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Critiques de Thierry Robberecht (200)
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Mon Père Noël à moi !

Il est […] certain que cet album générera de grandes discussions avec les jeunes lecteurs.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Mon Père Noël à moi !

Un album sympathique pour rappeler que noël est, et doit rester, un moment de partage.
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Onnuzel

L'onnuzel vit avec sa soeur et sa mère. Il est gauche, empoté, un peu à côté de ses pompes, c'est pour cela qu'on l'appelle onnuzel, idiot en Bruxellois. Son monde est inquiétant, entre la mère qui le surprotège et l'image un peu mythique du père parti un beau jour pour on ne sait où, laissant la famille face à des dettes insupportables. Il voudrait que le père revienne, il voudrait aussi être un peu plus courageux, moins gourd. Mais il fait tout de travers.



Dans ce court récit, Thierry Robberecht parle avec beaucoup de justesse de la solitude de l'enfance et de la difficulté à se construire quand la précarité semble définir l'identité. Par petites touches, il décrit le désarroi du jeune garçon, dont on ne connaîtra pas le nom, tant il n'est que l'onnuzel. J'ai aimé l'ambiance, le parler bruxellois et la description d'un Molenbeek à jamais disparu. Et puis ce petit gars qu'on aimerait prendre sous son aile, emmener au foot ou au musée de la Porte de Hal. J'ai un peu regretté la brièveté du texte.
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Onnuzel

Ce court roman commence par une fin, celle d’une mère, une vieille femme très fatiguée auquel son fils rend visite : on le sent angoissé mais puisque sa mère lui parle et que l’infirmière lui sourit, « c’est bon signe ». Mais il n’a rien compris… comme toujours. Depuis son enfance,celui que tout le monde appelle l’onnuzel ( « un mot en bruxellois qui se traduit par abruti ou empoté ») ne comprend rien au monde qui l’entoure. Il faut dire qu’on ne lui a jamais beaucoup parlé, on n’a jamais vraiment stimulé son intelligence ni ses émotions : sa vie est faite de routine, de petits rituels plus ou moins sympathiques, une petite vie à l’étroit dans un logement social avec sa mère et sa soeur, bien plus futée que lui. Pas de père et on n’en parle jamais, car cela déclenche des tempêtes de chagrin effrayantes chez la mère, on ne sait pas pourquoi il est parti ni où, il est peut-être mort, qui sait ? En tout cas, dans la famille de la mère, on le considère comme un sale type et tous, elle la première, entretiennent envers lui une haine farouche. Cette absence, ces non-dits pèsent comme un couvercle sur cette famille, sur ce gamin qui grandit sans savoir se construire vraiment, avec une mère qui se soucie plus du qu’en dira-t-on et de ses fins de mois difficiles que de l’épanouissement de ses enfants. Et pourtant, si elle s’en allait elle aussi, le fils serait perdu, terrorisé.



Il y a peu d’espoir dans ce roman, qui évoque aussi en pointillés la Belgique des années soixante (le jeune roi Baudouin, l’indépendance du Congo, l’incendie de l’Innovation à Bruxelles), tout est assez sombre, étouffant, étouffé, comme cette mère, sauf peut-être à la fin où une velléité d’indépendance semble s’emparer de l’onnuzel. Une nouvelle sur le même thème, publiée en 2009, offre un contrepoint narratif au roman écrit à la troisième personne. Malgré sa noirceur et une petite frustration (qu’est devenu l’onnuzel une fois adulte ?), j’ai apprécié le regard sensible de Thierry Robberecht, son écriture sans fioritures qui ne dompte l’émotion que pour mieux la laisser vivre.
Lien : https://desmotsetdesnotes.wo..
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Onnuzel

Un onnuzel, en bruxellois, c'est un empoté, un couillon comme on dit en Wallonie.

Mais ce petit onnuzel de 8 ans en manque de père et de repères est tout sauf un empoté, parce qu'il trouve toujours une explication qui lui donne la force de comprendre et de continuer. Et d'ailleurs, on nous fait croire qu'il ne comprend rien alors qu'il a tout compris, bien mieux que sa mère.

Ca se passe dans les années soixante, dans un appart à Molenbeek la semaine, et chez bon papa et bobonne les week-ends. Un roman dans lequel les non-dits sont tellement bien écrits que nous aussi, on comprend tout !

Pas bien épais, il se lit doucement et en fermant les yeux. Aaah... Bruxelles...
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Onnuzel

Je remercie les éditions belges Weyrich qui m'ont fait découvrir ce petit livre dans le cadre de "masse critique".

Cette nouvelle est un enchantement de lecture. Écrite en de petites phrases courtes, l'histoire de ce petit garçon, un peu simplet (d'où l'onnuzel), est très émouvante.

L'onnuzel est un petit bonhomme qui ne connaît pas son papa et à qui on n'a jamais expliqué le pourquoi du comment. Il passe son temps à se poser des questions et à s'imaginer ce qu'il pourrait faire avec un père, hormis le fait d'être comme tous les autres petits garçons.

Je me suis prise de compassion pour cet enfant rêveur, un peu dans son monde, qui est à la recherche de son identité.

Un très bon moment de lecture !
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Onnuzel

Je remercie les Editions Weyrich - via la Masse Critique de Babelio - de m'avoir fait parvenir cet ouvrage.



Livre de bruxellois pour lecteur / lectrice bruxellois(e). L'Onnuzel est donc cet enfant de 8 ans qui ne comprend rien au monde et qui ne comprenant rien au entendu, comment voulez-vous qu'il comprenne un sous-entendu (page 102)?



Je conçois parfaitement que la collection "Plumes du Coq" ait pour vocation de défendre l'identité "Wallonie-Bruxelles" mais, néanmoins, je reste perplexe quant à la non-accessibilité de ce livre (un lexique aurait, sans nul doute, facilité la lecture pour un non-bruxellois). Personnellement, étant bruxelloise d'origine, j'en ai compris chaque mot… mais combien sont / seront dans mon cas?



L'histoire de cet enfant, élevé par une mère désarmée depuis l'abandon du domicile par le père, est une ode à la déprime. Leur quotidien est d'un ennui morte, une répétition à l'infini de journées identique, à peine égayées de visites chez Bobonne et Bonpapa. Un enfant sans repère et sans père qui peine à se créer une identité sous la coulpe / le joug de cette mère qui régente sa vie et lui insuffle un air gorgé de pessimisme et de fatalisme, sans l'once d'un sentiment.



Bref, un très bon livre intimiste pour les bruxellois… à ne pas entamer un soir de cafard.



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Onnuzel

Drôle de titre me direz-vous. Effectivement.

N’étant pas Bruxelloise, je n’avais jamais entendu ce mot avant de recevoir le livre choisi sur Masse Critique et publié chez Weyrich.

« L’onnuzel, ignore tout, ne comprend rien, mais il est obstiné... ; » nous dit l’auteur. Onnuzel, c’est une expression bruxelloise très proche de « fada », qui vient du flamand et signifie « imbécile ».

Le gamin de 8 ans dont il est question ici est un peu niais, naïf et pas très futé. Mais il observe et cherche à comprendre ce qu’on lui cache. Ce que sa mère lui cache. Ce qu’il veut comprendre lui c’est pourquoi elle méprise autant les hommes. Où est son père ? Pourquoi est-il parti ? Qui était-il ? Qu’est-il arrivé quand il était petit et dont il ne se souvient pas ? Il a l’impression que s’il savait, s’il retrouvait ce père absent, sa vie changerait car ne pas savoir le bloque, le mine et occupe toutes ses pensées. Et la douleur que sa mère affiche chaque jour se dissiperait sans doute. « Il a disparu le père, mais il est partout. » Cette mère désespérée et désespérante, tellement enfermée dans ses remords et ses déceptions qu’elle élève ses enfants dans la haine du père disparu tout en donnant aux apparences celle d’une mère parfaite, se sacrifiant pour ses enfants. Pauvres petits déjà investis d’un si lourd passé qu’ils doivent porter malgré eux.

Le récit se passe dans les années 60, à Molenbeek, bien loin des « Golden Sixties ». Baudouin est roi, le Congo est indépendant depuis peu et les anciens, ceux qui y ont vécu, sont d’une grande nostalgie quand ils évoquent ces années-là. Thierry Robberecht dresse le portrait triste mais juste d’une société et d’une famille sans réelle joie, terne, vivant de souvenirs et de regrets. A l’image de la mère qui a fait un mauvais mariage et se retrouve perdue, seule dans la vie.

Le roman est raconté d’un point de vue de l’enfant, exposé à la condescendance des uns et à l’hostilité des autres. Un enfant à qui les adultes ont volé l’insouciance par leur non-dit étouffants et leurs reproches incessants.

Ce très court roman flirte avec le journal intime mais il est raconté à la 3e personne. C’est sans doute ce qui m’a gênée. Le récit lie intimement le regard naïf de l’enfant et celui de l’adulte a posteriori, le style haché, bref, d’une narration enfantine et les belles tournures, les figures de style léchées de l’adulte. C’est déstabilisant.

Cependant ce roman évoquant une relation toxique d’une mère enfermée en elle-même reste émouvant et fort tant le besoin d’amour et la haine restent proches d’un bout à l’autre.



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Quand mon papa était le roi !

Quand mon papa était le roi ! joue sur une métaphore intéressante : c'est l'histoire d'un papa qui devient roi soudainement et qui grandit physiquement, au fur et à mesure que le domaine de ses responsabilités s'étend. Et plus il grandit, moins il voit son fils et sa femme. Happy end pour cette famille : papa décide de rendre ses responsabilités, retrouve une taille normale et peut s'en retourner jouer à cache-cache avec son fiston. Et pourquoi dans la vrai vie les hommes choisissent presque toujours de vouloir continuer à grandir...?
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Reborn

Ce livre est bien pour les personnes qui aiment les sciences fictions et policière, au début on accroche pas beaucoup mais vers le milieu on est attiré pour finir le livre. J'ai aimé mais sans plus car je devais le lire pour l'école. Bonne soirée !!!
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Reborn : Le nouveau monde

J'ai été intéressée par l'histoire car j'aime bien me mettre dans le peau du personnage dans chaque épreuve qu'il parcourt.

J'ai aussi aimé comment l'histoire est construite, Chuong est le narrateur et raconte son histoire aux policiers.

En revanche, ce que je n'ai pas trop aimé dans ce livre, est qu'il y a pas beaucoup de suspense.

Le récit n’était pas assez captivante, je n'avais pas tellement envie de continuer à lire.



La meilleure lectrise
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Reborn : Le nouveau monde

2064.La terre n'est plus habitable.Seuls les plus riches ont pu se payer le transfert vers Reborn, la nouvelle planète.Pour offrir à leur fils un avenir, les parents de Chuong ont fait appel à un passeur,mais sur la nouvelle planète,Chuong doit se cacher pour échapper aux intercepteurs,car il est invasif...



Le livre m'a plu d'une part car c'est une histoire de science-fFiction et il raconte bien l'histoire des immigrés ( dans le livre les terriens sur Reborn ). Ce livre parle du partage de richesse et décrit bien les conditions de survie de ces clandestins, entre les rondes de police et l'hostilité des habitants de Reborn, pas prêts à accueillir les réfugiés terriens.Le début est triste car Chuong se fait accuser d'une tentative de meurtre qu'il n'a pas commis. Doit-on prendre cette accusation pour du racisme ?



Points positifs :-Le personnage principal est attachant avec sa gentillesse.

-Quand on commence le livre on n'a envie de le lire jusqu'à la fin.



Points négatifs:-La couverture n'est pas attirante



Joffrey

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Reborn : Le nouveau monde

Reborn est une histoire qui de déroule en 2064,la tere est devenue inhabitable a cause de l'engloutissement des pays dans l'eau.Pour remèdier a son problème l'humanité est partie sur une nouvelle planète mais seul les riche on peuvent se payer un aller sur Reborn alors chuong et sa famille on payé un passeur pour aller sur Reborn mais cela ne sait pas bien passer.Sur Reborn il doit donc échapper aux intercepteur car il est un invasif. Dans ce livre j'ai aimé l'histoire qui est très entrainante et futuriste on s'accroche facilement aux personnages Mais je trouve que l'histoire s'éternise un peu dans le centre je conseille ce livre au petit et moyen lecteur
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Reborn : Le nouveau monde

Etant une personne très intéressée par les sciences, je n'ai pas pu aimer ce livre pour plusieurs raisons, mais commençons tout de même par le positif :

- Thèmes de l'immigration et de l'écologie abordés de manière originale, cela sensibilise les jeunes et c'est bien !

Négatif :

-Jargon scientifique totalement absurde (j'ai déjà vu des télévisions et des écrans géants, mais "télécran" ça ne veut rien dire.)

-Logique totalement baffouée ! (La première fusée à partir est très perfectionnée, elle met des mois à arriver, celle qu'un traffiquant a rénové arrive en 3 jours...)

-Les gens ont quand même découvert une planète habitable, sur laquelle les végétaux ne poussent pas.

-Les scientifiques de votre monde sont vraiment nuls dans tous les domaines.

-Les Hommes veulent reconstruire une planète saine et ne font que des conneries comme le coup du processeur identitaire (D'ailleurs un processeur, c'est fait pour faire fonctionner une machine. Oui, cherchez "processeur identitaire" sur google et regardez sur quoi vous tombez.).



Je n'ai listé que quelques exemples, mais je considère que c'est assez et que cela ne sert à rien d'enfoncer l'auteur pour l'enfoncer, il ne connaît pas son sujet, point.

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Reborn : Le nouveau monde

2064, la Terre n'est plus habitable, envahit par la montée des eaux, elle sera bientôt entièrement submergée. Les terriens fuient vers une autre planète mais ce voyage coûte cher et seuls les plus riches peuvent se l'offrir. Bientôt la nouvelle planète semble ne plus pouvoir accueillir de nouveaux habitants, en tout cas, c'est ce que laisse entendre le sénateur Alan Newman. Les parents de Chuong pour offrir un avenir meilleur à leur fils tente le voyage avec l'aide d'un passeur.



Lecture facile. Transposition des thèmes de l'immigration, des sans-papiers, des étrangers, des camps de réfugiés, des droits de l'homme dans un monde futuriste.

Public : 5e-4e
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Reborn : Le nouveau monde

Assez déçue par cet ouvrage. L'idée de base aurait pu être exploitée avec plus de panache, mai au final on tombe dans de la SF lue et re-lue, et une fin bâclée et tirée par les cheveux.



Pour faire vite : la Terre est inondée, les humains cherchent une nouvelle planète (Reborn), la trouvent et partent la coloniser. Seulement voilà, au bout d'un moment, les dirigeants de Reborn décident de fermer la migration aux derniers terriens en prétextant un manque de place, pourtant démenti par les scientifiques. On ne saura jamais pourquoi.



Le narrateur nous raconte qu'il est un "sans papier", en quête de la puce d'identité que tous les citoyens possèdent. Il est arrêté au début de l'histoire, près du corps d'une grand-mère laissée pour morte par des agresseurs. Comme il est sans-papiers, on essaie de lui coller le fait sur le dos. Il nous raconte son histoire par l'entremise de son témoignage chez les policiers.



Au passage, les citoyens sont sans cesse contrôlés par des robots. Le sujet aurait pu être intéressant, mais jamais le contrôle des citoyens n'est questionnée.



Le dernier quart du livre part en sucette. On ne sait ni comment ni pourquoi, l'un des deux flics, le "méchant", vire sa cuti et embarque le héros dans une histoire de complot politique qui tombe comme un cheveu sur de la soupe. L'auteur essaie de jouer la carte de la surprise, mais le tout est tellement gros et mal ficelé que la farce ne prend pas.



L'idée de narration à travers le témoignage judiciaire du héros était intéressante mais est très mal exploitée et donne à l'ensemble une mollesse assez désagréable. Une lecture fade et pas vraiment intéressante.
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Reborn : Le nouveau monde

L'histoire se passe premièrement sur la planète Terre en 2064. Un des personnage nommé Chuong, d'origine Vietnamien, va partir sur la « Nouvelle Planète », Reborn. Dans cette histoire, la Terre ne devient pu habitable à cause des ravages climatiques et écologique… Les seuls à pouvoir migré sur « Reborn »,sont les plus riche car le voyage est assez coûteux. Les parents de Chuong ont dût trouver différents moyens pour obtenir l'argent nécessaire pour pouvoir payer le voyage a leurs fils. Ils ont dût trouver un passeur pour pouvoir rejoindre Reborn. Chuong est un invasif, sur la nouvelle planète il devra se cacher des intercepteurs tout au long de sa vie sur la nouvelle planète. Par la suite, leurs tentatives d'évasion n'aura eu qu'un succès partiel puisque les parents seront rattrapés et renvoyés sur Terre.



Chuong est un personnage courageux, débrouillard. Chuong se fait « abandonner » par sa famille. Les parents de Chuong vont lui payer le Voyage sur « Reborn ».



Ce livre est un livre de science Fiction. Il veut sûrement passé comme message, que dans le futur si le monde continue comme ça avec les constructions et toute la pollution et les enjeux climatique, nous serons obligés de quitter la Planète Terre pour aller habiter ailleurs.



Je trouve qu'il y a du suspense et ce genre de livre, de science-fiction, c'est ce que j'aime. Facile à lire et à comprendre.
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Reborn : Le nouveau monde

Dans un futur sombre, les humains ont provoqué de tels dérèglements climatiques qu’ils sont contraints de quitter la Terre pour une autre planète, baptisée Reborn. Or dans ce nouveau monde, seules les classes privilégiées ont la possibilité de s’offrir le voyage…

Roman d’anticipation et de société, cet ouvrage aborde les thèmes de l’immigration clandestine et plus largement des droits de l’Homme. C’est également un triller bien ficelé qui nous tient en haleine jusqu’aux dernières pages !

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Reborn : Le nouveau monde

C'est un livre très intéressant qui parle d' une histoire de la planète qui est à sec et invivable. Les habitants doivent trouver une autre planète : Reborn. Mais le passage entre la terre et Reborn n'est pas gratuit et des personnes dont fait partie le héros doivent passer clandestinement ... Julie 6°1
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Reborn : Le nouveau monde

Mon fils commente ce livre :

Reborn est un roman de science-fiction dont le héros est un jeune garçon courageux. Les terriens ont vu monter subitement les eaux et cherché un nouvel habitat. Reborn, une planète recouverte de terre noire bizarre avec deux soleils, leur a paru idéale. Plus grande que la terre, elle pouvait accueillir tout le monde.

Comme souvent, les premiers colons furent les riches. Quand la deuxième vague d’immigration s’organisa, ils virent d’un mauvais œil arriver les gens de la classe moyenne. Ceux-ci se retrouvèrent bloqués à l’entrée de Reborn, en attente d’un processeur identitaire. Mais au lieu de le leur donner, on les renvoya petit à petit sur terre. Chuong réussit à fuir sans ses parents et resta sur Reborn où il devint un invasif. Sans puce, donc sans identité, il dut se débrouiller pour survivre.



J’aime en général la science-fiction et donc ce livre m’a plu. J’ai beaucoup aimé les critiques émises sur cette société du futur car indirectement, cela rappelle des événements récents concernant l’immigration (Lampedusa). L’histoire est rythmée et se lit rapidement (personnellement en deux heures je l’avais finie). Cependant, la simplicité du vocabulaire fait qu’il conviendrait mieux pour des 10-12 ans.



Le 20 octobre, l'auteur est venu dans notre école. Cette rencontre fut très intéressante car nous avons pu lui poser des questions précises sur l'histoire et sur des détails non compris. Il nous a raconté comment l'idée lui était venue et comment il a créé ses personnages. Il nous a aussi beaucoup parlé de son métier d'écrivain, de son parcours et de ses projets. J'ai beaucoup aimé cette rencontre et regrette qu'elle ait été si courte.



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