Valentin Musso

Un roman surprenant.

Une intrigue complexe.

Une belle découverte.

L’homme du grand Hotel est le premier livre de Valentin Musso que je lis.

Une ambiance très bien rendue par une plume légère et travaillée.

Deux destins se croisent dans ce roman. D’abord, celui de Randall Hamilton, écrivain américain, mondialement connu et qui se réveille dans une chambre d’hôtel et ne se souvient plus de rien.

Et puis, celui de Andy Marzano, qui rêve de devenir un écrivain célèbre. Le roman parle de son histoire d’amour avec Abigaël Spencer, une jeune comédienne et de ce qu’il est prêt à faire pour écrire un roman à succès.

Les chapitres s’enchaînent, révélant peu à peu la vérité jusqu’à la dernière ligne.

J’ai beaucoup aimé. En particulier le personnage de l’écrivain célèbre, en proie à de terribles doutes sur sa créativité et sur son entourage.

Un moment très agréable, une lecture que je recommande.

L’avez-vous lu ? Aimé ? Tentés ?

Une femme en vacances au bord d’une piscine se lève pour aller tuer un homme dans une des chambres d’hôtel. La femme est arrêtée. Son fils va alors essayer de découvrir le passé de sa mère et découvrir une toute autre femme qu’il pensait . Valentin Musso nous fait dans l’histoire de cette femme et de ce qui l’a poussée à commettre ce crime . Un livre qui ´on peut lire d’une traite.

Je me suis régalé à la lecture de ce roman. Tout y est ! Un mystère, une enquête à rebondissement, un dénouement inattendu, la psychologie du héros. Tout est génialement relaté. Je le fais en ce moment lire à mon épouse qui accroche vraiment alors que le polar en générale ce n'est pas sa tasse de thé, si je puis dire.

Je poursuis ma découverte de l’auteur avec ce livre que j’ai beaucoup aimé !



Il est bien prenant une fois commencé. Il est écrit à la première personne avec peu de dialogues mais cela n’empêche pas la fluidité de la lecture.



Il m’a assez déroutée car j’aurais du mal à le classer dans un genre. Ce n’est pas un polar : il y a tentative de meurtre dès le début du livre et on sait qui a tenté de commettre cet acte. En revanche, toute l’intrigue tourne autour du mobile. Et cela va se transformer en des découvertes de secrets de famille qui font froid dans le dos !



Je vous le conseille mais ne vous fiez pas à la couverture qui donne l’impression d’un livre léger pour l’été !
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Il s'agit du premier roman de Valentin Musso et du premier roman que je lis de cet auteur.

Le livre commence bien avec le meurtre de Raphael à Cauterets et celui d'un étudiant à Nice. Malgré la distance de ces deux villes, ces deux meurtres semblent liés et promettaient une belle enquête.

Cependant malgré le suspense et les secrets de famille, nous entrons dans la deuxième partie du livre dans un monde surnaturel. A partir de là je n'ai plus accroché.

Je reste sur ma faim mais je tenterai quand même un autre livre de cet auteur.

J’avoue que j’attends toujours les sorties des romans de Valentin Musso avec impatience.🍿



Et bien j’en ressors conquise encore une fois. 🥰

Trois histoires, trois femmes, trois sujets importants : la cécité, le consentement, le harcèlement. 🙅🏻‍♀️



Il y a Ludivine, jeune lycéenne de 17 ans, qui vit une histoire d’amour un peu particulière… on a l’impression de lire un roman d’adolescent, du Guillaume Musso, mais ce n’était pas pour me déplaire. 🫣



Il y a Emma, 24 ans, aveugle suite à un accident, qui se sent épiée, mais qui va retrouver le goût de vivre grâce à Stéphane, dont elle va tomber éperdument amoureuse. 👀



Puis dans les derniers chapitres, rentre en scène Zora, une flic qui travaille à l’unité des affaires non résolues, qui va tout bouleverser et nous éclairer.👮🏽



Dans ce jeu d’ombres et de lumières, de secrets et de mensonges, on cherche à tout prix la vérité.

Encore une belle réussite pour Valentin Musso, j’ai été happée par l’histoire du début à la fin. ♥️
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Deux histoires en parallèle. D'un côté, celle de Randall Hamilton, l'écrivain américain le plus lu des dix dernières années et de l'autre celle d'Andy Marzano, un jeune homme persuadé, malgré déjà pas mal de refus de maisons d'édition pour publier ses romans, qu'il va devenir un grand écrivain.



Plus j'avançais dans la lecture, plus je me demandais comment ces deux destins allaient finir par se rencontrer.

Je voyais gros comme une maison la traditionnelle mise en abîme où à la fin c'est l'écrivain personnage du roman que l'on est en train de lire qui l'a écrit. Généralement, je n'aime pas cette entourloupe. Là, je me demandais cependant qui de Randall ou d'Andy avait finalement écrit L'homme du grand hôtel.



En effet, les deux destins de nos personnages se rencontrent, tardivement, mais la suite n'est absolument pas celle que j'avais imaginé.

Sur la quatrième de couverture, il est écrit « Valentin Musso nous dévoile un roman à la construction diabolique et au dénouement vertigineux ». Les deux qualificatfs ne sont absolument pas usurpés.



Je vous laisse découvrir par vous même cette construction diabolique et ce dénouement vertigineux.



Dans la fratrie Musso, c'est le troisième roman de Valentin que je lis alors que j'en avais auparavant lu bien plus de Guillaume. Je l'avais déjà écrit après les deux premiers, mais maintenant c'est certain et irréversible, Valentin n'a absolument rien à envier à Guillaume.

Et même que, ma foi...

Adepte des livres de son frère, j’ai voulu tenter celui-ci. Et comment dire ? J’adore ! Ça change du style de son frère. Plus réaliste ! L’histoire est prenante, les personnages attachants, on pense à quelque chose et au final non ce n’est pas ça. Et cette fin est juste parfaite ! Je recommande entièrement cette lecture. Il m’a fallu que deux jours pour le lire et j’en garde un bon souvenir.

Le point de départ du roman est une terrible réalité historique (très proche) qui ne peut que bouleverser le lecteur. Le récit fictif est addictif et agréable mais je l'ai cependant trouvé trop romancé, trop prévisible et trop mélo dramatique à mon goût.



La réalité historique :

Jusqu'en 1981, au moins 60000 personnes ont été internées administrativement en Suisse, sans jamais avoir commis de délit, au seul motif qu'elles étaient pauvres, mendiantes, alcooliques, mères illégitimes, réfugiées ou jugées irresponsables, dépravées, rebelles ou fainéantes. Bon nombre de ces personnes ont subi, dans ces centres de "redressement", des violences physiques et psychologiques ainsi que des sévices sexuels.



La fiction :

Théo, photographe reconnu, voit sa vie basculer lorsqu'il reçoit un appel de la police lui signalant la mise en examen de sa mère, Nina, pour tentative de meurtre sur un médecin suisse. Décidé à mener sa propre enquête sur le passé caché de sa mère, il va découvrir de lourds secrets qui vont bouleverser son existence et celle de sa famille...

Dans Les cendres de froides, Valentin Musso met en lumière un pan de la Seconde Guerre mondiale peu connu en y mêlant une enquête policière, mélange des genres à la fois instructif et addictif. Il illustre également le pouvoir destructeur des secrets de famille. La construction du récit est particulièrement prenante : des chapitres courts qui alternent entre passé et présent, des rebondissements et un dénouement surprenant. Un agréable moment de lecture.

Mon premier livre de Valentin Musso et c'est vraiment une découverte.

Le rythme est soutenu du style page turner.

Le meurtre de sa femme détruit Adam.

Il a aussi des troubles psychologique liés à son travail qui ne va pas bien.

Au final un excellent livre que je recommande chaudement aux amateurs de polar...

Machiavélique





Tout le temps de ma lecture une question m'obsèdait. Ou l'auteur m'emmène t'il ?

Autant vous dire que j'ai fait des dizaines de scenaris possibles dans ma tête, tous plus alambiqués les uns des autres ... mais je me suis complètement fourvoyée !!! Ce petit coquin d'auteur a tellement tissé de toiles d'araignées partout et dans tous les sens, qu'il est impossible de deviner cette fin !!!



Côté personnages ... clairement impossible d'en parler. Juste, on ne peut qu'aimer Andy et Randall, on est obligé de les soutenir. Ils nous embarquent dans leurs vies, aussi chaotiques soient elles. Ils sont totalement crédibles et humains. La question obsédante: qu'est-ce qui les relie?

Rendez-vous dans les toutes dernières pages du livre pour le savoir...



Côté intrigue ... c'est hyper complexe à en parler car ... il n'y en a pas en fait durant les deux premiers tiers du livre. A part celle de notre imagination. Juste quelques graines sont semées mais discrètement, on ne s'en rend quasi même pas compte. C'est à la fin que l'on prend mesure de tout. Quand je vous dit que ce livre est machiavélique...



Pour les fans de Chattam ou du King, sachez que j'y ai retrouvé cette atmosphère malaisante, proche du surnaturel par moment. Alors, certes tout est profondément cartésien mais j'ai aimé flirter avec cette limite par moment. Il y a d'autres clins d'œil à d'autres auteurs durant cette lecture ... à découvrir aussi, je vous laisse la surprise.



Vite fait, côté style, il est hyper fluide, presque limpide. Et heureusement car il rend cette histoire plus que complexe très facilement compréhensible. Les deux ensemble rendent la lecture complètement addictive.



En conclusion, un livre d'un style (un peu) different mais que j'ai adoré. Le style simple et fluide mélangé à cette histoire complètement machiavélique rendent cette lecture addictive, même sans suspens apparent... mais ce n'est que pour mieux nous retourner le cerveau à la fin... et pourtant ... !!!

Entre les deux Musso, c'est Valentin que je préfère et il ne doit pas vendre autant de bouquins que son frère !



Dans ce roman, j'ai beaucoup aimé tout ce qui tourne autour du livre et de l'édition : l'envie de publier, les lettres de refus des éditeurs, les références à d'autres auteurs, la notoriété parfois lourde à porter...



Ce livre, c'est du suspense du début à la fin.



Il est composé de deux histoires :



- d'un côté, on a Andy Marzano qui passe tout son temps à écrire des romans qui seront tous refusés par des éditeurs



- de l'autre côté, on a Randall Hamilton, l'écrivain le plus lu de toute l'Amérique



Le lecteur sait très bien que les deux histoires vont finir par se rejoindre, mais les pages se tournent et les deux protagonistes ne se rencontrent pas...avant la dernière centaine de pages !



Le titre ne parle que d'un type : celui qui loge dans le Grand Hôtel, c'est-à-dire celui qui a du pognon : Randall, le grand écrivain. Les deux protagonistes n'en feraient-ils qu'un? L'autre serait-il le héros d'un roman écrit par l'incompris ou l'adulé? Je me suis posé des questions pendant toute ma lecture. La solution apparait, évidemment, à la fin.



Andy est conseillé par Logan, son ami de toujours : il faut qu'il mette de la vie dans ses bouquins ! Mais Andy n'a aucune expérience à relater; il n'a pas de vie. Il décide alors de provoquer le destin et mise sur sa rencontre avec Abigaël, une actrice, n'hésitant pas à se servir d'elle pour écrire son nouveau manuscrit.



Quant à Randall, il a perdu la mémoire. Il ne se souvient pas de ses bouquins ! Il pense être l'objet d'une machination. Il se rend compte qu'il est maintenu prisonnier dans le Grand Hôtel. Que lui arrive-t-il? Tout le monde semble ligué contre lui...



Un roman qu'on ne peut plus lâcher une fois commencé...
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❤️❤️❤️❤️❤️



Un thriller passionnant tout autant qu’une histoire de famille aux sombres secrets! Ce roman commence assez lentement et prend de plus en plus une tournure inattendue, le suspense va crescendo jusqu’à la dernière page, les rebondissements sont étonnants, les personnages vraiment complexes. La plume de Valentin Musso sait vraiment faire monter la tension progressivement tout en nous bouleversant par des émotions de plus en plus palpables, quelle maitrise! Je ne peux que vous conseiller ce thriller psychologique étonnamment touchant.

Un polar où deux enquêtes se rejoignent.

Raphaël a été assassiné et son frère Vincent, ex-flic, va enquêter avec l'aide de Camille, la compagne de Raphaël.

À 600km de là, un jeune lycéen est poignardé au sein d'un lycée d'élite où il était interne en sortant de son entraînement de boxe. L'enquête sera confiée à Justine.



Un polar qui m'a emballé par son début mais qui m'a déçu par sa fin.

Il s'agit du premier roman publié de l'auteur et il a les faiblesses d'un premier roman.

Outre certaines invraisemblances, la multiplicité des thèmes abordés fait défaut. Entre surdouance, nucléaire, secret défense, secret de famille et phénomènes paranormaux, l'auteur s'égare et propose un polar fouillis où aucun thème n'est vraiment approfondi.



Dommage car le début de l'intrigue et du rythme promettait un bon moment de lecture.

Valentin Musso, né à Antibes, est un auteur de romans policiers. Agrégé de lettres, il enseignait le français dans les Alpes-Maritimes. Maintenant, il se consacre à l’écriture.

« Dans mon obscurité » est son onzième livre, paru en mai 2023.

On y rencontre trois personnages féminins :

- Ludivine, 17 ans qui tombe amoureuse d’un garçon étrange,

- Emma, 24 ans, agoraphobe, qui a la sensation d’être harcelée et épiée,

- Zora, 34 ans qui, à l’Unité des affaires non résolues de la Brigade criminelle de Paris, décide de rouvrir un dossier.

Quel est le lien entre ces 3 personnages ?

Cette histoire alterne les vies de Ludivine et Emma au début, ainsi que le passé et le présent. Zora n’entre en scène que plus tard. On y parle des méfaits des réseaux sociaux, entre autres. Comme d’habitude, Valentin nous promène sur des fausses pistes mais sans rythme endiablé donc nous avons le temps de bien faire marcher nos neurones… pour rien !

La couverture est pleine d’indices que je ne vous dévoilerai pas (impossible à comprendre au début donc ne vous fatiguez pas).

Ce livre ne doit pas être commencé un soir sous peine de nuit blanche. Addictif quoi !

« Qu’à jamais j’oublie » débute par la scène où Nina Kircher, une sexagénaire, poignarde avec violence un homme croisé sur le bord de la piscine de l’hôtel où elle passe quelques jours. C’est brutal et ça met immédiatement la table pour une intrigue bien ficelée par Valentin Musso.

Le fils de Nina, Théo, grâce à une photo retrouvée dans une boite que lui a donnée sa tante, tentera d’en apprendre davantage sur sa mère et de comprendre les raisons qui ont motivé son geste.

Bien que ce roman ne comporte pas vraiment de suspense, j’ai apprécié la lecture de ce roman où je n’ai pu deviner la finalité (quel plaisir!) et qui m’a fait découvrir une terrible histoire de maltraitance d’enfants (comparable à celle vécue au Québec par les orphelins de Duplessis) qui s'est passé en Suisse.

Un très bon thriller,du suspense qui nous tien en haleine jusqu'au bout.Ce roman est angoissant,j'avoue qu'à certains moments j'avais l'impression de vivre l'angoisse de Emma.

Valentin Musso est vraiment très fort dans l'intrigue.

Lisez ce livre vous êtes loin d'imaginer le dénouement de l'histoire de ses trois femmes Emma,Ludivine et Zora.

Suspense psychologique intense, "Dans mon obscurité" explore la notion de harcèlement, l’impact des menaces qui planent et comment les menaces peuvent être perçues et vécues par une personne non voyante.
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Trois femmes, Emma, Ludivine et Zora dont les destins sont liés autour du harcèlement scolaire, d'une colère refoulée trop longtemps et d’un terrible accident. Les personnages sont finement construits et on suit le fil de l’histoire de chacune de ces femmes en ayant beaucoup de mal à lâcher le livre. Le lien qui les lie n’est dévoilé que vers la fin de l’histoire, le mystère restant entier jusqu’au bout. Le suspens est intense, bien dosé et la conclusion est magistrale. J’ai adoré. Je ne pense pas avoir lu beaucoup de livres de cet auteur, peut-être même est-ce le premier, mais ça ne sera pas le dernier.