Silène Edgar

Ce livre est écrit pas Silène Edgar et est paru en 2020. Il traîte de sujets tels que l'occupation soviétique en Lettonie et de la dictature ainsi que des liens compliqués entre une grand mère célèbre et sa petite fille. Dans cette histoire on découvre Emma une jeune collégienne et sa grand mère Mara, chanteuse célèbre d'Opéra qui s'est échappée de Lettonie à ses 18 ans. L'histoire se passe actuellement en Lettonie avec certains retours dans le temps lorsque Mara raconte son histoire à sa petite fille.

Le livre est très bien écrit, simple à comprendre avec des phrases fluides et bien construites. Il est très interessant avec beaucoup d'informations historiques, ce qui conviendrai à quelqu'un attiré par ce domaine, ce qui est mon cas. Il reste cepandant mystérieux dans certains passages ce qui reste un peu frustrant. Je recommande !



Noémie

Ce livre est écrit pas Silène Edgar et est paru en 2020. Il traîte de sujets tels que l'occupation soviétique en Lettonie et de la dictature ainsi que des liens compliqués entre une grand mère célèbre et sa petite fille. Dans cette histoire on découvre Emma une jeune collégienne et sa grand mère Mara, chanteuse célèbre d'Opéra qui s'est échappée de Lettonie à ses 18 ans. L'histoire se passe actuellement en Lettonie avec certains retours dans le temps lorsque Mara raconte son histoire à sa petite fille.

Le livre est très bien écrit, simple à comprendre avec des phrases fluides et bien construites. Il est très interessant avec beaucoup d'informations historiques, ce qui conviendrai à quelqu'un attiré par ce domaine, ce qui est mon cas. Il reste cepandant mystérieux dans certains passages ce qui reste un peu frustrant. Je recommande !



Noémie

Une superbe série de Premières Lectures ! Des chapitres courts, de grandes illustrations adorables et une intrigue autour de l’épanouissement et l’émancipation. Les personnages sont attachants et attendrissants et vivent dans un petit cocon merveilleux où il fait bon vivre. Mon fils et moi avons adoré ces adorables petites aventures, un régal !



Chaque tome est plus particulièrement centré sur un animal et les personnages secondaires font l’objet du tome suivant.



Les animaux de Mini-Bois sont extraordinairement minuscules et vivent paisiblement au cœur d’une immense forêt, à l’abri des hommes.



Dans « Le chemin des étoiles », Olive la mini-pipistrelle est trop jeune pour chasser les moustiques et sa maman trop occupée pour lui apprendre. Olive aimerait grimper au dessus de la conopée et admirer les étoiles. Sa maman ne tient pas sa promesse de l’y emmener et Olive s’y rend seule malgré les dangers de la nuit. Réalisera-t-elle son rêve ?


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Des chapitres courts, de grandes illustrations adorables et une intrigue autour de l'épanouissement et l'émancipation. Les personnages sont attachants et attendrissants et vivent dans un petit cocon merveilleux où il fait bon vivre. Nous avons adoré ces adorables petites aventures, un régal !



Chaque tome est plus particulièrement centré sur un animal et les personnages secondaires font l'objet du tome suivant.



Les animaux de Mini-Bois sont extraordinairement minuscules et vivent paisiblement au cœur d’une immense forêt, à l’abri des hommes.



Dans « le trésor du marais », Fusain le mini-raton laveur est en admiration devant les abeilles qu'il aimerait tant dessiner alors que son papa l'avait chargé de les surveiller. Lorsque Fusain apprend où trouver de belles couleurs pour embellir son dessin, il s'aventure jusqu'au marais mais le danger rôde partout pour un si petit animal. Fusain deviendra-t-il l'artiste épanoui qu'il aimerait être ?
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Des chapitres courts, de grandes illustrations adorables et une intrigue autour de l’épanouissement et l’émancipation. Les personnages sont attachants et attendrissants et vivent dans un petit cocon merveilleux où il fait bon vivre. Nous avons adoré ces adorables petites aventures, un régal !



Chaque tome est plus particulièrement centré sur un animal et les personnages secondaires font l’objet du tome suivant.



Les animaux de Mini-Bois sont extraordinairement minuscules et vivent paisiblement au cœur d’une immense forêt, à l’abri des hommes.



Dans « Le cookie empoisonné », Alise et Prune deux mini-loutres, jouent avec une coquille de noisette qui en roulant, les éloigne de leur foyer. Elles découvrent alors une alléchante miette de cookie et Prune désobéit en croquant dedans puis tombe malade. Alise trouvera-t-elle, si loin de ses parents, comment guérir sa sœur ?
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La Dame des murs de Silène Edgar et Paul Beorn.

Silène ou Sophie Claire Marie Ruhaud-Trouffier est professeure de lycée et à sorti une vingtaine de livres depuis 2010.

C’est l’histoire de Mara, une célèbre chanteuse d'opéra. Elle a une petite fille très curieuse qui s'appelle Emma. Elle veut en savoir plus sur l'histoire de sa famille. Elle va donc partir dans le pays natal de sa grand-mère : la Lettonie. Là-bas elle va faire des découvertes surprenantes et apprendre des secrets cachés par sa grand-mère depuis de nombreuses années.

J’ai aimé cette histoire, car elle m’a appris plein de faits historiques sur le mur de Berlin, mais il est vrais, que certains passages peuvent paraître longs par manque de rebondissement et d’action. Malgré cela, je garde de bons souvenirs de ma lecture.

Si je devais le noter je lui mettrais 16/20 car c’est un bon livre.

Je conseille ce livre à tous ceux qui aiment apprendre des faits historiques pendant leurs lectures, mais si vous préférez qu’il y ait tout le temps de l’action, je ne pense pas que cela vous plaise.

8848 mètres de Silène Edgar présente Mallory, quinze ans, qui se trouve avec son père au pied de l’Everest dont elle veut effectuer l’ascension. On pourrait s’attendre à une énième histoire qui mettrait en avant le défi personnel, l’accomplissement de soi dans un projet fou, la foi en ses rêves, le dépassement. Il sera bien sûr question de cela…et de bien d’autres choses encore tant ce sommet revêt ici, sous de nombreux aspects, un caractère bien plus symbolique. L’Everest n’est pas seulement le sommet du monde, il est le monde : « Le monde entier se retrouve ici. Le monde riche, en tout cas ». Le monde « se retrouve ici » et on le retrouve bien là. Dès les premières pages, l’histoire bouscule nos représentations habituelles de l’exploit physique d’un petit groupe vivant de palpitantes aventures montagnardes. Certes, nous découvrons de manière précise sur le terrain et dans des éléments parfois terre à terre toutes les étapes d’une ascension périlleuse. Mais à travers le regard de la jeune protagoniste, c’est d’emblée de l’économie du tourisme moderne qu’il s’agit, que ce soit dans son aspect financier, dans les embouteillages qu’il occasionne en ce haut lieu, dans la pollution qu’y génèrent les innombrables alpinistes. Une pollution plus générale d’ailleurs dont on voit les effets dans la couleur ou l’épaisseur de la neige elle-même. Le sommet du monde est aussi la somme de l’activité mondiale. Un sommet qui est le témoin d’une forme d’escalade générale que nous vivons tous, à laquelle nous participons ou assistons, impuissants. Impuissants ? Peut-être pas tant que ça comme tend à le montrer cet ouvrage que je vous invite vraiment à découvrir si ce n’est pas encore fait.

Livre reçu par Masse Critique. Nous avons ici un roman jeunesse qui affiche clairement son objectif : aider l'enfant à comprendre le point de vue d'un adulte, qui plus est un prof. Le lectorat-cible est un ou une jeune collégien.ne de 11 ou 12 ans, en classe de cinquième comme le personnage principal. Je l'ai proposé à mes deux enfants qui sont dans cette tranche d'âge et un peu en dessous, ils l'ont bien aimé même s'il est difficile de tirer d'eux des arguments plus spécifiques.

En ce qui me concerne j'ai eu un peu peur au début, toujours un peu le même défi de rendre réaliste l'expression d'un personnage enfant. Mais rapidement j'ai eu l'impression que les deux autrices trouvaient leurs marques et que ça allait mieux.

Les deux personnages principaux sont de sexe féminin mais ça n'empêche absolument pas à un lecteur masculin de s'identifier je pense. Et puis un échange collégienne / vieux prof ça aurait peut-être été gênant. Les changements de narrateur sont très clairement indiqués par un petit dessin c'est une bonne idée qui évitera de se perdre à la lecture.

Au final c'est relativement convenu mais ça ne dérange pas le lecteur enfant et je pense que le message passe bien : les profs aussi ont leurs problèmes, et ils ne peuvent pas vous aider pour les vôtres si vous ne leur parlez pas. En extrapolant ça pourrait même être valable pour les parents, qui sait ...

Ce livre s’appelle La Dame des Murs. Il a été écrit par l’auteure Silène Edgar avec la participation de Paul Beorn, il a été publié dans la maison d’édition Castelmore; Il a été publié en 2021.Concernant mon avis personnel j’ai bien aimé ce livre, pour plusieurs raisons. J’ai bien aimé ce livre car c’est un témoignage historique d’une période importante de l’Histoire. En effet le livre retrace le récit d’une adolescente intriguée par l’enfance de sa grand-mère Maria Galanta une chanteuse renommé venant de la Lituanie et fuyant la dictature. J’ai apprécié les détails précis des injustices et des problèmes. Le livre parle également des “murs” de ce monde. L’exemple choisi dans le livre et le mur de Berlin. Mais des lettres sont également présentes dans ce roman de plusieurs personnes, venant de tout coin du monde. Toutes ces personnes dénoncent les murs qui séparent le monde et qui empêchent la libre circulation des personnes. Je trouve que cela est touchant, réaliste et que l’on se met vraiment à la place des victimes de ces injustices. On est transporté dans des souvenirs. On sent que l’auteure veut vraiment nous faire parvenir un message, que ces murs séparent des gens, des familles, des couples, des amis et bien d’autres. Je pense que les problèmes abordés dans ce livre sont intemporels car encore présents aujourd’hui. C'est pour toutes ces raisons que ce livre m’a plu et touché.

Houcine LARAKI

Être livré à son passé ou bien être décidé à l'affronter !



C'est ce que vivra Mara, ancienne chanteuse d'opéra qui est une femme beaucoup trop occupée par sa vie personnelle et qui oublie malheureusement l'essentiel. En effet, Emma, petite fille, de cette célèbre chanteuse, n'a jamais construit de réel souvenir avec celle-ci. Cependant, le jour de son douzième anniversaire, Mara lui proposera un voyage en guise de présent dans le but de renouer les liens. Cependant, ce voyage se déroulera tout autrement que ce qu'elle imaginait.



Tout au long de cet ouvrage, l'autrice réalise un voyage dans le temps. A chaque instant, un mystère se résout, ce qui en dévoile davantage sur le personnage. Par la suite, cette autrice met en exergue l'amour que va développer Mara envers sa petite-fille. Malgré les apparences, cette grand-mère au coeur de pierre possède un coeur regorgeant d'amour et de bonté, qui a seulement été détruit par son passé. Un passé enfoui en elle mais Emma ne lâchera pas l'affaire pour le lui faire dévoiler.

J'ai particulièrement apprécié ce roman puisqu'il regroupe plusieurs domaines que j'affectionne, celui de l'enquête mais aussi celui de l'amour. En le lisant, il m'a fait prendre conscience de l'importance d'accepter son passé et de pouvoir en parler. Sans oublier, celle de se consacrer à ce qui est réellement important pour nous.



Le passage qui m'a particulièrement touchée est celui de la page 255, c'est la lettre qu'a écrite Joaquim à Mara lui racontant sa belle histoire d'amour avec sa bien-aimée Marlène. Je le trouve émouvant et me rappelle comment l'amour est si fort malgré de grands obstacles devant lui.

Dans ce titre nous faisons la connaissance d'Han,a déléguée de classe, qui fait son possible pour défendre sa meilleure amie qui risque le redoublement. Elle veut surtout la défendre face à Mme Morvant. Sauf que, le jour du conseil de classe, sans comprendre comment c’est possible, Hana et Mme Morvant échangent leurs corps. L’une doit découvrir le travail enseignant tandis que l’autre retrouve une vie ado…



J’aime le principe mais sincèrement j’ai trouvé le début un peu long, il m’a fallu du temps avant d’entrer dedans. Puis finalement, une fois l’histoire lancée et les personnages mis en place je me suis surprise à apprécier cette histoire.



J’ai adoré suivre Hana et Mme Morvant dans cette journée particulière. Elles se trouvent toutes deux démunies face à cette situation qui les dépasse, cependant, elles vont profiter de cette situation pour en apprendre plus l’une sur l’autre. Voilà une bonne façon de se questionner sur le quotidien des profs, le travail qu’ils ont à fournir mais également sur les comportements des élèves, chercher à savoir ce que peuvent cacher un comportement provocateur et des mauvais résultats.



L’une et l’autre vont s’entraider, se soutenir, évoluer. Elles tire chacunes des leçons de cette expérience et est bien décidée à faire bouger les choses.

En lisant ce titre j’ai le sentiment que les autrices connaissances bien le milieu de l’enseignement. Cette immersion dans le collège, avec les sujets abordés m’ont semblé particulièrement réalistes, voilà de quoi nous permettre d’apprécier encore plus ce récit.



Petit plus : les quelques références à la pop culture japonaise sont particulièrement agréables quand on aime l’univers des mangas. J’aime quand la littérature et le manga se rencontrent, ça me fait toujours sourire quand je vois que certains auteurs ont ces références.



Vous l’aurez compris, malgré un début compliqué, il s’agit finalement d’une lecture que j’ai adorée.

Je suis ravie d’avoir pu faire cette découverte. Je remercie les Éditions Syros et Babelio pour cet envoi.

Le livre dont je vais vous parler est la Dame des murs, il a été écrit en 2021 par Silène Edgar et Paul Beorn. Ce livre est un roman qui parle principalement d’histoire familiale et de l’Histoire d d’un pays. L’histoire se déroule de nos jours avec parfois des flashbacks chez certains personnages. Les personnages principaux sont Mara Galanta qui est une chanteuse d’opéra et grand-mère d’Emma, elle n’est pas très affectueuse mais au fur et à mesure de l’histoire, elle devient plus tendre avec sa petite fille ; Emma qui ne connaît pas beaucoup l’histoire de sa famille et qui veut savoir comment est le pays natal de sa grand-mère puis Diana la meilleure amie de Mara (qui se fâche avec elle pour des raisons inconnues). L’histoire commence quand Mara propose à Emma de lui offrir un voyage dans le pays de son choix pour son anniversaire. Emma va choisir le pays natal de sa grand-mère la Lettonie où Mara ne voulait plus jamais remettre les pieds sans jamais expliquer pourquoi.

J’ai aimé ce livre car on y parle d’Histoire et je trouve cela très intéressant, il y a une belle relation, certes naissante, mais belle entre Mara et Emma. Le récit est bien construit et l’histoire se termine bien. Pendant ma lecture, j’ai ressenti du doute envers certains personnages, du soulagement quand on apprend la vérité sur le passé de Mara, j’ai aimé lire ce livre, je le recommande aux personnes qui aiment lire et qui aiment l'Histoire j’ai passé un un excellent moment à le lire.

Théo O.

Nola est étudiante,

le confinement arrive et avec lui les fins de mois difficiles et le frigo vide. Heureusement, une amie lui parle de l'asso "Liens publics". Elle y trouve le soutien auquel elle n'osait plus croire. Elle y rencontre des gens qui comme elle vont se battre au moment où le local dans lequel est installée l'asso risque d'être vendu.

Indispensable. Récit choral autour de la solidarité, ce roman court saura réveiller chez chacun de nous la fibre qui donne envie d'agir et de participer à l'élaboration d'une société meilleure. Il n' y a pas à rougir de demander. L'entraide est nécessaire. Chacun peut faire sa part.

Nous sommes en 1942, et le jeune Sacha, 12 ans, apprend qu'il va exceptionnellement partir en vacances avec son petit frère Jacob. Tous deux sont accueillis par leur oncle Jean, en Bretagne, dans un manoir qui sert aussi de pension à d'étranges personnes. Les premiers jours sont compliqués, et Sacha a du mal à s'habituer à ce nouveau cadre, d'autant plus qu'il sent que les adultes lui cachent quelque chose. Heureusement, il se lie d'amitié avec Eléanore et Léandre, deux jumeaux avec qui il va enquêter.



J'ai découvert Silène Edgar avec l'excellent 14-14, qui nous plongeait en pleine Première Guerre mondiale, cette fois-ci nous suivons toute une famille pendant la Seconde. Nous sommes peu à peu immergés cette période sombre qu'est l'occupation nazie de la France et la mise en place de la déportation. À travers l'histoire de Sacha, le jeune lecteur pourra découvrir la vie à l'époque, les restrictions, les contrôles, les persécutions et les arrestations, l'angoisse des lendemains.



Sacha est un héros particulier. Naïf, il enchaîne les bêtises et les bourdes car les adultes, voulant lui éviter la peur, refusent de lui expliquer ce qu'il se passe réellement. C'est un adolescent têtu, qui finit par comprendre et mûrir, et dont la vie va totalement basculer en un été.



42 jours est roman agréable à lire, bien ficelé, dont l'intrigue se durcit petit à petit quand Sacha prend conscience de l'horreur et de l'injustice de la guerre. Le rythme s'accélère et les rebondissements s'enchaînent, et on ne lâche plus le livre tant qu'on ne connaît pas le dénouement. Si les thèmes abordés sont durs, cet ouvrage est un témoignage qui porte un beau message de solidarité et d'entraide, un hommage à toutes ces personnes qui ont su refuser l'inacceptable et se battre pour défendre leurs convictions.



Une très bonne lecture pour ma part !


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Mara est une célèbre chanteuse d'opéra à Paris. Elle est amenée à se rendre à Bordeaux, chez sa fille Héloïse. Là bas, elle fait la connaissance de sa petite fille de 14 ans, Emma, avec qui elle va être contrainte de passer une semaine de vacances en Lettonie. Mara cache de lourds secrets sur sa vie et son enfance en Lettonie, où elle a connu une dictature communiste. Emma cherche à en découvrir plus sur sa grand mère et son histoire mystérieuse.

Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre car j'ai trouvé que l'ajout du surnaturel et le côté fantastique n'étaient pas nécessaires et plutôt perturbants. En effet, cela contribuait à casser le rythme du récit. En revanche, c'est un livre qui permet d'en apprendre plus sur la dictature communiste qui était présente auparavant en Lettonie. On retrouve également des lettres écrites par Paul Beorn qui viennent rajouter un aspect mélancolique à l'histoire.

je ne pensai vraiment pas aimer se livre mais vue qu'il y a beaucoup de suspens et d'intrigue je l'ai vraiment bien aimer.

On s'attache vraiment bien à Emma.

On voit la vie du femme riche qui a commencé avec rien puis qui a tout se livre est aussi historique et ma appris plein de chose sur L'URSS.

En plus c'est une histoire vrai.

Il y a aussi une part de magie vraiment cool.

Il se lit rapidement et je vous le recommande fortement.

Tom Leroy

Parfois les projets collectifs partent d'une bonne intention mais le résultat n'est pas convaincant. Parfois les recueils présentent des nouvelles de qualité inégale. Et bien pas là! Les onze auteur·rice·s différent·es ont su créer une homogénéité de style et de sens donnant l'impression d'une seule et même histoire, tout en apportant chacun·e sa touche et sa sensibilité personnelles. Les héros des onze récits sont tous différents et pourtant si semblables dans leurs doutes et leurs espoirs... Et ils œuvrent autour d'une préoccupation commune: sauver l'association solidaire qui leur apporte tant au quotidien.



Ces étudiants sont en effet en situation précaire. Leurs parents ne peuvent pas prendre en charge la totalité des frais liés à leurs études et le confinement a fait perdre leur job à la plupart d'entre eux. On a tous vu à l'époque des reportages sur la situation critique de certain·es, complètement isolés dans leur minuscule chambre. Grâce à "Liens publics", les jeunes non seulement récupèrent de la nourriture mais sont aussi en mesure de maintenir un minimum de relation sociale (autrement que par zoom!). Etre écouté est aussi important que d'être nourri.



J'ai été touchée par Marwan, qui travaille comme gardien d'hôtel la nuit, victime de propos racistes dans la file d'attente des Restos du cœur ("Sale noir qui mange le pain des Français"). Marwan s'efforce de "me concentrer sur mon objectif. Ca a été tellement dur d'en arriver là"... C'est très dur également pour Célian qui a peur de sortir de chez lui... Depuis le confinement, il n'a pas remis un pied dehors ("Cet appartement est mon cocon") car "dehors, je ressentais l'obligation viscérale de me conforter aux attentes des Autres". Ils ont en effet beaucoup de pression, ces étudiants: trouver le moyen de financer leurs études, ne pas décevoir leurs parents qui se sacrifient, rester motivés malgré les cours à distance... Vita a complètement arrêté la danse: impossible de s'entraîner dans 17 mètres carré! On sent ces étudiants meurtris, déprimés. Comment garder courage dans ces conditions? Avec l'association, ils tentent de tenir grâce au "lien entre nous". Certains en sont même transformés, comme Théo le timide chanteur guitariste.



Espérance, la co-fondatrice de "Liens publics", est aussi une femme meurtrie. C'est une bonne idée d'apporter le point de vue des adultes, on comprend que les jeunes apportent autant à Espérance qu'elle leur apporte. Les adultes peuvent aussi être fragiles... comme le montre le personnage de Benjamin, qui œuvre aux côtés d'Espérance ("Si on avait pu en bouffer, des "non", on aurait nourri tout le quartier. Mais les "non", ça remplit pas les ventres, à la place, ça ronge les cœurs").

Victor, quant à lui, est un opposé pertinent aux étudiants de "Liens publics": il n'a pas de souci d'argent, mais son "masque d'insouciance" cache "un gars bouffé par le stress et incapable d'empathie". Et n'oublions pas le petit Yannis, grâce à qui les journalistes s'en mêlent!



Tout ce petit monde évolue dans des nouvelles courtes et dynamiques dans lesquelles les protagonistes changent tout en se croisant, jusqu'à une jolie fin où il n'est plus seulement questions de "liens publics" mais de "liens familiaux" et de "liens affectifs". Une réussite!
Lien : https://www.takalirsa.fr/au-..

❤️ Dans ce court roman, les histoires des différents auteur.rice.s mettent en exergue à quel point la crise sanitaire causée par l’épidémie de Covid 19 a impacté la vie des jeunes sur tous les plans : précarité financière, détresses émotionnelle et psychologique, solitude…



🧡 Des milliers d’étudiants ont perdu leurs travails, ont été séparés de leurs familles pendant les confinements, ont du s’inquiéter pour leurs proches sans pouvoir les aider, ont été privés du lien social tellement important pour leur santé mentale, tant de conséquences qui les ont frappés de plein fouet …



💛 Au nom de nos rêves est avant tout un roman collectif dont les droits d’auteur et une partie des bénéfices de la maison d’édition Scrineo sont renversés à l’association Linkee qui vient en aide aux personnes en situation de précarité en luttant contre le gaspillage alimentaire.



💚 Après les confinements dus à la pandémie qui ont anéanti les étudiants, ils ont commencé à distribuer des repas aux jeunes les plus précaires. Depuis 2020, 600 000 repas ont été distribués à plus de 15 000 étudiant.e.s.



💙 Les personnages m’ont beaucoup touchée et la plume des auteur.rice.s à la fois douce et profonde est agréable à lire. En bref c’est une très belle lecture qui donne beaucoup d’espoir pour un avenir plus tolérant et altruiste.



Je ne peux que vous conseiller d’acheter ce livre dès sa sortie pour à la fois découvrir cette pépite et soutenir l’association Linkee.
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Une histoire simple, sympathique qui plaira aux jeunes lecteurs entre 10 et 12 ans. Hanna, une élève de 5ème plutôt brillante et bien dans sa peau, veut aider sa meilleure amie à ne pas redoubler.

Mme Morvant, professeure de français, nouvelle au collège, n'a pas d'amis et surtout souhaite réussir son entretien avec le chef d'établissement afin de conserver sa place au collège. Toutes deux, par un curieux phénomène, vont échanger leur corps ....Est-ce un signe afin qu'elles s'entraident l'une et l'autre ?

Un récit qui se lit d'une traite, facile à lire mais sans grande originalité. Les personnages sont attachants, mais la fin n'est pas surprenante.

Emma, une jeune adolescente, reçoit pour son anniversaire, de la part de sa grand-mère, un voyage de son choix. Elle décide d’aller en Lettonie, le pays natal de sa mamie. La jeune fille va y découvrir les plus grands secrets et l’enfance de sa grand-mère. Ce voyage va beaucoup les rapprocher et leur permettre de mieux se comprendre.



J’ai été emportée par la facette historique et le voyage de ce roman. Je me suis attachée et identifiée au personnage d’Emma, la jeune fille, dès les premières lignes, et peu à peu au personnage de sa grand-mère qui devient de plus en plus chaleureuse avec sa petite fille. Elle est froide et distante au départ. Elles ont ensuite une relation fusionnelle et cela m’a enchantée. Je recommande la lecture de ce livre qui fait voyager et rêver.

Elsa