"Prenez un grip" et "Donnez-moi un break!",!
Autrement dit : "Ressaisissez vous" et "fichez moi la paix". C'est en ces termes (et en franglais), que le premier ministre britannique Boris Johnson a appelé la France, le 22/09/21. France 24.
- FOUTEZ MOI LA PAIX !? ( foutre de Dieu....)
L'auteur, un anglais "of course" tire sur les Français.
-"Tirez les premiers, messieurs les anglais!"
Sur les chasseurs; -" Ils sont connus pour tirer sur tout ce qui bouge. Chats, chiens, promeneurs, et surtout autres chasseurs. Alors maintenant ils se mettent en orange. Et puis c'est plus facile de les retrouver, en pleine forêt, quand ils s'écroulent en plein coma éthylique."
Sur Mai 68:
"En mai 1968, les étudiants arrachèrent les pavés dans les rues de Paris et bombardèrent la police pour faire tomber le gouvernement ultraconservateur de Charles de Gaulle.
Les étudiants lanceurs de pavés sont devenus des patrons réactionnaires, la e politique reste la e politique et le président en exercice se dit toujours gaulliste. le seul vrai changement, c'est qu'à Paris, on a goudronné les pavés.. Reste que mai est un mois important dans le calendrier français. Parce que si l'année française commence en septembre, c'est en mai qu'elle finit."
'Sur la fête du travail ou la boisson nationale ( comme si les anglais n'étaient pas bourrés, en sortant du pub) : "Tout le monde était en congé le 1er Mai, ironiquement baptisé "fête du travail", comme si, pour la "fête du vin", il était interdit de boire."
Sur Paris et les chiens: "Demandez à un parisien comment il se débrouille, contre toute attente, pour garder les pieds propres. Il l'ignore. Cela fait partie de l'instinct du Parisien."
Sur les Françaises supposées libertines:
I have a frog in my throat ou J'ai une grenouille dans la gorge !
I beg your pardon, mais je ne parle pas anglais:)
"Christine semblait l'ignorer, mais les Britanniques ont parcouru un énorme chemin depuis les romans de Jane Austen, dont les héroïnes pouvaient accepter une promenade en forêt sans être sûres de sa faire sauter.
Même Lady di l'a fait, contre un arbre, avec son professeur de cheval, non ? Et là il n'y avait pas trace de gentleman ni dans ma tête, ni dans mon boxer short."
- "Pardonne moi, mon Anglais, dit-elle affectueusement, et elle me planta dans les toilettes des femmes, tout seul avec mon inutile érection. Encore heureux que les érections soient biodégradables, pensais je, parce que j'en gaspille un paquet.
-Espèce d'enfoiré Mr Darcy, lançai-je au plafond. Et toi aussi Hugh Grant.
A force de trimballer partout votre sacré politesse, comment voulez vous qu'un Anglais ait encore ses chances ?"
C'est for me, for me, formidable! (Merci Charles, pas De Gaulle, mais Aznavour!)
Il y a aussi son trait d'humeur- humour sur les grèves en France:
"Puisqu'en France, la grève est une sorte de fête folklorique, tous décidèrent de se joindre à l'orchestre..." les étireurs de baguettes...et toutes les branches imaginables de l'industrie française".
Vive le Brexit ? "Come with us paint the town red", dans la perfide Albion!...
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Mais que c'est drôle ! So funny !!!
Ce sympathique britannique décortique les petites manies bien françaises, sous l’œil de la surprise et de l'étonnement plus que de la moquerie.
Peut-être que ma condition de binationale me fait d'autant plus apprécier ce livre que je me retrouve souvent accusée d'être trop française ici (et l'inverse est aussi vrai là bas, difficile de savoir sur quel pied danser !) et je réponds souvent 'Ah si vous saviez ! Moi c'est rien !'.
Je craignais au départ que ce soit une succession de clichés, tout au plus des anecdotes qui s’enchaînent. Mais la subtilité et l'humour de l'auteur nous font glisser dans le roman. Un très bon moment !
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Une vision gentiment critique des Français et de leurs travers : travailler de septembre à mai, faire la grève à tout bout de champ, marcher dans les crottes de chien (d'où le titre français!), prendre 2h à midi pour déjeuner, faire des réunions sans jamais prendre aucune décision, chercher un appartement à Paris, acheter une maison de campagne... La perfide Albion a encore frappé !
Pas vraiment de la grande littérature, mais c'est néanmoins distrayant et ne manque pas d'une certaine lucidité...
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Un petit bijou !!
Paul West un anglais fraichement débarqué à Paris nous fait découvrir le mode de vie à la française. Avec un humour décalé et très anglais, Paul traverse avec plus ou moins de facilité le "folklore" français. Rien ne lui sera épargné : l'administration, les grèves, la façon de concevoir le travail, la cuisine, les femmes... tout y passe.
Même si la critique porte principalement sur les moeurs françaises, les Anglais ont le droit aussi à leur par de critique et cliché au travers du regard des personnages français.
Certes, on est loin des hautes oeuvres de la littérature, mais il mérite d'être lu au moins une fois. À conseiller à tous les Français et Anglais ayant le sens de l'humour, enfin suffisamment pour ne pas se vexer à l'apparition du premier cliché tourné en dérision.
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Dans cet ouvrage très complet et parfaitement documenté, Stephen Clarke met à mal un millénaire de préjugés français à l'encontre de ses compatriotes britanniques et de croyances françaises à propos de la France elle-même. Quelques exemples:
- les Français sont très fiers de Guillaume le Conquérant, ce noble français qui, en 1066, s'est emparé de la couronne d'Angleterre...
... mais Guillaume était Normand ce qui, au XIe siècle, n'était pas tout à fait la même chose que Français. D'ailleurs, le Conquérant détestait les Français qui avaient tendance à se moquer de sa bâtardise.
- les Anglais ont brûlé Jeanne d'Arc pour se venger de cette héroïne française qui allait leur faire perdre la Guerre de Cent Ans...
... oui, mais les Français les ont laissés faire, trop heureux de voir de voir les Anglais se charger du sale boulot à leur place! Car cette pauvre Jeanne devenait quelque peu gênante pour les Français.
- les Anglais ont empoisonné Napoléon Bonaparte alors que l'ancien Empereur se trouvait sous leur garde à Sainte-Hélène...
...archi-faux! L'autopsie du cadavre de Napoléon a révélé qu'il était mort d'un cancer de l'estomac.
Comique mais pus profond qu'il n'y paraît, 1000 years of annoying the French amène parfois des réflexions intéressantes chez le lecteur.
Même si l'on a parfois du mal à croire Stephen Clarke sur parole, comme lorsqu'il affirme que le Champagne est une création britannique que Dom Pérignon s'est contenté de reprendre à son compte, la plupart de ses théories semblent parfaitement plausibles.
Et si l'on finit par plaindre les Français de leur millénaire de déboires et d'humiliations infligés par les Anglais, on ne peut s'empêcher de penser que leur entêtement à considérer les Anglais comme des ennemis héréditaires leur a plus d'une fois porté préjudice. Car, au fil des pages, on fait connaissance avec non pas une, mais avec deux grandes nations; la France n'ayant rien à envier à la Grande-Bretagne. Il vient même un moment où l'on se demande ce que des deux grands pays auraient pu réaliser s'ils s'étaient alliés au lieu de se haïr. Au vu de leur puissance à une certaine époque, l'Europe entière serait peut-être franco-anglaise à l'heure actuelle...
Mais voilà, les inimitiés et la méfiance ont été plus fortes que la diplomatie et, aujourd'hui encore d'après Clarke, les deux pays continuent à se détester cordialement.
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Tu en as peut-être entendu parlé il y a quelques temps, mais sous le titre A Year in the Merde. Ce bouquin a une histoire géniale, initialement, personne ne voulait l'éditer en Angleterre, mais le bouche à oreille des mangeurs de grenouille en à fait un carton au pays (alors que l'on en prend plein la poire).
A ce moment seulement, les buveurs de thé s'y sont intéressé, et le voilà parti pour un deuxième carton avant de revenir, traduit cette fois, de notre côté de la Manche.
J'ai adoré ce livre, mais attention il faut avoir un sérieux sens de l'autodérision si tu es français(e), sinon tu pourrais être vexé(e) et tenter de retrouver Stephen Clarke pour l'empaler sur une pic et de lui faire faire le tour de la ville en sautant à cloche-pied (un brin sadique, je l'avoues). Personnellement, j'avoues avoir adhéré à ces clichés, ri de bon coeur, et dévoré le livre.
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Les considérations d'un Anglais venu passer un an à Paris, sur la France, les Français et leur curieuse façon de vivre.
Le thème n'est pas nouveau, entre Les carnets du major Thomson ou Une année en Provence, d'autres auteurs ont déjà exploité le filon. Et personnellement, en ma qualité d'expatriée, j'ai droit moi aussi à mon lot de considérations plus ou moins aimables sur mon pays et mes compatriotes quand je dis que je suis Française.
J'ai donc reconnu certaines réflexions du personnage principal, j'ai souvent souri dans la première partie, j'ai trouvé la deuxième partie plus faible.
Ce livre ne plaira pas à tout le monde, car le ton parfois condescendant de l'auteur peut agacer, mais il a le mérite de se lire facilement.
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Ce livre est idéal pour les transports en commun, si on assume quelques éclats de rires aussi discrets que possible (il ne faudrait pas effrayer mes camarades de galère).
J'ai suffisamment d'humour pour ne pas prendre ombrage des répliques parfois assassines mais souvent véridiques sur les moeurs des françaises et en particuliers des parisien(ne)s. Dans ce volume, Stephen Clarke, fait vivre un véritable enfer amoureux à son héros, Paul West. Paul devra naviguer entre les personnalités des françaises oh combien différentes de celles des anglaises, en particuliers des londonniennes; un choc des cultures qui n'est ni en faveur des françaises, ni des anglaises, mais certainement traumatisant pour un anglais naviguant entre les deux mondes.
C'est un roman proche d'une analyse sociologique, on observe à travers les yeux de notre héros les moeurs des dames ou ladies.
Moi, j'aime à 100%, car si la réplique peut être dure, on sent derrière une affection sincère (enfin j'espère) pour la France et son peuple, et dans tous les cas tout le monde maudit l'administration avec toute cette paperasse.
Qui n'a jamais cotoyé le snobisme des vacanciers se prenant pour des locaux et pestant sur les ouvertements touristes ?
Qui n'a jamais eu un serveur parisien acariatre ?
Qui n'a jamais connu de déboires sentimentaux suite à des incompréhensions avec le beau sexe (50% de la population regroupant les femmes hétéro et les hommes homo)?
Et pour les parisiens qui répondent de temps en temps aux touristes perdus, peut-être que cela rappellera quelques souvenirs :
-Pouvez-vous m'indiquer l'Opéra ? (De façon plus ou moins clair en pointant généralement un guide touristique ou un carte - j'en récupère tous les étés devant l'Opéra Comique alors qu'il cherche l'avenue de l'Opéra et l'Opéra Garnier)
- Comique ? Garnier ? Bastille ?
- ...
Ou encore
- Je veux aller Charles-de-gaulle
- Etoile ou Roissy (C'est-à-dire Métro ou Aéroport ?)
- ... Je veux aller Charle-de-gaulle
Ou encore, mais beaucoup plus rare :
- Clichy ?
- Rue de Clichy ? Place de Clichy ? Avenue de Clichy ? Boulevard de Clichy ? Porte de Clichy ? ou ville de Clichy ? (Ouais, on s'y perd, Généralement, c'est la place, mais c'est tellement drôle)
- ...
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God save la France est un livre très drôle qui se joue des clichés sur la France et les Français et plus particulièrement des Parisiens.
Tous les stéréotypes sont égrenés avec humour : l'amabilité des garçons de café, la propreté des trottoirs, la difficulté de se loger, les réunions de travail inutiles, l'humour français incompréhensible, les grèves qui succèdent aux grèves...
Il vaut mieux savoir se moquer de soi et de ses compatriotes pour apprécier ce livre, sans compter qu'il s'essouffle dans sa seconde partie. Ce n'est donc pas de la grande littérature mais c'est plaisant et divertissant.
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"Nous n'avons pas le même humour" : voici ce qui pourrait expliquer pourquoi certains adorent alors que d'autres non. J'ai souris, un peu, parfois, mais ris, jamais. Ce livre n'est pas une caricature sur le Français moyen mais sur le Parisien qui n'est pas trop en galère. L'auteur ne m'apprend strictement rien ; tout est déjà entendu ou se sait déjà donc pourquoi ce livre ? Que les crottes de chiens recouvrent les trottoirs n'est un secret pour personne , les Suisses sont repoussés par la légendaire saleté de la France (et si ce n'était que les crottes de chiens..). La France, pays de grévistes ? On l'entend combien de fois par semaine ? Et je passe tous les exemples cités dans ce livre .. enfin.. repris et répétés dans ce livre. Son histoire, entre la drague, l'envie de squatter et de trouver un bon plan pour loger m'a ennuyée, ses rapports avec ses collègues également... Plus on avance dans le livre, moins j'ai envie de continuer..
Ce n'est pas le fait de savoir rire ou non de soi car je pense ne pas manquer d'auto-dérision mais je trouve simplement qu'il n'a pas été chercher bien loin ces exemples qu'on peut entendre à répétition depuis X années...
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J’ai trouvé ce livre extrêmement plaisant dans sa façon de raconter l’histoire de la France et l’Angleterre. Stephen Clarke fait preuve d’un certain humour et surtout d’un angle particulier pour conter 1000 ans d’histoire commune entre les deux pays.
On connaît tous la rivalité entre les deux pays qui dure depuis des siècles et des moments forts dans cet antagonismes (Crécy, Azincourt, siège d’Orléans, Trafalgar, Waterloo…) mais j’ai découvert des histoires dans la grande histoire étonnantes ! Entre la naïveté des français ou leur bêtise voire leur sabordage ; entre la roublardise des anglais ou leur allégeance aux américains ; bref, deux nations qui ne pouvaient que s’entendre pour se faire la guerre sur l’ensemble de la planète, du moins entrer en compétition l’une contre l’autre.
Évidemment l’auteur revient sur Guillaume le Conquérant (fondateur de l’Angleterre) Jeanne d’Arc, les défaites cinglantes de Crécy et Azincourt, les déboires de Napoléon, les exaspérations de de Gaulle (le portrait du Général est assez peu flatteur soit dit en passant), la construction du Tunnel sous la Manche… et tant d’autres moments vus en détails des relations anglo-française. C’est caustique, c’est parfois drôle mais surtout c’est une vision toute nouvelle de l’histoire. Comme je l’ai dit auparavant, on découvre des faits étonnants qui mettent en lumière des relations que l’on savait… particulières, comme un vieux couple.
Dans une écriture claire et efficace, Stephen Clarke nous propose une redécouverte de l’histoire vus du point de vue des deux éternels rivaux. Un vrai régal pour les fans d’histoire.
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Voilà un livre qui m’a fait grincer des dents. Au bout de 3 pages, j’ai voulu le lâcher au vu de la caricature qu’il se fait de la France et au vu de sa mauvaise foi. Le french bashing est résumé dans ses lignes. A la fin, c’est à se demander pourquoi il est venu s’installer en France.
Stephen Clarke, anglais d’origine, écrit cet « essai » pour lister les travers des français. Le sous-titre de son livre est « Ce que les rosbifs pensent vraiment des froggies ». Tout un programme.
Je vais lister les quelques remarques qui m’ont légèrement tapé sur le système tout au long de ma lecture : (ce n’est bien sûr qu’un bref aperçu)
- Il considère que les femmes françaises sont faciles. Il en veut pour preuve une scène du très représentatif film de Josiane Balasko « Gazon Maudit ». Un vendeur de fleurs s’approchent du couple adultère et l’homme refuse, l’affaire étant déjà conclue. La femme, un sourire narquois aux lèvres.
- Les livres ne sont vendus que sur la base de leur couverture : celles qui sont les plus tristes se voient généralement décerner un prix littéraire.
- Les trottoirs français sont couverts de déjections canines, si bien, qu’il faut s’armer pour les éviter.
Évidemment, je reconnais que seules les blagues ne me concernant pas directement me font rire. Surtout celles pour lesquelles je pense plus ou moins la même chose.
Au-delà de tout ça, et avec beaucoup (énormément même) de recul, on peut trouver ce livre assez drôle. La page 56 reprend une blague sur l’ENA, il aborde également le nuage de Tchernobyl qui s’arrête à la frontière (comparant alors la France à la Corée du Nord, les seuls pays pour lesquels le nucléaire ne pollue pas),…
Bref, un moment de lecture que je vais m’empresser d’oublier.
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En fait, il y a bien longtemps que j'ai lu ce livre. Il s'agit de la version anglaise (originale) du livre de Stephen Clarke : "God save la France". A l’époque mon niveau d’anglais n’étant pas assez fort pour rendre le livre assez intéressant. J’avais donc dû acheter cette version française du livre, afin d’améliorer mon anglais. Bref ce livre est à lire en français ou en anglais, peut importe, il est assez drôle et bien écrit.
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Un récit léger et plein d'anecdotes sur l'éternelle friction Franco-Anglaise !
Des situations rocambolesques qui nécessitent un grand flegme comme celui des Anglais et une touche d'humour comme celle des Français.
Un moment sympa avec ce roman !
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Stephen Clarke nous plonge dans l'histoire avec un millénaire de relation franco-anglaises parfois douloureuses pour les Français.
Cet ouvrage n'a pas seulement une vocation humoristique, malgré sa couverture très colorée et certains passages qui font sourire. En fait, il fait réfléchir le lecteur qui suit, page après page, les relations entre la France et la Grande-Bretagne. Que se serait-il passé si ces deux pays, au lieu de se haïr, s'étaient alliés? L'histoire aurait-elle été différente?
Sûrement, car ce sont deux grandes nations que Clarke nous fait découvrir au fil de son récit. A une certaine époque, si l'Angleterre était beaucoup plus démocratique et "libre" que la France; la France, elle, avait la culture et se retrouvait au centre du monde des lettres et de l'art. Si ces deux pays avaient enterré la hache de guerre, ils auraient certainement pu accomplir de grandes choses ensemble...
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God save la France. Drôle, léger et plein de clichés. Un petit livre à lire le lendemain de fêtes ou de journées bien chargées, lorsqu'on a la flemme de chausser ses Brooks pour aller faire un footing salutaire dans la campagne.
Ce sont les aventures du jeune Paul West, anglais nouvellement arrivé à Paris, qui essaie de comprendre les coutumes françaises et les divers aspects de la vie quotidienne à Paris : la bise du matin en arrivant au travail, l'emploi du tutoiement ou du vouvoiement, la carte (menus) des restaurants parisiens, le mode d'emploi des relations amoureuses et intimes, etc.
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Stephen Clarke est connu pour ses descriptions de la France à travers ses yeux d’Anglais. Ce livre révèle de nombreuses informations pratiques pour aider les Anglo-Saxons à survivre et pour tirer le meilleur d’une courte visite ou d’un long séjour à Paris. On rencontre une foule d’anecdotes, vraies ou fausses, mais toujours sympathiques. Enfin, ce livre est incontournable pour le lecteur français qui sait apprécier l’humour anglais et pouvant lire la langue de Shakespeare.
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Livre amusant sur la France vue d'un Anglais. Divertissant pour se libéré l'esprit, tout en ce moquant un peu de nous même, chauvinismes s'abstenir ;)
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