est à son service depuis 10 ans. Si on fait un simple calcul, on arrive à 12 ans ce qui ne paraît pas très crédible. Mais bon, il faut croire que personne ne relit les mangas avant publication sur d'autres continents.



Globalement, il en ressort une certaine fraîcheur et une originalité qui sera de mise sur des histoires du quotidien avec pour thème principal le processus de création d'une œuvre. Le trait fera dans l'efficacité. Au final, un agréable manga à découvrir !
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Barakamon, tome 1

Un manga rafraichissant et plein d’humour, voilà comment je qualifierai Barakamon de Satsuki YOSHINO.



Dans ce premier tome, on découvre le héros Seishu Handa qui est très tôt devenu maître dans l’art délicat de la calligraphie. Mais sa jeunesse, sa beauté et son talent lui monte un peu à la tête. Alors quand à l’occasion d’une exposition consacré à son art un prestigieux conservateur de musée juge son travail « formaté et sans saveur », il pète un plomb et colle illico une droite au vieux grincheux.



Inutile de vous dire que le geste ne passe pas inaperçu, tant dans le milieu que dans sa famille. Son père décide aussi sec de l’envoyer, ou plutôt de l’exiler, sur une petite île pour le moins… rurale ! Isolé du monde et coupé de toute vie sociale, il va pouvoir expier sa faute, réfléchir, s’adonner à son art et s’améliorer encore.



Sauf que, tout ne va pas vraiment se passer comme prévu. Dès son arrivée, il fait la rencontre de Naru, une vraie petite chipie, adorable comme tout mais pas avare en bavardages et en bêtises. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, la maison qui lui est dévolue servait en fait de repères à tous les jeunes du coin et ce n’est pas sa présence qui va les empêcher de continuer à l’occuper. Maitre Handa risque d’avoir un peu de mal à se consacrer à son art…



Jolie surprise que ce manga. Ce n’est pas le dessin qui marque le plus, il est plutôt basique dans le genre manga mais l’intérêt est ailleurs. Ce qui retient surtout l’attention, c’est l’humour et les personnages attachants souvent et « attachiants » tout le temps ! 



Barakamon signifie « avoir la pêche » et nul doute que cette lecture vous donnera la pêche et vous mettra un grand sourire sur les lèvres.  Vite, la suite !
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Barakamon, tome 1

Seishû Handa se retrouve après un coup de sang, exilé sur une petite île. Il espère se ressourcer et travailler à fond la calligraphie mais il est dérangé par une gamine de 6 ans, Naru.

J'ai mis un peu de temps à rentrer dans l'histoire, à éprouver de l'empathie pour Seishû. Il s'énerve souvent et cherche à prouver son potentiel. Il est très exigeant avec lui-même. L'action est très lente mais on apprécie ce rythme qui va bien avec celui de la campagne, de leur façon de vivre. Les rencontres avec les villageois sont très agréables mais j'aurais aimé en savoir plus sur la calligraphie, c'est un art que je ne connais que très peu. Pas mal d'humour dans ce manga pour faire passer des messages philosophiques... à suivre !
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Slice of Life, tome 1

J'avais littéralement adoré la série Barakamon du même auteur, donc c'est sans hésitation que je me suis plongée dans le premier tome de sa nouvelle série.

Cette fois encore, le personnage principal est un jeune artiste qui vit sur l'une des petites îles japonaises, chez les "bouseux" comme ils disent. Naruhiko est passionné de manga depuis son enfance et a, depuis, rêvé de devenir mangaka. On le suit, dans ce premier tome, dans son travail de création.

Satsuki Yoshino remet un peu les points sur les i dans ce manga, montrant qu'il n'est pas facile de percer, que l'imagination ne suffit pas, qu'être mangaka demande énormément de travail, pas toujours motivant (cf les dizaines de bateaux à dessiner quand une scène se passe dans un port).

Après avoir dessiné des dizaines de manga fantasy, Naruhiko tente le manga "tranches de vie", au grand bonheur de son éditrice, très emballée et qui lui demande de raconter l'île de son enfance. Naruhiko va donc devoir s'ouvrir au monde, rencontrer les habitants de l'île qu'il a si longtemps évité, et redécouvrir ce microcosme qu'il a eu tendance à maudire, car si loin de Tokyo.

On retrouve certains des thèmes de Barakamon: la campagne japonaise, la motivation, la solidarité et la rudesse de la vie insulaire, tout ça avec bonheur.

Seul bémol, la traduction incapable de refléter le patois de l'île.

Pour le reste, j'attends la suite pour m'assurer que j'adorerai autant que Barakamon, car on n'est que dans les prémisses du récit, mais le thème de la création de mangas à l'intérieur d'un manga me plait d'ores et déjà, surtout parce que je sais de quoi l'auteur est capable.
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Barakamon, tome 9

Une compétition sportive entre deux villages de l'île se prépare: tous les villageois s'impliquent dans les préparatifs, avec la ferme intention de gagner la compétition, pour une fois. Tandis que les femmes finissent de répéter leurs danses, les hommes décident des stratégies: qui sera le meilleur pour telle course? Hiroshi étant parti sur le continent pour un entretien d'embauche, il ne reste aucun jeune, sauf... maître Handa, qui contre toute attente, accepte de courir. Le voici donc qui commence (secrètement) à s'entraîner auprès de sa fidèle petite Naru.

La veille de la course, on lui donne la tâche de calligraphier le maillot de chaque participant, en espérant que ça impressionnera le village adverse.

Il arrive donc le jour J épuisé...



Encore un aspect du village à découvrir ici, la solidarité entre les habitants qui font le relai du plus petit au plus grand, tout le monde étant impliqué. On éprouve un peu de peine pour Hiroshi complètement perdu en ville, mais qui parvient finalement à s'en sortir!

Toujours aussi bien, je continue la série.
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Barakamon, tome 7

Je ne me lasse pas de cette série!

Tous les personnages de l'île sont aussi attachants les uns que les autres mais bien sûr, j'aime particulièrement Naru, qui au fur et à mesure des tomes montre ses grandes qualités sous des airs de petite fille impertinente et infatigable.

Il y a beaucoup d'amour, de respect et de générosité dans Barakamon et qu'est-ce que ça fait du bien!

Dans ce tome, Satsuki Yoshino s'amuse à expérimenter d'autres angles de vue, comme si elle prenait confiance en son art. Techniquement, c'est de mieux en mieux.

Je ne vais pas m'arrêter en si bon chemin!
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Barakamon, tome 5

Après une intégration finalement réussie sur l'île, entouré d'une ribambelle d'enfants joyeux et impertinents -contre lesquels il râle sans cesse mais on sait bien, nous, qu'il les adore - voilà que maître Handa rentre à Tokyo en laissant tout en plan derrière lui.

Avant son départ, une scène merveilleuse au cimetière, auprès de la petite Naru, pour la journée des morts. Naru est une petite fille hyperactive - hyperattachante, qui garde bien, sous son enthousiasme, une douleur d'orpheline, mais maître Handa ne voit rien!

C'est lumineux sans être léger, joyeux sans superficialité, un vrai bonheur!
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Barakamon, tome 1

J’entends parler de Barakamon depuis un certain temps. Ses couvertures qui sont pour moi un mélange d’ambiance enfantine et fraiche à la Yotsuba et de culture japonaise traditionnelle grâce au rôle de la calligraphie m’intriguaient. Le titre est tel que je me l’étais imaginé et cette lecture me conforte dans mon absence d’envie de me procurer la suite même si j’ai passé un bon moment.



Barakamon est clairement un titre tranche de vie. On y suit un jeune calligraphie tokyoïte, venu à la campagne pour trouver une autre voie dans son art. Il y fait la rencontre d’une gamine qui est une vraie tornade et qui va le chambouler et le bousculer sans cesse. Du coup, on suit les péripéties douces et infantines qui lui arrivent chaque jour dans ce petit village si différent de la vie qu’il menait autrefois. C’est mignon, c’est drôle mais c’est surtout frais et sans conséquences. On rit de ses aventures et mésaventures, la gamine aimant bien lui jouer des tours, mais l’ensemble est trop léger et avec peu de profondeur.



J’ai tout de même aimé la ribambelle de personnages que notre jeune calligraphe croise. Ils sont tous plus sympathiques les uns que les autres même s’ils font très clichés. J’ai beaucoup ri de la gamine tornade, de son rival-amoureux au crane rasé à l’école, ou de ses copines collégiennes à la langue bien pendue, ou encore des habitants du village à l’accent bien campagnard. Ça donne une bande de joyeux lurons fort sympathiques.



Cependant, j’ai déjà trouvé le schéma assez répétitif dans ce premier tome avec à chaque fois la gamine comme élément déclencheur et le héros qui comprend ensuite quelque chose sur lui et sur la vie. J’imagine donc mal poursuivre la série sur 18 tomes au total, je crains trop de tomber dans le catalogue de petites histoires qui peuvent arriver à la campagne sans qu’il y ait de vrai fil narratif. En effet, l’accumulation de petites historiettes ne laisse pas présager autre chose pour le moment et juste l’évolution de ce garçon assez arrogant au début ne va pas me suffire.



Du coup, même si c’est une lecture facile, plaisante, amusante et détente, que les dessins sont maîtrisés et dynamiques mais sans petite touche particulière, je pense arrêter là pour le manga et plutôt tenter la série animée. C’est rare que je fasse ce choix mais vu que je n’ai pas trouvé le petit truc en plus et que je crains la répétition, je pense que c’est la meilleure solution.
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Barakamon, tome 1

J'avais besoin de lire un manga un peu plus léger que ceux que je lis d'habitude et mon attention a été retenue par Barakamon. Le résumé se prêtait bien à ce que je voulais et le graphisme a tôt fait de me décider à l'emprunter. Et je n'ai absolument pas été déçue!



#Spoilers

[Notre héros principal s'appelle Seishû, c'est un beau jeune homme brun de 23 ans qui a reçu beaucoup de prix pour son excellence dans la calligraphie japonaise. Mais un jour, son patron va lui reprocher que ce qu'il fait n'est en réalité pas original, sans intérêt et sans saveur. Et c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase: Seishû frappe son patron! Ce qui lui vaudra d'être renvoyé bien sûr et exilé sur une petite île perdue, dans un village avec très peu d'habitants. Il va rencontrer Naru, une petite-fille absolument trop mignonne, une vraie petite chipie qui va lui en faire voir des vertes et des pas mûres. Lui qui voulait être tranquille pour se consacrer à son art, retrouver son inspiration, c'est peine perdue! Car elle ne va pas le lâcher d'une semelle! Plus il va la repousser et plus la petite fille va revenir à la charge. Ils ne pourront plus se quitter même si ce sera à force de chamailleries. Enfin, c'est surtout qu'elle trouve toujours le moyen de pénétrer chez lui malgré ses efforts pour l'en empêcher. Les gens sont aussi tous très chaleureux et aimables, l'entraide est de mise et Seishû est vraiment surpris car il est un parfait inconnu. Mais le soucis, c'est qu'ils sont aussi envahissants que Naru, donc pas de paix possible non plus avec eux et certains sont même excentriques. Il va être aussi embêté par les autres enfants du même âge que Naru, de vrais garnements! Seishû devient fou avec tout ce qu'il se passe en très peu de temps! Les enfants l'embêtent, les femmes sont complètement folles de lui et les hommes ne le prennent vraiment pas au sérieux. Et il va aussi se sentir bien seul car il n'y a pas vraiment de jeunes gens de son âge et il espérait se faire un ami en la personne d'Hiroshi, un lycéen en dernière année mais ce dernier se révèle être un voyou, un râleur, le grand-frère de Naru (je le suppose) mais en voyant les efforts de l'étranger dans son art, va lui donner envie de se donner à fond pour son futur examen. Seishû va aussi rencontrer les deux collégiennes qui donnent le mauvais exemple au petit pot de colle qu'est Naru! A suivre!]



Seishû est assez fermé comme garçon, sûr de lui, c'est quelqu'un d'arrogant, de fier. Quelqu'un d'antipathique au premier abord et pourtant, on s'y attache très vite. Complimentez-le sur ce qu'il fait, ça va le mettre de bonne humeur et il sera facile d'obtenir tout ce que l'on veut de lui. C'est son point faible!

Mais sa rencontre avec la petite Naru va commencer à le changer. Du fait de son caractère, tout l'énerve, l'agace, elle l'embête tellement qu'il n'en peut plus mais il va finir par aussi l'apprécier, sans le montrer de manière flagrante, il se prend d'affection pour cette gamine insupportable qui arrive à lui faire passer des messages, à réfléchir à sa manière, avec son œil d'enfant. Sans le savoir, elle a le don de toucher sa corde sensible, comme quoi son travail est "scolaire". Inconsciemment, elle va le guider vers de nouvelles choses, ce qui ravivera son imagination, son inspiration et en très peu de temps, des progrès vont se faire sentir.

Naru est une vraie casse-cou, elle est inépuisable cette gamine! Elle aime à faire les quatre cent coups et teste même des choses dangereuses (plongée en haut profonde, escalade à la corde... à seulement 6 ans!). Elle a aussi une certaine façon de parler... elle copie tout ce qui sort de la bouche des adultes alors gare à ce que vous direz! Les gros mots, ce genre de choses, elle retient! Un vrai perroquet qui parle de choses sans les comprendre, et cela énerve Seishû qui ne comprend pas qu'une petite fille puisse parler comme ça!



Seishû et Naru. Un duo du tonnerre, vraiment adorable et franchement, on ne pourrait pas croire qu'il y a une si grande différence d'âge tellement Naru peut se montrer mature parfois. Cette relation se rapproche vraiment de celle qu'entretient un grand frère et sa petite sœur, et c'est d'autant plus rigolo et original (c'est rare de voir ça dans un manga).



J'ai trouvé que l'ambiance était vraiment bien agréable, surtout de par les lieux (campagne, mer...), le temps (souvent ensoleillé, chaud). On est au plus proche de la nature et très loin de la civilisation. Rien que par le cadre, c'était reposant et une pure bouffée d'air frais. J'avais l'impression de me ressourcer avec ce manga, c'est mignon, pas prise de tête, ça se lit vraiment très vite (trop vite malgré l'épaisseur du tome). J'ai aussi apprécié le fait que la mangaka se soit inspirée de son propre vécu, de sa vie sur une île presque semblable, pour dessiner et écrire son histoire. ça se ressent.

Que de bonne humeur, de bonnes ondes avec ce manga. Des situations cocasses qui amène le sourire, rire, attendrissement... je me suis attachée fortement aux deux personnages principaux. Les personnages rencontrés, secondaires et autres ne sont pas en reste non plus, j'apprends à les connaître, les différencier un peu plus. Chaque personnage est sympathique à sa manière, se détache plus ou moins des autres comme le maître d'école, Kenta le garçon qui en pince pour Naru, Miha la collégienne qui donne le mauvais exemple à Naru... Le village est peut-être petit mais il est vraiment très vivant, où tout le monde connaît tout le monde (ça ne sert à rien d'avoir des secrets ici, ce sera raconté!)

Par contre, il n'y a pas vraiment d'intrigue, de fil conducteur. C'est plus des petites histoires par chapitres mais pour ce genre de mangas, ce n'est pas plus mal.



Le graphisme est vraiment très agréable, les dessins sont communs, certes, mais c'est si bien exécuté. De plus, ils se prêtent bien à l'ambiance simple, fraîche et contemporaine du manga. Avec le scénario, c'est un tout!



"Barakamon" veut dire en français "avoir la pêche". Et je trouve que pour l'histoire, c'est parfait! Ce manga respire la bonne humeur et nous la communique! Je lirais la suite à coup sûr!
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Barakamon, tome 18

Franchement déçu par cette fin de série qui, pourtant, a été exquise et qui pour moi a été un gros coup de coeur.
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Barakamon, tome 15

Barakamon, c'est mon manga chouchou, doudou, qui me fait énormément de bien, qui me fait rire et me bouleverse parfois. Un véritable coup de coeur. J'ai enfin pu emprunter les tomes 13, 14 et 15 d'un coup à la médiathèque et je les ai dévoré!







L'arrivée d'Ojô dans le tome 13 est bienvenue, peut-être y aura-t-il une future histoire d'amour! J'avoue que ça ferait quand même bizarre de voir Seishû en couple mais là, je dis oui! Elle est fort sympathique et point très important à soulever: elle plaît beaucoup à Naru! Elles pourront se le partager! Ha ha! En un sens, hâte de voir ça! J'avoue que l'aspect autour de la calligraphie dans le tome 13, autour du père de Seishû et de son manager Kirié ne m'a pas forcément intéressé, c'était peut-être un peu. Le tome 14 était hyper rigolo, encore plus que les deux autres! Il y avait tellement de situations cocasses! Mention spéciale au radis à la forme... hum... peu conventionnelle (c'est ça, d'avoir l'esprit tordu!)! The best moment! Je suis contente d'avoir eu la réconciliation de Seishû et Kawafuji dans le tome 15. ça aurait été dommage de gâcher une si belle amitié, et puis le nouveau projet prend forme, ce qui est chouette! C'est un grand pas en avant pour Seishû!



J'ai un énorme attachement pour les personnages, surtout pour ma petite Naru! Je connais tous les personnages, je sais comment ils fonctionnent, je sais tout d'eux, c'est comme une grande famille! J'aimerais tellement pouvoir me plonger réellement dans l'histoire pour rejoindre les personnages et aller sur l'île, au sein du village.



Graphiquement, j'adore! C'est reconnaissable entre mille, le trait de crayon est fin et moderne, avec beaucoup d'exagération dans les traits, des mimiques tordantes aussi.



Que d'humour, de légèreté, des crises de fou rire assurées et un peu de sérieux quand même!



Chaque tome est un véritable régal, un délice. Je passe toujours un excellent moment de lecture et ça n'a pas manqué avec ces tomes 13, 14 et 15! Vivement la suite!
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Barakamon, tome 14

Barakamon, c'est mon manga chouchou, doudou, qui me fait énormément de bien, qui me fait rire et me bouleverse parfois. Un véritable coup de coeur. J'ai enfin pu emprunter les tomes 13, 14 et 15 d'un coup à la médiathèque et je les ai dévoré!







L'arrivée d'Ojô dans le tome 13 est bienvenue, peut-être y aura-t-il une future histoire d'amour! J'avoue que ça ferait quand même bizarre de voir Seishû en couple mais là, je dis oui! Elle est fort sympathique et point très important à soulever: elle plaît beaucoup à Naru! Elles pourront se le partager! Ha ha! En un sens, hâte de voir ça! J'avoue que l'aspect autour de la calligraphie dans le tome 13, autour du père de Seishû et de son manager Kirié ne m'a pas forcément intéressé, c'était peut-être un peu. Le tome 14 était hyper rigolo, encore plus que les deux autres! Il y avait tellement de situations cocasses! Mention spéciale au radis à la forme... hum... peu conventionnelle (c'est ça, d'avoir l'esprit tordu!)! The best moment! Je suis contente d'avoir eu la réconciliation de Seishû et Kawafuji dans le tome 15. ça aurait été dommage de gâcher une si belle amitié, et puis le nouveau projet prend forme, ce qui est chouette! C'est un grand pas en avant pour Seishû!



J'ai un énorme attachement pour les personnages, surtout pour ma petite Naru! Je connais tous les personnages, je sais comment ils fonctionnent, je sais tout d'eux, c'est comme une grande famille! J'aimerais tellement pouvoir me plonger réellement dans l'histoire pour rejoindre les personnages et aller sur l'île, au sein du village.



Graphiquement, j'adore! C'est reconnaissable entre mille, le trait de crayon est fin et moderne, avec beaucoup d'exagération dans les traits, des mimiques tordantes aussi.



Que d'humour, de légèreté, des crises de fou rire assurées et un peu de sérieux quand même!



Chaque tome est un véritable régal, un délice. Je passe toujours un excellent moment de lecture et ça n'a pas manqué avec ces tomes 13, 14 et 15! Vivement la suite!
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Barakamon, tome 6

Où on rencontre les parents, calligraphes, de maître Handa, un père sévère et exigeant, et une mère poule-pieuvre qui refuse de laisser son fils repartir sur l'île, maintenant qu'il est enfin revenu.

Où on a la confirmation qu'il s'est épanoui sur l'île et qu'il y a trouvé sa voie, mais aussi qu'en partant il a laissé un grand vide pour les enfants. Un peu moins drôle que les autres, ais tout aussi bien.
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Barakamon, tome 13

Barakamon, c'est mon manga chouchou, doudou, qui me fait énormément de bien, qui me fait rire et me bouleverse parfois. Un véritable coup de coeur. J'ai enfin pu emprunter les tomes 13, 14 et 15 d'un coup à la médiathèque et je les ai dévoré!







L'arrivée d'Ojô dans le tome 13 est bienvenue, peut-être y aura-t-il une future histoire d'amour! J'avoue que ça ferait quand même bizarre de voir Seishû en couple mais là, je dis oui! Elle est fort sympathique et point très important à soulever: elle plaît beaucoup à Naru! Elles pourront se le partager! Ha ha! En un sens, hâte de voir ça! J'avoue que l'aspect autour de la calligraphie dans le tome 13, autour du père de Seishû et de son manager Kirié ne m'a pas forcément intéressé, c'était peut-être un peu. le tome 14 était hyper rigolo, encore plus que les deux autres! Il y avait tellement de situations cocasses! Mention spéciale au radis à la forme... hum... peu conventionnelle (c'est ça, d'avoir l'esprit tordu!)! The best moment! Je suis contente d'avoir eu la réconciliation de Seishû et Kawafuji dans le tome 15. ça aurait été dommage de gâcher une si belle amitié, et puis le nouveau projet prend forme, ce qui est chouette! C'est un grand pas en avant pour Seishû!



J'ai un énorme attachement pour les personnages, surtout pour ma petite Naru! Je connais tous les personnages, je sais comment ils fonctionnent, je sais tout d'eux, c'est comme une grande famille! J'aimerais tellement pouvoir me plonger réellement dans l'histoire pour rejoindre les personnages et aller sur l'île, au sein du village.



Graphiquement, j'adore! C'est reconnaissable entre mille, le trait de crayon est fin et moderne, avec beaucoup d'exagération dans les traits, des mimiques tordantes aussi.



Que d'humour, de légéreté, des crises de fou rire assurées et un peu de sérieux quand même!



Chaque tome est un véritable régal, un délice. Je passe toujours un excellent moment de lecture et ça n'a pas manqué avec ces tomes 13, 14 et 15! Vivement la suite!
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Barakamon, tome 1

Je résumerais ce tome 1 par : une bonne bouffée de bonne humeur et d'optimisme !

Le contraste entre Seishû et les gens du village est vraiment drôle : lui n'aspire qu'à la tranquillité, eux vivent en communauté soudée. Mais c'est surtout de Naru que viennent les surprises : la petite chipie est partout, s'immisce sans arrêt dans la vie de Seishû, à la fois pour son plus grand plaisir et son plus grand désespoir. Au fil des pages, on découvre la vie de la petite communauté, loin de la grande ville sur son île et c'est particulièrement rafraîchissant.

Je signe sans hésiter pour le tome 2 !
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Barakamon, tome 1

Un jeune calligraphiste prometteur voit son travail remis en cause par le directeur d’un musée où il expose : celui-ci lui reproche de ne pas être assez créatif. Vexé, Seishû Handa le frappe d’un coup de poing. Pour lui rafraîchir les idées, son père l’envoie sur une île pour réfléchir à ses erreurs. Là-bas, le jeune homme découvre un monde différent, très simple où les gens n’hésitent pas à s’entraider tout en étant attachants, farfelus et plein de vie. Il rencontre surtout la jeune Naru qui est Barakamon, ce qui signifie « Avoir la pêche » !



Un manga frais et drôle avec un anti-héros agaçant mais qui semble retourner dans le droit chemin … Indispensable si vous voulez vous détendre !
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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Barakamon, tome 1

Seishû, appelé maître Handa malgré sa jeunesse car il est diplômé de calligraphie, emménage sur une île, à la campagne. Son père l'y envoie suite au fait qu'il a frappé le directeur de l'exposition qui avait osé critiqué son style mais Seishû, blessé par cette critique, espère y trouver l'inspiration d'un nouveau style.

En emménageant le jeune homme découvre que sa maison est en fait le repère et centre de jeu d'une fillette, Naru et de ses amies collégiennes. Agacé au départ, il finit par accepter la compagnie des villageois qui sont tous solidaires et commence à apprendre une nouvelle façon de vivre.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire qui peut faire penser finalement à "Une sacrée mamie" pour les vertus de la vie à la campagne et la découverte de nouvelles valeurs. La relation entre la petite chipie de Naru et le très urbain maître calligraphe est riche en situations à la fois tendre et cocasses.
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Barakamon, tome 15

Wow. Ça va faire au moins 5 ans que je n'avais pas lu Barakamon mais à l'époque, la série me faisait déjà rire. C'est donc un bon moment que je reprends comme si le temps n'avait rien influé sur l'histoire et son intérêt. J'aime beaucoup ce sentiment d'avoir fait pause et que rien n'a changé quand on apprécie de reprendre une série ! Seishu ouvre son école mais personne ne s'y inscrit.. désespéré, il n'est pas vraiment le pro de l'organisation alors la petite Naru va appeler son meilleur ami pour l'aider. C'est un manga tranche-de-vie d'un passionné de calligraphie prenant son indépendance dans un milieu rural plein de joie et d'insouciance. Simple, drôle et efficace !
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Barakamon, tome 1

En cette période morose, rien de tel qu'un manga comme Barakamon de Satsuki Yoshino pour se remonter le moral ! Voilà une série qui sent bon l'air marin et la bonne humeur !



Handa est un jeune prodige de la calligraphie imbu de lui-même. Lorsqu'il frappe un conservateur de musée pour une critique mal accueillie, son père l'expédie se calmer les esprits au fin fond du Japon. A l'extrême sud de l'archipel pour être exacte, loin - bien loin - de la ville.



Or notre héros est un citadin pur jus. Autant dire que le choc est violent dans cette communauté rurale où le terme "anonyme" ne fait pas partie du vocabulaire. Pas plus que les mots "intimité" ou "tranquillité" d'ailleurs !



Handa se fait d'office adopter par Naru, une petite fille de six ans, espiègle et garçon manqué, dont le hobby favori est la collection d'insectes. Peu à peu, elle se fraye un chemin dans la vie du jeune calligraphe.



Avec elle, c'est toute une bande de personnages hauts en couleur qui gravite, de l'enfant au vieillard. Ils imposent tous leur générosité à Handa, de façon parfois maladroite, mais toujours généreuse.



De traditions japonaises, en situations cocasses, c'est une ode à la chaleur humaine que nous offre Satsuki Yoshino. J'ai éclaté de rire plusieurs fois, notamment lorsque notre jeune citadin se retrouve pour la première fois de sa vie face à un téléphone à cadran ou devant un poisson à préparer !
Lien : http://opaledefeu.jimdo.com/..
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Barakamon, tome 1

Un petit manga bien sympa. Pas tellement mon genre de lecture. C'est l'équivalent graphique du roman contemporain: pas vraiment d'action ni de suspens mais des tranches de vies. Un petite vie tranquille et idyllique dans une île japonaise.



Au moins nous avons le dépaysement, l’intérêt culturel, la découverte d'autres coutumes.



Mais je n'aime pas trop le personnage principal. Il n'a pas mauvais fond, est même plutôt abordable mais j'ai l'impression qu'il est juste un prétexte à nous présenter la vie de l'île.



Je pense prendre la suite mais je n'irais certainement pas jusqu'au bout de la série, si rien ne se rajoute. Je risque de me lasser de ce manque de rebondissement.
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