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Citations de Serena Giuliano (1189)


Anna vous êtes forte : vous avez survécu à une enfance difficile, vous êtes devenue quelqu'un de bien. Ce n'est pas facile de ne pas reproduire de qu'on a vécu. Vous n'avez pas baissé les bras face à une nouvelle grossesse malgré toutes vos peurs et la fin chaotique de la première. Vous avez construit un couple sain et solide dans lequel Adel vous apporte énormément mais où vous devez lui apporter tout autant. Pensez vous que votre mari vous subit ? Pourquoi s'infligerait-il une vie où il ne ferait que donner sans jamais recevoir ? Croyez vous que vous ne le rendez pas heureuse vous aussi ? Que vous n'êtes pas son rocher en pleine tempête, son pilier, rassurant et solide ?
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Le sarcasme comme arme de défense. Ce n'est pas Chandler Bing qui a inventé ça?
Bon, plus 5 points pour vous.
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Je fais des références à Friends toutes les trois phrases. Si nous ne pouvez pas suivre, je vais être obligée de mettre fin à notre relation.
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Je harcèle le pédiatre, qui a dû me mettre sur liste noire. J'ai l'impression d'être Rachel dans Friends, quand elle appelle sans arrêt le docteur Fouineur.
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Bah alors ! Dieu ne serait pas un patron irréprochable ?
- Parfois, c'est un peu difficile d'obéir à ses ordres...
- Quand ça?
- Quand il me demande d'enterrer mes amis, par exemple..
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Serena Giuliano
Un thé ? J’ai l’air malade ou je porte un kilt ? Tu veux ma mort, Maria !
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Serena Giuliano
Qu'est ce qu'il dit ? demande Ugo. Qu'il préfère les garçons. Oh, mon pauvre petit. Tu as attrapé çà comment ?
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Je crois que j'aurais aimé lui donner la vie, l'aider à devenir une femme, une grande femme, belle dedans, épanouie dehors. De ces femmes fortes, élégantes dans l'âme, de celles qui marquent, de celles qui comptent. J'aurais aimé lui expliquer à quel point c'est beau d'en être une, à quel point c'est trop souvent difficile aussi. J'aurais voulu lui dire de respecter les autres, et de prétendre au même respect en retour, toujours. J'aurais voulu lui dire de respecter les autres, et de prétendre le même respect en retour, toujours. J'aurais voulu lui dire de se respecter elle en premier, et que finalement c'est çà le plus compliqué et le plus essentiel. J'aurais aimé lui expliquer qu'une femme peut tout être, tout devenir, que le choix appartient à chacune. J'aurais voulu la guider. Lui hurler qu'elle peut y arriver, qu'elle en est capable, qu'il n'est jamais interdit de rêver, qu'il est toujours permis d'échouer. J'aurais voulu l'aider à se relever des chutes inévitables, l'encourager, la soutenir. J'aurais voulu l'aimer.
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Même faire la bise m’horripile. En plus,ce n’est vraiment pas hygiénique, ce genre de pratique ! Voilà une bonne façon de se refiler ses microbes !
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 - Oui, l’enfance joue un rôle primordial dans notre vie adulte. Elle est le socle de notre existence. Si celui-ci n’est pas stable, tout le reste risque de s’écrouler tôt ou tard. 
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« Nous sommes mercredi : comme chaque semaine, je poste le « mercredi confession » sur ma page Facebook. Mes lectrices adorent ce rendez-vous, et moi aussi. Je lance un sujet en invitant à le commenter. Les réponses sont toujours hilarantes.
La semaine dernière, j’avais avoué m’être toujours trompée sur les paroles de « Je danse le MIA ». En effet, je chantais : « Je danse le MIA, pas de pacotille, chemise ouverte, j’ai la mort qui brille » au lieu de « chaîne en or qui brille ». Des années à hurler ça en boîte, en soirée, seule chez moi, sans jamais me rendre compte de l’absurdité de cette phrase. Pour moi, « avoir la mort qui brille » était une expression marseillaise ou un truc de rappeur, voilà tout. La révélation des vraies paroles, très récemment, lors d’un karaoké en l’honneur des 31 ans de Joh, a été une gifle !
Grâce au « mercredi confession », je découvre que nous sommes des centaines, oui, des centaines, à massacrer des paroles.
Adeline N., par exemple, tuait Patrick Juvet en chantant : « Où sont les femmes ? / Avec leurs justaucorps de chaaaaarmmmme !!! »
Élodie S. a saccagé Piaf pendant des années : « Il portait des culottes, des bottes de moto / Un blouson de cuir noir avec un Nègre sur le dos. »
Quant à Anissa B., elle pensait que le fils de la chanson de Balavoine s’appelait Babataye : « C’est mon fils, Babataye / Fallait pas qu’elle s’en aille, wo, wo, wo. »
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Qu'est-ce qu'ils ont tous à vouloir des mioches ?! Pourquoi la perspective de ne plus dormir pendant des années, de ne plus être libres, de dépenser autant d'argent pour un autre que soi les fait autant rêver ? Ça me dépasse.
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Elles marchent aussi pour pouvoir manger toutes les bonnes choses qu’elles continuent à cuisiner sans trop culpabiliser. Elles marchent pour occuper leurs pensées, elles marchent pour combler ce vide que l’amour, la maternité et la vie ont laissé dans leur cœur. Elles marchent pour elles. Enfin."
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- C’était si terrible que ça ?
- J’ai essayé de m’immoler par le feu à l’aide de deux cailloux trouvés dans la cour de l’école.
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Nous laissons les enfants chez ma belle-mère. A notre arrivée, elle avait déjà fait des crêpes, deux gâteaux et du pain maison. Les grands-mères ont un vrai souci avec la bouffe quand même.
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A un mariage italien, on ne mange pas, non, on tente de survivre à la nourriture.
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Nos conversations commencent souvent par : « Ciao bella ! Dis, tu sais qui est mort ? » Ma nonna, c’est la rubrique nécro en personne.
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Serena Giuliano
Même avec les meilleurs ingrédients de la terre, sans amour, ça ne marche pas !
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Est-ce que ça s’apprend ?
Être mère, je veux dire. Ou alors est-ce que ça vient naturellement une fois que l’on nous pose un enfant dans les bras ?
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Je ne veux pas d’enfants. Pas tout de suite en tout cas, Et peut-être même jamais. Je ne fais pas partie de ces femmes pour lesquelles la maternité est une fin en soi. Elle peut-être une option, éventuellement. Mais rien n’est encore sûr en ce qui me concerne.
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