Séverine de La Croix

Je découvre cette série avec ce tome.

Lila est un personnage attachant. On partage son quotidien de collégienne : sa bande de copines, sa vie de famille ... et dans ce tome, l'arrivée des premières règles.

 J'aurais adoré avoir cette BD étant plus jeune pour y trouver toutes les réponses à mes questions concernant les menstruations. Sans être un documentaire, tout en restant dans un domaine de fiction, on trouve des informations précises et pratiques, bien utiles pour les jeunes lectrices. Anatomie, conseils en hygiène, lutte contre des idées fausses, sont à découvrir au fil des pages. *-*

Je reste circonspect par rapport à ce livre. Je porte du crédit à l'auteur qui est chercheur en sciences physique. La théorie exposée de la conscience quantique est très intéressante ainsi que les thèses en rapport à la temporalité, plus particulièrement celles en liens avec les influences du futur. Pour autant quel dommage que le terreau sur lequel se construise ces thèses soit fortement imprégné d'un substrat religieux. J'aurais de loin préféré que l'auteur soit en capacité de mettre à distance le christianisme pour se concentrer sur les évolutions de la conscience quantique. Il en reste néanmoins un ouvrage excessivement intéressant et qui pose question.

Ce livre est une très bonne surprise ! Je l'avais depuis longtemps dans ma bibliothèque, et je ne regrette pas de l'avoir enfin sorti. Si vous aimez les secrets de famille, vous allez être servi. On va suivre Manon, issue d'une riche famille d'aristocrates, qui par le plus grand des hasards, va découvrir un secret que sa famille cachait depuis de nombreuses années. Et évidemment, ce secret n'est que la partie immergée de l'iceberg. Beaucoup de révélations vont être faites au fur et à mesure du roman. Beaucoup de révélations auxquelles je ne m'attendais pas: on remonte jusqu'aux arrières-grands-parents de Manon. Il faut bien avouer que la famille de Manon est détestable, que seul son mari semble avoir les pieds sur terre. Pour autant, cela ne m'a pas empêché de dévorer ma lecture. On alterne les chapitres entre la présence de son mari et de sa famille au commissariat pour retrouver Manon, entre la semaine qui a précédé sa disparition où on apprend jour après jour plein de révélations, et entre l'histoire de sa mère et sa grand-mère plusieurs dizaine d'années auparavant. Ca se lit très vite, c'est un vrai page turner. C'est une très bonne lecture, le seul point négatif que je lui trouverai, c'est que tout ces secrets, ça fait beaucoup pour une famille ! Cela peut donc manquer de crédibilité. Mais pris dans l'histoire, cela ne m'a pas gêné outre mesure.
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Nous découvrons cette licorne toute mignonne et un peu dodue, qui éprouve des difficultés à gérer ses émotions. En effet, à chaque émotion son corps expulse des milliers de paillettes. Vous reconnaîtrez que cela est plutôt handicapant et la petite licorne va donc être aidée par ses amis du monde enchanté, pour trouver des solutions à son problème.



Il s'agit d'un livre très mignon, adapté pour les enfants à partir de 3 ans. La couverture est tout en relief irisé et donc c'est un vrai plaisir pour les doigts. La lecture dure un petit quart d'heure et est idéale en lecture du soir. Les illustrations sont pétillantes de couleur et nous emmènent dans un pays merveilleux qui plait aux enfants.

En effet, ce livre vous aidera à emmener vos enfants au pays des rêves, en leurs mettant des paillettes plein les yeux

C'est toujours aussi excellent je trouve ! C'est bourré d'humour, on a des références actuelles et surtout c'est pédagogique sans qu'on s'en rende vraiment compte. A mettre absolument entre les mains de tous nos pré-ados ; l'estime de soi c'est très important et si l'on peut donner confiance à nos enfants dès leur plus jeune âge, il ne faut pas hésiter !

Une bande dessinée sympa pour sensibiliser les filles aux premières apparitions de la puberté.

Lila a 11 ans et a les seins qui commence à pousser. Comme pour beaucoup de jeunes filles, cela entraîne beaucoup d'émotions. D'abord de la surprise, de la joie et de la fierté mais aussi parfois des moqueries de camarades ou de son frère.

Les dessins sont simples et colorées. Certaines planches laissent place à une planche explicative sur les seins, les bourgeons mammaires ou encore les soutiens gorges.

Au niveau du discours, certains raccourcis sont faits auxquels je n'adhère pas toujours ( le fait de porter un soutien gorge rose sous un t shirt blanc serait vulgaire ? ). Autrement, je pense que c'est une bd légère et fraîche permettant de traiter du thème de la puberté. Un outil qui permet de sensibiliser à partir de 9 ans.

J'ai beaucoup aimé la façon dont le roman est construit. D'un côté on suit Nicolas qui se rend au commissariat pour signaler la disparition de sa femme, Manon, depuis plus de 48h, De l'autre on suit Manon, neuf jour avant sa disparition, qui découvre avec stupeur que sa famille cache un lourd secret. Au fur à mesure que l'on avance dans l'histoire de Manon qui va de révélation en révélation avec sa famille, Nicolas découvre de son côté avec stupeur ses mêmes secrets auprès des gendarmes qui mènent l'enquête avec les membres de sa belle-famille. Cela crée une beau suspens, car on se demande ce que l'on va encore découvrir avec ses secrets de famille, et comment Manon on est venu à disparaître sans donner de nouvelles à son mari. J'ai passé un très bon moment avec cette lecture.

Louisa, 7 ans :

Il y a Cunégonde qui est une poule qui en a marre de pondre des œufs.

Cette poule je l'ai trouvée un peu bizarre, elle est rose, elle a la trace du nid sur les fesses quand elle va au poulailler un peu trop longtemps et qu'elle attend deux heures pour que son œuf sorte.

Je la trouve belle, mais moins belle que Gertrude, la vieille poule.



Tout le long du livre j'ai rigolé, Cunégonde, elle fait que des bêtises.

Ma scène préférée c'est quand elle court pour avoir de la nourriture et que son œuf il sort et s'explose par le mur.



Le chien s'appelle Raoul comme mon pépé de Bégoux, ça fait bizarre, mais c'est drôle.

J'adore la 2ème et 3ème de couverture, Cunégonde a une tête trop mécontente.



Tout le livre j'ai adoré et j'ai lu Le chat qui n'aimait pas les poils et La maîtresse qui n'aimait pas ses élèves.

Tous les trois étaient bien et j'espère qu'il y en aura d'autres avec des chiens, des humains, des scientifiques, des insectes et des phasmes, sur les dents et la fête des mères et des pères.

Des trucs aussi intéressants que les trois que j'ai lus et aussi rigolos.


Lien : https://leshootdeloley.blogs..

J'avais lu "Le chat qui n'aimait pas les poils" des mêmes auteurs et dessinateurs, que j'avais adoré. Eh bien ici c'est pareil. Fan de la couverture avec cette tête de poule hilarante, je n'avais qu'une seule envie c'était de lire l'histoire et je n'ai pas été déçue. Le texte est aussi drôle que les images. C'est coloré, plusieurs dessins par page, les expressions sont très drôles...

Toujours aussi fan de leur travail !

Chronique de Melisande



Le chat qui n'aimait pas les poils est un album amusant qui ne pourra que plaire aux plus jeunes et donner une sensation de déjà-vu à tous ceux qui possèdent un chat.



On nous présente un chat assez classique dans le genre, tous ceux qui en possèdent un ne pourront qu’avoir l’impression de découvrir l’histoire du leur. Un chat qui aime se prélasser, manger, jouer, se faire quelque peu « maltraité » par les enfants qui veulent le caresser tout le temps, etc. Une vie de chat quoi…







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Mais celui-ci est somme toute particulier puisqu’il n’aime pas les poils, il les déteste et le pire c’est que les siens sont très longs. Il passe du temps à les nettoyer et les lisser mais cela lui laisse toujours des poils dans la gorge qu’il déteste. Si bien qu’il a l’idée de s’en débarrasser mais ce n’est pas facile, après tout ça repousse ! Et quand on les retire, ça fait mal ! Mais ce chat est bien décidé à lutter contre sa nature et s’en débarrasser.







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Les illustrations sont hilarantes et rendent l’histoire encore plus drôle et incongrue qu’elle ne l’est. Quand on le voit notamment sur le radiateur, objet préféré de tous les chats en hiver, et qu’il en ressort c’est juste excellent. Je n’ai pas de visuel de cette scène ici mais je vous invite vivement à lire le livre pour le découvrir par vous-même !







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Le texte est très drôle mais pas nécessaire pour un petit pour comprendre de quoi ça parle puisque les illustrations sont très parlantes. C’est donc pratique pour les enfants qui ne savent pas lire.



En bref, Le chat qui n'aimait pas les poils est un album très dôle qui ne pourra qu’amuser les petits et tous les propriétaires de chat qui s’y retrouveront. Un chat attachant et quelque peu fou que l’on suit dans son combat contre les poils. Un album à découvrir de toute urgence !



A partir de 3 ans.


Lien : http://www.lireoumourir.com/..

les secrets de famille ne meurent jamais, Ils traversent le temps et sont éternels, Et surtout ils finissent toujours par éclater Il est donc préférable d''affronter la vérité pour ne pas avoir à ouvrir les tiroirs de notre mémoire pour que resurgissent les fantômes du passé. Un jour ou l'autre, il faut faire face à son passé douloureux.



Nicolas pousse les portes du commissariat pour signaler la disparition de sa femme Manon et lancer un avis de recherche.En réalité Manon n'a pas été enlevé, Elle a tout simplement découvert ; au cors d'une soirée entre amis un terrible drame qui frappe sa propre famille depuis de nombreuses années Elle décide donc de partir sur les traces de ce terrible secret familial, pour mener une enquêté approfondie., Ce fardeau ne peut plus être transmis de génération en génération. Il faut qu'elle rompe la chaîne, Il faut qu'elle brise le silence..........

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Voici un très bon roman à suspens, un très bon thriller psychologique une histoire captivante semée de rebondissements qui vous tiennent en haleine (Pas de temps morts )Dès les premières pages, vos poumons se compriment et la douleur devient intense. L'adrénaline envahit votre organisme Vous cherchez votre respiration, au fur et à et à mesure que l'intrigue progresse.

Louise la grand- mère de Manon est un personnage très bien travaillé. Elle est le fil conducteur de cette saga familiale Elle tient toute une famille sous sa coupe, (en particulier Adèle qui vit, traumatisée sous son emprise totale). Odieuse, manipulatrice prête à tous les mensonges, elle porte tous ces non dits , renie son propre fils uniquement pour préserver l'intégrité , la réputation et la fortune d'une famille aristocrate.



Vous appréciez les histoires de famille. Besoin d'une lecture rytmée, Vous êtes tombés sur le roman qui saura répondre à toutes vos attentes,. je peux vous assurer que vous allez faire la connaissance d' une famille tourmentée qui vit en clan avec un siècle de retard.et qui cache dans ses placard un trop plein de mensonges plus atroces les uns que les autres. Les pactes , les marchés et les secrets constituent une véritable obsession dans cette famille. Pas de place pour les sentiments.


Lien : http://www.babelio.com/monpr..

J’ai entendu de nombreux échos plutôt positifs sur ce roman, et je dois dire que j’ai été très intriguée par ce livre avant même de l’avoir commencé ! En effet, la quatrième de couverture ne dit vraiment pas grand chose, elle est plutôt brève et très accrocheuse. De plus le titre m’a interpellé, j’aime les histoires de famille compliquée (enfin dans les romans, pas dans la vraie vie). Mais surtout, j’ai aimé la couverture sombre, avec cette touche de couleur rose, cette balançoire d’enfant seule perdue sur la photo.



Manon est issue d’une famille riche au patronyme compliqué. Bref elle est de la « haute » comme on dit. Cette famille est régentée par sa grand-mère, Louise, qui est très à cheval sur les principes. C’est un vrai tyran. La mère de Manon, Adèle est complètement sous la coupe de Louise, on dirait un petit agneau apeuré.



Le roman se compose tout d’abord d’un premier chapitre qui se déroule un an avant les faits. Manon est à la fête d’anniversaire de son amie Cécile. Elle sort à l’extérieur prendre l’air et rencontre un homme qui va l’attirer très fortement. Il est pourtant beaucoup plus âgé qu’elle, et surtout Manon est marié à Nicolas, qu’elle aime. Mais elle ne peut pas résister. Elle décide de le suivre, mais il ne se passera finalement rien, ils seront interrompus par les feux d’artifices de la fête voisine. Manon repartira gênée.



Un an plus tard, Nicolas est inquiet. Il n’a pas de nouvelles de Manon depuis plusieurs jours. Elle est bizarre depuis quelques temps. Ou est-elle ? Que lui est-il arrivé ? Il se décide à signaler sa disparition au commissariat. Les chapitres vont alors commencer à s’alterner, entre présent et ce qu’il s’est passé une semaine plus tôt.



Louise lors d’une soirée a appris un terrible secret sur sa famille, elle ne sait plus qui croire, et commence à mener son enquête auprès de sa mère et de sa grand-mère. Mais elle ne se doute pas encore de l’ampleur des mensonges qu’on lui a raconté depuis sa naissance.



Je peux vous dire que la famille de Manon cache de nombreuses choses qui sont loin d’être jolies. Les enfants de Louise sont complètement sous son emprise et le seul qui a essayé de s’en libérer, Thomas, l’oncle de Manon, s’en est mordu les doigts. Mais Louise est en fait elle-même sous l’emprise de ses vieilles croyances et de son propre mari. Elle est complètement rigide et souhaite plus que tout conserver les apparences quitte à sacrifier le bien être de ses propres enfants.



Ce roman est complètement addictif. Quand je l’ai commencé, au départ, j’ai trouvé le rythme assez lent, et j’ai eu un peu de mal à cerner où Séverine De La Croix voulait nous amener. Mais très rapidement, après une quarantaine de pages environ, j’ai été complètement happée par l’histoire. A chaque chapitre, les indices sont semés au compte-gouttes et c’est à nous lecteur de les assembler pour recomposer l’histoire de cette famille fortunée qui n’a pas que du sang propre sur les mains.



Les personnages sont intéressants, en particulier celui de Manon mais aussi de Louise. Ils sont très bien travaillés. Par contre, j’avais envie de secouer Adèle ! Elle se révèle être le vrai pantin de sa mère, et se laisse complètement manipuler. Mais en même temps, elle a été élevée avec des préceptes d’une autre époque, c’est donc complètement compréhensible.



L’ensemble de ce roman donne une histoire de famille très dérangeante et sombre qui cache dans ses placards plus de mensonges ou d’atrocités qu’il ne pouvait en contenir, en déterrer un, c’était les déterrer tous…



Complètement addictif !



Je remercie chaleureusement Les Editions Michel Lafon pour leur confiance.



Ce roman est disponible depuis le 6 novembre chez votre libraire.
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Ce livre n’aura pas fait long feu comme on dit. Je l’ai commencé dès réception, et l’ai lu quasiment d’une traite !



Manon est une femme d’une trentaine d’années qui vient d’une grande famille. Après deux jours sans nouvelles d’elle, et un comportement étrange les jours précédents sa disparition, son mari Nicolas se rend au commissariat. Il se heurte tout d’abord à des interlocuteurs qui s’investissent peu car tous d’avis que Manon est partie avec un autre homme.

Mais rapidement, l’histoire semble intriguer et les secrets de la famille aristocrate vont être révélés.



Les mensonges ne meurent jamais fut une très bonne lecture, j’ai adoré découvrir les secrets, les mensonges de cette famille en même temps que Manon.

Ce roman nous montre que les secrets sont lourds à porter, et qu’ils sont destructeurs. Il vaut parfois mieux affronter la vérité.



L’auteure nous montre aussi qu’il n’est pas facile de s’émanciper de ses proches, de ne plus être dirigé par un parent, et surtout ne plus suivre les habitudes familiales. Il faut parfois avoir une volonté de fer pour se faire comprendre et faire accepter nos choix auprès de ceux que l’on aime.



C’est un livre que je recommande, il se lit facilement et rapidement, l’histoire est bien tournée et donne envie d’en savoir toujours un peu plus.
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Voici revenu l’ami des tout-petits, le chat préféré des parents et la mascotte de votre dévouée chroniqueuse (si un jour vous le voyez en peluche, pensez à moi :D). Cette fois-ci, il veut devenir un viking pour récupérer ses terres. De quoi ? De qui ? D’un taureau qui a été mis en pâture dans le pré où Eusèbe avait caché un tas de sandwichs pour faire comme les chiens avec les nonos...Toute une aventure qui commence grâce à l’exposé du petit Théo devant sa classe.



Comme à l’accoutumé, Séverine de la Croix mélange amusement et apprentissage. Car non seulement elle prépare les petits à la joie de faire des exposés devant la classe (ça peut aider à motiver les plus timides), mais aussi à partir à l’aventure, en toute sécurité sans manipuler de couteaux tranchants, par exemple. Mais attention, mesdames et messieurs, le casque à cornes : c’est un mythe qui remonte aux opéras de Wagner, les vrais Vikings n’en avaient pas.



Quant au graphisme de Julien Flamand, en collaboration avec la coloriste Gabriella Sinopoli, c’est toujours un régal avec ce chaton très expressif et déluré, qui n’en manque pas une. Tout se lit sous ses moustaches de sorte que les plus petits peuvent participer à l’histoire en décrivant les émotions de leur héros. Alors, prêts ? Le défi est de reconnaître les autres animaux parmi tous ceux qui n'aiment pas faire comme tout le monde !
Lien : https://sambabd.net/2024/04/..

Premièrement , j'ai eu un énorme coup de cœur pour les illustrations ! Nous sommes plongés ,grâce à elles, dans un monde parallèle au notre , bercés à travers des couleurs froides à l'aquarelle .

Un roman graphique pour les jeunes au départ, mais les réflexions qu'il met en avant peuvent être totalement adéquat pour un adulte . En effet, ici on parle d'êtres chassés par les hommes en raisons de leur différence...

Une BD pleine d'humanité (ou plutôt de Mogaiité ;) ) qui nous emmène aux confins de la forêt afin de trouver des réponses sur l'existence de petits être.

Cette BD est une recherche , une recherche de sa mère pour la jeune Ayla , mais également une recherche de vérité et de bonheur !



Très hâte de découvrir la suite de leurs aventures !

Ce premier tome du Livre d’Ayla nous plonge dans un monde où la féérie et le monde réel se côtoient. Beaucoup d’informations sont délivrées à propos de la cosmogonie de cet univers et des différentes créatures (fées, elfes, korrigans, sirènes, mogaïs) qui veillent sur les espèces peuplant la Terre. On suit Ayla, une jeune fille fortement liée à cet univers par le biais de sa mère qui était une créature fantastique. Elle fait donc des rêves étranges et prémonitoires et semble avoir des aptitudes particulières. Ayla a été adoptée et vit au milieu des humains où elle aide dans les tâches du quotidien et démontre un fort potentiel pour tous ce qui est lié aux soins, aux herbes, etc. Mais à tout cela se mêle également le contexte de la sorcellerie et de la chasse aux sorcières, Ayla va être pourchassée et devoir s’enfuir.

L’histoire est très sympathique même si j’ai trouvé que l’introduction et la présentation de tous les éléments merveilleux arrivaient un peu comme un cheveu sur la soupe et cassaient le rythme de l’intrigue car l’ensemble manquait de fluidité. C’est un premier tome assez introductif qui prend son temps mais je l’ai trouvé divertissant. À voir ce que nous réserve le prochain tome qui j’espère apportera des réponses et plus d’actions. Le bestiaire est très mignon même si les échanges entre les différentes créatures et Ayla sont un peu trop simplistes à mon goût. Concernant le dessin, il est très agréable à l’œil avec notamment sa palette de couleurs douces et pastels. Les décors nocturnes aux teintes violettes et bleues sont particulièrement belles.

Un premier tome très introductif, l'histoire d'Ayla et le monde dans lequel elle évolue est tellement riche (peut-être trop), que la mise en contexte est très descriptive et assez complexe.

Ayla est une mogaï, dont la mère est morte peu de temps après lui avoir donné la vie, mais en les liant, toutefois, pour l'éternité par le prisme d'un sort.

Ayla vit aujourd'hui avec Jeanne qu'elle aide lorsque celle-ci assiste les femmes du village dans leur accouchement.

Mais voilà, en ces temps-là, les femmes ayant la connaissance des plantes et semblant avoir des pouvoirs spéciaux étaient considérés comme des sorcières et pourchassées par les hommes.

Ayla est bientôt obligée de fuir, elle part alors à la recherche de ses origines, de son peuple mais aussi à la rencontre des 5 espèces magiques : les fées, les elfes les korrigans, les sirènes et bien sûr les mogaïs.

Tout d'abord graphiquement, les dessins sont dans des teintes violettes, bleues ou vertes, et créent une atmosphère apaisante malgré tout. Et perso, j'adore la représentation des Korrigans, une espèce de capibaras bleu qui se tient sur 2 pattes.

Concernant l'histoire, j'ai eu du mal à mettre en place le contexte et les différents éléments, trop d'informations pour peu d'action, ce qui m'a laisseé sur ma faim et m'a quelque peu embrouillée, il manque de fluidité dans la mise en place de cette histoire qui pourtant ne manque pas d'intérêt.

Il faudra, je pense, avoir une vision d'ensemble de toute l'histoire pour pouvoir mieux apprécier cette lecture.

Ce qui me laisse aussi perplexe, c'est une BD destinée à un public jeunesse, or j'ai bien peur que la complexité qui en découle leur fasse abandonner leur lecture assez rapidement.

La rune des deux mondes, le premier tome du Livre d'Ayla, m'avait tout d'abord interpellée avec sa jolie couverture aux teintes bleu-nuit, le résumé avait achevé de me convaincre. C'est donc avec joie, et une certaine impatience, que je l'ai ouvert pour le lire.



Graphiquement, c'est beau ! Des teintes claires, beaucoup de pastel, de vert, et de paysages nocturnes lumineux, Violette Grabski a un trait doux très agréable.



Au niveau des thèmes, l'autrice, Séverine de la Croix, nous parle de chasse aux sorcières, de lien avec la nature et le vivant. Elle dénonce aussi les préjugés, les croyanes infondées et les discriminations.



Mais c'est aussi et surtout un récit initiatique que nous découvrons ici, celui d'Ayla, orpheline de Sahannah, tuée car soupçonnée d'être une sorcière. Une jeune femme qui, elle-même pourchassée, va partir en quête de ses racines magiques, en tentant de retrouver son peuple : les Mogaïs.



C'est tout un ensemble de créatures légendaires qui nous sont présentées ici : les fameux Mogaïs, les elfes, les Korrigans, les sirènes et les fées. Nous ne connaissons pas encore le fin mot de l'histoire, vu que ce n'est qu'un premier tome, mais le fond mythologique employé est très intéressant.



Sans être un coup de cœur, c'est tout de même un premier opus intrigant, qui pose les bases d'un univers fantasy bien sympathique. Je lirai avec plaisir la suite quand elle paraîtra.





Merci aux éditions Delcourt et à Babelio pour l'envoi !

BD reçue dans le cadre d’une masse critique privilégiée de Babelio, merci aux éditions Delcourt pour l’envoi !



Je trouvais que cette BD était vraiment pleine de promesses mais malheureusement, ce fut une belle déception… Tout d’abord, j’ai eu du mal avec tout ce qui est magique, l’autrice et l’illustratrice partent sur une base presque entièrement connue mais décident de changer pas mal de choses : je n’ai jamais vu des korrigans avec cet aspect-là, on change des mots du style Samhain en Samhuinn, des noms inconnus (en tout cas pour moi) au divinité alors qu’il y en a plein qui pourraient correspondre et beaucoup plus parler au lecteur,… Je ne vois vraiment pas l’intérêt de cela.



Dès le début de l’histoire, on prend le lecteur par la main et on lui explique tout, parfois avec trop de détails pour être sûr qu’il comprenne bien. Il y a aussi 2 petites pages explicatives qui n’ont pas grand intérêt surtout si le lectorat est constitué d’enfants ou adolescents. D’ailleurs je ne sais pas trop à qui il est destiné, parfois on a l’impression plus à des adultes, puis parfois à des enfants mais on se dit que c’est peut-être trop jeune donc adolescent ?



Je ne me suis pas du tout attachée aux personnages. J'avais comme une certaine distance en lisant et donc l'histoire ne m'a pas convaincue non plus. Je pense qu'on survole trop certaines choses et que ça part un peu trop dans différentes directions.



L’écriture est parfois très difficile à lire, on dirait un enfant qui a écrit. J’ai un peu l’impression de voir des pattes de mouches… Mais les illustrations sont assez jolies, moins mon style mais ça peut plaire. Les teintes assez pastel donnent une impression de douceur même si le texte ne l’est pas.



Vous l’avez compris, j’ai eu beaucoup de mal à ma lecture mais j’espère qu’il plaira quand même à d’autres…

Adelin est un génie qui n’aime pas exaucer les voeux ! Mais c’est compliqué quand chaque tout le monde ne cesse de lui demander d’exaucer des vœux. Il fait parfois preuve de maladresse et les vœux sont approximativement réussit.

Son rêve ? Partir en vacances, au soleil et ne plus exaucer de vœux. Mais chaque fois qu’il s’est caché, quelqu’un a toujours fini par le retrouver, et adieu les vacances !

Alors le génie décide de trouver un autre moyen pour exaucer les vœux afin qu’on lui fiche la paix !

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Avec Mia, nous adorons cette collection dont nous avons plusieurs tomes. Le graphisme est attrayant, joyeux et coloré et le texte fait rire et sourire les grands comme les petits enfants.

C’est toujours un plaisir de découvrir de nouveaux albums de cette collection !

Si vous ne connaissez pas encore ces albums, je vous conseille de les découvrir ! Ils mettront une pincée de joie dans votre quotidien !


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