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3.75/5 (sur 202 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) le : 08/07/1969
Biographie :

Amy Stewart est journaliste, essayiste et romancière.

Elle est titulaire d'un B.A. en anthropologie et d'un master en planification communautaire et régionale (MSCRP) de l'Université du Texas à Austin.

Elle est l'auteur de deux essais best-sellers aux États-Unis : "The Drunken Botanist" (2013) et "Wicked Plants" (2009).

Romancière, elle a écrit une série policière qui se passe aux USA, en 1915 , dont le 1° tome est : "La fille au révolver" (Girl Waits with Gun, 2015) . Il s'inspire de faits réels (la première femme adjointe au shérif ) .
Il est suivi du 2° tome : "La femme à l'insigne" (Lady Cop Makes Trouble, 2016), publiés chez " 10/18 Grands Détectives" .

Elle collabore à plusieurs magazines et journaux dont Washington Post et New York Times. Elle est cofondateur d'un blog d'horticulture, Garden Rant.

Amy Stewart et son mari Scott Brown vivent à Eureka, en Californie, où ils possèdent une librairie baptisée Eureka Books.

son site : http://www.amystewart.com/
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Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
Les pantalons, c’est pour les garçons,
Et pas pour les filles !
Les filles, c’est pour les garçons,
Et pas pour les pantalons !
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— Les sœurs Kopp ont besoin de trouver soit un emploi soit un mari, et très rapidement, précisai-je.
— Qui a dit cela ?
— Notre compte en banque !
[...]
— Mais ne m’envoyez pas de prétendants, s’il vous plaît, lançai-je à l’intention du shérif. Je compte explorer la première piste en priorité !
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[...]Norma nous faisait la lecture du journal tandis que nous roulions.
— « Un pantalon provoque la mort d’un homme ! »
— Ce n’est pas possible, ça ne dit pas ça ! protesta Fleurette.
[...]
— Si ! persista Norma. C’est un charretier qui avait l’habitude de suspendre son pantalon au-dessus du réchaud à gaz pendant la nuit mais, comme il était sous l’influence de l’alcool ce soir-là, il n’a pas remarqué que le tissu avait étouffé la flamme.
— Alors c’est le gaz qui l’a tué, pas le pantalon !
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Nos ennuis commencèrent à l'été 1914, l'année de mes trente-cinq ans. L'archiduc d'Autriche venait tout juste d'être assassiné, les Mexicains se révoltaient et, chez nous, à la ferme, il ne se passait absolument rien, ce qui explique pourquoi nous étions trois à nous rendre à Paterson pour aller faire des courses dénuées d'intérêt. Jamais on n'avait réuni plus large comité pour prendre une décision sur l'achat de poudre de moutarde et sur le remplacement d'un marteau à panne fendue dont le manche s'était scindé en deux pour cause de vétusté ou de mauvaise utilisation.
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Lorsqu'il m'embrassait, il fermait les yeux comme un homme en prière.
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— Désolé, madame, les femmes de policiers ne voyagent pas gratuitement.
Constance toisa de toute sa hauteur le conducteur du tramway.
— C’est un insigne de shérif, rétorqua-t-elle. Et il est à moi. Vous êtes nouveau sur cette ligne, n’est-ce pas ?
— Je connais le règlement. Les transports gratuits sont réservés aux agents assermentés, pas aux épouses, ni aux sténographes ou autres.
Constance ne se sentait pas d’humeur à argumenter. Dégageant les pans de son manteau, elle présenta son arme et ses menottes au conducteur, qui eut un mouvement de recul.
— Madame, c’est vraiment vous donner beaucoup de mal pour ne pas payer votre billet ! Vous feriez mieux de rendre tout ça à qui de droit avant qu’il n’arrive malheur à quelqu’un.
— C’est à vous qu’il va arriver malheur si vous continuez à ne pas comprendre ce qu’est un insigne d’adjointe au shérif !
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Un miroir accroché en face de moi me renvoya mon image et je sursautai en me reconnaissant : avec mon chapeau de feutre gris à voilette et mon tailleur de voyage bleu marine, je ressemblais à une dame patronnesse assistant à un après-midi musical.
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- Oh, mademoiselle, j'ai l'impression que vous êtes venue chercher des ennuis .... Mais est-ce bien vous qui les avez cherchés, ou est-ce que ce sont eux qui sont venus vers vous ?(...)
- Ma foi, je ne sais pas... ce sont plutôt eux qui sont venus à moi .
- Eh bien, renvoyez-les ! s'exclama t-il (...) .
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— Si elle travaille pour vous, pourquoi est-ce que vous l’appelez Miss Kopp, et pas adjoint Kopp ? interrogea Reinhold tandis que nous nous dirigions à grands pas vers l’appartement.
— Parce que les adjoints suivent les ordres que leur donne leur shérif. C’est la raison d’être d’un adjoint. Les gens qui n’écoutent pas ce que dit le shérif, on les appelle plus communément…
Il s’interrompit, le temps de nous faire traverser un carrefour compliqué dans la Vingt-troisième Rue, et Reinhold en profita pour lancer une suggestion :
— Des délinquants ?
Le shérif Heath eut un petit sourire.
— Merci, Mr. Dietz. C’est exactement ça. Des délinquants.
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Lorsque je m'autorisais à réfléchir sur la brièveté du temps qu'il me restait à vivre et à l'inanité qu'il y avait à le consacrer à la cuisine, au bricolage et au jardinage, cela me faisait si peur que j'en avais le souffle coupé.
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