Sophie Chabanel

Très agréable surprise que ce roman policier très bien documenté sur l’environnement du crime à savoir les expositions de corps humains « body worlds » and co.

Un savant mélange d’enquête policière, et de dénonciation de d’expositions qui ne devraient pas avoir cours et des pratiques douteuses et glauques qui en découlent (ou pourraient en découler ).

Une commissaire hors pair: sauvage, libre, indépendante et attachante un adjoint militant sur toutes les causes actuelles, des chats taquins voire insupportables , une enquête bien ficelée : un vrai bon moment.

Merci à Babelio pour cette découverte..... connaissais pas Sophie Chabanel , L'emprise du chat m'a réconcilié avec les chats ... Ruru et Mandela....

L'auteur avec beaucoup d'impertinence réussit a nous embarqué dans ce polar humoristique où la Commissaire Romano très libérée accompagnée de son adjoint Tellier psychorigide, enquêtent sur l'empoisonnemt de la jeune Léa .... enquête qui déboule sur la Suisse.... Exposition macabre..... trafique de corps humains , mafia chinoise , russe ...

N'oublions pas Anne-Lise, Jean-Gonzague " j'adore ce prénom " et les autres côté famille (rire😜)

Histoire pas très crédible , c'est bien écrit et je me suis laissée aller!

La commissaire Romano nous emmène avec humour et piquant dans une enquête sur la mort du patron désillusionné d'un bar à chat. Sa femme quant à elle semble plus préoccupée par la perte de son chat que celle de son mari. Romano à la manière de capitaine Marleau quoique plus coquine, tente avec son collègue de trouver les failles de l'esprit de la victime à travers son enfance et ses fréquentations dont un ancien ami devenu célèbre à la TV qui rend dada la commissaire...



Une affaire haute en humour, qui ne manque pas de légerté et et de confessions en tous genres !

La commissaire Romano et son équipe sont appelés sur les lieux d'une cérémonie : l'homme qui s'est vu remettre la Légion d'honneur s'est effondré pendant son discours. Il aurait fait une réaction allergique et ses piqûres d'adrénaline n'auraient pas fonctionné.



Après vérification... Il s'agit d'un meurtre. Mais qui, alors, aurait empoisonné un banquier reconverti ? Et pourquoi ?



Romano, Clément et Tellier mènent l'enquête, et entre temps Romano apprend que son chat, en plus d'avoir un léger surpoids, fait une dépression.



Encore un roman léger et intéressant où la personnage principale et son caractère bien trempé égaie nos soirées ! Toujours un humour ni trop ni trop peu entre les pensées de Romano et les réflexions de Tellier, des rebondissements et une enquête pas si simple, avec une fin bien sentie. La suite est à la hauteur du premier volume, déjà très bien !

Le style est agréable à lire, les différents protagonistes sympa et bien campés même le chat. Par contre, l'intrigue policière n'est pas bien passionnante.

Ne vous laissez pas leurrer par ce joli minois et ce titre chers lecteurs car derrière cela se cache en réalité un polar.

Un ancien treader récompensé de la légion d'honneur succombe après un choc anaphylactique lors de la cérémonie à cause d'une allergie aux crevettes. Or point de crevettes lors du buffet... C'est alors que nous découvrons le commissaire Romano et son équipe.

Dès les premières pages, j'ai pu vite ressentir que l'ambiance n'était pas à l'hémoglobine. Et je ne vais pas vous mentir, l'intrigue policière n'est pas des plus originales.

Mais ce qui fait la grande force de ce roman sont ces personnages attachants et son côté léger (malgré qu'il y est un mort).

J'ai donc pu faire la découverte de Romano chef féministe et son chat dépressif Ruru, Tellier, son adjoint défendeur de toutes les causes sociales et Clément, petit jeune timide et élève modèle.

Un trio loufoque avec des dialogues pleins d'humour.

Une lecture à lire pour se divertir qui change des polars sanglants

Tout d'abord je tiens à remercier Babelio et les Éditions du Seuil pour cette lecture dans le cadre d'une opération Masse Critique.



Dans le Nord de la France, à Lille, a eu lieu un crime horrible : sur le sol d'un bar à chat à l'ambiance vaguement japonaise git Nicolas Peyrard. Si tout porte à croire à un suicide, l'attitude de la veuve, plus attristée par la disparition de son chat fétiche que de son mari, poussent la commissaire Romano et son adjoint, le lieutenant Tellier à enquêter.



La force de ce roman ... les personnages ! Tous plus déjantés les uns que les autres, le lecteur navigue entre une commissaire célibataire et fière de l'être, un lieutenant excentrique accro au politiquement non-correct, deux veuves peu démonstratives suite à leur perte ou encore un animateur de talk-show d'actualités un peu trop arrogant mais terriblement séduisant. Ils sont à la fois des clichés tout en étant uniques en leurs genres.



De même, ce roman est l'occasion de découvrir Lille mais aussi Bailleul, ville à la frontière belge, le tout sur fond de magouille politique et avec son histoire fortement marquée par la Première guerre mondiale.

On se prend vraiment au jeu. Suicide ou meurtre ? On cherche le coupable si coupable il y a ( et le chat ! ) avec la commissaire Romano.



La plume de Sophie Chabanel est tordante avec un trait d'humour même dans les situations critiques. J'ai souri plus d'une fois à la lecture de ce livre que je recommande chaudement. Je crois bien que je vais me laisser tenter par la suite !

Quoi de mieux qu’une belle lecture rafraichissante pour accompagner l’air du printemps ? Sophie Chabanel est bien dans l’air du temps. Cocktail et crevettes sont au rendez-vous ainsi qu’une félin capricieux. Nous sommes ravis de cette lecture divertissante et enthousiasmante sans en retenir, toutefois, une impression grandiloquente !

A lire pour se divertir.

Grande inconditionnelle des chats, c'est tout naturellement que cet ouvrage m'a attiré.

La griffe du chat, comme son titre l'indique est basé sur une histoire de chat, mais pas que.

Le décès de son maitre emmène Romano a enquêter : suicide ou meurtre ?

Ce roman, un vrai polar du genre nous fait sourire via ses anecdotes plutôt amusante.

La lecture est facile, rapide, attachante, mais ce n'a pas été un coup de coeur pour ma part, dommage.

C'est un livre intéressant, par la diversité des personnages qui comme dans beaucoup de séries policières, ont des particularités que n'ont pas les gens de tous les jours.

J'ai bien aimé, mais sans plus.

Un livre très drôle, une enquête bien menée, super!

Bonjour ,j ai fini ce livre ,je le trouve super chouette car je retrouve les personnages principaux (Romano-Tellier) a qui je me suis attaché.On en apprends plus sur eux .L intrigue est bien construite et le sujet autour de la mort est super intéressant. On voyage un peu ,on découvre un peu la Suisse .Bref j ai adoré et je vous laisse le découvrir.

Le titre évocateur des deux histoires de ce livre ne reflètent absolument pas les histoires. Ces chats sont seulement un accessoire. Livres agréables à lire tout de même mais il m a été facile de repérer les auteurs des crimes. Dommage le suspense n a pas duré.

Bonjour ,je viens de finir ce livre et je suis partagé entre 2 sentiments.Tout d abord l intrigue est intéressante en soi mais un peu longue a mon avis .Et là deuxième chose ,je n ai pas apprécié la façon dans le déroulement amene le tueur (trop rapide et un peu bâclé a mon avis ).Les 2 personnages principaux sont attachants .

Sophie Chabanel, La tragédie du chat, @editionsduseuil , collection "Cadre noir", 2022, 296 pages.



Ce bouquin répond à quelques critères du "cosy mystery" ou "mystère douillet", sous catégorie du polar née au Royaume Uni.

- D'abord, pas de sang, pas de sexe trop explicite. Pas de fusillade, pas de suspense insoutenable.

- L'enquête est menée par une femme.

- L'illustration de couverture fait penser à un livre jeunesse.



Ce qui ne répond pas au cosy mystery :

- L'enquête ne se déroule pas à la campagne, mais à Lille.

- L'enquêtrice n'est pas amateure, mais commissaire.



Le crime est propre : dans un théâtre de Lille, pendant une représentation des Suppliantes d'Eschyle, un décor saboté tombe des cintres et tue l'acteur principal. Ce qui est intéressant dans ce livre, c'est la piste suivie par la commissaire : celle des radicaux antiracistes qui tentent de faire annuler un spectacle où des acteurs sont grimés pour représenter des noirs, comme à l'époque d'Eschyle. Soupçons de "blackfaces"... La zone grise de la "cancel culture" est bien explorée et apporte un éclairage qui pique la curiosité. La réflexion est bien poussée, des débats s'installent au sein de l'équipe d'investigation. Puis une autre piste se dégage : la victime luttait contre l'extrême droite, les milieux du RN deviennent suspects.

Le livre est historiquement bien documenté sur ces sujets, c'est vraiment intéressant !



Cela reste un cosy mystery, une lecture plaisante, un peu plate, qui ne restera pas en mémoire.



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On s'éloigne franchement de mes lectures habituelles avec cet essai. J'ai plutôt tendance à me plonger dans des romans aux univers alternatifs fantastiques pour fuir une réalité bien trop complexe et, disons-le tout net : globalement pessimiste. Les problèmes économiques, géo-politiques et, surtout, environnementaux pèsent lourd sur le moral des troupes, et je ne suis pas la dernière à être frappée d'angoisse climatique. C'est donc tout naturellement que j'ai eu envie de trouver dans ce livre un peu de réconfort dans ce monde de brutes.



J'ai lu ce livre en pensant très fort à ma meilleure amie, de plus en plus touchée par l'état d'alerte perpétuel de notre génération, et à mon petit frère, avec qui je parlais dernièrement de la si sentencieuse Horloge de l'Apocalypse en tentant de le convaincre que les scientifiques ne peuvent sans doute tout prédire SAUF l'imprévisibilité. Comme la réapparition d'une espèce disparue par exemple.



La préface de Yann Arthus-Bertrand offre une belle entrée en matière à cet essai qui se veut résolument – mais raisonnablement – optimiste. Pour nous informer, plus que nous convaincre, que les bonnes nouvelles fleurissent encore sous le terreau du pessimisme médiatique, Sophie Chabanel a fait d'amples recherches, collecté des tas de données, et rencontré les artisans du changement pour le bon. Parce que, oui : des bonnes nouvelles, croyez-le ou non, il y en a. Et elles font chaud au coeur.



J'ai pris beaucoup de temps pour le lire car il foisonne de données (vérifiées et vérifiables, comme en attestent les multiples notes compilées en fin d'ouvrage). J'ai parfois un peu galéré à accrocher aux explications trop chiffrées, comme par exemple pour évoquer la première zone à très faibles émissions au monde à... Londres, ou encore le boom du vélo en France suite à la crise sanitaire. le chapitre sur la gestion plus durable du plastique, qui connaît aussi de très belles avancées partout dans le monde, s'est révélé lui aussi un peu fastidieux mais, au détour des données, il y a toujours l'illustration de réussites très motivantes.



J'ai été plus sensible à l'essor de l'agroforesterie, qui fait des émules, à la belle histoire des abeilles au secours des éléphants, du modèle méditerranéen qui poursuit son accompagnement tangible de l'écosystème côtier (qui se porte bien !) ou encore au chapitre qui revient sur la révolution climatique induite par Schwarzy en Californie.



J'ai beaucoup aimé la structure du livre, découpé en dossiers, agrémentés d'entretiens avec les spécialistes, et toujours résumé en fin de chapitre avec les points forts à retenir.



Par les temps qui courent, l'initiative de Sophie Chabanel de regonfler le moral des troupes à travers ce bel état des lieux des actions déjà engagées en faveur de la planète se doit d'être largement mise en avant. Car il vient clairement en contre-pied de la tendance alarmiste entretenue par la majorité des médias. Les bonnes nouvelles, c'est plus galvanisants mais moins vendeur que le catastrophisme apparemment. Pourtant, plutôt que de persuader le monde qu'il est déjà foutu – ce qui revient peu ou prou à dire : «autant finir de tout péter, les gars, de toute façon c'est plié» – il devient tout aussi urgent d'agir que de montrer à tous que les résultats obtenus et à venir dépassent souvent les prévisions escomptées. Les gens dont il est question dans ce livre ont accompli d'authentiques petits miracles. En gardant à l'esprit qu'avec juste un petit coup de pouce, la nature démontre d'elle-même une force de résilience bien supérieure à la notre.



Bonnes nouvelles de la planète est à mettre entre toutes les mains – enfin, peut-être pas celles des climatosceptiques ! Parce que les choses vont bien, par endroits, par moments. Et elles continueront d'aller mieux, tant que nous refuserons de baisser les bras.



Je remercie Babelio et les éditions le Pommier pour l'envoi de ce livre qui met du baume au coeur !

Première lecture et honnêtement, je trouve ce pollar trés bien fait. Cela me rapelle un peu Fred Vardas mais avec le cinisme en plus et un humour plus rude que j'apprécie assez. Elle connait son sujet et l'intrigue est bien menée. J'ai pris le livre à cause du titre: j'ai un chat que j'adore et ai découvert un auteur. Bon résultat finalement..

Alors que j'ai adoré la seconde enquête, cette troisième ne m'a pas laissé le même goût..l'histoire m'a non seulement moins intéressée mais j'ai en plus trouvé que l'auteur nous tient moins en haleine..je me laisse un peu de temps avant de lire le dernier

Je l'ai terminé... en passant des pages.



L'histoire policière est pas mal, mais tous les à côté sont d'un ennui ! J'ai trouvé les descriptions longues et sans intérêt. Très franchement, je m'en fiche de la marque de la voiture que la commissaire conduit et encore moins du nombre de kilomètres qu'elle a au compteur ! L'humour promit n'est sans doute pas mon humour donc pas de sourire à la lecture. Encore une fois, et je dis encore une fois car j'ai lu un autre policier "Le chat du bibliothécaire", pas de chat au centre de l'intrigue comme je l'espérais. En plus, les commentaires ne sont pas élogieux à leur sujet. Mais peut-être s'agissait-il d'ironies dû à l'humour auquel je ne suis pas sensible ??



Les personnages sont du genre blasé. Ils m'ont foutu le cafard plutôt que de me détendre et de jouer avec eux comme les policiers que j'ai l'habitude de lire. La commissaire Romano est déplaisante à suivre et ne pense qu'à séduire. Tellier s'emporte pour un rien contre la société d'aujourd'hui. S'il n'a pas tort, ce n'est pas plaisant de lire sans arrêt des avis arrêtés sur tous les sujets sociaux car je choisis un livre pour me détendre et là, clairement, je l'ai mal choisi. Clément, Sanchez, les Peyrard et les autres, aucun pour rattraper l'autre.



Je déteste plomber un livre comme ça, car je sais qu'il y a du travail derrière. Un policier doit être difficile et éprouvant à écrire, mais je me suis ennuyée. A aucun moment, je ne me suis amusée ou détendue. Sans compter que l'intrigue révèle le mystère en 2 pages. Un chapitre exactement pour que la commissaire aie une révélation et que tous les éléments d'un seul coup trouvent une explication. Le lecteur ne peut pas deviner sans que la narration apporte les éléments. Le style d'écriture est à l'image du récit. Blasée. Et les références ne m'ont pas touché. Dommage.



En bref, grosse déception sur ce livre. Deux ou trois citations intéressantes. Je m'attendais à lire un récit où le chat aurait sa part belle, il n'en est pas question. Un chat disparait mais il n'influe en rien l'intrigue à mon sens. Donc ne vous fiez ni à la couverture, ni à la promesse éditoriale... 2 fois que j'ai ce coup-là... J'espère que la 3e fois sera la bonne !

C'est frais , c'est plein d'humour, c'est dynamique, c'est bien écrit, c'est un polar qui nous emmène dans un monde original et un peu gore de l'écorché vif. Bref ca se lit "comme des petits pains". On a hâte de suivre de nouvelles aventures de cette commissaire cash , affublée de son adjoint coincé dans ses convictions philosophiques.................................................................................................................................................................................