Thierry Smolderen

J’ai enfin lu le troisième volet de cette saga d’anticipation qui lance le lecteur à la poursuite du fameux trésor de guerre d’Al-Qaida. Thierry Smolderen et Dominique Bertail, déjà associés sur « L’enfer des Pelgram », s’inspirent des attentats du 11 septembre et des étranges mouvements constatés à la vieille de ce drame pour livrer un thriller au sujet accrocheur.



Le lecteur retrouve Lindsey en bien mauvaise posture, au cœur d’un attentat prenant un hôtel de Dubaï pour cible. Situant leur récit dans un futur proche assez réaliste, les auteurs mêlent habilement espionnage, terrorisme, politique et financements obscurs au sein d’un contexte géopolitique complexe. Si ce troisième tome permet d’en apprendre un peu plus sur le passé de Chamza et sur l’origine de la fortune de Chamza, le rôle joué par l’Emir des Lumières au sein des actions terroristes demeure obscur. Les auteurs continuent en effet de multiplier les fausses pistes et de bousculer les certitudes du lecteur.



Transformée en espionne à l’insu de son plein gré par les services secrets de l’administration américaine, la richissime jeune femme demeure la clé qui permet d’ouvrir toutes les portes. L’opération subie par Chamza permet en effet de se glisser un peu plus dans l’intimité de chacun. Passant des services secrets américains au mystérieux Emir, en effectuant de nombreux crochets par Chamza et Lindsey, les changements réguliers d’intervenants permettent de dynamiser ce récit parfaitement huilé.



Au niveau du graphisme, la mise en image de Dominique Bertail est très esthétique et d’une grande lisibilité. L’univers futuriste est également très crédible et le fait d’intégrer plus d’action au scénario permet au graphisme de se détacher de son aspect trop ‘sage’ et d’ajouter un peu plus de tonus et de couleurs au graphisme, tout en conservant cette modernité qui sied à merveille à ce récit d’anticipation.
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Voici le second volet de cette saga d’anticipation qui lance le lecteur à la poursuite du fameux trésor de guerre d’Al-Qaida. Thierry Smolderen et Dominique Bertail, déjà associés sur "L'enfer des Pelgram", s’inspirent des attentats du 11 septembre et des étranges mouvements constatés à la vieille de ce drame pour livrer un thriller au sujet accrocheur.



Situant leur récit dans un futur proche assez réaliste, les auteurs mêlent habilement espionnage, terrorisme, politique et financements obscurs au sein d’un contexte géopolitique complexe. Si ce deuxième volet ne permet pas encore de connaître la vérité sur l’origine de la fortune de Chamza, ni sur le rôle joué par l’Emir des Lumières dans les actions terroristes, l’opération subie par Chamza permet de se glisser un peu plus dans l’intimité de chacun. Transformée en espionne à l’insu de son plein gré par les services secrets de l'administration américaine, la richissime jeune femme demeure la clé qui permet d’ouvrir toutes les portes. Passant des services secrets américains au mystérieux Emir, en effectuant de nombreux crochets par Chamza et Lindsey, les changements réguliers d’intervenants permettent de dynamiser ce récit parfaitement huilé.



Au niveau du graphisme, la mise en image de Dominique Bertail est très esthétique et d’une grande lisibilité. L’univers futuriste est également très crédible, mais j’ai trouvé l’ensemble graphiquement trop ‘sage’ car, malgré un esthétisme parfait, le graphisme manque un peu de tonus et de couleurs.

Premier volet d’une saga d’anticipation qui devrait en compter quatre, «La dame de Dubaï» lance le lecteur à la poursuite du fameux trésor d’Al-Qaida. Thierry Smolderen et Dominique Bertail, déjà associés sur "L'enfer des Pelgram", s’inspirent des attentats du 11 septembre et des étranges mouvements constatés à la vieille de ce drame pour livrer un thriller au sujet accrocheur.



Situant leur récit dans un futur proche assez réaliste, les auteurs mêlent habilement espionnage, terrorisme, politique et financements obscurs au sein d’un contexte géopolitique complexe. Malgré les nombreux voyages suborbitaux inintéressants effectués par nos deux héroïnes, l’intrigue s’avère assez séduisante et donne envie d’en apprendre plus.



Au niveau du graphisme, la mise en image de Dominique Bertail est très esthétique et d’une grande lisibilité. L’univers futuriste est également très crédible, mais j’ai trouvé l’ensemble graphiquement trop ‘sage’. Personnellement, j’aurais aimé voir un futur plus coloré, une ville de Dubaï plus flash et des scènes d’action qui giclent plus. J’ai peut-être passé un peu trop de temps dans l’univers des comics ces derniers temps, mais j’ai trouvé qu’ici, malgré un esthétisme parfait, le graphisme manque un peu de tonus.



Bref, un sujet accrocheur, un mélange des genres bien géré et un tome d’introduction contenant quelques longueurs qui donne tout de même envie de découvrir la suite.

Lors d’une fusillade dans un supermarché, Marielle Meyer perd son jeune fils dans l’attaque du gang. Complètement déboussolée, elle se met en tête de coincer elle-même le meurtrier de son fils...

Je ne suis pas adepte des « policiers » mais je me suis pris à l’histoire de cette femme qui apprends petit à petit le métier de tueur à gages et toutes les péripéties qui vont avec.

Une histoire intéressante mais aux dessins qui ne m’ont pas séduit ; pas forcément « le noir et blanc » qui passe assez bien dans de nombreuses BD mais plutôt le trait ou le style qui fait assez vieillot et qui manque de punch.

Pour être parfaitement honnête, je pense que je suis passée à côté de plus de la moitié des références dans cette BD. L’histoire n’a pas eu toute la saveur qu’elle aurait pu… Enfant des années 90, je n’ai pas vécu les bornes d’arcade ni les jeux de rôle… Par contre, j’ai des bébés connaissances mythologiques grâce à la franchise Tomb Raider (youpi, c’est un début).



Bon alors est-ce que ça vaut le coup quand on ne connaît pas les références ? Je dirais que oui, quand même. J’ai lu des chroniques qui rapprochent Une Année sans Cthulhu de Stranger Things, et je suis assez d’accord, même si les références de Stranger Things sont plus grand public ; l’histoire en elle-même est sympa, un brin nanardesque parfois. Mais surtout, surtout, le dessin d’Alexandre Clérisse est juste à couper le souffle. Ces couleurs flashy, rétro, ce coup de crayon minimaliste, j’ai adoré.



Je pense donc que les enfants des années 80 vont adorer cet album, mais je ne le déconseille pas pour autant aux plus jeunes ; l’intrigue est chouette et le dessin est génial.
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Une nouvelle BD de Clerisse en tant que dessinateur. On retrouve la même patte graphique que pour Un été Diabolik. Cependant, sur cette histoire cela fonctionne moins bien... Le côté très pop et acidulé des dessins colle bien à l'univers années 80, mais beaucoup moins avec le fonds de l'histoire, inspiré de l'univers très sombre de Lovecraft. Ce parti pris m'a cependant permis de découvrir une histoire vers laquelle je ne me serais pas tournée avec des dessins classiques. La première partie du livre m'a tenu en haleine, la seconde un peu moins. Ce roman graphique devrait plaire aux amateurs de jeux de rôles et des années 80 !
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Les années 80 avec le début de l'informatique "domestique", l'arrivée des jeux vidéos, des jeux de rôle...

L'univers très graphique et coloré colle bien avec cette ambiance 80's, en revanche l'intrigue est inutilement alambiquée mêlant de nombreuses branche plus ou moins surnaturelles dont certaines n'apportent pas grand chose à l'histoire (le côté magie noire et sorcière est inutile je trouve).

Lindsey sait à présent ce qu il en est de Chamza et veut continuer à l aider et lui révéler ce qu elle même ne sait pas. Les américains manigances de leur côté pour tout mettre sur le dos de Chamza et ainsi confirmer la piste terrorriste. Le tout est complexe mais très beau dans les dessins.

Lindsey est au cœur d un acte terrorriste et sa vie ne tient qu'à un fil. Pendant ce temps, Chamza prend du bon temps avec l émir des lumières, Umar. Les américains s evertuent à se laver et à faire porter le chapeau à d autres.

Toujours aussi intéressant pour ses dessins. Bertail trouve les bons plans et la dynamique nécessaire pour raconter l histoire de l héritière de l argent d al qaida.

Les dessins sont toujours aussi bien travaillés. Chamza à été accidenté et amené dans un hôpital ou elle a subi une intervention sur ses yeux. Les américains arrivent à connaître tous ses faits et gestes après avoir intégré des caméras dans ses yeux. La lutte contre le terrorisme permet apparemment tout et les occidentaux ne lesinent pas sur les moyens. Lindsey se trouve malgré elle au milieu de toute cette violence sans réellement comprendre pourquoi.

Je redecouvre cette série et je suis assez étonné par le style de Dominique Bertail qui est très différent de celui de Madeleine resist.

De très beaux dessins et une belle mise en page. L histoire est en rapport direct avec le 11 septembre 2001 et concerne l argent détourné par al quaida mais en 2020.

Une année sans Cthulu séduit d’entrée de jeu par son design très vintage, très pop art, très années 80. C’est coloré, funky et on y retrouve toute l’influence visuelle des premiers jeux vidéo, des vieilles pubs, mais également des films d’horreur et de science-fiction de l’époque. Un très bel objet, assez décalé, qui nous plonge immédiatement dans l’ambiance psychédélique et culte de ces années-là. La couverture elle-même évoque immédiatement la grille de jeux d’ENCOM, terrain de courses de moto dans le film Tron.

Véritable petit délice coloré et funky, Une année sans Cthulhu réussit à nous faire replonger dans l’ambiance des années 80 tout en nous servant une histoire prenante et totalement intergénérationnelle. À découvrir de toute urgence !
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Le travail de Marcelé sur une illustration toute en noir et blanc fonctionne parfaitement avec le thème du récit. A l’image de ses héroïnes, il allie pudeur et finesse dans ses croquis. On partage les émotions de ses personnages, emporté dans le tourbillon de l’intrigue.
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Sublimes couleurs pour ce mystère palpitant et pop, à lire en plein été!

Cette bande-dessinée nous raconte l’histoire d’Antoine, un adolescent de 15 ans qui va vivre un été qu’il n’est pas prêt d’oublier.



Au programme, des disparitions troublantes, de nouvelles rencontres, des premiers émois amoureux et de l’espionnage.



Autant dire que l’intrigue ne manque pas d’originalité. Un scénario très bien ficelé et haletant du début à la fin qui embarque le lecteur dans un thriller riche en révélations surprenantes.



L’autre grande réussite de cet opus est le graphisme à l’ambiance rétro qui nous plonge au cœur des Sixties grâce notamment à ses superbes couleurs.



Je suis donc ressortie complètement conquise par cette BD qui m’a tour à tour surprise, fascinée et mise sous tension. En somme, un succulent moment de divertissement!



Je vais d’ailleurs m’empresser d’aller découvrir la première collaboration de ce binôme talentueux.



Un one-shot époustouflant avec cette histoire aux allures de polar, le tout desservi par un graphisme excellent. Un tandem d’auteurs qui nous livre une BD prenante et pleine d’originalité qui m’a captivée de bout en bout.
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Un illustrateur au talent incontestable qui a su me faire apprécier cette BD malgré un dénouement qui m'a un peu refroidie.

Voici une belle découverte du côté des dessins et des couleurs vives.

Au niveau de l'histoire j'en ai aimé les 2/3, concernant le dernier tiers j'ai été un peu embrouillée,il faut dire qu'en général je ne comprends pas grand chose aux histoires d'espionnage...

Mais qu'est ce que les nez des personnages sont pointus !
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Cela vous est déjà arrivé de passer à côté d'un bon bouquin, à cause d'une couverture ultra moche (dessin kitsch, couleurs délavées atroces) ? Oui ? Eh bien, c'est ce qui vient encore de m'arriver avec L'été Diabolik !



Pour être franc, j'ai assez vite ouvert l'album, épais roman graphique de 160 planches, en découvrant qu'il accumulait les prix (prix des lecteurs de Ouest France, Prix BD FNAC 2017), mais, là encore, j'ai refermé la couverture car mon œil a tout de suite été heurté par toutes les couleurs que je déteste : des violet lie de vin, vert épinard, jaune marronnasse...



Il a fallu, fin janvier 2017, que l'album soit couronné par un nouveau prix à Angoulême (le Fauve Polar SNCF) pour que je me dise :" ce n'est pas possible, cette BD doit malgré les apparences receler en son sein, bien caché, des trésors de bienfait !"



Comme j'ai bien fait de m'écouter ! Car, effectivement, cet album ne ressemble à aucun autre, et mérite largement qu'on lui consacre deux petites heures (il y a de quoi lire !)...



Lire la suite de ma critique sur le site Le Tourne Page
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Une très bonne BD d'espionnage!

La première chose qui m'a attiré dans cette BD, c'est sa couverture, puis ses illustrations. Des illustrations assez retro qui correspondent aux années où l'histoire se déroule. Les couleurs sont superbes. Bref niveau visuel j'ai adoré.



Venons en à l'histoire. Je l'ai lu d'une traite, je n'ai pas pu le lâcher. Je voulais avoir les réponses. L'intrigue est bien ficelée, bien menée, passionnante.

Moi qui ne raffole pas des histoires d'espionnage, j'ai été complétement embarquée par celle-ci.



En conclusion, je conseille cette BD à tous ceux qui aime les énigmes et le suspense.

Cette bande dessinées est un vibrant hommage à la science-fiction, celle des années 50, des romans de gare populaires et des bandes dessinées comme Buck Roger ou Terry et les pirates. D'ailleurs, le dessin est complètement en corrélation avec le propos puisqu'Alexandre Clérisse nous livre des illustrations inspirés des fifties. Thierry Smolderen a eu l'idée d'écrire un très bon scénario de science-fiction, non linéaire et bourré de références : ainsi peut-on deviner dans un personnage André Franquin ou voir en la fiancée imaginaire de Paul, un sublime personnage tiré de l'univers d'Albator...